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"Il est insupportable, vaniteux, orgueilleux, brutal., inconstant, humain. Sans lui, je serais mort de décomposition. Abdel m'a soigné sans discontinuité, comme si j'étais un nourrisson. Attentif au moindre signe, présent pendant toutes mes absences, il m'a délivré quand j'étais prisonnier, protégé quand j'étais faible. Il m'a fait rire quand je craquais. Il est mon diable gardien". L'histoire vraie de la rencontre improbable du riche privilégié tétraplégique et du jeune beur de banlieue a inspiré les réalisateurs Olivier Nakache et Eric Toledano pour leur nouveau film Intouchables, avec François Cluzet et Omar Sy.
Quatrième de couverture
« Je suis allongé contre la montagne, juste un peu engourdi. J'ai dû perdre connaissance. Max et Yves, mes compagnons de parapente, ont posé leur voile à côté de la mienne. Le docteur Max prend les choses en mains : il creuse un trou devant mon visage pour me permettre de respirer et alerte la station par radio. Je ne comprend pas pourquoi ils ne me touchent pas. Je leur parle, ma respiration est calme, alors pourquoi me demandent-ils sans arrêt si je peux respirer ? Un brin d'herbe me chatouille la narine, j'éternue, je ris. Yves me parle comme à un enfant ; il a l'air de trembler. Il me semble que je ne peux plus bouger ! »
En 1993, Philippe Pozzo di Borgo est directeur délégué des champagnes Pommery (groupe LVMH) lorsqu'une chute en parapente le laisse tétraplégique. Il a alors 42 ans. Issu de deux grandes familles françaises, il découvre l'exclusion à la suite de cet accident. Plus tard, veuf d'une femme dont il est très amoureux, il reste seul pour élever leurs deux enfants et dicte, de son fauteuil, ses souvenirs, ses aspirations, sa vision du monde et de l'au-delà. Dans le calme de son hôtel particulier parisien ou dans la splendeur des montagnes corses de ses aïeux, il laisse vagabonder son âme et livre un récit ivre de douleur et d'espérance.
"Je suis allongé contre la montagne, juste un peu engourdi. J'ai dû perdre connaissance. Max et Yves, mes compagnons de parapente, ont posé leur voile à côté de la mienne. Le docteur Max prend les choses en mains : il creuse un trou devant mon visage pour me permettre de respirer et alerte la station par radio. Je ne comprends pas pourquoi ils ne me touchent pas. Je leur parle, ma respiration est calme, alors pourquoi me demandent-ils sans arrêt si je peux respirer ? Un brin d'herbe me chatouille la narine, j'éternue, je ris. Yves me parle comme à un enfant ; il a l'air de trembler. Il me semble que je ne peux plus bouger !"
J'avais beaucoup aimé le film, et on m'a offert ce livre. Contrairement aux fictions pour lesquelles on peut dire "j'ai préféré le livre au film" ou l'inverse, cela n'est pas applicable à cette autobiographie. Le but recherché est différent, et si j'ai beaucoup apprécié le film pour son humour ainsi que la réflexion à laquelle il amène, c'est surtout pour les émotions transmises (et également la réflexion) que j'ai aimé ce livre. J'ai préféré la partie "le second souffle", qui nous emmène dans la vie de cet homme que l'on croirait gâté par la vie et qui subira pourtant maintes épreuves difficiles. La partie "le diable gardien", hormis la fin, m'a un peu moins plu, elle est écrite différemment, alors que le style du premier livre m'avait énormément plu (cette spontanéité, ...) et j'ai la sensation qu'elle n'apporte, sauf quelques épisodes, pas grand-chose à l'ensemble de l'oeuvre. Mais de manière générale, j'ai apprécié ma lecture, qui émeut et fait réfléchir, et la conseille à ceux qui auraient par exemple envie d'en savoir plus sur les conditions difficiles dans lesquelles Philippe Pozzo di Borgo a évolué toute sa vie durant, non pas aux fans du film qui en rechercherait l'humour ou le lien entre Abdel et lui, car ils seraient probablement déçus.
Le début était trop orienté sur le soussous de la ceinture pour moi. Comme si son handicap ne le dérangeait que pour ça finalement...
Après l'introduction ça s'atténue et on se rend compte que ce type a vraiment un problème avec la chance.
