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Commentaires de livres faits par Kesciana

Extraits de livres par Kesciana

Commentaires de livres appréciés par Kesciana

Extraits de livres appréciés par Kesciana

date : 20-01-2019
https://aliceneverland.com/2019/01/13/heroes-battista-tarantini/

Grace a subi une transplantation cardiaque. Une opération qui, aujourd’hui, la pousse en remettre en question sa vie et à s’interroger sur ce cœur étranger qui bat en elle. Perdue, elle part en Australie, chez sa tante, pour se retrouver et pouvoir ainsi avancer dans sa vie. Mais, à son arrivée, sa voiture tombe en panne et c’est Z, le garagiste, qui vient l’aider. Z, si mystérieux, si ténébreux… le bad boy par excellence, qui fascine viscéralement Grace…

J’ai immédiatement adoré le cadre de ce roman. J’adore retrouver l’Australie dans des romans, ce qui me permet d’en apprendre plus sur ce pays que je connais si mal. Mais aussi d’être vraiment dépaysée, l’Australie n’étant que peu rencontrée en new romance. Et, ici, entre les paysages de bords de mer et des excursions façon road trip, je me suis régalée sur cet aspect là de l’histoire.

Pour le reste, je reste un peu plus mitigée sur le récit en lui-même. A vrai dire, Z ne m’a pas faite rêver et, au contraire, je suis restée assez braquée contre lui. Son personnage reprend un peu trop les clichés du bad boy du genre, et il m’est apparu comme étant trop prévisible. Je pense également que j’ avais vu trop de bons retours sur ce titre. Du coup, je m’attendais à être littéralement subjuguée par l’histoire, et ce ne fut malheureusement pas le cas.

Battista Tarantini n’a pas vraiment réussi à me surprendre avec ce roman. Je pressentais déjà ce qui allait se produire, et ce fut effectivement le cas. De plus, vu la thématique du roman et l’historique des personnages, je pensais y retrouver des émotions à fleur de peau et, là aussi, ce ne fut pas le cas. A l’inverse, on tombe dans le schéma classique de la romance new adult. Ce qui m’a vraiment énervée car, vu le résumé, j’avais l’impression que l’auteure allait s’en démarquer complètement.

Une trame classique, un héros torturé qui manque de profondeur, et des rebondissements que j’avais déjà prévus depuis le début… Je ressors finalement de ma lecture ni enchantée, ni déçue. Je vous avouerai que j’ai tout de même passé un bon moment de lecture malgré tout, et je pense que j’avais, dès le départ, placé la barre beaucoup trop haut pour ce titre.
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https://aliceneverland.com/2019/01/14/kate-daniels-tome-5-meurtre-magique-ilona-andrews/

Kate Daniels est une série qui se bonifie vraiment tome après tome. A chaque nouvel opus, les auteurs nous en révèlent un peu plus sur les spécificités qui régissent le monde dans lequel l’histoire évolue. Entre technologie et magie, c’est toujours l’occasion de plonger une nouvelle fois dans les entrailles de cet univers et d’en apprendre plus encore. Et, force est de constater que, même au bout de cinq tomes, les auteurs paraissent loin de nous avoir tout révélé…

Donc… Comment vous faire une chronique sur un cinquième tome sans trop vous en révéler ? C’est toujours aussi délicat. Dans tous les cas, je me suis une nouvelle fois régalée dans cette nouvelle aventure. Kate Daniels va une nouvelle fois devoir s’affirmer, mais aussi prendre conscience de la situation dangereuse dans laquelle elle se trouve aujourd’hui. Elle vit chaque jour avec une épée de Damoclès au dessus de sa tête, et chaque décision qu’elle prend est faite en fonction de cela. Jusqu’au jour où elle se retrouve acculée, et où elle va devoir en révéler plus qu’elle ne le souhaite pour pouvoir protéger et sauver ceux qu’elle aime.

L’amour, la famille, l’amitié… des notions que Kate Daniels avait banni de sa vie, mais qui régissent dorénavant la moindre de ses actions. Une force comme une faiblesse, et Kate va devoir apprendre à avoir confiance en elle et dans ceux qui l’entourent.

Retrouver Kate, Curran, Andrea et tous les autres… C’est à chaque fois un vrai plaisir. Mais, surtout, chaque nouveau tome nous propose une histoire unique qui permet d’en apprendre plus sur le monde de Kate Daniels, et permet d’enrichir plus encore le background, la mythologie de cette série. Ce fut encore une superbe lecture, et j’ai déjà hâte de retrouver le prochain tome, dont l’histoire est inédite en France !
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https://aliceneverland.com/2019/01/15/couple-improbable-tome-1-crush-de-t-gephart/

Tia a un gros crush pour Eric Larsson, un acteur hollywoodien très en vogue actuellement. Un vrai crush d’adolescente, avec fond d’écran sur son ordinateur, son portable etc… Mais aussi un crush qui l’empêche de trouver l’Amour tellement elle reste focalisée sur cet acteur. Il est inaccessible, elle le sait. Elle n’est qu’une simple journaliste et n’évolue pas dans les mêmes cercles que lui, elle en est consciente. Tia n’est pas bête, loin de là, et elle est la première à reconnaître que ce crush est complètement ridicule. Il faut qu’elle s’en débarrasse, coute que coute, pour pouvoir avancer dans sa vie amoureuse. Même si, pour cela, elle va devoir provoquer une rencontre « fortuite » avec la star de ses rêves…

Vous le sentez le résumé complètement surréaliste et farfelu ? Moi aussi. On sait même immédiatement comment l’histoire va finir. Et pourtant, je ne sais pas ce qu’il s’est réellement passé dans la tête de l’auteur… Mais quel régal ! La romance fait rêver, T. Gephart s’amuse vraiment avec les codes de la romance et en propose une histoire complètement what the fuck mais qui fait rêver.

