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Blonde



Description ajoutée par ninanina 2010-06-17T23:51:57+02:00

Résumé

Il y a l’icône. Et il y a la femme, l’habitante esseulée du 12305, Fifth Elena Drive. Pour Norma Jean, par fascination pour la fille derrière l’actrice Monroe, Joyce Carol Oates a écrit un pavé de mille pages. Lourd, puissant et guerrier. Peu importe finalement que ça ressemble ou non à la «vraie vie». D’ailleurs, que peut-on en savoir, d’une vie, si on n’a pas approché le sujet ? La romancière américaine a le cerveau bien trop plein d’étincelles pour se soucier de tels détails. «70% du livre est imaginé» précise-t-elle dans tous les journaux de la planète. Si elle n’a interviewé personne, l’affabulatrice a choisi son camp. Une fois de plus, dans son trente-neuvième ouvrage, elle écrit contre ceux qui instrumentalisent les femmes. A la lire, on croit volontiers à la thèse de la beauté devenue jouet des hommes, de l’actrice née, bousillée par l’ultra-libéralisme des studios anthropophages, dévoreurs de jeunesse et avaleurs de corps. Ce qui détonne, c’est que Joyce Carol Oates écrit comme Marylin apparaît : c’est évident, hypnotique, ensorcelant. Sa forme textuelle, c’est la rage. Tout est vraisemblable et mensonger, comme une intense séance de voyance, un travail de sorcière buveuse de faux souvenirs, une analyse post-mortem. C’est Flaubert à Los Angeles, les néons remplacent la Normandie. Mais la lumière crue des réverbères montre que les âmes américaines sont un peu sales et pas seulement au temps du maccarthysme. Il fallait une féministe de 62 ans pour le crier si fort.

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Classement en biblio - 115 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par NicolaK 2024-02-04T11:07:00+01:00

Livraison express

Alors vint la Mort, le long du boulevard dans la lumière sépia du crépuscule.

Alors vint la Mort à tire-d’aile comme dans les dessins animés pour enfants, sur sa sobre et lourde bicyclette de coursier.

Alors vint la Mort à coup sûr. La Mort inévitable. La Mort pressée. La Mort pédalant à tout rompre. La Mort transportant, dans son solide panier grillagé derrière la selle, un paquet marqué LIVRAISON EXPRESS/FRAGILE.

Alors vint la Mort, sur sa vilaine bicyclette, se frayant en experte son chemin dans le flot de la circulation à l’intersection de Wilshire et de La Brea où, en raison de travaux, les deux voies de Wilshire dans la direction ouest s’étranglaient en une.

La Mort si preste ! La Mort qui faisait des pieds de nez à des klaxonneurs entre deux âges.

La Mort en train de rire. Va te faire foutre, mec ! Et toi donc. C’était Bugs Bunny dépassant les rutilantes carrosseries d’onéreuses automobiles sorties tout droit de chez le concessionnaire.

Alors vint la Mort pas gênée par l’air exsangue et brouillé de Los Angeles.

L’air chaud et radioactif de la Californie du Sud où elle était née.

Oui, j’ai vu la Mort. J’avais rêvé d’elle la veille. Et des nuits auparavant. Je n’avais pas peur.

Alors vint la Mort ô combien prosaïque. La Mort courbée sur le guidon moucheté de rouille d’une bicyclette laide mais solide. Alors vint la Mort : en T-shirt Cal. Tech, lavé mais pas repassé, short kaki et mocassins sans socquettes. La Mort mollets galbés, jambes poilues. Colonne vertébrale sinueuse, vertèbres saillantes. La Mort aux boutons d’acné d’adolescent. La Mort choquée, chavirée par les coups de cimeterre du soleil qui ricochait sur les pare-brise et les chromes.

Re-concert de klaxons dans le sillon flamboyant de la Mort. La Mort, cheveux en brosse hérissée. La Mort chewing-gum.

La Mort, tellement routinière, cinq jours par semaine, samedi-dimanche moyennant supplément. Hollywood Messenger Service. La Mort livrant en personne ses paquets-cadeaux.

