Commentaires de livres faits par Pompon
Extraits de livres par Pompon
Commentaires de livres appréciés par Pompon
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Le dernier opus de cette fantastique saga donne une conclusion, et finit en apothéose! J'ai tout simplement adoré retrouver Patch et Nora, ainsi que leur histoire d'amour plus dangereuse que jamais! Car voilà Nora à la tête de l'armée des néphilims, ennemis jurés des déchus, et donc de celui qu'elle aime! Actions, émotions et retournements de situation sont au rendez-vous dans ce dernier tome, avec des répliques de Patch toujours plus croustillantes, et des réparties de Nora toujours bien dosées!
Des imprévus et des révélations s'y font aussi,
Ravie, et en même temps triste de finir cette fantastique saga. Tout ce que j'ai à dire, c'est à ceux qui ne l'ont pas encore lu: jetez-vous dessus, car elle en vaut vraiment la peine!
J'ai trouvé l'écriture de Rachel Ward bâclée. Or, il y a une chose qui compte pour moi quand je lis un livre, c'est l'écriture. C'était presque insupportable de devoir lire le langage très familier de Jem, et ces vulgarités à chaque pages. Il s'agit du gros point faible du livre.
Sinon, l'histoire elle aussi m'a un peu déçue. Je l'ai trouvé trop longue pour une simple intrigue: deux ados prennent la fuite après une explosion. On ne parle pratiquement que de la cavale de Jem et Spider, et l'action n'est pas vraiment au rendez-vous, contre toutes mes attentes.
Sinon, la chose qui sauve le roman, c'est la personnalité torturée des deux personnages. J'ai trouvé leur histoire d'amour touchante, bien que assez évidente. La fin du livre m'a complètement retournée, c'est d'ailleurs en partie grâce à elle que je ne classe pas Intuitions en Bronze mais en Argent.
Lecture sans plus, mais j'en reste tout de même déçue car ce livre possédait vraiment un potentiel. Dommage.
D'abord plongée dans les pensées tortueuses de Juliette dès le début du moment, j'ai beaucoup apprécié le style " rature " de l'auteure: cela m'a donné l'impression d'être présente dans la tête de Juliette. La personnalité des personnages est aussi un point fort de ce roman: Juliette, une héroïne tourmentée et même folle, bien que sa folie s'apaise au cours de la lecture; et (bien sûr) Warner, le personnages le plus énigmatique et mystérieux présent au cours de l'histoire.
Pour en venir à l'intrigue, je l'ai trouvée bien faite, originale, mais elle mériterait d'être plus développer. La dystopie présentée n'est pas assez décrite à mon goût pour être complètement immiscé dans l'atmosphère et le décors du roman. Le don de Juliette est néanmoins intéressant, tout comme le personnage. La première partie du livre est excellente, mais je trouve personnellement que la seconde baisse d'un cran. Je n'aime pas spécialement Adam: d'accord ses sentiments envers Juliette semblent sincères, mais j'ai trouvé sa personnalité moins riches que celle de Warner par exemple.
Sinon, je dois avouer que je ressors plutôt satisfaite de cette lecture, bien que mes attentes fussent un peu au-dessus du roman. "Insaisissable" reste tout de même une agréable série, que je vais continuer à lire car j'aimerai bien savoir le fin mot de l'histoire.
J'ai trouvé cet univers original, l'humour est un peu enfantin mais on se laisse vite emporter, redevenant ainsi un gnome de notre enfance. Les dessins sont vraiment trop mignons, les cochons et les pétaures font partis de mes dessins préférés de cette BD.
Enfin bref, inutile de dire que je m'étais complètement trompée. J'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre: Elena est une héroïne ( très ) tourmentée et intelligente. J'aime vraiment beaucoup ce personnage: elle est en combat constant avec ses démons intérieurs (
Pour en revenir à l'histoire, je l'ai trouvée vraiment bien tournée: la dystopie mise en scène est très agréable à lire, et l'ambiance assez froide palpable dans tout le roman donne un certain cran à l'histoire. Le thème tourne autour des poisons, et ce que je trouve particulièrement intéressant, c'est que dans la manière qu'écrit l'auteure, on est comme " empoisonné " dans le récit...