Et, surtout, il y a Tia. Franchement, je n’ai jamais autant aimé une héroïne de romance qu’elle. Tia, si délicieusement timbrée, complètement perchée, pleine de fraicheur et de répondant. Tia, avec une franchise à toute épreuve, aussi réaliste que rêveuse. Une vraie bouffée d’oxygène et, à elle seule, elle vaut largement la peine de découvrir cette histoire.

Une héroïne timbrée, un acteur hollywoodien plus que parfait, et une romance digne des contes de fées... Les ingrédients sont simples, mais l‘humour et le style de la plume de T. Gephart font toute la différence. Au final, un coup de cœur complètement inattendu pour cette histoire que je vous recommande chaudement !
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https://aliceneverland.com/2019/01/18/darkest-minds-tome-4-heritage-alexandra-bracken/

Darkest Minds est la série qui a incontestablement marqué mon été. Une trilogie que j’ai découverte et dévorée en quelques jours seulement. Pourtant, si je l’ai adorée, j’étais restée sur ma faim une fois la série terminée, ne sachant pas vraiment ce qu’il advenait du monde et des personnages dans les années suivantes. Cette « suite » ne pouvait donc pas mieux tomber, et je me suis empressée de replonger dans cet univers !

Nous retrouvons Zu, Suzume, cinq ans après la fin des évènements ayant permis aux enfants psi d’être réhabilités. Rappelez-vous : Zu était la petite fille jaune, ayant des capacités électriques, qui était aux cotés de Chubs, de Liam et des autres dès le début. Elle avait pris de plus en plus d’assurance tout au long de la trilogie avant de révéler son histoire et sa force de caractère. Zu est une rêveuse, et elle espère voir le monde devenir une oasis pour les enfants touchés par le NIAA et libérés des camps dans lesquels ils étaient confinés, exploités par le gouvernement. Sauf que, cinq ans plus tard, tout ne semble pas s’être passé comme prévu.

Dès les premières pages, on sent que quelque chose de grave s’est produit. Et le premier chapitre nous conforte dans cette idée. Zu est dans une mauvaise posture, accusée d’un crime horrible dont, pourtant, elle est en réalité la victime. Son destin, son avenir, repose entre les mains de Roman et de Priyanka auxquels elles se retrouve liée sans les connaître pour autant. Ils pourraient se révéler être des alliés, mais aussi des ennemis, et causer ainsi sa perte…

Ce nouveau tome m’a enfin permis de répondre à la question qu’il me restait du : « qu’est ce qu’il s’est passé après ? ». J’ai adoré me replonger dans cette dystopie, même si j’avais peur que ce livre apparaisse comme le tome de trop. Mais, force est de constater qu’Alexandra Bracken a encore des choses à nous apprendre, à nous révéler sur son univers, et ce quatrième possède vraiment son caractère qui lui est propre.

Nouvelle histoire, nouveaux personnages… mais aussi anciens héros. C’est avec un plaisir non feint que j’ai retrouvé la joyeuse bande qui a fait le succès de la première série. Mais, surtout, ce tome ne tombe pas dans la surenchère et a un réel intérêt dans la continuité de l’histoire, même si je suis, une nouvelle fois, très frustrée par la fin qui reste encore assez ouverte. De quoi permettre à Alexandra Bracken de ne pas tourner définitivement la page sur son monde qu’elle maitrise parfaitement…
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date : 10-01-2019
https://aliceneverland.com/2019/01/10/sky-high-emma-r-lowell/

Gill est une jeune fille de dix-sept ans qui a son avenir bien tracé. Son objectif est d’intégrer la fac de médecine et, pour cela, elle n’hésite pas à suivre des cours supplémentaires afin de se préparer au test d’entrée. Et ce, avant même d’avoir son bac. En même temps, elle s’essaye également à l’escalade et s’en découvre une vraie passion. A la fois pour le sport en lui-même, mais aussi pour Jared, la star de la salle d’escalade, qui est également bien connu dans le milieu de l’urban. Un crush dévastateur qui pourrait bien remettre en cause les plans de Gill… ou lui permettre de mieux se redécouvrir.

N’y connaissant rien à l’escalade, j’avais très peur de me retrouver perdue dans ce roman. Mais, au contraire, c’est finalement l’aspect que j’ai préféré dans le roman. Emma R. Lowell arrive parfaitement à nous faire vivre les émotions que ce sport peut entrainer, tant dans un milieu encadré que dans celui plus libre de l’urban.

J’ai été également agréablement surprise par les twists de l’auteure, que je n’avais absolument pas vus venir. Et j’ai apprécié cette façon d’intégrer la réalité dans la fiction. C’est ce qui m’a permis de mieux m’immerger dans le roman, de mieux m’en imprégner, apportant une maturité assez inattendue au récit qui paraissait, dans un premier temps, plus léger.

Pour autant, j’ai quand même eu quelques difficultés. Au delà de la romance, qui s’installe beaucoup trop vite à mon gout, c’est le personnage de Gill qui m’a véritablement agacé. L’héroïne fait toute une histoire pour pas grand chose, démarre au quart de tour et agit comme une gamine. Je peux comprendre que ce qu’elle traverse est difficile, mais cela l’est tout autant pour son entourage, et elle n’en a littéralement rien à faire. Son égoïsme m’a énervée, et j’avais juste envie de lui dire d’arrêter de regarder son petit nombril.

