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" L'auteur de Moins que zéro décrit dans son deuxième livre une nouvelle descente aux enfers qui se situe à l'université. Ses héros, des étudiants issus d'une bourgeoisie typée, trempent, d'une dérive à l'autre, dans les illusions du sexe et de la drogue, sur un fond de rock... Bret Easton Ellis peint une génération en négatif, en montrant les impasses des désirs, des urgences existentielles et des manques. Tout cela au moyen d'une écriture sobre, rapide et brute. La phraséologie de cette décennie contient à elle seule toute une micro-histoire. Une langue. " Patrick Amine, Art Press
Getch est là, complètement défoncé; il me dit que les nouveau-nés qui meurent dans leur berceau sont des petits malins, car ils ont l'intuition des horreurs à venir et préfèrent cette solution.
les lois de l'attraction - justement l'attraction de l'interdit, l'attraction des autres, même si les autres sont inaccessibles, l'attraction du vide, de la violence, du mal, du bonheur, du sexe, du manège de la vie qui ne laisse aucun répit parfois. C'est plus qu'un livre sur des jeunes d'un certain âge et d'un certaine époque, d'un certain pays et d'un certain milieu social, c'est un roman sur le coeur et l'âme et ce qu'il s'y construit avec ou contre soi-même. C'est un roman d'amour au sens large.
On retrouve souvent cela chez les jeunes auteurs talentueux : un premier roman imparfait mais attachant et un second qui en plus ou moins le décalque, expurgé des erreurs. C'est le cas des Lois de l'attraction, sort de version plus accessible que Moins que zero...
On va essentiellement suivre trois personnages ici : Tout d'abord Lauren, une jeun fille vierge et amoureuse de Victor, qui est parti en Europe. Sean Bateman (accessoirement frére de Patrick, qui sera le héros du roman suivant d'Ellis : American Psycho), pas bien sûr de sa sexualité mais qui expérimente, et tombera amoureux de Lauren, et aussi Paul, bisexuel affirmé et amoureux de Sean. Et au milieu de tout cela, les soirées étudiantes, l'alcool, la drogue, le sexe et... le sexe. Car c'est essentiellement autour de ce sujet que tournera le roman. A sa lecture, on navigue presque en pleine orgie par moment. Mais avec tout ça, il y a aussi des sentiments, il y a une jeunesse qui n'a aucune idée d'où elle va, il y a un effrayant No Future.
La narration est ici plus simple, plus accessible au lecteur qui s'était perdu dans les volutes de fumée de Moins que zero. Alors oui, il est difficile d'aimer les personnages de ce livre mais on ne peut pas non plus les haïr, pas les rejeter puisque si le livre se passe en 1984, il n'est pas pour autant dépassé. Loin de là, la situation ayant empiré depuis. Alors oui, il ne faut pas s'attendre à une vraie évolution ou progression de l'histoire mais pour le peu que le côté "tranche de vie" vous plaise, vous devriez largement y trouver votre compte !
Ellis a un style très particulier, que l'on adore ou que l'on déteste. Je fais partie de la première catégorie, mais même pour moi certains de ses livres ont été très difficiles à terminer. Les lois de l'attraction n'en fait néanmoins pas partie, puisqu'il s'agit de l'un de mes livres préférés. Je ne le recommanderais cependant pas à tout le monde, tout comme je ne recommanderais pas Ellis à tout le monde.
Comme dans le premier roman que j'ai lu de cet auteur, Moins que zéro, j'ai rencontré des difficultés à entrer dans l'histoire. En revanche, j'ai fini par m'accrocher à l'histoire et j'ai davantage apprécié. Même si ce n'est toujours pas le coup de cœur... Je vais persévérer et lirai American psycho. Je regarderai peut-être l'adaptation cinématographique également.
J'ai terminé ce livre mais c'est au prix de grands efforts. Il m'a fallu plus de 100 pages pour commencer à repérer les différents personnages. Le style n'est pas évident à appréhender. De plus, il n'y a pas vraiment d'histoire, il s'agit d'une chronique sur le quotidien dans une fac : drogue, sexe et hop on change de partenaire... Il y a aussi quelques sentiments mais aucun amour n'est partagé.
Je n'avais pas vu le film donc, je ne savais pas à quoi m'attendre mais je sais que ce n'est pas pour moi.
J'ai eu beaucoup de mal avec le style de l'auteur mais une fois abstraction faite, on ne peut que constater de la force de ce roman. Les changements systématiques de points de vues apportent à la narration.
Le seul livre de Bret Easton Ellis que j'ai a peu près apprécié. Les personnages sont intéressants et rendus plus vivants par le changement de point de vue.
Sans doute mon roman préféré de l'auteur. Je l'ai trouvé très puissant émotionnellement parlant, avec plus de sentiments variés, comparé aux cinq autres livres que j'ai lu d'Ellis. Les changements de point de vue rythment le récit, le rendent plus passionnant encore, et on retrouve le style caractéristique de l'auteur, son regard. J'étais vraiment dans l'histoire, incapable de décrocher.
Un livre assez curieux tout de même, bien qu'ayant vu le film, je pouvais m'attendre à quelque chose de très dérangé et dérangeant, mais ça m'a tout de même étonné. Déjà rien que la présentation du livre, pas du tout découpée en chapitre, qui alterne un grand nombre de points de vue avec des personnages que nous ne connaissons parfois même pas. Je trouve ça assez intéressant même si on est souvent décontenancé. A cela, on peut ajouter les dialogues qui tournent à vide, où les personnages ne font que continuellement se répéter même si parfois les monologues sont presque philosophiques. A cela on peut ajouter le style vraiment particulier, un mélange de langage "parlé", un côté assez brouillé de certains passages qui, à mon avis est là pour recréer le fait qu'ils sont constamment sous l'emprise de drogues. Mais ce qui m'a le plus marqué ce sont les verbes qui suivent les répliques des personnages, l'inversion sujet-verbe n'est pas faite ce qui donne : "Allons dans ma chambre" j'ai dit. C'est très énervant de lire ça, puis on s'y fait finalement. L'histoire est surtout basée sur les relations amoureuses avec Sean Bateman (jolie "autotextualité" puisque cela rappelle American psycho, d'autant plus que Patrick Bateman apparaît lui-même comme étant le grand frère de Sean), par exemple avec Paul, Lauren mais aussi la fille qui se suicide dont j'ai mangé le nom. Les trois personnages principaux (Sean, Lauren et Paul) sont profonds et très intéressants car très difficiles à cerner. En effet on ne sait pas trop quoi penser d'eux parce qu'ils sont très complexes de par leur caractère principalement. Mais pour moi, je me suis plus attachée à PaulSpoiler(cliquez pour révéler), le seul qui finit heureux par ailleurs,. Un style atypique, une histoire atypique qui donne un livre sympa bien qu'ayant certaines longueurs mais bon, "Rock'n'roll !".
Résumé
" L'auteur de Moins que zéro décrit dans son deuxième livre une nouvelle descente aux enfers qui se situe à l'université. Ses héros, des étudiants issus d'une bourgeoisie typée, trempent, d'une dérive à l'autre, dans les illusions du sexe et de la drogue, sur un fond de rock... Bret Easton Ellis peint une génération en négatif, en montrant les impasses des désirs, des urgences existentielles et des manques. Tout cela au moyen d'une écriture sobre, rapide et brute. La phraséologie de cette décennie contient à elle seule toute une micro-histoire. Une langue. " Patrick Amine, Art Press
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