Commentaires de livres faits par TheZazbou
Extraits de livres par TheZazbou
Commentaires de livres appréciés par TheZazbou
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Plus de 1520 pages sur la vie à Fraser's Ridge et les mésaventures de Claire et Jamie : Brianna/Roge, Jocasta, la bataille d'Alamance, l'or français, Stephen Bonnet...
Hâte de lire la suite.
Pendant la lecture, mon cœur battait très vite et à plusieurs reprise mon ventre s'est tordu d'appréhension.
J'ai tant voulu détester Bay et pourtant, plus l'histoire avançait, plus je l'aimais. C'est un triangle amoureux inattendu. J'ai apprécié lire le point de vue d'un personnage masculin tiraillé entre les envies de son cœur et celle de sa tête ( et autres...) .
Je ressors de cette lecture plus que conquise et je pense que dans les prochaines semaines, je vais avoir du mal à trouver un livre qui me fera un tel effet.
Cela rend d'autant plus étonnant que, lorsqu’à la toute fin du livre, les choses prennent une tournure inattendue. C'est une fin réaliste qui a probablement aidé ce livre à obtenir un prix.
De cette auteur, j'ai lu Les lieux sombres, il y a quelques années et j'avais beaucoup aimé. J'aime beaucoup les personnages féminins de Gillian Flynn. Ce roman est étouffant, malsain et même un peu morbide. Parfois, je me suis surprise a regarder autour de moi pour voir si j'étais bien toute seule. A plusieurs reprises, j'avais envie de dire à Camille de partir en courant.
Je le recommande fortement
J.K Rowling produit un livre haletant et très fouillé jusqu'à la dernière ligne. J'adore !
Des livres comme celui-ci, j'en ai lu des tonnes. C’est toujours un bon divertissement mais c'est dommage que l'auteur n'est pas choisis de développer un peu plus l'école et les personnages. Certains sont complètement flou. Sophie ressemble a toute les autres héroïnes de ce genre de roman. elle n'a rien qui la distingue des autres.
J'ai les deux autres tomes, je vais les lires parce que même si ce premier tome ne pas transcendé, j'ose espérer que tout sera un peu plus développé par la suite !
Lecture sympa mais qui risque d’être vite oubliée....
Tessa, notre héroïne est directement plongée dans l'aventure ( et nous, par la même occasion ) pas le temps d'introduire quoi que ce soit ou de présenter notre personnage pendant 5 pages. C'est un point qui m'a bien plu.
Il y a beaucoup de similitudes avec The Mortal Instrument, Will et Jace par exemple, se ressemblent beaucoup ( parenté). Et finalement, j'ai été bien plus intriguée par Will ! Et j'aime Jem !
Les méchants ne sont pas ceux que l'on croit et ça, ça fait plaisir !
Et Magnus Bane est évidemment de la partie !
J'ai très envie de lire la suite !
L'histoire continue de s'installer, et on découvre d'autres personnages du passé et du présent.
Gros coup de cœur pour le petit Xemerius, qui est vraiment drôle et adorable. Je voudrais bien en savoir plus sur le petit fantôme, le fils du Dr White (il me semble!). C'est sympa de croiser dans le passé le grand père de Gwen ! Lucy et Paul sont aussi intéressant Il y a tellement de choses qui sont misent en route, je pense que le tome 3 va être trépidant !
Le retournement final est déchirant mais donne encore plus envie de savoir comment ça va se terminer.
J'ai hâte de connaître le dénouement, ainsi que ce le Comte de Saint-Germain cache vraiment...
J'ai trouvé qu'il ne se passait finalement pas grand chose, il y a moins de surprises et de rebondissements.
Si Clary est sympathique, elle n'est pas non plus fantastique. C'est un personnage féminin qui pour l'instant ne m'a pas encore marqué. J'ai aussi du mal avec Jace. Y'a quelque chose qui ne passe pas.
Dans ce tome on rencontre les Lightwood mais Isabelle est peu présente.
J'ai trouvé Simon très intéressant et je l'aime beaucoup.