Mais, en définitive, Sky High reste une agréable découverte. Le décor du roman est spectaculaire, et j’ai adoré partir à la découverte de la skyline de Londres. Par contre, j’aurais aimé que Gill soit plus mature et qu’elle ait un comportement plus cohérent, moins enfantin et moins capricieux. Mais, dans l’ensemble, la collection New Way a encore réussi à me surprendre !
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https://aliceneverland.com/2018/12/31/rythme-accords-et-malykhin-mariana-zapata/

Alors que la vie de Gaby prend un tournant qu’elle n’avait pas vu venir, son frère lui propose de le rejoindre au sein de la tournée qu’effectue son groupe de musique en lui proposant le poste de vendeuse de produits dérivés lors de leurs concerts. Étant donné les circonstances, Gaby accepte bien vite, même si elle est consciente que ce ne sera pas une mince affaire d’être sur la route durant des semaines. Mais entre ça où se retrouver coincée chez ses parents, à 26 ans… Le choix de Gaby est vite fait. Et ce sera d’autant moins facile qu’un second groupe les accompagnera durant les trois mois de cette tournée…

J’ai vraiment adoré l’ambiance de ce roman. Entre les concerts, le road-trip, la vie dans un bus et la tournée… Tous les éléments sont là pour nous faire partager les semaines de ces deux groupes de musique. Les avantages, mais aussi les inconvénients de cette vie de bohème, on l’on s’aime autant qu’on se déteste, en fonction des moments, quand la proximité devient trop insupportable… L’atmosphère du roman reproduit parfaitement tout cela, et l’univers de la musique y est parfaitement bien décrit.

J’adore retrouver cette thématique dans les romans, et j’ai été servie ici. Mariana Zapata nous entraîne sur les routes poussiéreuses de l’Amérique, mais aussi dans d’autres pays. On en apprend un peu plus sur l’industrie musicale américaine, sur les groupes indépendants, et c’était vraiment dépaysant !

Les personnages nous offrent des caractères très variés. Je me suis bien vite attachée aux membres des deux groupes, drôles et enfantins, et aussi charismatiques à souhait. Mais, surtout, la relation entre Gaby et Sacha devient très vite addictive. On les voit devenir amis, puis amants, et leur couple paraît tellement naturel qu’il était juste inconcevable de ne pas les voir ensembles.

Entre amusement, humour et amour, Mariana Zapata nous offre une superbe romance, addictive et explosive. Nous observons Gaby et Sasha s’apprivoiser et apprendre à se connaître, avant de voir ce flirt évoluer vers quelque chose de beaucoup plus puissant. L’amour et l’amitié sont vraiment les maitre-mots de cette histoire !
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https://aliceneverland.com/2019/01/08/le-rythme-tome-1-esclave-du-rythme-jane-harvey-berrick/

J’adore Jane Harvey-Berrick. Je me suis régalée avec ses deux précédentes séries, Coeur itinérant et Invincible, et j’étais donc pressée de la retrouver à nouveau ! Alors, quand Stephanie d’ Une souris et des livres m’a offert ce roman à mon anniversaire, je ne pouvais pas être plus ravie !

Pourtant, je n’en ressors pas du tout convaincue. Non pas à cause de l’écriture de l’auteure, qui est toujours aussi puissante et addictive, ni son intrigue, qui reste cohérente. Mais plutôt par l’ambiance du roman. Il faut dire que j’ai eu l’impression de m’être faite avoir par le résumé, qui n’évoque pas le moins du monde le cadre réel de cette histoire : viol, esclavage moderne, violence, meurtres, prostitution… Des thèmes qui se rapprochent plus, pour moi, de la dark romance.

Je pense donc que je n’étais pas prête à ce genre de romance. Je m’attendais à de la danse, de la sensualité, de la romance… Et, si tous ces éléments sont bien présents, ils sont noircis par le cadre même du roman qui évolue au sein de la mafia russe à Las Vegas. Je voulais quelque chose de lumineux, j’ai eu une histoire sombre et nocive, où nos personnages vont vivre des atrocités avant de pouvoir trouver le bonheur.

J’aurais été, je pense, mieux prédisposée si j’avais su à quoi m’attendre. Ou, tout du moins, je l’aurais lu à un autre moment. Dans tous les cas, la danse est, ici, aussi libératrice qu’effrayante, une souffrance comme une passion. Ash se retrouvera ainsi captif, emprisonné par son amour pour la danse qui va lui faire vivre les pires épreuves. Des épreuves terribles, inhumaines et insoutenables. Alors que, tout ce qu’il voulait, c’était danser…
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https://aliceneverland.com/2018/12/28/tu-ne-mas-laisse-que-notre-histoire-adam-silvera/

Après mon précédent coup de coeur pour Et ils meurent tous les deux à la fin, j’étais curieuse de retrouver Adam Silvera dans une nouvelle histoire et confirmer, ou non, la belle découverte de cet auteur.

Si je n’ai pas eu de coup de coeur pour ce roman, Adam Silvera m’aura tout de même fait passer un très beau moment, entre joie et tristesse. Une fois encore, l’auteur nous prévient dès les premières pages : l’histoire d’amour qu’il va nous relater se terminera mal. Après tout, nous savons ainsi, quasi immédiatement, que Théo est mort, ne laissant à Griffin que des souvenirs pour se rappeler leur histoire. Et, pourtant, malgré ce vide, malgré cette douleur, Griffin va devoir continuer à avancer, jour après jour.

A 17 ans seulement, Griffin doit donc affronter et surmonter le deuil de la mort de Theo. Theo qui était son monde, son meilleur ami mais aussi son premier Amour, le début de son Histoire, et avec qui il devait également la finir. Malgré leur rupture. Theo ne devait pas mourir, il lui avait promis. Alors, pourquoi n’est-il plus là ?

Plus l’histoire avance, plus celle-ci nous apparaît douce-amère. Le lecteur comprend la force avec laquelle Griffin aimait Theo. Un amour aussi beau que destructeur, qui va pousser Griffin à faire des choix aussi bons que mauvais. Les meilleurs souvenirs sont rapidement oubliés, au profit des moins bons. Que restera-t-il donc de l’histoire entre Griffin et Theo ?