Alors, sans prévenir, la Mort arriva à Brentwood ! La Mort fila dans les rues résidentielles de Brentwood, étroites, quasi désertes en août. Ici, à Brentwood, la touchante futilité des pelouses méticuleusement entretenues devant lesquelles la Mort pédalait ardemment. Alta Vista, Campo, Jacumba, Brideman, Los Olivos. Jusqu’à Fifth Helena Drive, un cul-de-sac. Palmiers, bougainvillées, rosiers grimpants floraison rouge. Une odeur de fleurs pourrissantes. Une odeur d’herbe brûlée par le soleil. Des jardins enclos, des glycines. Des rues en demi-cercle. Des fenêtres aux stores dont les lattes hermétiquement jointes repoussent les assauts du soleil.

La Mort porteuse d’un paquet-cadeau sans réponse souhaitée, à l’intention de :

« MM », occupante actuelle du

12305 FIFTH HELENA DRIVE

BRENTWOOD CALIFORNIE USA

« TERRE ».

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Commentaire le plus apprécié

Or

Blonde a beau être une biographie fictive de Marilyn, le roman donne l'impression de réellement pénétrer dans l'intimité de la star.

L'écriture de Joyce Carol Oates est intense et donne la sensation de vivre les événements "de l'intérieur", comme si l'on prenait part, en tant qu'observateur direct, à la vie des différents personnages et de Marilyn, en particulier.

Etrange et très perturbante, la vie de la petite Norma Jeane ne laisse pas indifférent. Tout au long du roman, on sent le malheur qui la guette, comme si la maladie mentale de Gladys était une sorte de malédiction menaçant à tout moment de s'abattre sur sa fille. Et certains passages du texte donnent d'ailleurs à penser que Norma Jeane souffrait du même mal que sa mère. Plusieurs fois, en particulier lors des tournages de ses différents films, l'actrice donne l'impression de souffrir de personnalités multiples: elle passe avec une facilité déconcertante d'une personnalité à l'autre (talent ou maladie?) et considère toujours "Marilyn" comme une entité extérieure, une personne qui fait partie d'elle, mais pas tout à fait. On en arrive à se demander si le métier de cette femme n'a pas précipité sa fin: Marilyn serait-elle morte aussi jeune si elle était resté Norma Jeane, jolie mais anonyme?

Car exposée à tous les regards, et en particulier aux regards masculins, Norma Jeane est devenue extrêmement vulnérable. Jouet des hommes et ne sachant rien leur refuser, elle semble n'avoir aucun amour-propre. Après quelques relations sentimentales catastrophiques, on pourrait s'attendre à ce que Norma Jeane soit plus raisonnable, et pourtant sa relation avec le Président, sa dernière conquête avant sa mort, montre à quel point cette femme est prête à supporter toutes les humiliations: du moment qu'elle a l'impression d'être aimée, elle est prête à tout.

La vie de Norma Jeane est aussi, bien entendu, intimement liée à Hollywood. A tel point que la jeune femme aborde l'entièreté de sa vie comme un film. Plus d'une fois, alors qu'elle bavarde avec diverses personnes, Norma Jeane se retrouve prise de cours et ne sait plus quoi répondre parce que "le scénario" ne prévoit pas le genre de situation à laquelle elle est confrontée. Ce genre de réaction renforce encore le sentiment de malaise que l'on ressent à la lecture et fait comprendre qu'il arrivera bien un moment où la jeune femme plongera dans le même abîme que sa mère. Car Norma Jeane devenue Marilyn ne vit plus sa vie, elle la joue. Et le fait d'être en représentation permanente ajoute encore à sa tension, l'amène à abuser des médicaments et de l'alcool. A tel point que sa carrière, pourtant prometteuse, finit par en souffrir:

"C'était un miracle quelquefois. D'accord, c'est un cliché, mais il se trouve qu'il est vrai. Monroe se pointait avec des heures de retard et parfois le bruit courrait qu'elle était à l'hôpital de Reno (pour avoir tenté de se suicider la veille!) et pourtant elle arrivait souvent toute douce & l'air timide & bagayant des excuses, et les acclamations fusaient même si on venait tous de maudire cette garce. Quand Monroe arrivait, on voyait que ce n'était pas une garce mais seulement une force de la nature comme un vent violent ou un orage, on voyait qu'elle était elle-même la proie de cette force de la nature et on ne demandait qu'à lui pardonner".

