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Commentaires de livres faits par Sheo

Extraits de livres par Sheo

Commentaires de livres appréciés par Sheo

Extraits de livres appréciés par Sheo

date : 11-02-2017
«Time does not heal all wounds, no matter how many drugstore sympathy cards hastily scrawled by distant relatives promise this to be true.»

Avant de commencer ce roman, j'hésitais entre un bon paquet de bouquins. Alors j'ai fait un tirage au sort. (Ouais, je sais, ça paraît carrément con.) Et c'est Tell Me Three Things qui a remporté la partie.

Je l'ai lu pratiquement d'une traite. Pratiquement parce que quand j'ai regardé l'heure et que j'ai vu qu'il était déjà presque quatre heures du matin, je me suis forcée à poser le bouquin pour aller dormir un peu. Et aujourd'hui, dès que j'ai eu le temps, je l'ai terminé.
Et me voici!

Je suis tombée amoureuse de l'histoire. Et bien que j'ai rapidement deviné qui était vraiment SN, l'auteure a tout-de-même réussi à me faire douter à quelques occasions.

C'est une romance, bien-sûr. Une romance mignonne qui m'aurait presque donné envie de tout casser parce que ce genre de choses marche rarement dans la vraie vie.
Mais c'est une romance que j'ai beaucoup aimé. Parce que j'aime bien faire comme si j'avais un cœur de pierre. Mais dans ce genre de moments, mon cœur c'est plus de la guimauve que de la pierre.

Et j'ai bien aimé les personnages. Autant les principaux que les secondaires. Je les ai trouvé attachants malgré le fait qu'ils n'aient rien de vraiment original.
Je suis tombée amoureuse d'Ethan. Et je suis tombée amoureuse du mystérieux SN.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Glade, Ethan est SN et SN est Ethan. Sinon j'aurais clairement pété un câble.

Et Jessie m'a fortement plu. Parce que Julie Buxbaum a su la garder simple sans qu'elle ne soit fade et inintéressante. Et parfois c'est pas plus mal de faire dans la simplicité.

La plume de Julie Buxbaum n'est peut-être pas extraordinaire mais elle est fluide et elle m'a permis de me lancer dans l'histoire sans difficulté. En plus, c'était une histoire addictive, donc j'ai pas à me plaindre.

Bref, c'était une lecture mignonne en l'honneur de la St. Valentin.

J'avoue que je n'ai pas grand-chose d'autre à dire sur Tell Me Three Things. Sauf que (1) Je l'ai aimé. (2) Je le recommande. (3) Je pense que les fans de "Moi, Simon 16 homo sapiens" pourraient apprécier cette lecture. :)

«Come to think of it, I don't want to be my friend either.»
Avez vous apprécié ce commentaire ? +2
date : 07-02-2017
«Books, bringing people together»

En tant que fangirl et bookworm, By Your Side c'est un peu mon rêve le plus fou. Sérieusement, vous n'avez jamais rêvé d'être coincé dans une bibliothèque immense avec quelqu'un d'un minimum attirant?
Du coup, forcément, c'est pas comme si j'allais passer à côté de ce livre.

Ces derniers temps j'avais absolument tout sauf envie de lire une romance. Et puis, je me suis dit que le mois de Février accueillant le jour de la Saint Valentin, j'allais devoir faire un petit effort.
Eh bien avec By Your Side, c'était un effort très plaisant. À la seconde où je l'ai commencé, je ne pouvais plus et je ne voulais plus le lâcher. Je voulais encore moins que ça se termine mais bon, ça c'est une autre histoire.
J'ai adoré.

Je n'avais encore jamais lu de roman écrit par Kasie West. Mais maintenant, je serais curieuse d'en découvrir d'autres.
J'ai beaucoup aimé sa plume simple et fluide qui m'a permis de me plonger dans l'histoire sans aucune difficulté et qui réussit à bien faire ressortir les émotions des personnages.

En parlant de personnages, je les ai adoré! Autumn est très attachante. Et Dax, mon dieu, il est à tomber. J'ai beaucoup aimé son calme à côté de l'anxiété d'Autumn. Tous les deux s'accordent plutôt bien, si vous voulez mon avis.
Quant aux personnages secondaires, eux aussi je les ai beaucoup aimé. Généralement dans les romances contemporaines, je ne suis pas la plus grande fan qui soit des amis des personnages mais là, je ne sais pas vraiment pourquoi, je me suis attachée à ce groupe de potes. Tant mieux, du coup.

Pour revenir sur l'histoire, elle est simple et ce n'est pas d'une originalité de malade dans la longue liste des romances contemporaines mais comme je l'ai dit plus haut, mon rêve le plus fou est de rester coincée dans une bibliothèque avec un mec craquant alors je ne pouvais qu'adhérer!

Ce fut donc une victoire pour ma lecture en l'honneur de la Saint Valentin (que je maudis pourtant chaque année) et une romance que je recommande chaudement. Parce que c'est tout mignon et addictif et qu'on ne peut s'empêcher de tomber amoureux avec Dax et Autumn.

La prochaine fois que je voudrais lire une romance qui vaut le coup d'être lue, c'est officiel, je me tournerais vers Kasie West! Je suis ravie d'avoir eu l'occasion de découvrir cette auteure. Depuis le temps que j'en entendais parler, maintenant je comprends pourquoi tant d'engouement autour d'elle!

«Possibilities are exciting and endless.»
Avez vous apprécié ce commentaire ? +5
date : 05-02-2017
«I am the Reaper and death is my shadow.»

(Je n'ai pas écrit de commentaire depuis deux semaines. Ce qui ne m'était encore jamais arrivé, je crois. Alors je mets la nullité de ma review sur ce fait. ^^)

L'une de mes résolutions de 2017 -au niveau livresque, on s'entend- était de faire quelques relectures. Et Red Rising est le premier roman que je tenais à tout prix à relire cette année.

Je ne regrette pas de l'avoir fait. Déjà parce que j'en avais un très bon souvenir et ensuite parce qu'en le relisant, j'ai réalisé que je l'aimais encore plus que la première fois.

Sincèrement, Pierce Brown a écrit un excellent roman. Avec un univers complet et complexe. Avec des personnages très bien construits auxquels on finit, mine de rien, par s'attacher.
Il a écrit une histoire addictive et entraînante que je n'ai pas pu lâcher, une seconde fois, avant de l'avoir terminé.

Je suis toujours aussi fan du personnage de Darrow. Sérieusement. Ce gars m'inspire quelque chose que je ne peux pas expliquer.
Bien-sûr, il y a aussi les autres personnages. Mes préférés restent Mustang et Sevro (le déjanté) mais j'aime beaucoup les autres aussi. Tel que Pax.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Vraiment dommage qu'il meurt.


Sachez que Red Rising n'est pas un roman d'amour. Mais le soupçon auquel on a le droit est bien placé dans l'histoire. Je répète, le soupçon. ;)
C'est pas mon élément favoris mais l'auteur a très bien su l'amener tout naturellement dans l'histoire et sans que ça étouffe l'intrigue.

La plume de Pierce Brown met vraiment bien les actions en scène et c'est quelque chose que j'ai beaucoup apprécié. Encore une fois. Il parvient bien à nous faire entrer dans la peau des personnages et de ressentir leurs émotions. Et ça, c'est quelque chose que je serais incapable de ne pas aimer chez un auteur.
J'aime aussi le fait que les personnages ne soient pas délicats. Je veux dire, ils ont parfois (souvent) des paroles assez crues et j'ai aimé ça. Pas parce que je suis quelqu'un de vulgaire (non, je ne le suis pas) mais parce que c'est assez rare en vérité et que ça fait du bien! J'ai l'impression de me défouler sans rien avoir à faire. Un truc dans le genre.

Bref, tout ça pour dire que Red Rising est une relecture certes, mais j'ai eu l'impression de redécouvrir l'histoire comme si c'était la première fois et ça m'a énormément plu. C'est aussi un roman que je recommande (peut-être à éviter aux âmes sensibles, cela dit?). Et maintenant, je suis prête à me lancer dans Golden Son la tête la première dès que possible (pourvu que ça arrive rapidement!).

«Break the chains, my love.»
Avez vous apprécié ce commentaire ? +1
«Honor has no place in survival.»

D'habitude, j'écris mon commentaire sur un livre dès que je l'ai terminé. Mais pour Carve the Mark (jamais je ne dirais le titre français je trouve que ça sonne bizarrement), j'ai hésité pendant plusieurs jours avant de me décider à finalement dévoiler mon avis sur ce roman.

Je tiens à préciser que ce commentaire risque grandement de ressembler à un brouillon. Je suis comme ça quand mon cerveau s'emballe et que j'ai trop d'idées pour prendre le temps de tout faire correctement sans prendre le risque d'en perdre une.
Même ça c'était brouillon, tiens.