Griffin va devoir se reconstruire, mais aussi arrêter de culpabiliser pour quelque chose qui n’est pas de son fait. Et si, pour lui, la mort de Theo lui apparaissait comme un véritable couperet à son bonheur, la vie va lui prouver qu’elle vaut la peine de continuer. Peut-être que, finalement, la mort de cette histoire-là devait permettre à une autre de naitre ? Mais ça, seul Griffin pourra le décider…
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date : 27-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/26/snow-danielle-paige/

Je ne vous cache pas que, face à ce livre, j’ai immédiatement succombé devant sa couverture. Je ne savais pas grand-chose de l’histoire, et je ne connaissais pas l’auteure. Je suis donc partie à la totale découverte de ce livre et… ce fut un bel échec.

Pourtant, l’ambiance, glaciale était tout juste parfaite pour découvrir ce livre en cette période de l’année. Et, à vrai dire, les premières pages m’ont paru prometteuses. Mais j’ai, ensuite, très vite décroché. Trop vite même, à un tel point que j’en ai été la première surprise et que je me suis vraiment demandé si je n’avais pas raté quelque chose dans le livre…

J’avais l’impression qu’il me manquait des détails, des éléments pour comprendre ce que je lisais, ce que je découvrais. Des clés pour savoir où l’auteure voulait en venir… Mais non, elle part réellement dans un je-ne-sais-quoi de « trop » : trop cliché, trop invraisemblable, trop de côtés dans ce triangle amoureux qui n’est plus un triangle… Trop de n’importe quoi, trop de tout… C’est trop pour moi.

Et je ne vous parlerais pas plus des autres éléments négatifs qui m’ont bien refroidie dans mon avancée, ni de l’héroine, victime du syndrome de la Mary Sue qui m’a tout simplement épuisée mentalement tant son comportement était incohérent.

Bref, pour faire court : une absence d’intrigue, une héroine sauveuse du monde mais o combien agaçante, un univers fantasy incompréhensible, et des clichés à la pelle… Non merci, je m’arrête là.
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https://aliceneverland.com/2018/12/25/les-contes-inacheves-tome-3-pour-toujours-et-a-jamais-aya-ling/

Kat est de retour dans son monde. Après les épreuves passées, elle sait dorénavant qu’elle ne pourra jamais vivre en Athélia, physiologiquement parlant. Sauf que, cette fois, Kat a gardé en mémoire tous ses souvenirs des moments passés dans le monde des contes. Des souvenirs heureux, qu’elle ne regrette pas, mais qui lui font encore plus comprendre la valeur de ce qu’elle a perdu. Même si les choses sont dorénavant telles qu’elles devraient l’être, et les personnes là où elles doivent être, dans leurs mondes respectifs, Kat a du mal à imaginer un avenir sans Edward. Et, Edward, sans Kat.

Dans ce tome final, Aya Ling apporte bien des réponses aux problématiques qui s’étaient posées dans les deux premiers opus. Les choses se mettent doucement en place pour laisser imaginer un avenir à la hauteur des conclusions des contes de fées. Mais ils restent encore bien des épreuves à surmonter, et des solutions à trouver. Et ce n’est pas seulement l’avenir d’Edward et de Kat qui est en jeu, mais aussi, et surtout, celui du royaume d’Athélia.

J’ai vraiment aimé la façon avec laquelle Aya Ling conclue sa série. Rien ne paraît trop simple, au contraire. Si la fin est à la hauteur de ce que j’attendais, même plus, et paraît parfois un peu trop parfaite – mais on est dans un conte de fée aussi, tout se doit d’être parfait…-, j’ai aimé la difficulté que rencontrent nos personnages. Rien n’est acquis, rien n’est gagné d’avance, et ils vont devoir, une fois encore, se battre corps et âme pour accéder enfin à la possibilité du « ils vécurent heureux… »

En définitive, je suis complètement sous le charme de cette série et de l’originale revisite que fait Aya Ling du célèbre conte de Cendrillon. Cette dernière, d’ailleurs, passe littéralement au second plan, et Kat devient elle-même l’héroïne de sa propre histoire. Je me suis régalée avec cette réécriture originale et pleine de bon sens, qui a également ravit mon côté fleur bleu adepte des romances et autres contes de fée. Une très belle découverte !
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https://aliceneverland.com/2018/12/24/linsaisissable-logique-de-ma-vie-benjamin-alire-saenz/

Vous n’avez pas pu passer à côté du phénomène young adult de l’été 2015, à savoir Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers. Le nouveau roman de l’auteur était donc très attendu en VF, et j’étais impatiente de partir à la rencontre des nouveaux personnages de cette histoire.

Ce nouveau roman de Benjamin Alire Saenz est aussi tendre et délicat que l’avait été Aristote et Dante… Tout en finesse, l’auteur tisse son récit avec une réelle poésie qui nous subjugue, mot après mot, chapitre après chapitre… Famille, amour, amitié, drame : autant de thématiques que l’auteur va aborder avec une sincérité et une douleur désarmantes…

L’histoire est simple, ordinaire, et pourrait être celle de n’importe qui. C’est avec une pudeur que l’auteur dépeint le quotidien de Sal, de Sam, et d’autres encore. Un quotidien dans lequel il est facile de s’identifier, de s’y retrouver à un moment donné. Un quotidien qui nous parle, avec des héros loin d’être parfaits mais qui nous touchent pas leur incroyable normalité. Un maelstrom d’émotions qui ne m’a pas laissée de marbre, et que j’ai eu du mal à contenir, entre joie et tristesse. Mais toujours tellement justes, tellement vraies…

C’est tout l’art des histoires de Benjamin Alire Saenz : transformer une histoire banale en quelque chose extraordinaire par le simple pouvoir des mots. On aime ou on n’aime pas, c’est le genre d’écriture qui divise. Certains seront transportés par la simplicité et la magie que l’auteur met dans sa plume. D’autres attendront sans cesse une action qui ne viendra pas. Car l’auteur n’est pas là pour époustoufler le lecteur, mais juste pour nous relater une tranche de vie d’une logique insaisissable…
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https://aliceneverland.com/2018/12/23/rebelle-du-desert-tome-3-la-tempete-alwyn-hamilton/

Rebelle du désert est une série qui a su m’emporter, tome après tome, et dont j‘adore l’ambiance dans cet univers de fantasy oriental, un imaginaire bien trop rare dans la littérature young adult.