Néanmoins, j'ai trouvé certains personnages importants avec une vraie personnalité, mais aussi d'autres assez plat: Valek ne m'a pas semblé si fascinant, [spoiler]son histoire d'amour avec Elena est assez évidente, j'en ai d'ailleurs été un peu déçue je l'avoue.
Enfin bref, un très beau livre que je sus ravie d'avoir lu. Je remercie l'amie qui me l'a présenté ( et elle se reconnaîtra de nouveau, eh oui ).
Je tiens d'abord à décerner la palme de la couverture la plus moche à Gallimard, parce que franchement, j'ai rarement vu une couverture aussi ratée pour un livre qui pourtant, en mérite une bien mieux.
Passons au contenu du livre. J'ai eu pas mal de difficultés à rentrer dans le récit: je me trouvais un peu perdue dans l'univers de l'auteur, et avait du mal à cerner les personnages. La seule chose qui m'a fait continuer ma lecture, ce fut la plume de Laini Taylor. On m'avait déjà dit que cette auteure écrivait bien, mais là, je m'en suis aperçue moi même, et ça m'a fait un sacré choc. Elle a une manière particulière de décrire les sentiments, toujours avec beaucoup de délicatesse et de poésie... bref, un régal.
Si je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire au début, j'ai néanmoins commencé à beaucoup l'apprécier au bout de 150 pages. A partir de là, impossible de lâcher le livre. J'ai adoré la fin, que je trouve presque parfaite ( une révélation en quelques lignes ), et je me demande bien de quoi sera fait le deuxième tome.
En résumé, " Fille des chimères " est une lecture très agréable, presque un coup de coeur, bien que l'histoire soit assez complexe et les personnages difficiles à cerner... très beau livre.
Mais Fablehaven reste tout de même une lecture agréable, pour faire passer le temps. J'aime particulièrement Seth et son côté assez obscur avec la magie contrairement à Kendra. En résumé, un agréable moment.
Un livre ayant pour thème le Lebensborn ne peut déjà qu'être violent. Mais là, la violence est telle que je tremblais en lisant, lâchant le livre sous le coup de l'effroi, ou refusant de l'ouvrir tout simplement, ayant peur de se que j'allais trouver à chaque page. C'est d'ailleurs en partie pour cela que j'ai adoré Max. Fini les livres sur la déportation durant la Seconde Guerre Mondiale, pourquoi ne pas parler des enfants du côté nazi? C'est ainsi qu'on suit le trajet de Max ( ou Konrad, bien que je trouve plus logique de l'appeler Max ), un enfant issu du programme Lebesborn. Né sans amour. Sans Loi. Sans Dieu. Un trajet assez horrifiant avec le recul, et terrifiant. Je ne parlerais pas plus de l'histoire sur le nazisme, qui m'a une nouvelle fois pas mal torturé l'esprit, mais de celle d'un enfant ( ou plutôt un prototype aryen dans ce cas, car je n'ai rien trouvé de puérile dans Max ), qui va suivre un parcours pour honorer son Fürher. Je reconnais que l'histoire et excellente, et très bien documentée. On se rend compte de l'horreur de la guerre et la montée du nazisme, dans une torpeur d'écriture.
Mais passons à cette autre face de Max que je n'ai pas réellement su apprécier. Déjà, j'ai trouvé l'écriture de l'auteure... assez osée, on va dire. J'avais déjà lu des livres sur cette période historique, eux aussi conseillés pour des lecteurs confirmés, mais il y a quelque chose que je n'ai vraiment pas su " capter " dans Max. C'est cette violence dans le texte. Je n'avais pas ressenti ça depuis bien longtemps. Le monde qu'on nous décrit est terrible, mais pourquoi donc l'écriture de l'auteure est-elle aussi dure et rude? D'accord, l'histoire est racontée par un nazillon qui a foi dans le Reich, mais le style d'écriture m'a quelque peu dérangé.
Sinon, pour en venir aux personnages, malgré moi, je les ai tous plus ou moins trouvés attachants. Max m'a par contre terrifié: il est né dans la haine, ne sait recevoir une once d'amour. La première partie du livre m'a pas mal dégoûté du personnage principal. Mais quand celui-ci rencontre Lukas, le voilà qui change: de son prototype parfait d'aryen, plus robot que humain, il s' "humanise" tout d'un coup, et on ressent de la sympathie en son égard. Je ne ferais pas le portrait des autres personnages, bien que certains aient pu me toucher.
