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« Il y a des ténèbres qu’aucun soleil ne peut dissiper. »
Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L’animal a des yeux humains. Ce n’est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l’Ariège…
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s’empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d’une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.
Maître du thriller, Bernard Minier a été en 2020, avec son précédent roman, La Vallée, l’auteur de polars le plus lu en France. Il est traduit et salué dans le monde entier. La Chasse est son neuvième roman.
On m'a prêté ce livre, grande férue d'enquêtes policières morbides. Et je n'ai pas été déçue !
Découvrir la série du Commandant Servaz m'a directement fait penser à Sharko de Franck Thilliez 🫣. Même ambiance, même dynamique, presque le même rythme d'écriture. Pari réussi, j'ai dévoré ce livre en quelques heures seulement ! Déjà le début est grisant, angoissant et amène le lecteur à se demander comment cela est possible. Cette scène d'horreur se place dans un contexte de confinement COVID. Durant cette période, la ville de Toulouse est particulièrement malmenée. L'ouvrage traité de problèmes sociaux, d'inégalité de richesses 💰 et de pouvoir, de corruption et de JUSTICE ⚖️.
Le rythme de l'intrigue est génial, le lien créé entre enquête et tension dans la ville est palpable. J'ai beaucoup apprécié également le clin d'œil à M.Thilliez vers la fin du roman. 🤩
Bien que l'auteur s'égare souvent dans des analyses sociétales superflues, j'ai quand même apprécié ma première lecture de ses œuvres. L'intrigue m'a semblé solide, avec un suspense grandissant qui rend la lecture rapide pour pouvoir rapidement découvrir la fin. Les personnages sont bien développés, les dialogues bien écrits et les situations, qu'elles soient imaginaires ou réalistes, sont bien décrites.
Ce roman m’a été conseillé par une proche. Je ne connaissais l’auteur que de nom, mais le pitch de départ m’a intrigué. Un homme nu, une tête de cerf empaillé sur la tête, se fait renverser par une voiture, de nuit, sur une route dans un coin reculé de l’Ariège. 🦌🚗
Je m’attendais à une histoire de culte satanique, quelque chose de ce genre. J’étais bien loin du compte. 😱 Sans trop vous spoiler, le livre traite de problématiques sociétales actuelles, notamment le laxisme (réel ou supposé) de la justice face à une délinquance de plus en plus violente, les rapports entre les hommes de terrain et l’Administration à laquelle ils sont subordonnés, ainsi que la création de “milices citoyennes”. 💥📚
Le livre fait partie d’une saga mettant en scène Martin Servaz, officier de police à la SRPJ de Toulouse, idéaliste désabusé. S’il rappelle quelques clichés du flic à la Olivier Marchal, il n’en reste pas moins crédible et attachant. Le livre me semblait, dans sa version brochée, être un énorme pavé, mais il n’en est rien. Très aéré, il se lit très facilement, les phrases sont courtes, simples sans être simplistes, l’univers crédible, avec un vrai travail de recherche, et l’histoire se déroule sans temps morts. Il faut compter une petite semaine de lecture en prenant son temps pour le terminer. ⏳📚
Il me parait particulièrement intéressant, dans la mesure où le point de vue du protagoniste et celui de l’antagoniste sont tous les deux défendables, et le lecteur que je suis ne savait pas vraiment (du moins pour un temps) quel parti prendre. Le seul reproche que je pourrais formuler est que l’idée de départ est très bonne, mais que le livre aurait mérité d’être un peu étoffé pour qu’elle soit exploitée à fond. 😉
C’est vraiment pas celui que je préfère de la série Servaz. Le discours sociétaire, le confinement covid, la haine de l’autorité etc j’ai trouvé ça lourd au bout d’un moment. J’ai pas eu envie de lire dans un polar ce que je lis déjà partout et que j’entend à longueur de journée. J’ai pas eu le sentiment que l’enquête occupait le premier plan. Le suspens n’était pas tant au rendez-vous non plus.
Ce livre était bien. Les descriptions que fait l'auteur sur la guerre et l'Histoire passée sont très longues à mon goût. Cependant, l'histoire du livre est bien ficelée. Je suis restée en haleine face à cette course à la Justice.
Ce thriller a été une énorme déception pour moi qui m'attendait à beaucoup mieux venant de cet auteur.
L'histoire traîne en longueur et on sent que l'auteur n'a pas grand chose à raconter, si bien qu'il nous révèle tout sur les antagonistes et leurs motivations vers la moitié du livre ! Cela a ruiné le peu de suspense qui subsistait malgré de nombreux éléments prévisibles.
Dans cette histoire, les références à l'actualité socio-politique et au monde en général sont multipliées afin de donner un ton très réaliste à l'histoire, ce qui est louable quand ce n'est pas fait de manière exagérée...
Malgré une réflexion intéressante sur l'état de notre pays et sur les différentes crises qu'il traverse, il y a un vide narratif que l'auteur tente tant bien que mal de combler par des scènes inutiles et ennuyantes.
L'écriture est dénuée de tout style et toute beauté. Les phrases sont d'une platitude et d'une fadeurs inquiétantes outre quelques métaphores assez bien choisies.
En choisissant cette lecture je savais, plus ou moins, où je mettais les pieds. L'écriture de l'auteur est fluide, claire, précise, implacable, il annonce les faits, dans toute leur splendeur ou leur horreur, à vous de les interpréter. Certains passages m'ont fait horreur, cela reste pourtant une réalité.
L'histoire est bien ficelée. j'ai pu l'appréhender aussi bien du coté des chasseurs que du chassé (voir le livre "un samedi soir entre amis"), l'enquête est bien menée, les personnages sont attachants. On ressent bien les difficultés rencontrées dans la société actuelle et la motivation "des méchants" restent légitime, même si la façon de s'y prendre est contraire à la morale, la loi...
J'ai passé un bon moment de lecture, je recommande vivement cet auteur !
Un très bon thriller policier. Il m'a particulièrement plus puisqu'il se déroule dans des lieux qui me sont proches, Toulouse et l'Ariège. C'était mon premier roman de Bernard Minier, et j'ai beaucoup aimé son écriture. L'histoire commence fort dès le début et ne s'essouffle pas, il y a des rebondissement surprenants et tout semble cohérent. Les personnages, eu aussi, sont intéressants et bien écrits. J'ai aussi bien aimé que le récit se déroule "maintenant", à l'aire du covid, avec le confinement, sur une seule semaine, et que plusieurs faits réels soient évoqués, ce qui le rend plus réaliste. J'ai mis 8/10 parce que je trouve néanmoins que certaines scènes trainaient en longueur, ou en tout cas l'intrigue.
Résumé
« Il y a des ténèbres qu’aucun soleil ne peut dissiper. »
Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L’animal a des yeux humains. Ce n’est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l’Ariège…
Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s’empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d’une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.
Une enquête où Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau.
Maître du thriller, Bernard Minier a été en 2020, avec son précédent roman, La Vallée, l’auteur de polars le plus lu en France. Il est traduit et salué dans le monde entier. La Chasse est son neuvième roman.
source : bernard-minier.com
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