J’ai pourtant eu du mal à me remettre dans le bain avec ce troisième tome, que j’ai reposé et recommencé de nombreuses fois. Il faut dire que les personnages de Rebelle du désert sont assez nombreux et ont des noms qui se rapprochent énormément des sonorités indiennes. Des noms atypiques donc, et dont j’ai toujours eu beaucoup à me souvenir. Et, durant les premiers chapitres de ce dernier tome, j’ai eu l’impression d’être complètement perdue, n’arrivant pas à me rappeler du who’s who, mais aussi de qui faisait quoi. C’était assez dérangeant, et ça m’a plutôt découragée dans ma reprise de cette lecture.

J’ai réussi à passer le cap il y a quelques jours, et encore. A certains moments du récits, où des personnages réapparaissent, je n’arrivais vraiment pas à me souvenir de ce qu’ils avaient accompli dans les tomes précédents. Ce sentiment ne m’a pas quittée durant ma lecture, au gré des retrouvailles, et ce sera, pour moi, le gros point noir de ce tome. Je regrette vraiment que l’auteure n’ait pas pris plus de temps dans son récit pour resituer tout le monde…

Cela mis à part, je me suis régalée. Cette série reste, pour moi, une de mes préférées en young adult fantasy. L’imaginaire mis en place ici, à base de Djinn, de Demdjis et de magie, est tout simplement époustouflant. Amani est une héroïne qui prend de plus en plus de présence au fil des tomes, pour se révéler complètement dans ce final. La Rébellion, c’est elle qui la porte à bout de bras quand tout semble perdu. C’est elle qui retrouve l’étincelle, qui ravive les flammes. Même si cela ne se fera pas sans peine, ni perte…

Alwyn Hamilton nous offre ici une conclusion très travaillée et aboutie de sa série, de toute beauté. Impossible de savoir comment l’histoire va se terminer étant donné qu’un seul grain de sable peut faire basculer la moindre action. La tension monte tout au long de ce tome, jusqu’à nous offrir enfin la grande bataille tant désirée. De surprises en surprises, et de rebondissements en actions surprenantes, l’auteure ne nous laisse à aucun moment tranquilles…

Un final phénoménal pour une série qui l’est tout autant… J’ai adoré les mythes dépeints par l’auteure, et je suis bien triste de quitter un univers aussi fantastique que majestueux…
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https://aliceneverland.com/2018/12/19/casse-noisette-et-les-quatre-royaumes/

je suis une inconditionnelle des studios Disney. Quand j’ai entendu parler de leur adaptation de la célèbre histoire de Casse-noisette, j’étais donc enchantée de pouvoir découvrir ce nouvel univers.

Ne connaissant rien au conte original, je suis donc partie en aveugle à la découverte de cette histoire revisitée par Disney. Dans cette version romancée du film, agrémentée de photos, on y retrouve toute la magie présente dans le long-métrage. L’histoire reste simplifiée, adaptée aux petits et grands lecteurs qui souhaitent en découvrir l’histoire, mais aussi prolonger leur expérience dans cet univers.

Pour ma part, j’ai lu le roman avant d’en voir le film. Si je n’ai eu aucun mal à découvrir l’histoire et à me plonger dans l’ambiance du livre, je regrette que certains éléments ne soient pas aussi approfondis que dans la version cinématique.

Clara a tout de même réussi à me transporter dans le monde magique des Quatre-Royaumes. J’ai adoré découvrir ce conte, et j’ai encore plus adoré la version fantasmagorique qu’en propose Disney dans cette adaptation. Je ne sais pas si on a le même ressenti en lisant l’œuvre originale mais, dans tous les cas, je trouve que cette version permet de mettre en avant tout l’aspect onirique de l’histoire. Une jolie découverte, parfaite à lire ou à voir en cette fin d’année !
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date : 21-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/20/light-years-tome-1-kass-morgan/

Après le carton de la première série de l’auteure, Les 100, dont l’adaptation TV n’est plus à présenter, j’étais curieuse de voir ce que Kass Morgan pouvait nous réserver dans sa nouvelle série.

Nous restons dans l’espace, mais dans un monde plus science-fiction. Vesper, Arrann, Orèlia et Cormak ont tous les quatre intégré l’Académie Aérospatiale de Tétra qui forme l’élite spatiale des combattants. Une académie jusque là réservée aux plus privilégiés mais qui accepte, depuis quelques années, les candidats les plus prometteurs des planètes défavorisées. Nos quatre héros ont rejoint l’académie pour des raisons qui leurs sont propres. Mais, la menace planante des Spectres, leur ennemi, pourrait bien remettre tout en cause…

A l’instar de Les 100, nous avons, une nouvelle fois, un roman dans lequel nous allons suivre quatre narrateurs différents, dont les personnalités sont complètement opposées les unes des autres. Pour autant, tous se retrouvent dans la même équipe et vont chercher à donner le meilleur d’eux même, pour des objectifs très différents en fonction du narrateur. Une même finalité, pour diverses raisons. Un groupe qui se forme, une cohésion qui nait entre eux.

J’ai beaucoup aimé ce premier tome même si, je ne vous le cache pas, j’ai quelques reproches à lui faire. Des reproches qui sont sensiblement identiques à ceux que j’avais sur la première saga de l’auteure. Il faut dire que Kass Morgan a une écriture très imagée, mais reste toujours en surface. Malgré la multitude de narrateurs, je ne peux pas vraiment dire que je me suis attachée à l’un d’entre eux étant donné qu’ils ne sont pas du tout approfondis. Nous connaissons leurs histoires, mais nous savons vaguement ce qu’ils pensent, ce à quoi ils aspirent, et pourquoi.