Comme le montre l'extrait ci-dessus, Blonde ne se concentre pas uniquement sur le point de vue de Norma Jeane. Chaque personnage est mis en avant et, en quelque sorte, amené à donner son avis sur la personnalité de Marilyn. Cette technique renforce encore l'impression de lire un véritable documentaire, une biographie pour laquelle Joyce Carol Oates aurait rencontré des ex-collègues et anciens amis de Marilyn et les aurait interviewé. Le fait de devoir sans cesse se rappeler que l'on est en train de lire une fiction et non une biographie rend le récit encore plus intense, car cela force le lecteur à rester aux aguets, à se concentrer sur la moindre anecdote afin de se rappeler qu'elle est inventée de toute pièce par l'auteure.

En bref : Magnifique et déconcertant à la fois, Blonde est à classer parmi les tous bons romans, de ceux auxquels on continue à penser des jours après l'avoir refermé.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Martine-Chantal 2024-05-19T20:33:48+02:00
Or

Un livre complexe sur Marilyn Monroe ! J'ai découvert la plume de Joyce Carol Oates qui est aussi complexe. Mais elle a su la faire revivre en se mettant dans sa peau. J'ai souffert avec Norma Jeune Baker et j'ai mieux compris sa déchéance. Face aux producteurs d'Hollywood, corrompus et profiteurs, elle a fait ce qu'elle a pu pour survivre.

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Commentaire ajouté par NicolaK 2024-02-09T14:50:31+01:00
Diamant

Et Joyce Carol Oates créa Blonde... un roman, une fiction.

L'auteur écrit en préambule ce qui différencie son livre d'une biographie de Marilyn Monroe.

Alors qu'enfant, Norma Jeane a été placée dans de nombreux foyers, l'auteur a choisi de ne parler que d'un seul (fictif de surcroît)

Ses amants, problèmes médicaux, avortements, tentatives de suicide et rôles, sont réduits aux essentiels.

Vous l'aurez compris, Blonde n'est pas un récit historique, même s'il retrace les grandes lignes de la vie de Marilyn et que la plongée dans son esprit nous semble très réelle.

Je me suis lancée dans ce pavé de 1115 pages en lecture commune avec quelques amies, sans lesquelles je n'aurais probablement jamais ouvert ce livre.

D'une part à cause du nombre de pages, et d'autre part parce que je ne me suis jamais intéressée à Marilyn. Je dirais même plus, je saturais un chouia.

Donc, merci à ma Pépette, Anna-Choute et ma Caro,

Au début, Norma Jeane a 6 ans, et sa mère Gladys vient la chercher chez ses grands-parents, qui l'avaient élevée jusque là.

Quel déchirement de voir cette pauvre gamine sous le joug de cette mère déséquilibrée, qui vit dans un taudis à Hollywood.

Et puis l'orphelinat, le placement dans une famille d'accueil...

Mon coeur a saigné, et mon désintérêt pour la femme s'est envolé au fur et à meusre que je m'attachais à l'enfant.

Norma Jeane grandit. Elle est très belle, attachante, sexy... bon, vous la connaissez tous, au moins de nom et de vue.

Personne ne peut à échapper à Marilyn Monroe.

Norma Jeane en fera des choses pour devenir célèbre. Et dans un premier temps, tenir la tête hors de l'eau, parce qu'on ne peut pas dire qu'elle ait de quoi subvenir à ses besoins.

Une femme intelligente, gentille, charmante et charmeuse, qui "devra" se servir de ses atouts physiques et cacher sa culture, parce que ça ferait désordre.

Elle ne doit être qu'une ravissante idiote.

Et la façon dont les hommes l'ont traitée est juste innommable.

Mais elle a réussi à s'élever... Malheureusement plus on est haut plus on peut tomber très bas et la chute est douloureuse, voire dévastatrice.

