Entre mes mains le bonheur se faufile

J'adore Agnès Martin-Lugand, mais ce roman ne m'a pas vraiment emballé. Il est très bien écris néanmoins et les personnages sont recherchés. Mais dès les premiers chapitre j'ai cerné la fin et je ne suis ni déçue, ni ébahie, je me suis juste dit "bon beh il est fini, je peux en lire un autre".

Un bon livre, bien écrit mais qui n'est pas à l'auteur des autres livres de cette autrice selon moi. Je n'ai pas compris l'engouement autour de ce roman justement mais pour autant on se laisse vite entrainer dans les aventures d'Iris ! La fin est intéressante mais beaucoup trop prévisible

Une femme essaie d'imposer son choix de vie, de carrière. Pas facile d'affronter le mari, les parents qui ont mis des bâtons dans les roues. Iris obtiendra gain de cause mais se jettera dans les griffes d'une manipulatrice.

J'ai trouvé désagréable dans ce livre son rythme, avec des dizaines de phrases qui se suivent de même longueur, des tournures et des mots déjà utilisés dans les livres précédents (les talons qui griffent le parquet, par exemple). L'histoire est, elle, intéressante et pourrait même déboucher sur un film. Mais son écriture me laisse un goût d'apprêté, peu originale dans sa construction grammaticale que je n'avais pas relevé dans les autres et avec des phrases toutes faites, convenues. J'ai quand même acheté le dernier de cette auteure, voyons...

ce livre toujours profondément émouvant parle essentiellement d’amour, d’amitié et elle nous fait prendre conscience de l’importance du bonheur. L'écrivaine a travaillé sur les émotions humaines et nous a embarquées dans une exploration plus profonde de la vie.

Livre sympa avec un début qui m'a beaucoup plu. Cependant sur la dernière partie du roman l'histoire s'accélère tout d'un coup ce qui donne une sensation de fin précipitée. Dommage mais cela n'empêche pas la lecture du roman.

Une lecture plaisante mais sans réelle surprise. On se doute dès le départ de la manière dont cette histoire va finir.

J étais emballé au début, puis trop d info tue l'info, ça part dans tous les sens et la fin et plus que rapide

Comme c'est important de ne jamais abandonner ses rêves...

Iris a décidé enfin de suivre le sien, de s'écouter et sa vie a pris un nouveau chemin qui va l'emmener beaucoup plus loin qu'elle ne l'imaginait, vers une vie qu'elle n'aurait jamais cru possible...

Petit pas après petit pas, elle devient une autre, le meilleur d'elle même, et trouve le bonheur...

Quand après un repas de famille, Iris apprend que son rêve de vivre de la création et de la couture avait été étouffé dans l'œuf, elle est sous le choc. Mais cette révélation va être l'occasion pour elle de bousculer son quotidien, et de se donner une seconde chance...

L'auteure nous livre ici un roman passionné, ardent. Je me suis jetée à corps perdu dans le récit des aventures d'Iris, qui s'ennuie dans sa vie.

Entre son travail à la banque et un mari concentré sur sa carrière à l'hôpital, elle a le sentiment de ne plus s'appartenir vraiment. On va la suivre dans sa décision de tout quitter pour entreprendre une formation à Paris, dans un atelier.

L'univers de la mode est, comme nous allons le découvrir, sensuel, carnassier et exigeant. On fait la connaissance de personnages charismatiques et intimidants. On est fasciné par l'énergie insufflée, le frôlement des tissus, le tourbillon mondain auquel elle devra se confronter. La jeune femme se transforme sous le regard de Marthe la directrice, et de Gabriel, le dangereux séducteur.

L'écriture est fluide et agréable, et on se laisse porter par une romance subjuguante et contrariée. Iris lutte beaucoup entre sentiments et raisons. Comme elle, on éprouve des émotions incontrôlées et on intellectualise beaucoup, avec le risque potentiel de se tromper.

Les révélations apportent leur effet de surprise, tandis qu'elles dissipent les doutes amers et autres malaises émergents. Et si je l'avoue, j'ai parfois levé les yeux au ciel à l'évocation de quelques clichés, j'ai été embarqué, et j'ai adhéré à l'essentiel finalement.

J'ai été touchée par la fin, belle et tragique à laquelle les personnages se sont résolus avec évidence. Et que dire de plus, que j'ai été émue de l'hommage rendu à ce mentor trouble, aussi invasif qu'inoubliable.