Pour ceux qui ne le savent pas, il y a une polémique autour de ce livre. Effectivement, de nombreuses personnes ont trouvé le fait que le peuple Shotet vu comme les sauvages et les méchants de l'histoire ne soit pas très pâles comme étant quelque-peu raciste.
Ouais. Alors, pour ma part, j'ai parfois du mal à me souvenir de la couleur de cheveux d'un personnage alors me souvenir de sa couleur de peau, c'est le même problème. Je n'y prête pas plus attention que ça sauf si c'est un élément important de l'histoire. Et dans le cas de Carve the Mark, c'est plus un détail qu'autre chose. En plus, ils ne sont pas tous mates de peau donc...
Je trouve ça dommage qu'on condamne un livre pour un détail comme celui-ci. Nous sommes en 2017. Oui, le temps passe vite. Bien que le racisme soit un problème toujours existant (je le sais parfaitement puisqu'il y a peu encore je faisais un travail là-dessus), je crois que nous sommes assez évolués pour faire la différence entre un acte raciste et un simple détail sans réelle importance.
Selon moi, je crois qu'il faut aussi tenir compte que c'est un livre, une fiction pure. L'histoire se déroule carrément dans une autre galaxie!
D'ailleurs, si on commence à trouver un aspect de ce livre insultant, on peut en trouver d'autres et dans tous les livres publiés à ce jour. Peut-être que demain des astronomes vont se pointer pour faire une scène parce que la galaxie dans ce livre n'existe pas et que certains aspects du monde de Carve the Mark ne correspondent pas à ce que la nature est capable de créer dans de telles conditions blablabla et qu'ils vont prendre ça comme une insulte à leur métier? Ou peut-être que quelqu'un va se dire que le fait que Cyra soit brune est un manque de respect envers les blondes?
C'est peut-être un peu exagéré mais ce que je veux dire c'est qu'à partir de là, on peut aller partout.
Des méchants à la peau sombre désignés comme des sauvages? Je veux bien comprendre que ça puisse en blesser certains vu comme ça. Mais je pense aussi que c'est bête de se laisser vexer par ça. Parce que ça n'a rien de raciste dans le contexte de Carve the Mark. Je pense que le choix de l'auteure par rapport à la couleur de peau des Shotet s'est basée sur le fait qu'à l'origine ce sont des nomades qui ont des racines un peu partout ce qui a créé une certaine mixité. Et si ça peut vous aider à vous sentir mieux, ils ne sont même pas méchants ni sauvages. Ils ont des croyances et des rites intéressants selon moi et ils sont vus ainsi parce que comme tout le monde ils ont des ennemis et ceux-là ne vont certainement pas aller nous dire "Ils sont beaux avec leur peau sombre et leur côté aventurier, vive les Shotet!"
Sinon, les lecteurs pourraient aussi se sentir blessés par le fait que les Thuvhésit sont pâles et pacifiques et qu'ils sont littéralement des faibles et des mauviettes aux yeux des Shotet. Le monde n'est rose d'aucun côté. Donc, je ne pense pas qu'on puisse parler de racisme.
Aussi faut prendre en compte que les Shotet sont définis comme des sauvages aux yeux de leurs ennemis (qui ne vont certainement pas parler d'eux avec des mots doux) parce qu'ils ont débarqués de nulle part et ils se sont installés sur la planète des Thuvhésit sans avoir la moindre envie de changer ce qu'ils étaient aka leurs croyances et de s'intégrer au peuple de Thuvhé.
Pour en revenir aux mots doux, puisque certains trouvent ça insultant que les Shotet soient vu comme des brutes par les Thuvhésit. Quand vous avez des ennemis, ou simplement des personnes que vous n'aimez pas, rassurez-moi vous les insulter un minimum quand-même? Sinon la définition du mot ennemi est quand-même mal interprétée. AH aussi, si jamais Veronica Roth avait écrit un roman où les ennemis ne sont pas vraiment méchants les uns envers les autres, il y en auraient probablement qui auraient fait la remarque alors au bout d'un moment, faut savoir ce qu'on veut.^^
Au-delà de ça, des tas de personnes ont aimées Divergente et pourtant on aurait pu trouver insultant le fait que par exemple les Fraternels ont l'air de gars qui ont échangés leur cerveau contre une salade. Pourquoi aucune personne étant pacifique, végétarienne ou quoi que ce soit dans le genre n'a pas trouvé ça insultant? Comme je vous disais plus haut, on peut trouver des choses insultantes dans des tas de livres si on cherche à se faire insulter. Autrement, on peut juste apprécier une histoire à sa juste valeur sans se prendre la tête avec un détail qui n'a aucune portée sur l'histoire en elle-même. Personnellement, je lis pour le plaisir et pas pour trouver des défauts à chaque phrase.
Pour finir, s'il y avait eu un véritable problème de racisme ou quel qu’il soit avec ce roman, je doute que les maisons d'éditions auraient acceptées de l'éditer. Et puis sérieux, Veronica a une réputation à tenir après le succès de Divergent! ;)
Au final, Veronica Roth a juste voulu nous montrer différentes cultures, différents peuples et fallait bien qu'il y ait un méchant sinon ça n'aurait eu aucun sens, fallait bien qu'ils soient différents pour être nommés 'différents peuples' et dans le cas du méchant, il fallait bien qu'il appartienne au peuple le moins compris et accepté de leur galaxie sinon ça n'aurait eu aucun sens. Et je le rappelle, étant sans origine précise puisqu'ils étaient des nomades et qu'ils viennent donc d'un peu partout, il y avait plus de chances pour qu'ils soient bronzés, dirons-nous, plutôt que blancs comme des cachets d'aspirines. Voilà.

Cela mis-à-part, je vous présente mon avis sur ce livre. Non, ça n'avait toujours pas commencé.

Carve the Mark est un livre dont je ne savais pratiquement rien lorsque je l'ai commencé. Je suis donc partie à la découverte de cette histoire et j'ai été agréablement surprise.

Effectivement, en plus d'avoir une très belle couverture et une mappemonde dont je suis tombée amoureuse, l'histoire m'a énormément plu!

On découvre Akos Kereseth qui est un Thuvhésit et Cyra Noavek qui est une Shotet. Rien ne semblait pouvoir les mener à se rencontrer jusqu'au jour où Akos est emmené au manoir des Noavek aka la famille au pouvoir sur les terres Shotet.
(PAUSE: C'EST QUOI CES NOMS?!)
Ils vont tous les deux se retrouver à devoir cohabiter et ils vont devoir s'entraider pour obtenir ce que chacun désire. Mais bien-sûr, Ryzek Noavek, le grand-frère de Cyra et le tyran qui dirige les Shotet, va être un obstacle parmi tant d'autres entre Cyra et Akos et ce qu'ils désirent mais sûrement le plus dangereux de tous.
Je crois que j'ai jamais fait un résumé aussi nul. ☺

J'ai adoré le monde qu'a érigé Veronica Roth. Je l'ai trouvé intéressant et j'avoue que je ne serais pas contre un petit voyage là-bas en mode exploratrice (aka Louan la nouvelle Dora). Chaque planète a sa particularité, chaque peuple est différent et ça m'a plu cette diversité chez les personnages qu'on a l'occasion de croiser. En plus que les personnages en question ont des don-flux soit un pouvoir particulier et unique chez chacun d'entre eux.
Je serais curieuse de savoir quel serait mon don-flux, tiens...☺
BREF.
Le monde m'a amené à aimer l'histoire puisqu'ils sont liés. Sans le monde qui va avec, l'histoire n'aurait clairement pas beaucoup d'intérêt.

En plus de cela, je trouve que Veronica Roth a vraiment bien su mener les choses. Et je me suis plongée dans cette histoire avec une facilité qui ne m'était pas venue depuis un moment.
Une fois confortablement installée dans mon lit (et malade mais ce n'est qu'un détail), je n'ai plus arrêté de lire. (Sauf pour aller vider ce que contenait mon estomac. Et même ce qu'il ne contenait pas d'ailleurs. Charmant, hein?)

J'ai beaucoup aimé les personnages. Ils sont attachants et chacun est différent (comme je l'ai déjà dit) donc ça m'a énormément plu. Je suis le genre de personne qui béni la différence et Veronica Roth a su l'offrir avec tout ce que j'aime. Donc, je n'allais certainement pas venir m'en plaindre.

Cyra est une héroïne comme je les aime. Au début, elle ressemble à la copie parfaite d'une armoire à glace. Elle est menaçante et dangereuse grâce à son don-flux. Et au fil de la lecture on découvre qui elle est sous toute cette couche de glace et je l'ai trouvé lumineuse et attachante.
Bref, je l'ai beaucoup aimé. Je l'ai même carrément adoré. C'est mon nouveau modèle dans la vie. ;)

Quant à Akos, je m'y suis attachée de la même façon qu'avec Cyra. Il a une personnalité qui m'a beaucoup plu. Il semblerait presque plus sombre que Cyra par moments mais il a quelque chose de chaleureux comme un petit feu dans une cheminée que j'ai aimé. Bref, je vais tapisser les murs de ma nouvelle chambre (à la fin du mois) avec son nom. AKOS KERESETH. En plus, ça sonne bien. Que demander de plus?

Les personnages secondaires m'ont beaucoup plu. J'ai aimé détester Ryzek et j'aurais bien mis mon poing dans la figure de Vas plus d'une fois. Bien que j'aurais sûrement eu plus mal que lui, ce qui est carrément contre-productif mais bon. ☺
J'ai aussi beaucoup aimé Isae, Cisi, Jorek et Teka.

Par rapport à la romance, je suis bien heureuse que Veronica Roth ait su prendre son temps pour bien la développer. OK, ça fait un peu cliché les deux ennemis qui finissent par tomber amoureux. Mais quand un cliché est bien fait, il peut se révéler très plaisant. Et dans le cas présent, j'ai adoré la relation mise en place entre Cyra et Akos. Il y a des moments entre eux, j'ai cru que j'allais fondre (et ça n'avait rien avoir avec la fièvre).
Bref. J'ai trouvé qu'ils se complétaient très bien, tous les deux.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Oh et, suis-je la seule amoureuse de Isae/Cisi?[/spoiler]

Pour finir, parce que je n'ai pas grand-chose d'autre à dire, la fin m'a clairement donné envie d'avoir le second tome tout-de-suite. Attendre va être une torture. [spoiler]Si Cyra n'est pas une Noavek, qui est-elle? Le père de Ryzek donc, toujours vivant? Il est où? Qu'est-ce qu'il foutait pendant tout ce temps? Vont-ils réussir à sauver Eijeh?


En conclusion, Carve the Mark est pour moi un coup de cœur. Je suis de ceux qui ont aimé Divergent mais Carve the Mark, c'est un tout autre level.
Je conseille donc vivement à ceux qui auraient entendu parler de la polémique de passer au-dessus et d'aller se faire leur propre avis. Selon moi, Carve the Mark vaut le détour.

«we rose, and became soldiers, so we would never be overcome again.»
Avez vous apprécié ce commentaire ? +67
«some things are stronger than years of freedom.
The draw of fire.
A longing for freedom.
Or a girl on a red horse.»

Of Fire and Stars c'est en gros l'histoire d'une princesse qui se rend dans le royaume du prince auquel elle est fiancée depuis un baille pour l'épouser et qui en cours de route tombe amoureuse de la sœur du prince.

J'étais VRAIMENT intéressée par ce livre. J'avais l'image du cliché parfait: une princesse qui va épouser un prince pour sceller une alliance entre deux royaumes. Sauf que là quelque chose changeait dans ce petit cliché. Effectivement, au lieu de tomber amoureuse du prince, la princesse allait tomber amoureuse d'une princesse. Et ça, je ne voulais certainement pas passé à côté!

Alors peut-être que j'avais trop d'attentes par rapport à ce livre. Ou peut-être que l'histoire en elle-même n'était simplement pas écrite pour moi. Dans tous les cas, je me suis rapidement retrouvée déçue par cette lecture.

L'auteure nous donne ce qui est promis dans le résumé. Mon problème avec ce livre n'est pas directement dirigé vers l'histoire. Mais plus vers des petits points qui m'ont chiffonnés et ont fini par empiété sur ma lecture.

Le premier point, c'est la plume de l'auteure. Les soixante premières pages ont été douloureusement longues mais je mettais ça sur le fait que pour commencer une bonne histoire il faut savoir prendre quelques pages pour en poser de bonnes bases.
Mais au bout d'un moment, j'ai été forcée d'admettre que j'avais un sérieux problème avec la façon dont Audrey Coulthurst écrit.
J'ai trouvé sa plume lourde et sans charme. Je veux dire, elle ne me donnait pas du tout envie de lire la page suivante. Et j'avais l'impression qu'elle rendait l'histoire fade.

Deuxième point, comme je l'ai dit plus haut, j'ai trouvé les soixante premières pages longues. Eh bien, j'ai aussi trouvé le reste du roman plus ou moins long.
J'ai eu quelques faux espoirs à plusieurs moments mais finalement, je n'ai pas réussi à me perdre dans l'histoire ne serait-ce qu'un peu et j'ai passé un petit paquet de pages à me demander pourquoi je lisais toujours.

Troisième point, question "world building", l'auteure ne s'est pas foulée. Clairement.