Enfin, Max est un livre qui m'a dérouté. D'un côté j'ai adoré: un point de vue peu exploité d'une époque historique pourtant très connue. Mais un style dérangeant et une mise en forme quelque peu gênante. Comme le dit si bien le résumé: " une lecture dont on ne sort pas indemne ".
Cette pièce est la tragédie amoureuse par excellence. Les dialogues et monologues de Shakespeare sont d'une élégance, et sa mise en scène d'un génie. J'ai été happée par l'histoire d'amour tragique, parfois parsemée de touches de comique, qui m'ont emportées dans cette histoire basée sur la haine. Moi qui ne connaissait pas la vraie fin, j'ai versé quelques larmes, comme beaucoup d'autres.
A avoir lu au moins une fois dans sa vie.
L'ambiance est beaucoup plus noire dans ce deuxième tome, et l'histoire mieux racontée mais toujours un peu bâclée dans l'écriture ( les " j'me", "j'ne" sont juste insupportables après quelques pages tournées. On met en scène des ados, OK, mais écrivez normalement, L.J ).
Bon, sinon, globalement pas mal, si on oublie le personnage principale et son grand amour qui sont FOLLEMENT épris l'un de l'autre sans pouvoir le dévoiler... nian nian à tout bout de champs.
Je me suis ennuyée comme pas possible avec cette histoire d'amour nunuche à tout bout de champs, avec cette pseudo-héroïne qui ne sait rien faire de ses quatre membres, et de ses personnages tous plus inutiles que les autres.
Heureusement, l'originalité de L.J Smith rattrape le niveau, et que certains retournements de situation sont réjouissants. Mais sinon, je n'ai vraiment pas cru en Adam ou Cassie ( le grand amour en un regard? Epargnez-nous les clichés, je vous en prie ).
Déçue, déçue.
Très bon moment, j'espère pouvoir lire les prochains tomes prochainement.
Franchement, je ne peux que tirer la révérence devant Marissa Meyer. Elle s'est surpassée pour se deuxième tome tout simplement éblouissant. Tout d'abord le personnage de Scarlet et vraiment très attachant. J'ai vraiment apprécié d'avoir son point de vue. Elle et Loup sont les personnages les plus intéressants du livres.
Après, retrouver Cinder a été un véritable bonheur. J'adore ce personnage, toujours avec ses sarcasmes et son sérieux continuel. Thorne est un personnage assez creux, mais je dois avouer que ses dialogues avec Cinder sont assez drôles, tout comme le personnage.
L'auteure ne laisse pas de répit au lecteur, et les actions s'enchaînent avec une dose de suspense parfaitement bien maîtrisée. La romance est palpable sans être vraiment démonstrative, ce qui ajouté du piquant à l'histoire. Je suis aussi satisfaite de fait que l'auteure ne privilégie pas les interactions de Kai et de la reine Levana, qui dans le premier tome, étaient souvent répétitives.
Enfin, un très gros coup de coeur, de la science-fiction à volonté ( le fossé entre Star Wars et les contes n'est pas si écarté ) et une histoire sublime ( je ne trouve pas d'autres mot ), que dire de plus? Ce livre amène du rêve, comme je l'espère, la suite de cette fantastique série.
Pour un classique de la littérature, Le Tour du Monde en 80 jours n'est pas difficile à lire, le style de Jules Verne est tout à fait accessible, et les personnages sont toujours en actions. Un agréable moment.
WAOUH.
Oui, WAOUH parce que je n'ai pas pu lâcher le livre avant une heure du matin.
WAOUH parce que l'émotion palpable dans le livre m'a fait vibrer, parce que Clary et Jace m'ont touché. Car leur amour interdit et difficile est composé d'étapes et d'épreuves.
WAOUH pour l'évolution des personnages secondaires, qui ont tous leur importance. Le liens fraternels et l'amitié les soudent les uns les autres.
WAOUH pour le suspense qui m'a tenu en haleine, qui m'a empêché de fermer l'oeil dans la nuit.
... WAOUH tout simplement pour ce livre, cette merveille, une nouvelle fois signée par Cassandra Clare.
Vivement la suite.