La partie 1 est l'histoire romancée et la seconde est le retour à la vie réelle. Mais son obsession pour son besoin primaire gâche l'histoire. Quant aux remarques sur les femmes...
Un livre avec un témoignage poignant. C'était intéressant de voir le point de vue d'un tétraplégique et de sa vie qui a bousculé du jour au lendemain et de ce qui lui a permis de rester sur Terre, de rester en vie.
Alors que j'avais franchement adoré le film, ce récit autobiographique m'a laissé sur une impression fort mitigée, sans doute à cause du snobisme un peu paternaliste de Di Pozzo et qui, je pense, n'est pas du tout lié à son accident et/ou son handicap.
🅠ue dire sur ce roman ? 🅙e pense qu'il est inutile de dire que ce livre est triste, malgré certains passages drôles et émouvant on ressent quand même la tristesse entre les pages au fur et à mesure qu'on l'on avance dans l'histoire. 🅔n tout cas, j'ai quand même bien aimer lire l'histoire qui as inspiré le film d'intouchables qui est l'un de mes films favoris. 🅠uoiqu'il en soit ce livre, je le classe dans ma liste: *🅛ivre déjà lu*. 🅔t je me plonge désormais dans une nouvelle histoire.
Je n’ai pas voulu voir le film avant d’avoir lu le livre. J’ai trouvé cette lecture assez compliquée. Je ne suis pas arrivé à entrer dans l’histoire et j’ai plusieurs fois eu envie d’abandonner. Je pense que j'essayerai de le relire plus tard.
À ne pas comparer avec le film, ici il n'y a rien de marrant. Bien au contraire, on se rend compte des souffrances auxquelles P. Pozzo doit faire face, dont le décès de sa femme qui ne l'aura pas aidé...
J'ai eu beaucoup de mal avec le style d'écriture, notamment dans la seconde partie qui, par moment, n'est pas claire du tout : j'ai dû m'arrêter sur certains passages, les relire, pour en comprendre le sens ou pour être sûre d'avoir compris. Je ne regrette pas l'avoir lu, car tout témoignage est instructif.
J'ai adoré le film et le livre tout autant.........
Biographie de l'auteur, mais surtout témoignage sur l'handicap . L'amour de sa femme qui l'a soutenu ,malgré la maladie ,dans cette épreuve est poignant........
Résumé
"Il est insupportable, vaniteux, orgueilleux, brutal., inconstant, humain. Sans lui, je serais mort de décomposition. Abdel m'a soigné sans discontinuité, comme si j'étais un nourrisson. Attentif au moindre signe, présent pendant toutes mes absences, il m'a délivré quand j'étais prisonnier, protégé quand j'étais faible. Il m'a fait rire quand je craquais. Il est mon diable gardien". L'histoire vraie de la rencontre improbable du riche privilégié tétraplégique et du jeune beur de banlieue a inspiré les réalisateurs Olivier Nakache et Eric Toledano pour leur nouveau film Intouchables, avec François Cluzet et Omar Sy.
Quatrième de couverture
« Je suis allongé contre la montagne, juste un peu engourdi. J'ai dû perdre connaissance. Max et Yves, mes compagnons de parapente, ont posé leur voile à côté de la mienne. Le docteur Max prend les choses en mains : il creuse un trou devant mon visage pour me permettre de respirer et alerte la station par radio. Je ne comprend pas pourquoi ils ne me touchent pas. Je leur parle, ma respiration est calme, alors pourquoi me demandent-ils sans arrêt si je peux respirer ? Un brin d'herbe me chatouille la narine, j'éternue, je ris. Yves me parle comme à un enfant ; il a l'air de trembler. Il me semble que je ne peux plus bouger ! »
En 1993, Philippe Pozzo di Borgo est directeur délégué des champagnes Pommery (groupe LVMH) lorsqu'une chute en parapente le laisse tétraplégique. Il a alors 42 ans. Issu de deux grandes familles françaises, il découvre l'exclusion à la suite de cet accident. Plus tard, veuf d'une femme dont il est très amoureux, il reste seul pour élever leurs deux enfants et dicte, de son fauteuil, ses souvenirs, ses aspirations, sa vision du monde et de l'au-delà. Dans le calme de son hôtel particulier parisien ou dans la splendeur des montagnes corses de ses aïeux, il laisse vagabonder son âme et livre un récit ivre de douleur et d'espérance.
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