Quatrième point, ce n'est pas faute d'avoir essayé mais l'intrigue ne m'a pas intéressée plus que ça. Et au final, les personnages non plus.
Je ne m'y suis pas attachée. C'était des personnages en noir et blanc. J'ai passé le livre à attendre que l'auteure leur donne une personnalité avec un juste milieu. Mais on est resté dans la simplicité avec du tout ou rien.
Je ne sais pas vraiment comment l'expliquer mais l'idée est là.

Mare est la princesse qui n'apprécie pas la simple idée d'être une princesse. C'est le garçon manqué qui a décidé de faire ce qui lui plait même si ça embarrasse clairement son frère.
À choisir, elle serait plus noir que blanc.

Denna quant à elle est la princesse lambda d'un conte de fées lambda, selon moi. Aucun doute quant au fait qu'elle est du côté blanc.

Comme je l'ai dit, Audrey Coulthurst ne m'a pas donné l'impression d'avoir été cherché ses personnages au fin fond de son imagination mais plus dans le premier livre venu. Malheureusement, ce n'était pas le bon.

Côté romance, c'est peut-être l'aspect qui m'a le moins dérangé parce que j'étais curieuse de lire un roman avec une romance lesbienne. Ce n'est pas ce qu'on trouve le plus et je dois admettre que c'est ce qui m'a empêché de détester ce livre.

La romance n'est pas trop mal. Mais disons que je ne "ship" pas Denna/Mare. J'ai aimé voir une romance lesbienne mais je ne suis pas spécialement fan de la relation entre les deux filles dans ce roman.

Du coup, Of Fire and Stars ne m'a pas séduite comme je l'espérais. Je me suis ennuyée, la plume de l'auteure ne m'a pas plu et les personnages n'ont pas vraiment fait mieux.
C'est dommage. L'idée n'était franchement pas mal mais l'auteure ne l'a pas exploité de façon à ce que je l'aime.

Bien-sûr, n'oublions pas que c'est mon avis personnel. Ce livre plaira forcément à certains et à d'autres non. Comme tout, au final. Donc si jamais vous avez envie de découvrir Of Fire and Stars, n'hésitez pas à vous forgez votre propre avis et à trouver de bons points là où je n'ai pas réussi.

«some things are more important than a crown.
Saving a kingdom.
Knowing your heart.
Or riding into the sunset with a girl on a red horse.»
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date : 12-01-2017
J'ai toujours été une grande fan de Disney. Je me souviens qu'étant petite j'avais tous les albums sortis. Bon avec les années, ils étaient dans un tel état (parce que j'étais pas très soigneuse étant enfant) que mes parents ont été forcés de m'en séparée... La petite histoire mise à part, je suis toujours amoureuse des Disney.

J'ai passé quelques jours à Disneyland Paris et quand je suis tombée sur cette beauté, comment résister? Je l'ai acheté. Parce qu'étant une fan de Disney et une passionnée des livres, il était hors de question que je parte sans ce petit bijou.

On retrouve donc les histoires de Mulan, Raiponce, La Petite Sirène, Rebelle, La Belle et la Bête, Blanche-Neige, Cendrillon, Pocahontas, La Belle au bois dormant et la Princesse et la Grenouille. Autant dire un pur plaisir.

Relire ces histoires m'a donné envie de revoir les films d'animation. Et c'était comme un voyage dans le temps pour un retour en enfance!

Pour finir, en plus de magnifiques illustrations à l'intérieur, l'objet-livre en lui-même est sublime.
En bref, c'est un album a avoir dans sa bibliothèque et je le conseille fortement aux fans de Disney. Quand-même.
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«The irony of life is that those who wear masks often tell us more truths than those with open faces.»

Avant toute chose, oui, c'est vrai que j'ai mis une éternité pour me lancer dans ce second opus de TYE. Moi qui avait tant aimé le premier tome de la trilogie, j'avais peur que The Rose Society ne soit pas à la hauteur du tome qui l'avait précédé.
MAIS BIEN-SÛR, vient un jour où résister à l'envie de lire ce livre malgré tout est devenu insupportable et j'ai sauté sur l'occasion de ne pas trop savoir quoi faire de mon temps pour ENFIN me jeter sur TRS.

Que dire si ce n'est que ce livre est tout bonnement fabuleux! Une pure merveille.
Chez moi, il y a ces jours où j'ai envie de lire des livres dans lesquels le personnage principal est doux comme un chaton. Et il y en a d'autres où je meurs d'envie d'en lire où le personnage principal serait capable de repeindre son salon avec votre cervelle et trouver ça joli.
Dans le dernier cas, Adelina semblait être une excellente candidate. Alors pourquoi résister plus longtemps?

Il y a quelque chose que j'aime vraiment chez Marie Lu, c'est sa plume. Je ne sais pas si je vais être capable de m'expliquer clairement sur ce point mais je trouve que cette auteure a une plume superbe. Pour les raisons suivantes: Sa plume est descriptive et on n'a donc pas besoin de faire marcher notre imagination à plein régime pour visualiser les personnages et les scènes, sans pour autant que ça rende son récit lourd. ET Marie Lu sait comment retranscrire l'atmosphère adéquate aux scènes qu'elle écrit et tous les auteurs ne sachant pas le faire, c'est un très bon point à mes yeux.

Au-delà de ça, j'aime son histoire. Tout bêtement. The Rose Society est dans la continuité de The Young Elites mais l'histoire est une teinte plus sombre et je dois avouer que j'ai adoré ça.
On retrouve une Adelina bien décidée à se venger et qui serait donc prête à tout pour y parvenir. Et bien-sûr, on retrouve des personnages aussi géniaux que dans le tome précédent. On les retrouve pour la majeure partie mais on en rencontre aussi et moi j'adhère.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Et puis, Enzo qui revient du monde d'en bas et qui n'est plus lui-même, je dis OUI![/spoiler]

Parce que, qu'ils soient méchants ou gentils... STOP. Gentils? Avouons tout de même que ce mot fait tâche dans une telle histoire. Non, je dirais donc qu'ils soient méchants ou moins méchants que les méchants, je les aime. Enfin, d'un côté il y a les méchants qu'on aime pas et d'un autre il y a les méchants pas si mauvais que ça qu'on aime.
C'est bon dit comme ça?

Commençons par Adelina Amouteru aka le Loup Blanc.
Je suis une fan d'Adelina. Mais le genre de fan qui n'irait pas à sa rencontre à moins d'être certaine qu'elle ne me fera aucun mal. ^^ OK, c'est l'heure d'une petite confession.
Adelina, c'est mes pensées les jours où je suis de mauvaise humeur. La mauvaise humeur est à prendre au sérieux, eh oui.
J'aime son côté sombre et puissant et en même ces petits moments de faiblesse qu'elle peut avoir qui nous rappellent que même en étant un excellent anti-héro, elle reste humaine.

Et puis ensuite, il y a MAGIANO.
Ce gars... Si vous voulez mon avis (en même temps c'est à ça que sert ce commentaire), Marie Lu a fait un rêve de malade avec un mec de malade et quand elle s'est réveillée elle s'est dit qu'elle ne pouvait pas nous épargner la douce douleur d'un nouveau Fictional Boyfriend. (Ne faites pas les innocents, vous savez de quoi je parle.) Ce n'est pas possible autrement. Un gars tel que Magiano ne peut sortir que d'un rêve. BON, on s'accorde pour dire que c'était pas un rêve rose bonbon avec des routes en guimauve et des lacs en chocolat fondu MAIS ça n'en reste pas moins un rêve.
Bref. Magiano a volé mon cœur et honnêtement j'ai aucune envie qu'il me le rende. «Garde-le chéri, il te va mieux qu'à moi.» ;)

Quant aux autres personnages, pas besoin de vous écrire mille lignes pour vous dire qu'ils m'ont plu. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai cet éternel faible (malsain) pour Teren et je trouve Sergio plus ou moins craquant.
On peut passer à la suite maintenant ? MERCI.

J'aime aussi la petite touche de romance qu'ajoute Marie Lu. Et j'aime par-dessus tout que cette romance n'écarte pas l'intrigue. Dans le cas présent c'est PAS DU TOUT et ça me convient parfaitement. [spoiler]Bien que j'aimais Enzo dans le premier tome, dans celui-ci Magiano a su gagné mon cœur et donc j'ai accueilli avec plaisir l'étincelle qui passe entre lui et Adelina. Leur baiser m'a énormément plu et à l'avenir, j'espère que Marie Lu développera un peu leur relation. Histoire que la fangirl en moi puisse mourir en paix.[/spoiler]

Je ne trouve rien d'autre à dire sauf que je suis prête pour le troisième tome. Quand j'aurais emménagé dans mon nouveau chez moi, je me ferais un plaisir de l'acheter. En attendant je suis condamnée à souffrir à cause de la fin que nous a écrit Marie Lu.
Ne vous méprenez pas: j'ai adoré cette fin. C'est la fin parfaite pour ce genre de bouquin et ça me permet de me demander ce que l'auteure prévoit pour The Midnight Star. J'ai très envie de me plonger dans ce dernier tome à l'aveugle, je dirais.
[spoiler]Aussi j'aime le fait que les Elites aient un léger problème. Eh oui, tout ne pouvait pas être parfait puisque n'étant pas nés pour avoir de telles habilitées, leur pouvoir finira par les tuer (en les consumant de l'intérieur, sympa non?). Maintenant on comprend vraiment pourquoi on les appelle les YOUNG Elites. Ils sont destinés à mourir jeunes. SAUF s'ils trouvent un moyen d'éviter ça et j'espère donc que Marie Lu saura y apporter une solution solide.


En conclusion, je regrette d'avoir mis tant de temps à me lancer dans cette lecture mais je suis très contente que The Rose Society m'ait autant plu. Et j'ai franchement hâte de pouvoir découvrir la suite.

«But true rulers are not born. We are made.»
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J'aurais aimé que ça dure éternellement. Depuis le troisième tome, j'attendais cet épilogue comme si ma vie en dépendait. Et j'aurais fait durer le moment aussi longtemps que possible. Autant dire que j'ai savouré chaque mot écrit.

Retrouver Laurent et Damen est toujours un plaisir. Les retrouver après les évènements de la trilogie c'est comme si l'univers venait de m'offrir une pause, un moment pour oublier tout ce qui me pèse. Et ça, c'est tout ce dont j'avais besoin.

Mais bien-sûr, ce n'est pas l'univers que je dois remercier mais bien C.S. Pacat. Je lirais n'importe quoi venant de cette auteure. Même sa liste de courses. Elle a le don de me transporter là où je n'aurais jamais pensé aller. Et c'est très plaisant, soyons honnêtes.

Je suis très attirée par l'envie de relire chacun de ses mots dès que j'en aurais l'occasion. Je n'en aurais jamais assez de Lamen. Laurent et Damen sont éternels dans mon pauvre petit cœur littéraire.

Et je dois dire que j'attends avec impatience les prochains écrits de C.S. Pacat. Je vais peut-être vraiment lui demander de m'envoyer sa liste de courses, finalement...
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«Words cannot hurt.»

Je dois tout d'abord admettre que je suis un peu déçue par Ever the Hunted et en même temps, je crois qu'une part de moi s'y attendait... BREF.