L'histoire et le concept est originale: la famille mafieuse est tout droite dans la lignée de celle du Parrain, et la science-fiction proposée est rafraîchissante. Anya est même un personnage intéressant avec sa situation familiale et sociale. Mais, j'ai trouvé Win niais, Scarlet assez surfaite, et certains personnages sont même inutiles. Je m'attendais à une histoire d'amour passionnée et difficile, je me suis trompée: elle est assez plate, niaise, et tourne toujours autour du même sujet.
Sinon, je dois avouer que le thème est assez intéressant, mais malheureusement, n'est pas un coup de coeur. Dommage, parce que ce livre a un vrai potentiel. Reste tout de même à tenter.
Je vais commencer de ce pas pour m'en assurer...
J'avais adoré son premier livre, et me suis dis " 1950? La Nouvelle-Orléans? Maison close? Pourquoi pas! ".
C'est déjà avec un grand bonheur que j'ai retrouvé l'écriture et le style de Ruta Sepetys, celui qui m'avait tant ému dans " Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre ". L'intrigue du livre n'est pas sensationelle, mais il y a les personnages, que l'auteure rend tous absolument attachant ( excepté Mr Lockwell, et la mère de Josie ). Josie est une héroïne forte et intelligente, elle m'a un peu rappelée Lina. Le " triangle amoureux " n'est pas tout le temps présent, mais Jesse et Patrick sont tous deux des personnages très attachants, même si le filles de la maison close ainsi que Willie restent dans mon palmarès.
J'aime beaucoup les petites références littéraires... " Gatsby ou Darcy?". Pour moi, ce sera sans hésiter: Big Easy!
Une fin en apothéose, ne vous attendez surtout pas à un happy-end, avec une fin parfaite pour un livre parfait et une saga parfaite... Hunger Games restera pour moi un immense coup de coeur...
Joyeux Hunger Games! Puisse le sort vous être favorable...
Eh bien, même partie à l'aveuglette, j'ai tout simplement été passionné par l'univers unique crée par Suzanne Collins. Ce livre est tout simplement renversant, choquant mais il n'en reste pas moins passionnant! Un petit bijou, qui m'a pétrifiée de stupeur, mais qui m'a aussi fait vivre une aventure merveilleuse avec des personnages très bien construits. J'adore.
Tout au long de ma lecture, je n'ai pas pu lâcher la série The Agency des mains. J'aime toujours autant cette idée d'agents secrets féminins, et les intrigues toujours bien ficelées.
Dans ce troisième tome, nous avons affaire un des vols d'objets dans le salon de la reine Victoria. Même si l'intrigue même de l'histoire ne semble pas passionnante, on se rendra compte qu'elle est en fait beaucoup plus complexe et que l'histoire sera surtout fondée sur Mary, car la jeune fille aura enfin des nouvelles de son père prétendu mort en mer... Bien entendu, les chemins de la jeune agente et de l'arrogant James Easton ( qui a recouvré son charme et sa classe habituelle de gentlemen/tête-à-claques une nouvelle fois ) se croiseront et leur relation sera plus croustillante que jamais...
Enfin, excellent tome qui révèle une excellente série historique/policière. Je crois bien qu'un tome 4 est prévu ( d'après le site de l'auteure ), mais aucune idée si le projet sera concrétisé... The Agency restera tout de même dans mes coups de coeurs.
L'intérêt ( et le génie ) de ce deuxième tome vient sûrement de la relation Mary/James:
Enfin, nouveau coup de coeur pour cette série littéraire parfaitement retranscrite et bien écrite avec des personnages attachants. Hâte de voir la suite ( avec une fin pareille... je croise les doigts! )
J'ai adoré retrouver Clary et Jace, et leur histoire d'amour impossible, terriblement frustrante pour le lecteur. Je trouve la personnalité des personnages toujours aussi bien retranscrite et l'histoire toujours débordante d'originalité! On assiste à de nombreuses révélations qui m'ont toutes coupées le souffle, et je ne peux que tirer ma révérence devant Cassandra Clare qui a su manier avec brio le début et la fin de ce livre, qui se devait être à la hauteur des ouvrages précédents.
Enfin, toujours aussi captivée et enthousiasmée par cette saga extraordinaire, qui se renouvelle à chaque tome et nous emporte dans un univers hors du commun! Hâte de découvrir le prochain, et quelles surprises me réserve Cassandra Clare!