C’est assez dérangeant, car il se passe énormément de choses dans ce tome – qui reprend tout de même une année scolaire. Les événements s’enchaînent, sauf qu’on a l’impression qu’il ne se passe que quelques jours seulement entre chaque chapitre. Du coup, l’évolution des personnages ne se ressent pas, tout comme l’évolution de leurs sentiments qui paraît sortie de je-ne-sais-où. Encore une fois, Kass Morgan survole son scénario et ses personnages. Comme si, finalement, elle écrivait pour nous présenter une série TV, et non pas une saga littéraire que l’on attendait plus approfondie.

En définitive, je ne serais pas surprise si j’apprenais l’adaptation, un jour, de ce roman en série TV. Il faut dire que l’auteure semble écrire pour la télévision, avec des romans peu approfondis qui, pourtant, abordent énormément de points différents. Mais, le pari est réussi, Kass Morgan nous transporte une nouvelle fois aux confins de la galaxie…
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https://aliceneverland.com/2018/12/21/grace-and-fury-tracy-banghart/

Nomi et Serina sont sœurs, très proches, mais également très différentes. Serina a passé toute son enfance et son adolescence à se préparer pour tenter de devenir une Grâce, une des trois jeunes femmes, parfaites en tout point et pleine de grâce, choisies par la royauté tous les trois ans afin de vivre aux cotés du souverain. Un rôle auquel Serina s’est consacrée des années durant et qui, aujourd’hui, est à portée de mains tandis qu’elle est sélectionnée pour représenter sa région.

Mais, à sa plus grande stupeur, c’est Nomi, qui l’accompagnait en tant que suivante, qui est choisie par l’Héritier. Nomi, sauvage, pleine de fougue, qui cache un lourd secret… la lecture. Nomi sait lire et écrire, dans un monde où les femmes n’en ont pas le droit. Un secret terrifiant, mais qui permet à Nomi de se sentir libre de pouvoir, libre de savoir. Mais ce secret va aussi conduire Serina vers un avenir bien plus sombre, loin du faste du palais royal…

On rentre très facilement dans l’histoire, et c’est un fait qui m’a agréablement surprise. En effet, l’auteure ne prend pas le temps de décrire l’environnement de son univers. Les éléments nous sont apportés en temps et en heure, au gré des événements et des rencontres. On plonge donc immédiatement dans le récit, dans le vif du sujet, aux cotés de Serina et de Nomi.

Dans l’ensemble, j’ai passé un agréable moment. L’univers est bien construit, mais je ne me suis pas attachée plus que cela aux personnages. Il faut dire que la rapidité constante dans la plume de l’auteure m’a empêché de les comprendre plus que cela, j’ai eu l’impression de ne les connaître qu’en surface et, même si ça paraît suffisant, j’aurais aimé ressentir plus d’empathie à leur encontre.

Pour le reste, l’histoire reste bien ficelée, avec des révélations et autres rebondissements bien amenés même si un brin trop prévisibles. L’action reste constante, et le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer. Et, même si je trouve que l’histoire se rapproche un peu trop de celle de Victoria Aveyard, Red Queen, j’ai tout de même passé un bon moment avec ce premier tome et reste curieuse de voir le chemin que va prendre l’auteure pour la suite de sa série…
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https://aliceneverland.com/2018/12/18/les-contes-inacheves-tome-2-il-etait-deux-fois-aya-ling/

Séduite, dans un premier temps, par les magnifiques couvertures de cette série, j’avais été agréablement surprise par le premier tome qui nous offrait une revisite assez originale du conte de Cendrillon. Pour autant, la fin se suffisait à elle-même, et j’étais un peu sceptique de voir comment Aya Ling allait pouvoir relancer sa série alors que cela paraissait tout bonnement impossible.

Rappelez-vous : après en avoir déchiré la couverture, Kat s’était retrouvée dans la peau d’une des vilaines belle-sœur, prisonnière du conte de Cendrillon. Pour s’en libérer, elle devait impérativement mener l’histoire à son terme et provoquer son Happy End. Même si rien ne s’était passé comme prévu, et que le prince charmant était tombé amoureux d’elle (et vice versa), Kat avait réintégré son monde, ne conservant aucun souvenir de celui d’Athelia…

Aujourd’hui, sept ans ont passé. Kat a continué sa vie sans se rappeler de son amour pour le prince Edward. Mais, si le conte de La vilaine belle-sœur est terminé, celui de Kat ne fait que commencer…

Comme je vous le disais, j’étais un peu sceptique sur la continuité de la série. Et, pourtant, Aya Ling m’a agréablement surprise par la façon dont elle nous replonge dans l’univers d’Athelia. A l’instar de Kat, le lecteur reprend l’histoire là où elle s’est arrêtée au tome précédent. Sauf que Kat ne se souvient de rien, et que sept ans se sont écoulés depuis lors. Du moins, dans le monde de Kat uniquement…

L’histoire est donc loin d’être courue d’avance, Edward va devoir ré-apprivoiser Kat quand celle-ci se retrouve contrainte de redécouvrir un monde qui lui paraît pourtant familier. Mais l’histoire n’en a pas fini avec eux, et ils auront encore bien des épreuves à surmonter pour réussir à obtenir ce happy end tant désiré dans les contes de fées. Mais vont-ils seulement y arriver ?

