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Les premiers lecteurs d'« Alcools » (1913), qui faillit s'intituler « Eau-de-vie », furent déconcertés par l'enivrante variété, la liberté et les facettes discordantes de ce recueil exempt de ponctuation, contemporain de l'invention du cubisme et qui s'achève par cette supplication : « Hommes de l'avenir souvenez-vous de moi. » Vers libres ou quatrains réguliers, longues ballades et brèves complaintes, érudition et trivialité, fantaisie et gravité, vieilles légendes et modernisme s'y entrechoquent dans un chaos simultanéiste. En témoignent surtout « Zone », « Cortège » et « Vendémiaire », qui signent l'entrée de la poésie dans le siècle des villes et des machines.
N'étant pas grand amateur de poésie, j'ai été surpris par la manière dont ce receuil a réussi à m'entraîner, malgré quelques poèmes énigmatiques que je n'ai pas pu saisir. De temps en temps on rencontre des fragments que l'on a déjà entendus, parfois même associés à des souvenirs. Le bestiaire qui se trouve a la fin de mon édition est quant à lui très parlant, en dépit de la brièveté des poèmes.
Dans "Alcools", Apollinaire oscille entre continuités et ruptures. Ainsi, l'ouvrage, publié en 1913, reprend-il malgré tout de nombreux topos littéraires du siècle précédent (engagement et révolte, admiration des femmes, de la nature et de la nuit dans un cadre très romantique). D'un autre côté, on retrouve de nombreuses idées innovantes, et plus adaptées à l'époque de cet ouvrage. On penche vers le Surréalisme tout en gardant des traditions romantiques et symboliques.
Apollinaire a une très belle plume que je trouve accessible, contrairement à celle de certains poètes (Baudelaire, Rimbaud dans les "Illuminations"...), dont l'écriture est plus lourde et difficilement décryptable. Il est innovant dans sa manière d'écrire, puisque la plupart des poèmes ont un nombre de syllabes asymétrique, une versification inédite et, plus surprenant encore, aucun signe de ponctuation. Petit bémol pour ce dernier point : la lecture s'en trouve légèrement alourdie, et il est plus compliqué de comprendre la syntaxe du poète.
Certaines de ces poésies sont moins intéressantes que d'autres, mais je garderai un très bon souvenir de quelques-unes qui m'ont marqué !
Je vous conseille de découvrir ce recueil de poèmes, il vaut bien un détour !
J’ai toujours dit que je n’aimais pas la poésie. Je trouvais ça très ennuyeux à lire et souvent incompréhensible. J’ai acheté "Alcools" pour le bac de français, en tant que lecture cursive. Évidemment je ne l’ai pas lu. Mais cependant, vu que j’avais, contre toute attente, aimé "Les cahiers de Douai" de Rimbaud, j’ai pensé qu’il serait interessant de lire du Apollinaire qui semblait assez similaire.
Et j’ai bien fait. Je ne m’attendais pas à ce que ça me parle autant. C’est pourquoi je le place en argent, car ce livre m’a tout simplement donné le goût de la poésie!
Bien sûr je n’ai pas aimé tous les poèmes, mais je me suis même reconnu en Apollinaire dans la plupart d’entres eux. Je le relirais avec plaisir et suis curieuse de découvrir de nouveaux poètes!
J'avais adoré Les fleurs du Mal de C. Baudelaire, que j'ai lu pour le bac il y a quelques années. Alors par curiosité, j'ai souhaité lire les poèmes de G. Apollinaire. Si je n'ai pas vraiment apprécié la première partie de Alcools, J'ai nettement préféré le bestiaire et la dernière partie. Peut être que je ne suis pas assez sensible à la poésie pour comprendre et apprécier réellement les poèmes de la première partie.
"Alcools" (1913) de Guillaume Apollinaire est un recueil de poésie qui a initialement surpris ses premiers lecteurs par sa diversité et sa liberté. Dépourvu de ponctuation, ce recueil, contemporain de l'émergence du cubisme, offre une palette riche et éclectique de styles et de thèmes. Des vers libres aux quatrains réguliers, des ballades longues aux complaintes brèves, Apollinaire mêle érudition et trivialité, fantaisie et gravité, anciennes légendes et modernisme. Des poèmes comme "Zone", "Cortège" et "Vendémiaire" témoignent de cette exploration de la vie urbaine et de l'ère industrielle naissante. "Alcools" représente ainsi un mélange captivant de tradition et d'innovation dans la poésie du début du XXe siècle.
J'ai eu beaucoup de mal a lire... Aucune ponctuation, pas de virgules, un rythme souvent étranges... (est-ce que ça viens de mon édition ?) Ça a rendu la lecture et la compréhension très difficile. S'ajoute à ça beaucoup de noms propres, et au final, rien n'est plus flou ! Malgré tout quelques phrases ou morceaux de poésie joliment tournée, mais pas suffisant pour me satisfaire !
Après avoir entendu de nombreuses fois parler d'Apollinaire, je voulais essayer de lire ses poèmes afin de savoir s'ils pouvaient me plaire. Moi qui ai fait un bac littéraire et qui écris de la poésie depuis mes dix ans, je me suis rendue compte que je n'avais presque jamais lu de la poésie à part sur Wattpad. Il fallait changer ça ! 😱
Globalement, j'ai bien aimé ce recueil de poésie. Certains vers sont vraiment empreints d'une beauté, d'un écho qui a raisonné en moi. Malheureusement, le langage d'une autre époque un peu trop soutenu m'a empêché d'en apprécier toute la singularité. Heureusement que le lexique était là à la fin pour m'aider ! Je ne pense pas que je lirai un autre recueil de cet auteur. 🫤
✨✨✨
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Résumé
Les premiers lecteurs d'« Alcools » (1913), qui faillit s'intituler « Eau-de-vie », furent déconcertés par l'enivrante variété, la liberté et les facettes discordantes de ce recueil exempt de ponctuation, contemporain de l'invention du cubisme et qui s'achève par cette supplication : « Hommes de l'avenir souvenez-vous de moi. » Vers libres ou quatrains réguliers, longues ballades et brèves complaintes, érudition et trivialité, fantaisie et gravité, vieilles légendes et modernisme s'y entrechoquent dans un chaos simultanéiste. En témoignent surtout « Zone », « Cortège » et « Vendémiaire », qui signent l'entrée de la poésie dans le siècle des villes et des machines.
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