Ever the Hunted est l'histoire de Britta Flannery qui est attrapée par la garde royale après une petite séance de braconnage. Elle est emmenée au château royal pour recevoir sa sentence et là, le high lord Jamis lui propose un marché. Comme prix pour son crime et pour garder sa vie sauve, Britta doit partir à la poursuite de l'assassin de son propre père, tué deux mois plus tôt. Sauf que l'accusé de cet assassinat n'est autre que Cohen Mackay, l'ancien élève de Saul Flannery -le père de Britta- et le garçon dont elle était amoureuse.
Sauf que bien-sûr, les choses ne sont pas aussi simples. Britta va rapidement se rendre compte qu'elle ne connaissait pas son père aussi bien qu'elle le pensait.

L'histoire en elle-même a l'air sympa, n'est-ce pas? Eh bien, elle l'est. Plus ou moins. Déjà parce qu'il y a ce petit air de Robin des Bois qui j'avoue m'a bien plu. Et ensuite parce que mine de rien, l'univers est plutôt plaisant lui aussi. Bien que ça ne soit pas un univers avec un construction de malade, etc.

La plume de Erin Summerill est fluide et descriptive sans pour autant l'être au point que ça alourdit sa plume et donc au final, ce n'est pas du tout désagréable.

Alors qu'est-ce qui m'a déçue?
Avant toute chose, c'est le fait que les 50 premiers pourcents du livre ne servent pratiquement à rien. Effectivement, à part lancer des flèches à droite à gauche et traverser de longues distances pour pas grand-chose au final, on avance pas tant que ça et même si ces moments servent à l'histoire, 200 pages où il ne se passe que ça à la longue ça devient chiant. Clairement.

On prend vraiment connaissance de l'intrigue un peu trop tard à mon goût et c'est pas comme si c'était une intrigue de dingue qui nous fait nous poser un million de questions parce qu'au final, c'est assez prévisible.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Il se trouve qu'en vérité, le père de Britta était à la recherche d'un moyen pour briser le lien entre le roi et un Spiriter - soit un gars qui contrôlait le roi et qui menait le royaume à une guerre certaine avec leur voisin.
Surpris?
Oh et si dès le départ vous n'avez pas soupçonner Lord truc-mis, je ne sais pas d'où vous sortez. Effectivement, c'est pas bien compliquer à deviner si vous avez déjà lu de la fantasy YA et que vous avez retenu le fait que Jamis était le régent avant que Adro-machin monte sur le trône.[/spoiler]

Pour le point magie du livre, je pense vraiment que ça aurait pu être intéressant. Au début du moins parce qu'au final, c'est de la magie lambda. Mais même ça, l'auteure aurait pu le rendre intéressant et pourtant, elle est passée à côté de l'occasion. [spoiler]C'était pas une surprise de malade non plus que Britta détienne de la magie (simple devinette ^^) dans un royaume où c'est INTERDIT.
Attention à l'originalité.


Donc côté histoire, on a déjà vu mieux. Mais on a déjà vu pire aussi donc...

Après, le deuxième point qui m'a déçue et c'est un point que je considère comme étant très important, c'est les personnages.
Je ne suis pourtant pas bien compliquée à ce niveau-là mais les personnages de Ever the Hunted ne m'ont fait ni chaud ni froid. En gros, il aurait pu leur arriver les pires merdes du monde, je m'en fichais carrément.

Britta n'est pas spécialement attachante. Il y a que deux choses qui comptent vraiment pour elle : son papa et Cohen. Et bien que je puisse comprendre l'attachement qu'on peut ressentir envers son père et son premier amour, quand il n'y a pratiquement que ça, au bout d'un moment j'ai envie de HURLER.
Et puis soyons honnêtes deux secondes. Elle est censée être la meilleure pisteuse du monde entier mais est-ce que quelqu'un a remarqué le nombre de fois où elle est passée à côté de traces sans les voir? Si elle c'est la meilleure, le pire pisteur, j'ose pas imaginé à quoi il ressemble. Je dis ça, je dis rien.

Quant à Cohen, il ne m'attire absolument pas. Je pense qu'Erin Summerill espérait qu'on craque pour lui comme Britta mais pour ma part en tout cas, ça n'a pas marché. Il ne sert pas des masses. En gros, il aurait pu mourir de soif et que moi j'ai une bouteille d'eau, il me serrait pas venu à l'idée de lui offrir un peu de mon eau.
C'est méchant, hein?
C'est le genre beau, fort, avec des secrets plein les poches et qui ferait tout pour protéger sa bien aimée... Blablabla. Je peux savoir quand quelqu'un a décidé que c'était craquant d'essayer de te sauver quand t'es assez grande pour le faire toute seule ? Ça fait un peu mauvais conte de fées. Ou conte de fées tout court. Mais en tout cas, quand ton histoire n'entre pas dans la case "je suis une princesse Disney dans le genre Aurore ou Blanche Neige et je vais avoir besoin d'un prince pour m'embrasser parce que j'ai fait une boulette qui m'a envoyé tout droit faire une gros dodo", il n'y aucune raison valable et craquante pour que tu ais envie d'écrire une histoire sur une héroïne qui a l'air d'avoir besoin d'être sauvée même quand il n'y aucune menace directe.

Je me suis un peu emballée, non?

Je ne vais pas me mettre à parler des personnages secondaires parce que je finirais par me répéter. Si j'ai pas réussi à m'attacher aux personnages principaux, sachez seulement que les secondaires n'ont pas changé la donne.

Côté romance, rien de neuf! Ne vous faites aucun faux espoir. C'est de la romance purement et simplement clichée qui peu à peu prend discrètement le dessus sur tout le reste de l'histoire. Voilà. BAM.
Mais honnêtement Britta/Cohen, je ne suis pas fan. Je ne sens pas la petite étincelle, personnellement. C'est très: Il était une fois une fille qui tomba amoureuse de son meilleur et seul ami, un beau garçon qui ne semblait la considérer que comme sa meilleure amie, à la limite comme sa sœur (berk), et on connaît la suite...
En clair, tout pour te donner envie de lever les yeux au ciel au point d'en avoir mal.

Je n'ai rien de plus à dire mais pour résumé, Ever the Hunted m'a donné cette impression d'être une histoire plutôt cool au début et j'ai pourtant vite déchanté parce qu'au final, c'est du déjà vu.
Malheureusement.

Si comme moi, vous êtes habitué aux romans de Fantasy, je ne vous recommande absolument pas cette lecture. Si en revanche vous êtes un romantique et que vous vous lancez seulement dans la Fantasy YA, ce livre vous plaira peut-être.

Sinon, je vous ai dit que je trouve la couverture jolie?

«Focus is a weapon as much as your bow.»
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Tout comme J'aurais adoré être ethnologue, La théorie de la contorsion m'a bien plu et m'a permis de passer un agréable moment. J'ai pas grand-chose à dire que je n'ai pas déjà dit dans mon commentaire sur J'aurais adoré être ethnologue sauf que je le conseille aux filles qui seraient à la recherche d'une BD girly.
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Divertie avec talent grâce à Margaux Motin. J'ai beaucoup ri et j'ai bien aimé les illustrations. On passe un agréable moment avec J'aurais adoré être ethnologue. C'est drôle, girly et plutôt vrai si on ose se l'avouer. ;)
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Avant de me lancer dans la saga The Covenant, je voulais vraiment lire cette préquelle. Et ce fut donc 78 pages qui m'ont fait embarqué dans cette histoire avec efficacité.

J'attends de lire le premier tome pour sincèrement me prononcer mais pour l'instant, je trouve le personnage d'Alex plutôt attachante et Jennifer L. Armentrout ne perd pas son temps, elle nous emmène tout de suite dans une aventure rythmée par pas mal d'évènements qui ne peuvent que nous donner envie de lire la suite.
En tout cas, c'est le cas pour moi. Il me tarde de me lancer dans Half-Blood.

C'est donc une très bonne entrée en matière qui donne envie d'en lire d'avantage. Et l'intrigue est quelque peu similaire à celle de Vampire Academy, je trouve, donc ça peut vraiment être sympa !

Je conseille cette lecture à ceux qui auraient dans l'optique de se lancer dans la saga. C'est intéressant et ça pose les bases de l'histoire.

Affaire à suivre ! :)
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«My philosophy is that worrying means you suffer twice.»

J'ai vu le film au cinéma à sa sortie -je l'ai totalement adoré- alors quand je suis tombée un peu par hasard sur le screenplay en librairie, c'était inimaginable pour moi de repartir sans.

Et me voici. J'ai lu cette petite merveille en quelques heures, je l'ai savouré et j'avoue que j'aurais aimé que ça ne se termine jamais parce qu'à présent que j'ai vu le film et que j'ai lu le screenplay, j'ai plus qu'à attendre obsessionnellement la suite.
Et ça va être une véritable torture!

En tout cas, je suis bien heureuse de l'avoir acheté car ça m'a permis de visualiser le film en faisant ce que j'aime le plus au monde: lire. Un pur bonheur!

Bien-sûr, je ne suis pas vraiment étonnée d'avoir tant aimé Fantastic Beast and Where to Find Them. Après tout, c'est J.K. Rowling!

J'ai adoré les personnages. Surtout Newt! Je suis tombée sous son charme dès le début.
Tina, Jacob et Queenie sont des personnages très attachants.
J'ai hâte de les retrouver dans la suite!

Imaginez un peu à quel point je me suis transformée en pure fangirl à la simple mention de Albus Dumbledore et de Poudlard!

Les créatures fantastiques sont toutes aussi superbes les unes que les autres. J'ai trouvé le Niffler très mignon et plutôt amusant. Et puis, j'avoue que Pickett est attendrissant. :)

La fin m'a aussi énormément plu.
Spoiler(cliquez pour révéler)
En dépit du fait que Jacob a oublié tout du monde des sorciers dont ses amis, puisqu'il est un moldu, et que sur le coup ça m'a rendue un peu triste, la scène où il a sa boulangerie et des pâtisseries représentant les animaux fantastiques m'a redonnée le sourire!


Pour finir, je trouve l'objet livre très beau. C'est qu'un détail mais je suis fan de la couverture et des illustrations qu'on retrouve à l'intérieur.
La couverture fait partie de mes préférées de 2016!

En conclusion, Fantastic Beast and Where to Find Them est un très bon bonus pour tous ceux qui ont aimé le film et bien-sûr, pour les fans d'Harry Potter qui voudraient ajouter ce bijou à leur collection.

«People are easiest to read when they're hurting.»
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Je dois bien avouer que je ne m'attendais pas à tant apprécier cette lecture puisque la seule raison pour laquelle je me suis lancée c'est parce que je devais lire ce livre en littérature étrangère.

Mais comme quoi, qui dit lecture obligatoire peut parfois dire lecture plaisante. En tout cas, The strange case of Dr Jekyll and Mr Hyde est une lecture qui m'a plu.

Malgré quelques longueurs, je me suis retrouvée fascinée par certains éléments et aspects de cette œuvre littéraire.

Mais avant toute chose, je pense qu'il faut lire ce classique au moins une fois dans toute son existence. Qu'au final on l'aime ou non, je crois que l'expérience vaut le coup.
En tout cas, je suis bien contente de l'avoir lu parce que je crois qu'une part de moi l'aurait regretté autrement.