Aya Ling m’aura maintenu en haleine tout au long de ce tome, et m’aura agréablement surprise à de multiples reprises. C’était vraiment intéressant de découvrir la façon dont elle a construit son imaginaire, mais aussi toutes les spécificités liées à la magie qui relie Athelia au monde réel. Rien n’est simple, bien au contraire, et j’ai trouvé tout cela extrêmement bien recherché et ficelé. Aya Ling s’est réappropriée le conte de Cendrillon et en a fait une série assez unique en son genre. Je suis déjà prête à me lancer dans la suite des aventures de Kat et d’Edward… (j’attends toujours mon Happy end !)
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https://aliceneverland.com/2018/12/14/le-tournoi-des-immortels-tome-1-le-veritable-ennemi-lucie-goudin/

Après une guerre sans merci entre humains et vampires, ces deux races vivent aujourd’hui dans une relative paix, même si elle n’en porte que le nom. En effet, la haine entre eux est toujours aussi vive malgré une volonté de ne pas retomber dans une guerre sans fin qui a déjà ravagée ces deux peuples durant des siècles. Mais un nouvel ennemi, bien plus féroce encore, pourrait bien forcer ces deux races à coopérer bien malgré elle. Dans tous les cas, c’est le souhait d’Elthan. Même si cela doit dire travailler main dans la main avec Aléra, l’humaine qui a le plus de raisons d’haïr les vampires…

L’univers qui nous est présenté ici se révèle au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire, et j’ai vraiment apprécié toutes les spécificités de ce monde que l’on découvre, mais aussi la relation plus que tendue entre humains et vampires. La mythologie que met en place l’auteure regorge de surprises, et le lecteur n’est pas au bout de son étonnement quant aux révélations qui sont faites tout au long de ce premier tome.

Pour autant, je reste très mitigée par ce récit. En effet, si l’univers vaut vraiment le détour, l’histoire en elle-même reste convenue et assez prévisible. Notamment la relation entre Elthan et Aléra, pas vraiment surprenante, malgré le fort caractère de la jeune femme. Mais j’ai eu l’impression que l’auteure n’approfondissait pas assez le lien entre eux deux, ni même leurs caractères, si bien qu’ils ont manqué de relief pour réussir à me séduire.

En définitive, si j’ai beaucoup aimé l’imaginaire mis en place ici, je reste plus circonspecte face à Elthan et Aléra, notamment, qui ne m’ont pas vraiment surprise malgré leur position très forte dans le roman. Mais j’ai tout de même aimé l’histoire mise en place, et l’auteure a très vite su me donner envie de partir à la découverte de son intrigue, un brin plus complexe que ce que le résumé ne le laissait présager…
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https://aliceneverland.com/2018/12/13/mis-a-lessai-tome-2-le-joueur-et-lexcentrique-l-h-cosway-et-penny-reid/

Sean Cassidy a tout pour lui. Belle gueule, joueur star du rugby… Il n’en faut pas plus pour avoir toutes les filles qu’il souhaite à ses pieds. Sauf que, voilà, il a beau coucher avec toutes les femmes qu’il veut, il voit bien que ces dernières ne font que simuler avec lui. Pourtant, il a une sacrée réputation de bon coup au lit, alors pourquoi a-t-il toujours aussi froid ? Dans sa quête, il va tomber sur Lucy Fitzpatrick, la petite sœur de Ronan, son grand ennemi. Une femme qui va mettre de la couleur dans son quotidien, littéralement, mais qui pourrait bien faire enrager ce cher Ronan…

Ce tome aurait pu être une simple romance sportive de plus, dans la lignée du premier tome. Mais, en choisissant Sean comme personnage principal, l’auteure fait le choix de sortir des sentiers battus. Sean est un homme que l’on prend plaisir à détester dès les premières minutes, et la façon dont les auteures opèrent un vrai revirement de situation quant à lui est assez surprenante. Cela casse véritablement l’image que l’on avait eue de lui jusque là, et c’était juste délicieux de voir ce grand gaillard se remettre en question.

Lucy apparaît d’abord comme un outil de vengeance mais, bien vite, elle va prendre de l’importance dans le monde terne de Sean. Elle va lui apporter le pétillant, la couleur, la chaleur qui lui manquaient jusque là mais, surtout, elle va être loin de se faire avoir par son visage d’ange. Il faut dire qu’elle connaît son côté démon et, surtout, qu’il est hors de question, pour elle, de fréquenter l’ennemi public numéro un de son frère.

Mais, entre le coeur et la raison, il y a tout un monde… Et le duo que forment et Sean et Lucy en devient vite attachant. Humour et passion seront au rendez-vous pour une romance explosive que j’ai dévorée du début à la fin. Bien meilleure et plus profonde que le premier tome, cette suite est un vrai régal !
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https://aliceneverland.com/2018/12/11/dix-jours-avant-la-fin-du-monde-manon-fargetton/

Et vous, que feriez-vous si on vous annonçait qu’il ne reste plus que dix jours avant que le monde ne disparaisse ? Je ne vous cache pas que je me suis souvent posé cette question, et je sais déjà que je ferais partie de ceux qui attendraient sagement qu’on sauve le monde pour eux… **sifflote**

Sauf qu’ici, pas le choix. Pas de monde à sauver. Tout sera détruit dans dix jours. Le monde est secoué par une série d’explosions, imprévisibles et soudaines, qui détruisent tout sur leur passage. La destruction de la Terre est inévitable, le compte à rebours a commencé.

Nous faisons la connaissance de Valentin, Lili-Ann, Gwen, Brahim, Sara, et Béatrice qui découvrent la situation et ne savent pas vraiment quoi faire. Profiter des derniers jours qui leur restent ? Fuir ? Chercher une solution de survie ? Nous suivons donc, tour à tour, ces six protagonistes qui vont avoir des réactions différentes face à la catastrophe imminente qui régit ces dix derniers jours. Dix jours. Pas un de plus.

La construction de ce roman est plutôt bien faite. Manon Fargetton nous offre un roman d’anticipation qui pousse plus à la réflexion qu’à l’action. Ce sera peut-être mon seul reproche à l’histoire, cette action assez absente dans le roman. Pour autant, les chapitres sont courts, et le style incisif. L’histoire n’en devient que plus addictive, et j’étais impatiente de découvrir ce qu’il allait advenir de nos personnages une fois le temps écoulé.

