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À Venise, le commissaire Brunetti reçoit la visite d'une très belle jeune femme, religieuse défroquée. Parce que des morts suspectes sont survenues dans l'institution où elle travaillait, elle a quitté son ordre. Est-elle victime d'une imagination débordante, ou se passe-t-il réellement des choses effrayantes autour de ces personnes âgées qui lèguent leur fortune à diverses congrégations religieuses ?
Pas la moindre trace de maquillage sur son visage. Mais, au troisième coup d’œil qu’il lui jeta, il se rendit compte qu’au fond elle était déguisée ainsi, ce qu’elle dissimulait étant sa beauté. Elle avait de grands yeux sombres très espacés, avec des cils si longs et fournis qu’ils n’avaient pas besoin de Rimmel ; les lèvres étaient pâles, mais pleines et douces. Le nez, droit, étroit et légèrement arqué, avait quelque chose – il ne trouva pas d’autre mot – de noble. Et sous les cheveux taillés à la diable, il y avait un front haut et sans rides. Si Brunetti prenait conscience de la beauté de la jeune femme, il n’arrivait pas pour autant à établir son identité.
Elle le fit presque sursauter lorsqu’elle dit soudain :
« Vous ne me reconnaissez pas, commissaire, n’est-ce pas ? »
Première enquête de Brunetti que je lis et je suis mitigée. J'aime beaucoup le cadre, le fait de garder des expressions italiennes, etc... L'enquête est assez bien construite mais la fin laisse un amer goût d'inachevé, comme si il manquait tout un chapitre. Bref un sympathique roman mais sans plus.
On peut aimer le cadre - Venise - des livres de Dona Leon, mais aussi leur reprocher une certaine lenteur... Cet opus ne fait hélas pas exception à cette règle.
Sixième volet des enquêtes de Guido Brunetti, violemment anti-religieux et - surtout - anti-clérical. Pas du tout d'accord avec Pimprenelle, on est ici dans le polar de grande qualité !!
Résumé
À Venise, le commissaire Brunetti reçoit la visite d'une très belle jeune femme, religieuse défroquée. Parce que des morts suspectes sont survenues dans l'institution où elle travaillait, elle a quitté son ordre. Est-elle victime d'une imagination débordante, ou se passe-t-il réellement des choses effrayantes autour de ces personnes âgées qui lèguent leur fortune à diverses congrégations religieuses ?
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