De plus, étant fascinée par le comportement des gens et la condition humaine, ce livre était fait pour moi. C'est une réflexion des plus intéressantes !
J'aime le message qui est passé par ce roman et aussi c'est peut-être étrange mais j'ai adoré l'atmosphère plutôt glauque qui se trouve entre les pages de ce bouquin.

Dans cette œuvre on découvre le Dr Henry Jekyll, un scientifique, et Mr Edward Hyde un homme pas vraiment fréquentable, dangereux.

Jekyll et Hyde sont passionnants. À leur façon. J'admets que quelques frissons m'ont échappés à quelques petits moments mais je les ai trouvé intéressants. Maintenant, je ne m'y suis pas plus attachée que ça mais leur découverte a su piqué ma curiosité.

La fin m'a paru juste et m'a donc sincèrement satisfaite. Et aussi, je crois que c'est ma partie préférée de cette nouvelle.

Pour finir, j'ai beaucoup aimé la plume de Robert Louis Stevenson. J'aurais lu n'importe quoi écrit par cet homme juste pour ses mots.
(Je crois que j'avais encore jamais dit ça !)

Enfin, tout ça pour dire que The strange case of Dr Jekyll and Mr Hyde est une œuvre à lire à tout prix si ce n'est toujours pas fait et que malgré mes appréhensions au début, j'ai découvert une lecture intéressante malgré tout.
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date : 07-12-2016
«In the whole course of history, war had always fallen on the shoulders of the young.»

Je suis tombée amoureuse de Passenger comme je suis tombée pour peu de livres. Tout de suite, sans avoir à fournir le moindre effort et sans que le charme ne se brise à un aucun moment.

Alexandra Bracken a écrit un roman sincèrement fascinant. Sa plume m'a transporté d'époque en époque avec passion. C'est fluide et clair; on sent que l'auteure est à l'aise dans son histoire et ça vaut beaucoup à mes yeux. En plus, il y a ce petit côté poétique par moment qui m'a énormément plu!

L'histoire est superbe. On y découvre Henrietta Spencer aka Etta qui après plusieurs évènements plutôt désastreux se retrouve sur un navire au 18e siècle. Là elle rencontre Nicholas Carter et ensemble ils partiront à travers les siècles en quête d'un objet perdu depuis un petit bout de temps et qu'une famille puissante veut récupérer à des fins peu claires.

J'ai adoré voyager d'un siècle à un autre. Si je devais avoir un super pouvoir, je voudrais être capable de voyager dans le temps, sans hésiter. (J'ai d'ailleurs beaucoup aimé toutes les règles autour du voyage dans le temps. C'est très encadré, les voyageurs doivent respecter certains points importants tels que le fait de ne pas pouvoir aller deux fois au même endroit/même époque pour éviter de se retrouver face à eux-même, etc. Mais surtout, j'aime énormément l'idée que l'histoire ait été changée et que la réalité dans laquelle nous vivons n'est pas la version d'origine.)

Alors oui, je voudrais avoir la faculté de voyager dans le temps, moi aussi. En espérant croiser un Nicholas Carter. Parce que sérieusement, ce gars c'est l'homme de mes rêves. Enfin, de mes rêves depuis que j'ai lu Passenger. Il m'a conquise dès le début. Le coup de foudre, ça existe vraiment!

Je voudrais aussi être une version de Etta. Parce que je l'ai adoré. Elle est attachante et ce n'est pas le genre d'héroïne qui prend des décisions stupides et vous donne envie de l'encastrer dans un mur. Non, c'est une héroïne géniale avec du courage, de la force et par-dessus tout de la détermination. Etta est une héroïne portée par l'amour qu'elle porte à sa famille et ce n'est pas un point qui l'a rendu faible ou quoi-que-ce-soit dans le genre. Au contraire, c'est de là qu'elle puise toute sa force. Et j'ai trouvé ça vraiment plaisant.

Les personnages secondaires sont tous intéressants à leur manière. Et même étant secondaires, parfois n'ayant que quelques scènes dans tout le livre, ils sont assez complets et certains se sont même révélés plus attachants que je m'y attendais au départ. Tel que Alice.

Côté romance, j'ai adoré la dynamique entre Nicholas et Etta. Alexandra Bracken a réussi à établir une véritable connexion entre les deux et leurs sentiments seraient presque palpables!
Et bien que la romance soit présente, elle n'empiète pas sur le reste de l'histoire et sur la quête des personnages, ce que j'ai bien apprécié. Ça fait du bien de lire une romance qui évolue à son rythme et qui le fait si bien que ça ne sonne pas faux ou sortie de nulle part ou encore "comme par hasard".

Et puis, il faut que je parle de l'objet-livre en lui-même. La couverture est très belle - elle représente plutôt bien l'histoire- et j'aime bien aussi les débuts de chapitre - tout en simplicité mais tout-de-même très jolis.
Mais ce que j'aime par-dessus tout, pour les éditions hardcover, c'est l'arbre sur le devant. Ça peut paraître totalement idiot mais AH! j'en suis absolument totalement irrévocablement amoureusement folle.

Quant à la fin, difficile pour mon cœur de la supporter. Je suis bien heureuse d'avoir mis tant de temps avant de réellement m'intéresser à ce livre parce qu'au moins je n'aurais pas longtemps à attendre pour me procurer le second (et dernier) tome.
Il y a tellement de choses que je veux savoir qu'en faire une liste serait interminable!

Passenger est donc un roman qui vaut la peine d'être lu. Sans aucun doute. Et un vrai coup de cœur pour moi.
Si vous voulez voyager et visiter d'autres époques, si vous voulez connaître l'amour sous toutes ses formes et tout ce qu'on serait prêt à faire pour lui, ce livre est fait pour vous!
Oh et puis vous savez quoi? Même si vous ne cherchez pas à littéralement quitter votre train train quotidien et que vous vous fichez totalement des sentiments brûlants qui peuvent envahir votre corps, VOUS DEVEZ LIRE PASSENGER.
Parce que ce livre est complet, clair, fascinant, addictif, palpitant et j'en passe...

«What good is honour when greed eats away at its foundations?»
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Ce matin mon frère m'a réveillé en me jetant le carton dessus. Je crois que je n'ai jamais été aussi heureuse de toute mon existence d'avoir été attaquée par un colis.

Imaginez un peu toutes mes émotions de fangirl refaire surface ! Si vous ne voyez pas, je me suis levée tellement vite pour pouvoir allumer la lumière et voir les merveilleux dessins que renferme TLC coloring book que j'ai oublié que j'étais enroulée dans ma couverture et je suis tombée comme... une merde.
Voilà.

En tout cas, j'adore ! Les dessins sont très beaux, on y retrouve tous les éléments qui définissent la saga des personnages jusqu'aux lieux qu'on a pu découvrir en passant par des scènes importantes. De quoi replonger dans la saga avec plaisir en attendant Wires and Nerve.

Maintenant, tout ce qu'il manque à ce petit bijou, c'est de la couleur et je vais me faire un plaisir de lui en apporter !

TLC coloring book est donc un très bon bonus pour tous les fans de la saga.
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«My biggest fear is forever.»

The Problem with Forever m'a étonnée parce que je ne m'attendais pas à ce que ce roman me touche comme il l'a fait. Je pensais que ça serait juste une romance de plus mais ça va totalement au-delà de ça.

Et je ne sais même pas où commencer...

Jennifer L. Armentrout a une fois de plus réussi à me captiver mais d'une manière totalement différente qu'avec la saga Lux.
Aussi pathétique ça semble être dit comme ça, sa plume m'a parlé. Elle a écrit des phrases qui m'ont touchées en plein cœur.

Tout comme l'histoire qui n'est pas aussi légère que je m'y attendais. Elle est même carrément triste. Et je ne suis absolument pas déçue.
J'ai découvert une histoire qui m'a touchée pas seulement parce qu'elle est bien écrite et bien menée. Elle m'a touchée parce qu'elle est forte et vraie.
Et parce qu'au final, c'est pas juste l'histoire de ce qui a pu se passer. C'est l'histoire de ce qui vient après. C'est l'histoire qui a été brisée et qui finit par être réparée.

J'ai pas eu la même vie que Mallory et Rider. Je dirais même que ma vie a été complètement opposée à celle qu'ils ont vécu. Mais tout le monde vit des moments difficiles et la façon dont se déroule après, les personnes qu'ils sont devenus, ça m'a rappelé la personne que j'étais il y a encore pas si longtemps et celle que je suis maintenant.

Ce qui m'amène à dire que je me suis sincèrement attachée aux personnages. De Mallory à Rider en passant par Hector, Ainsley, Jayden... Ce sont des personnages vrais. Je veux dire, partout dans le monde il y a des Mallory, des Rider, des Ainsley et vous avez compris l'idée donc je vais pas faire la liste de tous les personnages... et c'est, pour moi, ce qui les a rendu les plus attachants.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Je suis tellement triste que Jayden ait été tué. Mais je l'avais vu venir. Aussi con puisse ma remarque suivante être, ça m'a fait penser à ce gamin dans Step Up 1.

Et Ainsley qui va probablement finir aveugle, c'est à ce moment-là que je me dis que c'est vraiment mal foutu, la vie.


Au premier abord, j'avais ce sentiment de ressembler d'avantage à Mallory qu'à Rider. Ça fait trois ans que j'ai pas mis un pied dans un établissement scolaire -et il y a de grandes chances d'ailleurs pour que je le refasse jamais- et je suis incapable de parler devant des personnes que je ne connais pas. Même ceux que je croise pratiquement tous les jours, je ne suis même pas capable de leur sortir un foutu bonjour. Alors, je me suis sentie assez proche de Mallory pendant une grande partie du livre. À mes yeux, ce n'est pas un personnage faible comme certains le penseront sûrement. C'est juste une fille qui a évolué d'une manière différente. Chacun prend la vie différemment. Parfois garder le silence c'est tout ce qu'on est capable de faire et je crois qu'on le subit plus que les autres.
Mais à la fin je me suis rendue compte que j'avais aussi le même problème que Rider. En quelque sorte. Mine-de-rien, j'aime faire semblant que tout va bien et que rien n'est bien grave. Le truc, c'est que je cache simplement le fait que je ne sais pas quoi faire de mon futur et qu'après que trois années soient passées, j'ai toujours pas chassé les ombres qui me suivent à la trace. J'aime pas parler de moi mais Rider m'a touché pour ça et j'avais besoin de le dire.

Le seul aspect de cette lecture qui m'empêche de la place en diamant, c'est le fait que certains passages ont été un peu longs et que j'aurais aimé que les personnages secondaires soient d'avantages présents et développés.

Côté romance, je suis contente qu'elle ait été présente sans être étouffante ou quoi que ce soit dans le genre. C'était mignon et je ne retiens que ça.

Quant à la fin, c'est une bonne conclusion pour moi. Je ne sais pas si Jennifer L. Armentrout prévoit un jour d'écrire une suite mais je suis parfaitement satisfaite si elle ne le fait pas.

En tout cas, The Problem with Forever est un roman qui m'a touché. Je ne suis peut-être pas objective puisque l'évolution et le caractère des personnages principaux m'a rappelé mon expérience personnelle mais je ne regrette absolument pas cette lecture. Je trouve qu'à la fin, elle fait passer un bon message.

