Pour le concert de gala, Kaori a choisi d’interpréter Chagrin d’amour de Kreisler, ce qui n’enchante guère Kôsei, car ce morceau lui rappelle beaucoup trop sa mère. Devant l’obstination de son amie, il finit par céder et s’entraîne sans relâche, même s’il n’entend toujours pas le son du piano. Hélas, le jour J, la jeune fille est introuvable !
Qu’à cela ne tienne : son accompagnateur décide de monter seul sur scène pour livrer une performance improvisée. Mais au fil des notes, celle-ci se transforme en une émouvante lettre d’adieu à celle qui lui a tout appris...
Emi en pensée : "Ce n'est pas le pianiste innocent qui m'a éblouie par le passé... Mais j'ai eu raison de venir ! J'ai à nouveau un adversaire à surpasser !" Hé hé hé hé hé hé ! (avec un air démoniaque)
La mentor d'Emi en pensée : "Qu'est ce qu'il lui prend ?! "
Ce tome m'a fait pleurer. Cette fois Kôsei joue pour sa mère, il lui dit adieu, c'est tellement triste et beau. C'est sur l'amour entre une mère et son enfant. De même avec le jeune violoniste qui ému, dédie sa prestation à sa mère... Sa musique prend une nouvelle forme, il n'est plus le métronome humain...
À travers la musique, Kôsei fait des adieux émouvants à sa mère. Le public est émerveillé par sa prestation, et même en tant que lecteur, on peut ressentir ses émotions grâce aux magnifiques dessins.
De son côté, Tsubaki a du mal à prendre conscience de ses sentiments pour le jeune pianiste, d'où l'inquiétude de ses amis.
Quant à Kaori qui n'a pas l'air d'être au mieux de sa forme (ce qui ne l'empêche tout de même pas de se chamailler avec Kôsei), espérons que son état ne s'aggrave pas par la suite !
Un tome au tournant majeur où Kôsei dit véritablement adieu à sa mère et retrouve son amour pour la musique. C'est l'occasion pour en découvrir un peu plus sur la raison de l'absence de Kaori, et malheureusement cela n'augure rien de bon pour la suite...
La fin du tome se concentre sur Tsubaki et sa relation avec Kôsei qui semble prendre un nouveau tournant !
Un tome important, marquant une nouvelle avancée dans l'histoire. Kosei se sépare du fantôme de sa mère et va de l'avant. Pour le meilleur et pour le pire.
Kousei en a fini avec les fantômes du passé et décide de son plein gré de persévérer sérieusement dans la musique. Malheureusement, il semblerait que cette paix retrouvée soit de courte durée. Une révélation dramatique pourrait bien le chambouler de nouveau...
Résumé
Pour le concert de gala, Kaori a choisi d’interpréter Chagrin d’amour de Kreisler, ce qui n’enchante guère Kôsei, car ce morceau lui rappelle beaucoup trop sa mère. Devant l’obstination de son amie, il finit par céder et s’entraîne sans relâche, même s’il n’entend toujours pas le son du piano. Hélas, le jour J, la jeune fille est introuvable !
Qu’à cela ne tienne : son accompagnateur décide de monter seul sur scène pour livrer une performance improvisée. Mais au fil des notes, celle-ci se transforme en une émouvante lettre d’adieu à celle qui lui a tout appris...
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