In the air
Auteur
- Walter Kirn (Écrivain)
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Classement en biblio - 10 lecteurs
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Mmh...Je n'ai lu que le début, mais rien à faire, je n'arrive plus à avancer.
Pourtant, ces phrases ont vraiment un charme mystérieux, de sa vision de l'avion et de la ligne aérienne.
Le point de vue, qui s'adresse parfois à nous, comme si nous étions là , avec lui, dans ce siège d'avion à manger la même nourriture trop salée, comme il la trouve, m'a fascinée. Je ..VOULAIS y être discuter avec lui, le comprendre !
Malgré tout, ce monde était trop éloigné du mien, les entreprises, l'emploi, les compagnies aériennes...tout un monde que je ne connais pas encore de par mon âge !
Il s'agit pour moi d'un livre pour les plus âgés, un livre un peu mélancolique.
Un livre qui parle de liberté.Cette liberté, je me l'approprierais plus tard, lorsque je serais prête.
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Sans surprise et il est loin d'être marquant. La version cinématographique passe mieux avec Georges Clonney.
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La couverture de ce livre m'a attirée notamment par la citation d'une critique du New York Times; "Un livre qui marquera les esprit bien au-delà de son temps". Par son erreur d'avoir été publiée?
Je suis désolée d'être aussi peu considératrice pour l'auteur mais... pourquoi a-t-il choisit cet angle d'écriture? J'ai eu l'impression qu'il écrivait un guide touristique sur les aéroports. Honnêtement... mais quel ennuit...
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Date de sortie
In the air
- France : 2010-01-21 - Poche (Français)
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Editeurs
Résumé
Depuis des années Ryan Bingham ne touche plus terre : son boulot de consultant en management – il est chargé d’organiser des licenciements – le conduit d’entreprise en entreprise, de ville en ville, d’avion en aéroport, de chambre d’hôtel en chambre d’hôtel. Il n’a plus de maison, plus d’épouse, plus d’attaches familiales : il ne se sent chez lui que dans le cocon d’une cabine pressurisée, face au sourire d’une hôtesse de l’air ou à un plateau-repas mal réchauffé. Son but dans la vie ? Accumuler un million de miles du programme de fidélité d’une compagnie aérienne. Il y est presque, mais brûle d’envie de démissionner…
D’une plume décapante qui excelle à dénoncer l’inhumanité croissante du monde du travail et ses effets délétères, Walter Kirn décrit avec le talent d’un Douglas Kennedy ou d’un Don DeLillo l’implacable descente aux enfers d’un homme qui a la tête dans les nuages.
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