«Forever was a work in progess.»
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«She had won them the sun and the moon, but she had become a monster.»

Malgré un concept intéressant et un début de lecture qui semblait bien parti pour que le livre dans son intégralité me plaise, j'ai fini par déchanter et au fil des pages, je me suis rendue compte que je n'étais d'humeur pour une lecture telle que Crimson Bound. Malheureusement.

Déjà, j'adore la couverture. Je dirais même que j'en suis amoureuse. Et au-delà de ça, au début du moins, j'ai été charmée par l'histoire et le riche univers qu'a proposé Rosamund Hodge avec ce roman.

C'est pour ça que je suis déçue. Je ne suis pas déçue par l'histoire, je suis déçue qu'elle ne m'ait pas plu comme je l'espérais.
J'avais vraiment envie que ce livre me plaise, car il avait tout pour!

Alors pourquoi m'a-t-il déplu? J'ai été malade comme un chien. Je sais, jolie expression. Mais en fait, quand j'ai commencé à le lire, le lendemain je suis tombée malade. (Ça m'apprendra à aller chercher mes colis à la poste au milieu du mois de Novembre en t-shirt sous prétexte que c'est pas loin et qu'une fois dans le bâtiment je serais à l’abri du froid.) Enfin bref, je suis donc tombée malade mais j'avais tout-de-même très envie de lire ce livre alors je l'ai fait. Sauf que mon état s'est empiré et qu'est arrivé un moment où mon cerveau a décroché.
Je me suis endormie trois fois dessus et je crois n'avoir compris que la moitié de ce que j'ai lu - malgré le fait que l'auteure ait une plume fort agréable, simple et donc franchement pas compliqué à comprendre.
Le truc c'est que avec un univers riche et avec une touche de complexité plus une atmosphère pas super rose, je dirais même carrément sombre, ça ne collais pas du tout avec mon humeur. Moi, à ce moment-là, je voulais des bisounours et un monde en rose bonbon, donc on peut clairement dire que Crimson Bound n'était pas la lecture idéale. ^^

C'est aussi pour quoi je pense que mon avis sur ce roman n'est pas très objectif, mais bon.

Alors, une histoire intéressante avec un monde bien construit, des personnages qui m'ont plus ou moins plu et un rythme bien soutenu mais une lecture à côté de la plaque.
Voilà le résumé de mon avis sur ce livre.

Mon avis sur ce roman n'est donc pas mauvais. Le problème est simplement que je n'ai pas lu Crimson Bound au bon moment et donc que je n'ai pas su l'apprécier à sa juste valeur, je pense. (Mais je suis le genre de personne qui -en général- quand je commence quelque chose, je termine. Donc j'ai commencé ce bouquin et au lieu de faire une pause pour plus tard pouvoir l'apprécier d'avantage, je ne l'ai pas fait. Tant pis pour moi!)

Peut-être qu'un jour je relirais Crimson Bound. Histoire de renforcer mon avis dessus. Parce que soyons honnêtes, ce n'est pas l'avis le plus objectif du monde.

«Whatever creature you turn into, whatever form you take, I won't let go of you.»
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«The people you love make you strong, Violet. They make you brave and fearless.»

Pour immédiatement entrer dans le vif du sujet, La clé Noire n'est pas mon tome préféré de la trilogie mais je l'ai quand-même beaucoup apprécié.

Déjà, même si je ne suis pas spécialement du genre à porter beaucoup d'importance aux couvertures des livres que je lis, je dois tout-de-même avouer que la couverture de ce livre-ci me plait énormément !

Ensuite, l'histoire (du tome un au tome trois) m'a plu. J'ai bien aimé ce thème des mères porteuses qui m'a attiré dès le départ et la façon dont Amy Ewing l'a développé.
C'est une histoire que j'ai trouvé addictive, c'est simple, j'ai lu chaque tome en un temps record car une fois que j'avais commencé, il était hors de question que je m'arrête avant d'avoir atteint le dernier mot.

Je me suis attachée aux personnages. Même si Violet m'a agacée à certains moments tout au long de la trilogie, elle reste tout-de-même un personne que j'apprécie beaucoup. Quant à Ash, je l'adore tout bêtement. Mais je dois bien avouer que mes personnages préférés (depuis le tome deux) sont Garnet et Raven qui sont ceux qui ont le plus évolués depuis le début de la trilogie.
Spoiler(cliquez pour révéler)
La fin de Lucien m'a sincèrement attristée. Je ne m'étais jamais imaginée qu'il allait mourir, très honnêtement. J'ai eu les larmes aux yeux![/spoiler]

Côté romance, malgré le fait que je l'ai adoré dans deux premiers tomes, j'étais moins dedans lors de ma lecture de ce troisième et dernier opus. En vérité, certains moments me paraissaient peu naturels avec cette touche un peu clichée et j'avais du mal à croire que Violet et Ash avaient des sentiments l'un pour l'autre. Je ne sais pas comment l'expliquer... mais l'idée est là. Je me suis simplement sentie moins attirée par leur histoire d'amour dans ce tome-là que dans les deux précédents, je dirais.

La plume d'Amy Ewing n'est pas spécialement magique ou quoi mais elle reste entraînante et son côté simple m'a permis de rester encrée dans l'histoire.

Quant à la fin... je crois que c'est la raison pour laquelle la trilogie est passé de diamant à argent à mes yeux. Toute la trilogie car à mes yeux la fin a des répercutions sur tout le reste de l'histoire. Et cette fin-là, je me sens mitigée.
D'un côté je l'ai bien aimé puisque contre toute attente, Le Joyau est une trilogie que j'aime beaucoup. Mais d'un autre, je suis un peu déçue. Je m'attendais à plus, je crois.
[spoiler]Tout est bien qui se finit bien et c'est tout. Voilà, l'effet que ça m'a fait : c'est tout.[/spoiler]
J'aurais aimé avoir un épilogue. [spoiler]Pour découvrir les personnages plusieurs années plus tard, par exemple. Voir ce qu'ils ont fait de leur victoire et de leur vie de liberté et de paix.


En conclusion, La clé noire est une bonne conclusion, malgré une fin "pas assez" selon moi. Je retiens surtout le fait que je ne regrette pas d'avoir un jour décidée de lire cette trilogie, car elle vaut le coup, mine de rien. :)

(PS: Aujourd'hui je ne sais pas comment formuler mon avis alors oui, je sais, ce commentaire est nul.)
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«So long as you fight the darkness, you stand in the light.»

Je ne suis pas surprise d'avoir adoré ce second opus de An Ember in the Ashes. Et même si j'y étais préparée depuis un moment, je ne sais pas quoi dire.

Dans A Torch against the Night, on découvre un autre décors de l'univers si vaste qu'a créée Sabaa Tahir. Et pourtant, quelque chose me dit qu'on est encore qu'au début. J'ai donc sincèrement hâte que le troisième tome arrive parce que je meurs d'envie d'en savoir plus.
C'est simple, j'attendrai l'éternité pour juste une phrase de plus de cette auteure. Une fois que vous plongez dans son monde, dur d'en ressortir. Et si jamais vous y parvenez il sera difficile de ne pas mourir d'envie d'y retourner.
L'attente va être longue... une éternité il me semble.

Sabaa Tahir nous a donc livré un deuxième tome à la hauteur du premier où elle mène son intrigue et tout ce qui va avec d'une main de fer! C'est simple, du plus petit détail au plus important, je tombe sous le charme de chaque passerelle de l'histoire.

Cette auteure a su faire évoluer ses personnages ainsi que son histoire en si peu de temps avec un véritable talent que je me dois de féliciter.
De plus, je crois que je serai toujours émerveillée par la complexité de ce qu'elle a mis en place. J'adore, tout bêtement.

Sabaa Tahir a une plume qui me plait et me transporte toujours autant depuis AEITA. Elle ne se contente pas de nous raconter une histoire, elle nous emmène et nous la fait vivre.
Je ne peux pas ne pas adorer cet aspect-là de son travail.

Concernant les personnages, ils sont géniaux. Ils sont très bien construits, solides même. Ils sont presque vivants et on pourrait me révéler demain qu'ils sont en vérité des êtres de chair et de sang et non pas dessinés par des mots je n'en serai même pas étonnée ! (Je ne sais pas si ce que je viens de dire a vraiment du sens...)

Je me suis attachée aux personnages. Qu'ils soient les héros ou les méchants. Qu'ils soient principaux ou secondaires.

Tout d'abord, j'adore Laia. Depuis le début elle a bien évoluée et elle l'a fait de façon... je n'ai pas d'autre mot que solide. Elle est passée d'un petit animal effrayé à quelque chose de bien plus fort et j'aime ça. Et quelque chose me mène à penser qu'elle a encore des choses à nous révéler, nous ne sommes pas au bout de nos surprises!

Elias, je l'aime. C'est simple. Il est attachant, fort et ça ne l'empêche pas d'être doux. Il est attendrissant et c'est impossible de ne pas lui faire confiance. Lui aussi nous réserve encore bien des surprises. Parce qu'on ne sait pas encore grand-chose sur lui et il me tarde de savoir qui Elias Veturius est en profondeur.
Spoiler(cliquez pour révéler)
Le fait qu'il ait accepté d'être le successeur de Shaeva l'Attrapeuse d'âmes ne m'a pas étonné. Mais j'espère tout de même qu'il trouvera un moyen de se défaire de cette promesse. Je ne peux pas croire que sa mission s'arrête à ça.[/spoiler]

Oh et j'allais oublier! Il n'est pas exclus que je sois dingue dans la mesure où je suis incroyablement émerveillée par Marcus.
J'ai du mal à le cerner et je paierai cher pour entrer dans sa tête et savoir qui il est réellement.

Et je passe, Afya, Gibran, Helene etc. Parce que je ne ferais que me répéter quant aux faits que je me suis attachée à eux. Helene est superbe et je voudrais vraiment l'avoir encore plus dans le prochain tome.
[spoiler]J'ai été sincèrement attristée par la mort d'Izzi. Elle était la douceur dans un monde brutale et je l'aimais énormément. Elle m'a manqué, je ne m'attendais pas à ce que son histoire se termine ainsi.
Et j'avais vraiment envie de la découvrir dans une romance avec Gibran. :([/spoiler]

[spoiler]J'ai été TRÈS surprise d'apprendre que Keenan est le Semeur de Nuit. Je n'étais pas étonnée qu'il n'ait pas été celui qu'il prétendait être mais je ne m'attendais pas à ça.

D'ailleurs, je ne m'attendais pas non plus à apprendre que Harper et Elias sont frères. Et je dis pas non à plus de détails là-dessus dans le prochain tome![/spoiler]

Bref, un certain nombre de surprises sont à prévoir dans ATATN.

Sabaa Tahir n'oublie jamais d'ajouter une pincée de romance à son récit. Et j'avoue que je ne m'en plains pas du tout. Au contraire, j'aime beaucoup la romance chez Sabaa Tahir. C'est comme un feu qui se consume lentement. Je ne sais pas comment l'expliquer. Mais j'aime ça, j'aime le fait que la romance n'empiète pas sur l'intrigue mais qu'elle ait tout-de-même bel et bien sa place.
[spoiler]Je VEUX plus de Laia et Elias. Je crois qu'on aura le droit qu'à UN baiser par livre. C'est de la torture.