J'ai beaucoup apprécié Magnus, ce sorcier ténébreux toujours tiré à quatre épingles, qui n'appartient pas aux Chasseurs d'Ombres mais à qui on s'adresse inexorablement. Et j'aime bien sa relation avec Alec et qui sera j'espère développé dans les prochains tomes.
Je suis impatiente de lire la suite et j'espère que j'aurai les réponse à mes questions !
En un mois, j'ai dévoré les cinq premiers tomes de cette saga. J'ai ouvert ce nouveau tome avec une impatience folle et dès les premières pages, j'ai senti que quelque chose allé mal se passer.
Karigan est envoyée 200 ans dans un futur où le Second Empire règne en maitre et dans lequel le monde qu'elle connaissait est plongé dans la chaos.
Nous sommes introduits a plusieurs personnages et contrairement à beaucoup de commentaires ci-dessous, je n'ai pas vraiment accroché au personnage de Cade. Et je sais très bien pourquoi, mon cœur aime seulement Zacharie. Je me suis dit que c'était stupide de réagir comme ça. Evidemment que nous ne pouvons pas avoir de relation entre Zacharie et Karigan, leur position la rend impossible. Et c'est ce qui rend l'histoire si réaliste. Même si je veux les voir ensemble, ce serait vraiment agaçant que tout se déroule si facilement.
Kristen Britain sait ce qu'elle fait. Rien est laissé de côté, tous les morceaux s'emboitent parfaitement et rien n'est anodin. Oui, nous avons aucune nouvelle de certaines personnages. Pas d'histoire de Cavalier ni quoi que ce soit. Ce tome donne un peu l'impression d'être un hors série, mais il ne l'est pas!
Cette pauvre Karigan! Il y a quelque temps, elle fuiyait son école et à présent, là voilà dans un futur chaotique, loin de tout.
Oui, je suis peu emballée pas la tournure que prends cette histoire.
Surtout que Zacharie
Après un rapide tour sur le site de l'auteur, cette dernière aime bien nous faire souffrir.
Je voulais commander la version anglaise du sixième tome, mais finalement, je vais attendre la sortie française. Je suis un peu refroidie par la tournure qu'on prit les évènements.
Karigan est fantastique.
C'est triste de se dire que des personnes très talentueuses ne seront jamais publiées tandis que ce truc se vend par millions.
En gros, la méthode proposée par Christian est assez simple : acheter l'entreprise dans lequel bosse votre copine, virer le patron après qu'il a tenté de proposer un déplacement professionnel, le faire remplacer aussitôt par votre esclave toute étourdie d'avoir traversé le plafond de verre sans même avoir passé des années à apporter le café. Puis, enfin le coup de grâce : lui proposer le mariage et simuler un crash mortel d'hélicoptère sur BFM pour que vraiment elle soit piégée définitivement, sans jamais aucune possibilité de s'enfuir.
Vivement la suite!
Le seul point positif que j'avais ressorti du premier, c'est son méchant. Je le sentais, il pouvait se montrer très intéressant par la suite. Eh bien, je n'ai pas été déçu. Le tome met un peu de temps à s'installer. J'ai du mal avec Juliette, c'est pourtant rare que le personnage principal ne me plaise pas trop. J'ai du mal à la comprendre, toutes ses peurs, ses angoisses etc...Ça me semblait trop exagéré. Et parfois elle m’agaçait. Et pourtant elle a toutes les raisons du monde de se comporter de la sorte. Je m'en suis voulu de ne pas la comprendre et de la juger intérieurement. Mais au fur et à mesure de ma lecture, j'ai compris, j'ai compatis et je me suis en quelque sorte un peu retrouvé en elle.
Je n'avais pas non plus accroché à l’écriture de Tahereh Mafi ou bien peut être à sa traduction française dans le premier tome... mais j'ai été conquise dans ce second volet. Elle sait mettre des mots sur les sentiments. Je trouve ça remarquable. De plus, elle réussi à me toucher. Il y a des scènes pendant lesquelles, je retenais ma respiration, où je buvais les mots, je les imprimais dans ma tête et sous ma peau. La scène entre Warner et Juliette, si vous avez lu le livre, vous savez de quoi je parle. J'en ai eu le souffle coupé! J'ai rarement lu une telle scène ( qui est, si vous voulez mon avis, bien plus excitante que les trois tomes de 50 nuances de Grey réunis).
