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Au début de la Restauration, le vicomte Félix de Vandenesse est âgé d'une vingtaine d'années. Il est partagé entre deux amours passionnés, l'un charnel avec Lady Dudley - qu'il a rencontré à la cour du roi Louis XVIII - l'autre, sentimental à l'extrême, avec la comtesse de Mortsauf.
Par son indécision, il perd ces deux femmes qui ont bouleversé sa vie. Dans une longue lettre, Félix confie alors ce drame à Nathalie de Manerville, qu'il doit épouser, afin que celle-ci comprenne sa grande mélancolie. Ne joue-t-il pas là un jeu dangereux qui risque de compromettre aussi son avenir avec Nathalie de Manerville ?
Un roman magnifique qui se lit comme de la poésie : avec volupté et à tête reposée.
Le personnage de Mme de Mortsauf, symbole de la vertu, est opposé à celui de Lady Dudley, représentée tel une Amazone. On en vient à souhaiter un amour comme celui que ressent Felix !
Les moments de violence avec le mari ne sont pas retranscrit au mot, et pourtant on saisit toute la puissance et la détresse de sa femme.
Et bien quoi dire ? J'ai commencée a lire la femme de trente pour mes cours, je n'avais pas accroché a l'écriture cependant l'histoire n'était pas horrible, ça ce lisais assez facilement en sautant une ligne sur deux. En ce qui concerne le lys dans la vallée...ce n'étais pas une lecture obligatoire dans mon cursus, je l'es lu de moi meme, honnêtement, j'ai du sauté certaine page, trop long pour pas grand choses, malgré cette écriture lourde et trop chargé de taille sans importance on ne pourra jamais critiqué cette critique vis a vis de la condition féminin et du mariage. Critique toujours aussi présente et juste, et pour l'époque c'est incroyable, surtout venant d'un homme. Alors pour le message j'apprécie ce livre, l'écriture ? Je crois que pour moi Balzac est un nom catégorique enfin en ce qui concerne l'histoire, et bien c'est du romantisme/réaliste, ce n'ai pas vraiment mon style. Je laisse cette œuvre au lecture aguerrie de littérature classique.
Aïe aïe aïe ! Cette toute première approche de Balzac fut douloureuse pour moi (lu en fin de collège). D'ordinaire sensible à la description de paysages et de caractères, tout m'était apparu fade, ennuyeux, soporifique, plat... Trop de détails tuant le détail.
Le jeu du chat et de la souris entre Blanche et le jeune Félix aurait pu m'émouvoir, que nenni. Blanche, à la fois mère universelle et sainte Nitouche, déplorera que son soupirant console ses frustrations dans les bras d'une autre, mais trop tard pour les atermoiements, les larmes et les regrets.
Cette lecture a été assez ennuyeuse, avec un côté Stendhal (j'ai eu l'impression de revivre Le Rouge et le noir) et un personnage masculin ennuyeux à souhait. Mme de Mortsauf semble insipide tout au long du roman, mais c'est parce que celui-ci consiste en une seule lettre écrite du point de vue de Félix.
Heureusement, la fin de ce livre (que je n'attendais pas ce la part de Balzac) vient nous récompenser après la lecture des 250 pages précédentes. La lettre finale est incroyable et justifie à elle seule l'intégralité du roman.
J'ai beaucoup aimé la poésie de ce texte. On ressent fortement l'amour des personnages, qu'il soit platonique, charnel. Le lyrisme romantique à su nous faire voyager dans une époque totalement différente avec un panel de personnages profonds. Je le conseil pour ceux qui ont du mal avec l'écriture de Balzac à la base.
Je me suis lancée dans la lecture de ce roman après celle de La Femme de Trente ans. L'histoire était apparemment similaire puisque nous retrouvons aisément les traits biographiques de Balzac dès les premières pages dans les deux romans. Néanmoins, j'ai très largement préféré le Lys dans la vallée, que j'ai trouvé rempli de poésie et de délicatesse sincèrement touchantes. Tout ce qui m'avait manqué dans la Femme de Trente ans a été retrouvé dans ce roman. On a le temps de s'attacher aux personnages, de pouvoir prétendre de les comprendre et ainsi d'être plongé.e au cœur de l'histoire. Toutefois, je pense qu'il faut et le Lys dans la vallée et La Femme de Trente ans pour les savourer tous les deux à leur juste valeur respective.
Le lys dans la vallée est le premier livre que j'ai lu de Balzac. J'avais entendu comme tout le monde parler de cet auteur lorsque j'étais au collège mais je n'avais pour autant jamais lu un de ses livres. J'ai donc été agréablement surprise. Sa plume est magnifique, elle est poétique et en même temps acerbe. Alors certes certains moment sont un peu longuets mais l'histoire en elle-même vaut le coup. L'enfance de Félix de Vaudenesse qui était mal aimé par sa mère m'a énormément fait pensé à Vipère au poing de Hervé Bazin. Les relations mère-fils sont ici très bien décrites et je ne fus pas étonner d'apprendre que ce récit était en partie autobiographique.
Résumé
Au début de la Restauration, le vicomte Félix de Vandenesse est âgé d'une vingtaine d'années. Il est partagé entre deux amours passionnés, l'un charnel avec Lady Dudley - qu'il a rencontré à la cour du roi Louis XVIII - l'autre, sentimental à l'extrême, avec la comtesse de Mortsauf.
Par son indécision, il perd ces deux femmes qui ont bouleversé sa vie. Dans une longue lettre, Félix confie alors ce drame à Nathalie de Manerville, qu'il doit épouser, afin que celle-ci comprenne sa grande mélancolie. Ne joue-t-il pas là un jeu dangereux qui risque de compromettre aussi son avenir avec Nathalie de Manerville ?
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