Aussi, c'est peut-être encore plus bizarre que d'aimer Marcus mais j'aimerai bien qu'il se passe quelque chose entre lui et Helene. Ou entre Helene et Harper.
Je ne sais pas. Je crois que mon cerveau déraille un peu.[/spoiler]

La fin m'a énormément plu mais je n'en ai pas assez. J'EN VEUX PLUS ! [spoiler]C'est un peu comme le calme avant la tempête. Et je suis impatiente de découvrir la suite. Je veux savoir ce que Keris prévoit, ce que Marcus planifie, ce qu'Helene va faire. Je veux découvrir ce que Laia, Darin et Elias vont faire à leur tour. Et attendre sans rien savoir est une torture, plus que jamais.


En conclusion, A Torch against the Night est un second tome addictif qui nous révèle un peu plus le sombre univers de Sabaa Tahir -et comment ne pas aimer ça?-. Je n'ai pas vu les pages défilées. Il n'y en aura jamais assez à mon goût, d'ailleurs.

Je n'ai qu'une question qui tourne en rond dans ma pauvre tête. Après Blackcliff et Kauf, que prépares-tu Sabaa Tahir?

«Fools pay attention to words in a fight. Warriors take advantage of them.»
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date : 18-11-2016
«I wished for impossible things. It was never going to have been a fairy tale for us. There are no fairy tales about two princesses.»

Je suis très déçue par cette lecture. L'idée de départ semblait bonne mais je n'ai pas accroché. J'ai trouvé que certains aspects de ce livre n'étaient pas assez développés et je n'ai pas vraiment apprécié la plume de Erin Bow.

J'étais très emballée par ce livre avant de l'avoir lu. Le synopsis était intéressant et je n'ai donc pas hésité à me lancer. Pourtant, j'ai rapidement déchanté. Dès le départ j'ai eu un mal fou à me plonger dans l'histoire et tout au long de ma lecture il y a pas de mal de passages durant lesquels j'ai eu envie de m'arrêter parce que c'était long ou tout simplement sans intérêt à mes yeux.

Comme je l'ai dit plus haut, je n'ai pas aimé la plume de l'auteure. Je ne suis pas sûre de pouvoir clairement expliquer pourquoi mais elle m'a semblé lourde et étouffante... C'est un très mauvais point pour ma part. Je ne peux pas vraiment être intéressée par une histoire quand la plume de l'auteur me donne envie de refermer le bouquin.

Quant aux personnages, c'est la même chose. Je ne m'y suis pas attachée, certains n'étaient pas assez développés à mon goût et d'autres ne m'ont fait ni chaud ni froid. Ils n'étaient pas stimulants, entre-autre. Ils m'ont ennuyés et c'est vraiment dommage car les personnages dans les livres ont énormément d'importance à mes yeux, je concentre pas mal mon avis sur eux...

Quant à la fin, je dirais presque qu'elle a rattrapé le reste. Presque. Et sûrement pas assez pour que j'ai envie de lire la suite, malheureusement.

The Scorpion Rules est donc une déception. J'ai l'impression d'avoir mis une éternité à lire ce livre et j'ai eu envie de m'arrêter en plein milieu à de trop nombreuses reprises.
L'idée est bonne mais le résultat n'était pas pour moi.

Mais c'est bête, je me dis qu'un jour, je pourrais lui redonner sa chance... Parce qu'une part de moi a vraiment envie d'apprécier ce livre.

«You can walk off a cliff and the air will hold you. Only, don't look down.»
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date : 12-11-2016
Honnêtement, j'ai été attirée par le titre avant toute chose. Timide est un mot qui m'a défini pendant toute mon enfance avant que je découvre que je souffre de quelque chose d'un peu plus grave. Mais j'avais envie de lire ce livre et de découvrir ce que c'est vraiment d'être timide.

Premièrement, j'ai l'impression d'avoir mis une éternité à lire ce livre. Il y a de très grosses longueurs et je ne me suis pas vraiment sentie à l'aise dans cette lecture. Je me suis un peu ennuyée et en vérité, je ne vois pas vraiment l'intérêt de ce bouquin. En bref, c'est une déception.

La plume de l'auteure ne m'a pas vraiment plus plu que ça. C'était plutôt banal et Sarah Morant n'a pas su me faire ressentir quoi que ce soit. C'est resté plat et assez fade à mon goût.

Côté personnages, j'ai eu un mal fou à m'attacher à eux. Et je ne suis même pas sûre d'avoir réussi en fin de compte. Ils sont très clichés et même s'il m'arrive d'aimer les clichés, là ce n'est pas le cas. Malheureusement.
Eleonore semble un peu exagérée et l'auteure met toutes ses réactions sur le compte de la timidité. Tu ne peux pas faire ou ne pas faire des trucs et rejeter la faute sur un trait de personnalité, un manque de confiance en soit.
En plus, n'étant pas quelqu'un qui se laisse faire quand des personnes comme Vanessa l'emmerde, j'ai juste envie de la secouer pour qu'elle se défende un minimum. Pour finir avec ce personnage, je l'ai trouvé un peu niaise.
Quant à Jason, je ne sais pas, je n'ai juste pas spécialement accrochée à sa personnalité.
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Le seul personnage que j'ai aimé, c'est Leo. Et cela uniquement parce qu'il a une histoire dramatique qui m'a, j'avoue, un peu touchée.


Côté romance, pas d'étincelle, rien, nada. Donc, inutile d'en dire plus.

La fin est égale au reste du livre. Sans grand intérêt et fade. L'épilogue m'a semblé un peu hors-sujet. Je ne sais pas comment l'expliquer mais il ne m'a pas semblé à sa place comme si l'auteure voulait nous prouver qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. Tous.

En fait, Timide me fait passer au genre d'histoire qu'on écrit quand on débute. Ça m'a fait pensé à une histoire que j'ai écrit quand j'avais douze ans. Sans déconner.
Je pense donc que Sarah Morant a encore beaucoup de choses à apprendre et à découvrir. Je pense sincèrement qu'elle peut écrire de bonnes histoires mais Timide n'en fait pas vraiment partie selon moi.
C'est un roman de débutant. Que ça soit dans l'écriture ou la lecture. Disons que comme ninon64, je ne suis pas le bon publique.
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date : 11-11-2016
«Brave is being scared and doing what needs to be done anyway.»

Ah, je suis déçue.
J'avais mis tellement d'espoirs dans ce livre parce que, sérieusement, le synopsis annonçait quelque chose de franchement cool.

Le problème est peut-être le fait que j'avais trop d'attentes mais une chose est sûre, je n'ai pas aimé Stitching Snow comme je l'aurais voulu.

J'ai eu un peu de mal avec la plume de l'auteure et je me suis sentie un peu perdue au début, avant que je ne prenne mes marques dans l'univers et je n'ai pas vraiment apprécié ça.

L'histoire a été divertissante et franchement pas mal. Le problème c'est que je ne me sentais pas à l'aise et je n'apprécie pas toujours tous les évènements qui se déroulaient. Il y a eu quelques longueurs et des passages qui m'ont mis les nerfs en pelote.
Au-delà de ça, les dialogues entre les personnages n'ont pas vraiment éveillés mon intérêt et là encore, c'est un point qui m'a déçue.

J'ai mis ce qui m'a semblé une éternité avant de finir par m'attacher aux personnages. Et donc, à mes yeux, c'était un peu trop tard.
Le personnage d'Essie m'a plu mais sans plus. Quant à Dane, je n'ai pas réussi à l'apprécier comme je l'espérais. J'ai eu un peu de mal à le cerner et à lui faire confiance et ça m'a chiffonné. Ça aurait pu me plaire mais malheureusement, ça n'a pas été le cas.

La seule chose que j'ai vraiment réussi à aimer dans ce livre c'est la romance. Même en ayant un peu de mal avec les personnages principaux, ensemble j'ai trouvé qu'ils étaient meilleurs. Je ne l'explique pas mais ayant un cœur de lectrice plutôt fragile, j'avoue que sur le coup, mon petit cœur a fait des étincelles.
Et donc, je retiens volontiers ce bon point.

Alors oui, ce livre m'a déçue. Mais je ne vais pas pour autant dire que c'est un mauvais bouquin parce que je suis certaine que ce n'est pas le cas. J'ai simplement eu un mal fou à l'apprécier à sa juste valeur et au final, je n'ai même pas réussi. C'est un échec pour moi pour la simple raison qu'il en faut pour tous les goûts et que Stitching Snow n'était pas à mes goûts du moment. Ce que je regrette vraiment.
Ce livre n'était bêtement pas pour moi.
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Et voilà, encore une fin.
De manière générale, les fins m'emplissent toujours de joie et de tristesse avec cette pointe de nostalgie un peu ridicule. Et je tenais à le dire parce que ce dernier tome de DIMILY est officiellement l'une de ces fins.

Quand je me suis lancée dans cette trilogie, tout ce que je voulais c'était un moment d'amour sous le soleil pour oublier qu'il ne fait certainement pas beau tous les jours.
Et je l'ai eu. Avec des nuages et des averses pour garder les pieds dans la réalité, Estelle Maskame a, selon moi, offert une très bonne histoire.
C'est donc le genre de lecture que j'adore : mon pauvre cœur fragile qui me trahit et l'impression que rien ne peut m'arriver dans ma petite bulle d'amour. ^^

L'histoire reprend près d'un an après la fin du tome précédent, comme le veut la tradition, j'ai envie de dire. Et une fois encore, on découvre que certaines choses peuvent bien changées mais que d'autres restent indéniablement les mêmes.
Et je n'ai pu qu'apprécier. J'ai passé une soirée très agréable avec ce livre.

Les personnages ont évolués depuis le premier tome. Mais celui pour lequel c'est le plus flagrant c'est bel et bien Tyler. Son évolution m'a énormément plu. Je n'aurais pas osé imaginer qu'il deviendrait le jeune homme qu'il est dans ce tome-ci lorsque j'ai lu le premier opus de DIMILY. Jamais. ^^
Mais comme quoi tout est possible. Je l'ai trouvé infiniment attachant, sincèrement touchant et définitivement craquant.

Quant à Eden, je l'ai beaucoup aimé. Je me suis attachée à elle même si elle n'est pas mon personnage préféré et que parfois elle était à deux doigts de m'agacer.