A côté du personnage de Warner, Adam est vraiment pale. J'imagine que c'est ce que l'auteur chercher à faire. Du moins je l'espère ! L'héroine qui a un prince charmant un peu trop parfait qui se sent attirée par le méchant. L'interdit. J'adore!
Warner est tellement compliqué, contradictoire mais à la fois si simple, si sensible. On veut le détester mais en réalité on l'aime follement.
J'attends beaucoup du personnage de Juliette dans le dernier tome. J'ai besoin de l'apprécier et alors tout sera parfait.
J'ai hâte de voir comment cette trilogie se conclut.
En lisant la quatrième de couverture, je savais à quoi m'attendre. Et je ne sais pas si c'est parce que j'ai maintenant la vingtaine mais avant de le commencer, j'ai essayé de me persuader que ça allait être gnangnan et niais à souhait et que je ne devais pas l'aimer! Je ne suis plus une ado et ce genre de livre ne m'intéresse plus, blahblahblah... !
BAM !!!!! Raté ! Dès la première page, j'ai étais conquise parce que c'est tout ce que j'aime ! Que puis-je dire d'autre ? J'aime la romance, c'est beau! Oui, c'est cliché! Encore plus lorsqu'on est français ET parisien. Mais ça fait tellement de bien ! Ça m'a rendu tellement heureuse, je ne pouvais plus le lâcher ! J'ai été transporté ! Et maintenant je veux un Étienne St. Clair ! MON Étienne St. Clair!
Ce troisième tome est le moins passionnant de la série pour l'instant dans le sens où il est un peu long dans le déroulement de l'aventure de Karigan. On comprend alors ce qu'elle veut dire quand elle dit à son nouveau partenaire que les missions des Cavaliers Verts ne sont pas toujours pleines de rebondissements.
Karigan est envoyée en mission aux quatre coins du royaume avec un nouveau partenaire, le jeune Fergal. L’histoire est toujours découpée en partie, on retrouve un chapitre basé sur Karigan, puis un sur Alton, et un autre sur Dame Estora pour ensuite revenir vers Larenne et le roi Zacharie. De nouvelles forces du mal font leur apparitions et les choses se compliquent avec le mur D'Yer. Le gros de l'action se déroule dans les 200 dernières pages bien que les précédentes soient intéressantes d'un point de vue historique. On en apprend plus sur le passé du Royaume, sur certains personnages etc...
Il est difficile de s'arrêter de lire une fois plongé dans l'univers.
Je l'avais dit dans ma critique du premier tome, le fantastique n'est pas mon genre préféré et j'en lis très rarement mais jamais je m'étais retrouvée à allumer les lumières et continuer ma lecture à trois heures du matin. Même pour mes livres préférés.
Je suis impatiente de lire le tome quatre, de retrouver la merveilleuse Karigan qui est un personnage féminin que j'adore et qui je pense restera graver dans ma mémoire un long moment.
J'ai emprunté Cavalier Vert à la bibliothèque parce que le titre a attiré mon attention, puis la couverture et enfin, la quatrième de couverture. Je me suis dit : " Il faut que tu sortes de ta zone de confort et donne une nouvelle chance à ce genre."
Et j'ai bien fait !
Si j'ai trouvé les 100 premières pages fastidieuses, tout c'est arrangé par la suite. Karigan est un personnage féminin comme on les aime ! Courageuse, loyale, avec un fort caractère et beaucoup de détermination. Mais en même temps elle doute, elle a ses faiblesses, ses peurs. Et le choix qu'elle fait à la toute fin de ce premier tome ne fait que la rendre encore plus intéressante.
J'ai eu un peu de mal avec tout le côté magie un peu compliqué et les légendes des soldats mais ce n'est qu'un détail.
L'univers est très riche et je suis intéressée de voir comme l'auteur va l'exploiter.
Certains personnages sont vraiment biens et intéressants comme, l'Homme en Gris, Cheval ou encore le Roi.