Joyce Carol Oates a réussi à percer ma carapace, ce qui ne lui fut pas facile, en supposant qu'elle ait écrit ce livre pour moi.

Que vous aimiez Marilyn ou pas, ou qu'elle vous soit indifférente, je ne peux que vous conseiller ce roman magnifiquement écrit, la plume de JCO n'est plus à vanter, et très réaliste.

Elle m'a marquée, cette enfant-femme qui ne voulait qu'être aimée.

L'absence de son père et son manque de lui l'a amenée à le rechercher dans chaque rencontre qu'elle faisait.

Une plaie à vif qui ne s'est jamais refermée, jusqu'à sa mort.

En fait, elle voulait que le monde entier l'aime. Et elle a presque réussi ce pari. Ne lui manquait que son papa... et un bébé.

Un roman touchant et inoubliable.

.

.

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Commentaire ajouté par cinhre 2023-08-20T19:33:50+02:00
Pas apprécié

Flop flop flop...

J'ai plusieurs biographie sur Marilyn, des romancées, des réelles et j'avais beaucoup aimé.

Par contre ici, que d'ennuis, c'est lourd et j'ai trouvé cela mal écrit, pourtant j'aime encore bien l'autrice. J'ai eu cette sensation désagréable que Joyce Carol Oates tirait un peu trop la couverture sur elle.

Bref et vraie perte de temps pour un mauvais roman.

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Commentaire ajouté par ClemenceRameau 2023-02-27T10:30:36+01:00
Or

Ce roman d'une grande densité aborde le personnage Marilyn avec une subtile analyse psychologique... La complexité du personnage avec ses névroses et son attachante personnalité qui la rend si vivante ! Voilà un bel hommage, le plus beau peut-être, qu'on ait pu faire à cette grande et belle actrice ! On est bien loin du personnage scandaleux que nous connnaissons tous... Certes, sa vie si courte n'a pas été un conte de fée, et Marilyn pas aussi évaporée qu'on veut bien le laissez entendre... Mais le récit qu'en fait l'auteur nous permet de mieux comprendre ce personnage si mal connu. Bien que très long, ce roman est un vrai régal d'un bout à l'autre ! Merci à l'auteure, Joyce Carol Oates, qui est toujours égale à elle-même, et qui est selon moi, un des plus grands écrivains américains !

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Commentaire ajouté par rabanne73 2022-09-26T01:20:41+02:00
Lu aussi

Lu non pas parce que le biopic sur Netflix s'apprête à sortir très bientôt, non, mais parce que je l'avais dans ma pile depuis plus de deux ans !

Débuté la lecture mi-août, il m'a fallu faire des pauses dans ce pavé (1110 pages). Je l'ai achevé avec un sentiment mitigé sur mon appréciation. La lancinance de la narration, les nombreuses répétitions, la dichotomie permanente des sentiments de l'héroïne m'ont souvent été pénibles à lire. Pour autant, je n'ai sauté aucun paragraphe, aucune page, à la fois captée et agacée. Malgré moi.

Pas particulièrement fascinée par Marilyn, j'ai vraiment découvert à travers <a href="/livres/Oates-Blonde/3789" class="titre1">Blonde</a> un parti pris personnel et fictionnel, surtout la vision d'une femme sur une autre femme, une "perception" extrêmement disséquée, confinant à l'intime.

<a href="/livres/Oates-Blonde/3789" class="titre1">Blonde</a>, c'est le portrait sans concession d'une personnalité fragile, instable et schizophrénique, d'une femme-enfant perpétuellement dépendante du jugement, du désir et de l'amour des autres, des hommes avant tout. <a href="/livres/Oates-Blonde/3789" class="titre1">Blonde</a> dénonce, aussi, à travers cette bio-fiction l'impitoyable fonctionnement du star-system hollywoodien des années 50-60 : vénal, abusif, sexiste et terriblement destructeur pour des caractères vulnérables tel que celui de Norma Jeane Baker...

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Commentaire ajouté par Nathou-3 2022-09-25T09:55:36+02:00
Or

Ce livre m'a accompagné pendant 14 jours, c'est assez rare, normalement, je mets à peu près 3 jours bons il y a quand même 1110 pages, c'est sur on ne peut pas raconter la vie de cette personnalité en 300 ou 500 pages.