J'aurais bien frapper le père d'Eden et Jamie mais ce n'est pas encore possible de pouvoir entrer dans un livre pour tabasser un personnage. Un jour peut-être, avec les avancées scientifiques. ^^

Je suis éternellement fan de Ella et Karen. Non mais sérieusement, je les adore. Et Chase est attendrissant. Il me rappelle un peu mon petit-frère avant qu'il ne commence sa crise d'ado'. ;)

Spoiler(cliquez pour révéler)
J'ai adoré retrouver Emily, Amelia et même Stephen aka Snake ![/spoiler]

Côté romance, je m'estime chanceuse que mon cœur ait tenu le coup. Sans déconner. [spoiler]Et je me dois de féliciter Eden pour la magnifique gifle qu'elle offre à Tyler au début.
J'ai adoré, c'était un moment d'une magie incroyable. ^^[/spoiler]
J'aime beaucoup la relation de Tyler et Eden. Malgré tout ce qui a pu se mettre en travers de leur chemin, ils ont toujours trouvé un moyen de se retrouver avec leur amour intacte et même, plus fort.
Les secondes chances, parfois, sont les meilleures qu'on puisse donner à quelqu'un, maintenant j'en suis certaine.

Au niveau de la plume de l'auteure, je ne vais pas juste dire que c'est fluide. C'est carrément addictif. J'ai commencé et impossible que je m'arrête avant de n'avoir plus le choix parce que j'avais atteins le dernier mot.
Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et Estelle Maskame sait faire passer des émotions via ses mots. Et rien que ça, j'aime.

Quant à la fin, je suis vraiment satisfaite. J'ai eu ce que j'attendais et ça me convient parfaitement ! Je suis une lecture qui n'en demandait pas beaucoup et qui s'est tout-de-même retrouvée comblée. Cool, non ?
[spoiler]Eden et Tyler finissent donc ensemble. BAH OUI, ENFIN ! Et ils emménagent même ensemble. Du côté de leur proche, surtout Jamie et David, il y a encore un petit bout de chemin à parcourir avant qu'on puisse les définir comme la famille parfaite mais tout se finit aussi bien que possible. En tout cas, pour ce qui importent... ils vécurent heureux et ensemble. ;)


J'avais l'impression d'avoir un millier de choses à dire et au final, je crois que je n'en ai plus qu'une à dire avant d'avoir officiellement terminé DIMILY :
No te rindas.
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503 pages de bonheur.
Le bonheur version Nil, bien-sûr.

Je me sens comme si on m'avait annoncé que j'ai le droit de dévaliser Cultura sans dépenser un centime. Ce second tome de Nil a été complètement dingue et je suis du genre à tomber amoureuse des trucs dingues donc, bien-sûr, je dédie tout mon amour à ce livre. Si je ne lui avais pas balancé tous les spoilers du monde en pleine figure, j'aurais obligé ma mère à lire ce livre. Non mais attendez... Je peux toujours l'obliger à le faire ! ^^

Le jour où Les secrets de Nil est paru en France, j'ai immédiatement couru à la Fnac à quinze minutes à pieds de chez moi (cool, hein ?). Sauf qu'il n'était pas en stock (pas cool). Alors je suis allée au Cultura à une demi-heure de chez moi, en embarquant mon père dans l'aventure. Sauf qu'eux non plus ne l'avaient pas. (Vraiment pas cool.) Alors on a fait cinquante kilomètres de plus jusqu'à une autre librairie. Une véritable aventure, je vous dis ! Et je suis passée trois fois à côté du livre avant de le trouver. Autant vous dire, j'ai eu l'impression que c'était mon Jour 365 et que c'était ma dernière chance de prendre une porte !

Donc, sinon, est-ce que j'ai besoin de vous dire que j'ai adoré ce livre ? Je vénère Lynne Matson et j'ai carrément aucune idée de ce qu'elle a mis dans le troisième tome mais j'ai hâte. (Putain, qu'est-ce que j'ai hâte.)

Lynne Matson est la seule auteure qui me donne envie de ne plus jamais revoir un personnage dans son univers (maléfique et beau à la fois). Parce qu'ils sont tellement géniaux et attachants ses personnages ! Je ne sais pas si c'est parce qu'elle a un don ou parce qu'il y a une chance sur 365 (un truc comme ça) pour qu'ils restent éternellement sur l'île en mode mort (sûrement les deux) mais sérieux, je les aime d'un amour fou ce qui me fait littéralement passé pour une tarée pure et dure.

De plus, dans le monde de Lynne, il ne faut jamais rien tenir pour acquis. Je viens d'en faire les frais.
Spoiler(cliquez pour révéler)
J'étais persuadée que Dex allait survivre et BAM! il meurt.
Je l'aimais tellement ! Pauvre Jillian (parce que Dex/Jillian j'adhérais grave) mais surtout pauvre moi (parce que Dex/Louan -moi- j'adhérais encore plus ^^).
Je vais pleurer comme un bébé jusqu'à la fin de mes jours, je viens de perdre l'amour de ma vie.
L'un des amours de ma vie.[/spoiler]

Sinon, comment vous dire que j'ai adoré Rives et Skye ? Même le mot parfait n'est pas assez fort pour vous donner un aperçu de comment je les aime, ces deux-là. C'est clair, sur une échelle de 1 à 10, je suis à 1000.
[spoiler]Et puis, je ne pouvais pas résister à la romance entre eux. C'ÉTAIT PAS POSSIBLE, PAS ENVISAGEABLE.[/spoiler]

Et bien-sûr, j'adore les autres personnages. Mais ça, vous le saviez déjà.

Dans ce second tome, on en apprend définitivement plus sur Nil et c'est franchement très fascinant et les pièces du puzzle de Lynne Matson vont à merveilles ! Bravo.
J'ai adoré les explications qu'on reçoit et j'ai adoré ces moments où j'essayais de trouver des explications avant d'avoir les explications officielles. Ça me donnait l'impression d'être méga intelligente. ^^

J'aurais un million de choses à dire mais je ne peux pas. JE NE TROUVE PAS LES MOTS et j'ai tellement de choses à dire que JE NE SAIS PAS PAR QUOI JE COMMENCERAIS DE TOUTE FAÇON !

Mais par-contre, si je parle pas de la fin, je vais finir par devenir définitivement cinglée. (Si ce n'est pas déjà le cas ?)
[spoiler]ILS ARRIVENT À QUITTER NIL ! Si on m'annonçait que je viens de gagner au loto et que je suis maintenant richissime, je serais pas plus contente que maintenant. Impossible. C'est un tel soulagement et en même temps on repart dans l'inconnu puisqu'en vérité Paulo n'a pas quitté Nil et qu'on ne sait pas pourquoi ! AHHHR merde. (Je ne suis pas aussi malpolie normalement.) POURQUOI IL N'A PAS RÉUSSI ? Une question, pas de réponse. (^^)
Et puis à la fin on revoit Thad et Charley et ça c'est merveilleux parce que je les aime grave eux aussi et qu'ils m'ont manqués !

Voilà.

Putain (désolée), j'ai l'impression que je vais mourir. Du genre je suis à mon Jour 365 et si je poste pas ce commentaire dans la seconde, on pourra mettre une croix à côté de mon prénom. (C'est Louan mon prénom, ne vous trompez pas ! -je veux qu'on sache ce qui m'est arrivé- Je deviens folle, c'est bon.)

En conclusion, Les secrets de Nil a élevé mon fangirlisme (si je vous dis que ce mot est correcte !) à son plus haut niveau et là, j'hésite entre dire que je suis sur un nuage ou dire que je suis en pleine chute libre.
Mais dans tous les cas, j'aime ça.
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«You have far more courage than you think you do.»

En dépit d'un début un peu long à mon goût, j'ai adoré cette lecture ! Parce que même si on a débuté avec lenteur une fois que j'étais conquise, impossible de me détacher de cette lecture.

Que dire de plus ? Je ne trouve pas les mots. Le truc c'est qu'il me semble que ce livre est trop bien pour que tous les bons mots du monde lui correspondent !
(Est-ce que c'était clair, ça ?)

Alors pour commencer, Alison Goodman a une plume que j'aime énormément. Elle nous entraîne dans son univers et son histoire avec une façon d'écrire fluide et claire. Elle nous donne assez de détails pour qu'on puisse avoir une réelle image des scènes sans pour autant que ça rende le tout lourd.
Et par-dessus tout, elle connaît bien l'époque à durant laquelle se déroule Le Club des Mauvais Jours. Je veux dire, elle ne s'est pas levée un matin en se disant : "Tiens et si ça se passait au 18ème siècle" sans connaître un minimum l'époque, etc.
Et j'apprécie vraiment cet aspect-là de son travail.

Concernant l'histoire, pour être tout-à-fait honnête, je crois que j'ai été convaincue à la Fnac quand j'ai lu "Entre romance à la Jane Austen et Fantasy Noire". En une phrase j'ai su que ce livre était fait pour que je le lise et, dans le cas présent, que je l'aime.

On se trouve donc au 18ème à Londres. Lady Helen s'apprête à devenir une femme de la société de cette époque avec l'espoir d'un bon mariage, etc. Quand les évènements font que les choses ne se passent pas comme prévues. Sur son chemin, elle fait la rencontre de lord Carlston qui lui ouvre les portes d'un monde menaçant et dangereux dont la société ignore tout !
Et c'est le début d'une aventure un peu folle sur les bords à laquelle nous initie le récit de Alison Goodman. Ce fut, pour ma part, fascinant !

Concernant les personnages, je ne pouvais pas faire autrement que de les adorer.
Helen est une lady de l'époque et parfois, c'est assez amusant. Bien que j'en avais déjà une vague connaissance, découvrir comment les femmes se comportaient à l'époque et comment on se comporte de nos jours est assez "amusant". Les choses ont pas mal changées ! ^^
Et je me suis attachée à Helen parce qu'en dépit de cela, elle a une vraie force de caractère, elle est intelligente avec un brin d'audace et de courage.
Et concernant lord Carlston, je dois bien avouer que je lui ai succombé sans poser de questions dès le début. J'aime le côté sombre et mystérieux qu'il entretient au long de ce livre et en même temps de temps à autre il laisse échapper un peu de lumière de son côté sombre... Je pense qu'on a encore beaucoup à apprendre de lui et j'ai sincèrement hâte !

Concernant la romance, "romance à la Jane Austen", là non plus je ne pouvais pas résister. J'aime les romances que les auteurs prennent le temps de mettre en place. D'ailleurs, la romance entre les deux personnages principaux est loin d'être le thème principal et j'ai adoré cela !
Alison Goodman prend son temps pour installer un minimum de confiance et tout ce qui s'en suit entre les personnages. Forcément, ils allaient pas s'aimer au premier coup d’œil ! Et ça rend les choses vraiment convaincantes. C'est très bien mené.
De plus, je ne sais pas si c'est juste moi mais, au final on sent un véritable lien entre les personnages et personnellement à la fin je souriais qu'une débile pure et dure ! ^^

D'ailleurs en parlant de la fin, je n'avais pas envie que ce livre se termine. J'aurais payé cher pour ne serait-ce que quelques pages de plus bien qu'il en fasse déjà 562.
J'ai aimé la fin autant que j'ai aimé le reste du livre. Et durant le dernier paragraphe l'auteure nous donne sincèrement envie de nous plonger dans le second tome (du genre, TOUT DE SUITE) et elle nous fait sentir sans problème que les choses commencent à peine.
Et j'aime ce sentiment.

En conclusion, un début en douceur et une histoire très bien mené, Le Club des Mauvais Jours est pour ma part un coup de cœur et un roman que je recommande !
Même si vous trouvez le début long, n'arrêtez pas de lire ! La suite vaut bien ça.
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