Et j'ai vraiment hâte de lire le second tome et surement le troisième.
A chaque fois que je me forçais à fermer le livre, j’avais un pincement au cœur. Ce livre vous met dans tous vos états et ça c’est ce que j’aime.
Bref, voilà un premier tome qui ne brille certes pas par son intrigue mais qui dégage suffisamment de charme pour que je me laisse convaincre de poursuive au plus vite la découverte des aventures d’Enola.
Immense coup de cœur pour cette série que j’aime de tome en tome !
J’adore ce personnage, tout simplement. En particulier son caractère, c’est une vraie guerrière, mais ça reste un être sensible tiraillé entre plusieurs sentiments. Pour moi, ce tome est un poil moins bien que le premier, tout simplement parce que l’histoire met du temps à se mettre en route mais une fois arrivé dans la station de ski les choses deviennent beaucoup plus sérieuses. C’est un tome plus dure que le précédent, les personnes l’ayant lu seront surement d’accord avec moi. Ce second livre est aussi l’occasion de nous introduire à un nouveau personnage dont je suis tombée follement amoureuse dès l’instant où il est apparu : Adrian ! Ce personnage va venir corser les choses ! Vite, vite le tome 3 !
Quant à l'histoire, ça présente l'univers. L'Olympe, l'Enfer, le monde en réalité que nous, pauvres mortels qui n'avons pas un Dieu pour parents, ne voyons pas. Ainsi, l'Olympe se trouverait au 600e étage d'un immeuble localisé au milieu de New-York. Cependant, passé ces éléments, nous suivons attentivement les actions de nos trois jeunes héros et nous posons difficilement le livre. Mais à la fin, un très gros rebondissement ce qui fera un fil conducteur pour la suite de la série. Ce qui vous conduira à acheter le tome 2, voir le tome3... Et ainsi de suite. Mais un conseil, lisez ce premier tome !
L’histoire met pourtant un peu de temps à se mettre en place, dans ma version, il a bien fallut attendre 150 pages pour que les choses deviennent sérieuses. Ce qui m’a beaucoup plu c’est la reconstitution historique. Alison Goodman a parfaitement capturé l’époque, son aura et son langage. J’adore Lady Helen, j’adore son esprit rationnel, sa gentillesse et son sens de justice. Mais aussi son énergie, sa détermination et son courage dans l’adversité. Elle est très réfléchie, elle ne se dit pas « Oh, des démons ! Allez ! je fonce et je vais tous les tuer ! » C’est un personnage qui a été élevé dans un monde dans lequel une jeune femme ne peut pas agir de cette manière, ce qui est tout à fait normal pour son époque. Et pourtant, elle essaie, elle veut comprendre et se lancer dans cette aventure mais la classe dans laquelle elle a été éduquée est toujours présente. Et détermine énormément ses choix. Elle est balancée entre la vie d’une jeune femme de la haute société qui a pour devoir de se rendre à des bals dans de belles robes, de rencontrer la Reine et de se marier à un duc et entre ce monde plein de danger auquel elle n’appartient pas car en tant que lady, elle ne peut pas disparaître toute une journée sans un chaperon avec un homme et errer dans les bas quartiers de Londres. C’est le fait que ça reste réaliste qui m’a beaucoup plus. Et ces monstres sont très intéressants. Au départ, je me suis dit « oh non ! Encore une histoire avec des démons étranges » et finalement ils sont très, très intéressants. Je ne parlerais pas du personnage masculin principal, ce cher Lord Carlston, car ma critique peut durer des heures ! En tous les cas, j’attends le tome 2 avec une grande impatience car ce premier tome est définitivement un coup de cœur de l’année 2016 !
Ce roman retrace également les rapports entre honneur et amour. « L'amour est-il soumis à l'honneur ou inversement ? », telle est la question ! Armand juge clairement que l'amour doit franchir les barrières de l'honneur, mais les deux êtres qu'il aime, son père et Marguerite, pensent le contraire. Il se retrouve donc pris au piège de la relation entre ces deux êtres aimés qui sont prêts à sacrifier l'amour au prix de l'honneur. Ainsi, la morale est qu'il ne suffit pas de pouvoir répondre à la question soi-même mais de s'assurer que ses proches aient répondu de la même manière.