L'autrice explique distinctement que ce n'est pas une bibliographie, mais une synecdoque (elle prend les faits réels et brode autour) mais elle cite aussi tous les livres ou elle a fait des recherches.

Cela était pour moi la découverte de cette autrice que je ne connaissais pas, et j'ai beaucoup apprécié son écriture qui nous emmène dans la vie de cette icône qui est Marylin Monroe, elle nous raconte sa petite enfance, cette relation très particulière avec sa mère qui va durer tout au long de sa vie, les principaux films et les hommes qui l'ont accompagné intimement.

Je pense avoir pris ses trois axes est très habilement choisis, car ce sont les choses importantes dans sa vie, et cela m'a permis de mieux appréhender la personnalité de cette star, et de percevoir ses failles, ses doutes.

J'ai adoré ce livre, c'est captivant, immersif, je n'oublierais pas ce livre, trois jours après l'avoir refermé, j'y pense encore, j'ai envie maintenant de voir ces films, de voir des reportages sur sa vie, sûrement, je vais lire d'autres livres sur elle.

Elle nous démontre comment l'univers cinématographique l'a façonné, faire de quelqu'un qu'elle n'était pas, mais elle devait être toujours la fille sexy que les spectateurs pouvaient la voir sur le grand écran - j'ai appris beaucoup de choses sur cette star, d'abord sur ses films, la manière qu'elle avait à aborder chaque rôle, j'ai trouvé cela tellement édifiant.

Sa mort reste un mystère, et ce livre n'y réponds pas, l'autrice choisis un cadre, c'est probablement une énigme où on aura aucune réponse, j'avoue cela m'intrigue, j'ai très envie d'en savoir plus.

Mais c'est un grand livre ou l'autrice nous livre ses talents de conteuse et va me pousser à aller plus loin dans cette histoire.

Elle va au-delà du mythe, elle nous montre l'envers du décor, ce qui as derrière le sex-symbol qu'elle était, et cela était un voyage livresque étonnant et que j'ai du mal à refermer, j'ai l'impression d'être toujours dans ce livre

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Commentaire ajouté par Lectricegourmande 2022-09-24T17:27:14+02:00
Pas apprécié

★★★★★

Je ressors de cette lecture très mitigé. Ce fut très long. Bien que l'histoire est été romancée mais où est la partie fictive de la partie réelle. Certes Maryline ne devait pas être facile à vivre et sa vie pas aussi facile que l'on a voulu nous faire croire. Beaucoup de noirceur, histoire un peu sordide. J'ai eu beaucoup de mal À lire ce livre cependant j'ai tenu bon.

C'est l'histoire romancée de Norma Jean Baker alias Marylin Monroe

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Commentaire ajouté par Blandine1 2021-09-08T20:46:41+02:00
Or

Quelle performance littéraire ! Impressionnée par ces 1100 pages cohérentes. Voilà bien longtemps que je boudais cet écrivain à cause d'un titre ‘Viol' et de la grosseur de ses romans. Mais vu que nous échangeons souvent des romans avec une collègue qui me dit que c'est son auteur préférée… Belle immersion dans la vie de Marilyn Monroe : son enfance, sa mère, sa quête du père, son métier, ses amours, ses doutes, ses poésies, ses maris, ses avortements. Roman et non biographie. Donc, où est la part du réel et de l'imaginaire de la romancière ?

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Commentaire ajouté par MSNordlys 2021-02-25T10:20:30+01:00
Or

Une superbe biographie fantasmée, une espèce de longue et belle métaphore de la vie de la plus tragique des stars hollywoodiennes.

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Commentaire ajouté par Mandy42 2020-04-15T19:33:32+02:00
Poubelle

J'ai pensé qu'il s'agissait de la biographie de Maryline MONROE. Là le personnage loufoque ne me plait pas du tout de part son comportement, sa vie, le manque de cohérence des actions, des gens. Non, après 3 tentatives de lecture, je laisse ce livre de côté...

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Date de sortie

Blonde

  • France : 2002-05-15 - Poche (Français)

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