Les Noisettes sauvages
Auteur
- Robert Sabatier (Écrivain)
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Classement en biblio - 109 lecteurs
extrait
Il vaut mieux que tu le saches : la mémé peut te surprendre. Elle ne fait pas la cajoleuse, oh non ! Là où d'autres sont de mie, elle est de croûte.
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vraiment un très bon roman, sur l'enfance, la famille, la vie pleine de bon sens à la campagne....
j'ai beaucoup aimé ces vacances d'Olivier près de son pépé et de sa mémé si particulière et de son jeune tonton Victor.
il y trouve une vraie famille pleine d'amour.
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Après avoir partager les joies et les peines d’Olivier rue Labat dans Les Allumettes sauvages, puis chez sa tante et son oncle dans Trois sucettes à la menthe, nous retrouvons notre attachant poulbot pour des vacances en Auvergne chez ses grand-parents.
J’ai retrouvé toute la poésie, la gentillesse, le style de Robert Sabatier. Un pur régale, cette lecture ! Un pur moment de bonheur !
Mais pour apprécier cette lecture autant que moi, il faut aussi aimer la campagne, les descriptions détaillées des paysages, s’intéresser aux noms des arbres, aux noms des fleurs, des animaux de la fermes… C’est un roman contemplatif me diriez-vous ? Pas que ! A travers Olivier, on découvre la vie, les mœurs des paysans dans les année 30 à Saugues à la porte du Gévaudan.
L’intéressant est aussi de voir grandir Oliver, de le voir s’épanouir. Lui, le petit orphelin solitaire s’ouvre enfin à travers la bienveillance de sa mémé et de son pépé, à travers la complicité de son jeune tonton Victor… Je n’ai pu que m’attendrir à tous ses jeux d’enfance avec Mondillon, le nouvel ami d’Olivier. Attendrissant aussi ses premiers émoi amoureux avec sa cousine Jeannette.
Bref, Olivier grandit, s’enrichit et devient « un escoulas », un membre de la famille, celui qui se sort de tout.
La peinture faite de Saugues et de la vie campagnarde, de ses grands-parents, cette découverte de la nature, l’apprentissage de cette chaleur, de l’amour familiale, des joies simples de la liberté m’ont procuré beaucoup d’émotion positives. Alors je ne peux que recommander aux petits, aux grands, à tous cette lecture.
Afficher en entierCommentaires récents
L'histoire est sympathique, agréable à lire, j'ai bien aimé même si ce n'est pas le livre de l'année
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Un roman qui entre en résonance avec mes souvenirs de vacances, avec la vie à la campagne et le "patois" ; la Corrèze de mon passé, ce n'est certes pas Saugues, mais c'est encore l'occitan et on se sent en terrain connu. Quel bonheur de retrouver ces expressions au goût d'enfance ! Et ces beaux portraits, notamment celui de la farouche grand-mère. Une aubaine inattendue.
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On retrouve Olivier, notre petit héros, pour la troisième fois, et avec toujours autant de plaisir
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Un roman sympathique et frais qui nous narre les vacances d'Olivier, à la campagne chez ses grands-parents. Il y découvre la vie simple des paysans, s'émerveille devant la richesse et la beauté des paysages et se fait de nouveaux amis...
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Après avoir partager les joies et les peines d’Olivier rue Labat dans Les Allumettes sauvages, puis chez sa tante et son oncle dans Trois sucettes à la menthe, nous retrouvons notre attachant poulbot pour des vacances en Auvergne chez ses grand-parents.
J’ai retrouvé toute la poésie, la gentillesse, le style de Robert Sabatier. Un pur régale, cette lecture ! Un pur moment de bonheur !
Mais pour apprécier cette lecture autant que moi, il faut aussi aimer la campagne, les descriptions détaillées des paysages, s’intéresser aux noms des arbres, aux noms des fleurs, des animaux de la fermes… C’est un roman contemplatif me diriez-vous ? Pas que ! A travers Olivier, on découvre la vie, les mœurs des paysans dans les année 30 à Saugues à la porte du Gévaudan.