Si l'honneur a séparé initialement Armand de Marguerite, c'est la mort qui viendra les séparer définitivement. La prise de conscience de la mort de Marguerite par Armand s'opère difficilement : il n'a pas pu assister à son enterrement...et ne supporte pas ce fait. Il va donc jusqu'à la faire déterrer, alors qu'elle est dans un état de décomposition avancé pour pouvoir faire le deuil de cette femme qu'il a tant aimé. L'image de l'être mort est bel et bien nécessaire pour s'assurer d'un ancrage avec la réalité tel qu'elle est. Même si elle se révèle atroce, rien ne peut la remplacer.
Ainsi, ce roman arrive à toucher les profondeurs de l'être à différents niveaux, même si certains passages se révèlent mièvres.
Dans ses nouvelles fonctions, il rencontrera tous les personnages qui gravitent autour de cette maison un peu rustres un peu attachants et tellement humains. Il retrouvera peu à peu un sens à sa vie et s'attachera à faire le bien autour de lui. On retrouve l'humour de Legardinier certes un peu moins présent mais toujours très amusant! Sa belle plume est toujours un régal. Et puis ça fait du bien, un bouquin plein de bons sentiments où l'on nous livre un beau témoignage de la vie en communauté.
A emporter dans toutes vos valises et sur la plage!
Encore un troisième tome dans lequel l'action peine à se mettre en route. On est tout le temps dans l'attente de quelque chose mais ça n'arrive pas. C'est sans surprise.
Zoey est si naïve, au contraire je ne trouve pas que l'on ressent bien ses sentiments, ce n'est pas assez profond, ni assez recherché. La moitié de ce tome ( un peu plus court que les précédents) est basé sur ses hésitations à choisir un petit ami (parmi les trois qu'elle a déjà!!)
Zoey me fait penser à une collégienne en adoration devant un mec de quelques années de plus avec une moto rouge et la clope au bec!
Si d'ordinaire dans ce genre d'histoire, le prétendant de l’héroïne me fait toujours rêver, ce n'est absolument pas le cas ici. Et pourtant il y en a TROIS !
On a l'impression que ce sont des garçons provenant d'un magazine. Ils sont juste une image sur papier glacé. Beaux, beaux, canon, sexy, beaux et...beaux.
Et nous n'en saurons pas plus. Au final, elle ressent les mêmes sentiments pour chacun d'entre eux. Erik qui est sensé être le petit ami de rêve je n'arrive tout simplement pas à le visualiser. Il est flou dans ma tête. Il n'a aucun présence, il manque de substance. Loren s’annonçait si intéressant et se révèle être aussi vide qu'Erik. ( Terriblement dommage, avec une relation élève/professeur on peut faire tant de chose!) Ne parlons même pas de Heath. L'empreinte aurait pu rendre très intéressante sa relation avec Zoey et les sentiments qu'il ressent mais il n'apparaît que comme un idiot fini qui s'accroche, s'accroche et s’accroche!
Et Zoey ne va plus en cours! Il faudrait aussi que je feuillette à nouveau le premier tome pour relire les descriptions de La Maison de la Nuit. Je n'arrive pas non plus à me visualiser les lieux.
Un point intéressant, Aphrodite. Son personnage s'avère être le plus intéressant de tous.
Une citation de Loren qui colle plutôt bien à tout ça :
Au final, un bon quart de ce tome aurait pu être supprimé. Toutes les questions que se posent Zoey toutes les 10 pages auraient pu être expédiées en une fois.
L'histoire pourrait être très bien mais elle manque de substance, de matière et c'est bien trop léger.
J'ai l'impression d'avoir été très dure dans ma critique mais je suis tellement frustrée.
Ce que j'ai préféré c'est sans aucun doute les deux personnages principaux : Cerys et Fox. J'ai beaucoup aimé le lien entre eux mais aussi en tant que personne.
Le monde que Ashley Poston a créé est formidable et en fermant le livre, on se dit qu'on en veut encore plus !
Je recommande !