L’intéressant est aussi de voir grandir Oliver, de le voir s’épanouir. Lui, le petit orphelin solitaire s’ouvre enfin à travers la bienveillance de sa mémé et de son pépé, à travers la complicité de son jeune tonton Victor… Je n’ai pu que m’attendrir à tous ses jeux d’enfance avec Mondillon, le nouvel ami d’Olivier. Attendrissant aussi ses premiers émoi amoureux avec sa cousine Jeannette.
Bref, Olivier grandit, s’enrichit et devient « un escoulas », un membre de la famille, celui qui se sort de tout.
La peinture faite de Saugues et de la vie campagnarde, de ses grands-parents, cette découverte de la nature, l’apprentissage de cette chaleur, de l’amour familiale, des joies simples de la liberté m’ont procuré beaucoup d’émotion positives. Alors je ne peux que recommander aux petits, aux grands, à tous cette lecture.
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suite du "roman d'Olivier" que j'ai moins apprécié que les précédents en raison de redondances. Sinon, le livre comporte de beaux passages (belle peinture de l'amour familial, belles scènes de vie à la campagne).
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Très belle histoire, qui apprend beaucoup de choses sur l'enfance, la nature tout ce que nous avons oublié nous au XXIème siècle. J'ai préféré les descriptions du village de Saugues, les repas en famille. J'ai moins apprécié les "cours" de Papa Gâteau.
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vraiment un très bon roman, sur l'enfance, la famille, la vie pleine de bon sens à la campagne....
j'ai beaucoup aimé ces vacances d'Olivier près de son pépé et de sa mémé si particulière et de son jeune tonton Victor.
il y trouve une vraie famille pleine d'amour.
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un roman d'été idéal, frais, distrayant, plein de nostalgie sur l'enfance, les vacances dans la Nature, les joies simples...
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Date de sortie
Les Noisettes sauvages
- France : 1985-04-01 - Poche (Français)
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Résumé
Olivier, le petit garçon des Allumettes suédoises et de Trois sucettes à la menthe, arrive à Saugues, porte du Gévaudan. Là, il rejoint les siens : le "pépé", maréchal-ferrant qui a ajouté à son noble métier les conquêtes du savoir ; la "mémé", ancienne fillette louée dès l'âge de six ans ; leur fils Victor, jeune hercule de village, qui prend l'enfant sous sa protection.
Dans ce pays grandiose, chaque instant d'Olivier lui apporte une découverte, un émerveillement. Des gestes comme ceux du ferrage, de la traite, des travaux de ferme, vus par ses yeux, prennent une signification nouvelle et intense.
Qui sont-ils ces paysans farouches, ces artisans appliqués, ces pâtres plein de mystérieuses connaissances ? Oliver les découvre dans leur existence réelle : que ce soit Chadès le coiffeur, Anglade le pâtissier, la sœur Clémentine, les cousines aux robes fleuries ou tout le peuple d'un étonnant village.
Et il y a les originaux, les innocents, les joyeux drilles. Et surtout le grand-père : le moindre objet pour lui devient prétexte à souvenirs, contes, évocations. Dans ce pays de la Bête du Gévaudan, avec ses légendes noires, ses processions de Pénitents, ses veillées, l'imagination du petit Poulbot s'enfièvre et c'est toute l'enfance qui apparaît à travers lui.
Il fa aux écrevisses, suit la fanfare, assiste à la tuée du cochon, garde les vaches, aide à ferrer, apprend lou patouès, participe à la tribu, à la fête. Des scènes comme la dernière bourrée du grand-père infirme, les promenades avec Papa-gâteau qui fait revivre l'épopée gauloise et cent autres, sans cesse émeuvent, amusent et charment.
Dans les noisettes sauvages, Robert Sabatier a mis toute la tendresse qu'il porte en lui. Rarement nature et enfance sont apparus dans une telle luminosité. Tantôt drôle, joyeux, vivifiant comme l'air des montagne, tantôt émouvant, oignant, pathétique, ce roman si riche de faits vrais offre une rare fraîcheur, une délicieuse poésie. On ne pouvait souhaiter un plus haut couronnement à la trilogie d'enfance commencée avec les Allumettes suédoises.
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