J’ai donc lu ce roman avec un tic tac permanent dans ma tête. Le temps est compté, la panique s’installe et il est impossible de l’oublier durant la lecture. L’histoire, bien que peu originale et assez déjà-vue, m’a pourtant surprise par la façon dont Manon Fargetton traite son récit.

Beaucoup de belles valeurs et de philosophie, parfois un peu trop. Je ne vous cache être dubitative sur la fin, pas assez réaliste à mon gout, même si elle ouvre un incroyable champ des possibles. Mais Dix jours avant la fin du monde est un roman apocalyptique bien construit qui, en plus de nous faire passer un bon moment, nous pousse à la réflexion sur notre monde actuel…
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date : 12-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/12/le-chant-des-ronces-contes-de-minuit-et-autres-magies-sanglantes-leigh-bardugo/

Ce livre… Dès son annonce, je savais qu’il me faudrait bien vite ce précieux entre mes mains… La version originale était déjà magnifique, et je suis tout simplement ravie que la version française soit d’une telle qualité également.

Couverture rigide, illustrations disséminées tout au long des récits et qui prennent vie au fur et à mesure de l’avancée des contes… Il n’y a pas à rougir : cet ouvrage est une vraie merveille !

Leigh Bardugo n’est plus à présenter après les succès des ses deux séries Grisha et Six of Crows. Ici, elle nous propose d’explorer un peu plus encore le grishaverse dans un recueil de contes prenant racine dans cet imaginaire. Et, quand on connaît la qualité de ce dernier, il est impossible de ne pas succomber… !

Alors oui, comme tout recueil, j’ai eu de vrais coups de cœur pour certaines histoires, et un peu moins pour d’autres. Mais chaque conte a son importance, une leçon à en tirer, et, surtout, un récit étonnant et original.

Ils sont également accompagnés d‘illustrations qui grandissent tout au long de l’histoire… Elles se révèlent détail par détail, jusqu’à une explosion en dernière page du conte, une illustration sur une double page entière aux couleurs presque éthérées, nous plongeant encore plus dans l’ambiance mystérieuse de l’univers de Leigh Bardugo…

Vous l’avez compris, ce livre est un indispensable pour les passionnés du monde onirique de cette auteure. Mais, plus généralement encore, les amoureux de fantasy sauront trouver ici un décor qui nous transporte littéralement dans chacun de ces contes. C’est magique, presque surnaturel… Leigh Bardugo nous subjugue véritablement avec ce recueil de toute beauté, à lire et à posséder sans aucune hésitation !
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https://aliceneverland.com/2018/12/10/grisha-tome-3-loiseau-de-feu-leigh-bardugo/

Ce tome, je l’attendais avec impatience ! Il faut dire que l’univers de Grisha m’aura conquise au fur et à mesure de l’avancée des tomes, et j’avais hâte de découvrir ce que l’auteure allait nous réserver pour la conclusion de cette formidable série.

Pour autant, il m’aura fallu un moment pour rédiger ma chronique, car je ressors quelque peu désappointée de ce dernier opus. Je m’attendais à un tome qui allait me surprendre en tout point, et ce ne fut pas vraiment le cas. L’histoire a évolué, et l’action se fait ressentir dès les premières pages. Il faut dire que Leigh Bardugo n’a pas son pareil pour entrainer son lecteur dans un rythme effréné. On en prend plein les yeux, on se régale, et on replonge avec plaisir dans un univers qui est loin d’avoir révélé tous ses secrets.

Mais, il m’a manqué l’effet de surprise qui m’avait tant séduite dans les premiers tomes. Je n’ai pas trop aimé la tournure que prend l’histoire, et le chemin que choisis Leigh Bardugo. Les évènements m’ont laissée circonspecte et, moi qui m’attendais à un final épique, je ne vous cache pas que le soufflet est vite retombé.

Niveau personnages, je n’ai pas non plus compris le choix de l’auteure. Alina est complètement au centre de l’histoire, ce qui n’est pas étonnant vu qu’elle est l’héroïne de la série. Sauf que j’ai toujours autant de mal avec elle, et j’ai l’impression que c’est le seul personnage qui n’a pas su évoluer tout au long de l’histoire. Elle ne m’aura que trop agacée, et je trouve qu’elle n’a pas l’étoffe pour porter une telle série sur ses épaules.

Quant aux autres, qui avaient révélé tellement de reliefs dans leurs personnages, je suis restée sur ma faim. Je pense notamment à Nikolai ou encore le Darkling. Il y avait tellement à faire avec la complexité de leur caractère ! Mais rien, l’auteure se focalise réellement sur le duo Alina/Mal au détriment du reste, et je trouve dommage d’avoir intégré de tels personnages dans son récit si c’était pour un simple rôle de figuration.

Au final, ce tome me laisse vraiment perplexe. Et, bien que je l’ai fini il y a quelques semaines déjà, j’ai encore du mal à mettre véritablement le doigt sur les éléments qui m’ont dérangée. Dans tous les cas, j’ai adoré découvrir le monde de Grisha, et cette série reste tout de même un vrai petit bijou dans l’univers de la fantasy YA. Je regrette simplement que la magie n’ait pas fonctionné sur moi avec ce dernier tome dont, je pense, j’en attendais beaucoup trop, étant donné le niveau des deux précédents…
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date : 09-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/09/scarlet-soul-tome-1-kira-yukishiro/

Je ne connaissais pas du tout les éditions H2T, je les découvre donc avec ce manga shojo fantasy. Et quelle superbe surprise ! Des dessins raffinés avec une histoire prenante qui ouvre une vraie perspective sur les tomes à venir : je suis complètement conquise !

Dans un monde où humains et démons se sont longtemps fait la guerre, la paix règne depuis qu’un jeune garçon a repoussé ces derniers grâce à l’épée sacrée Hitaken. A sa mort, ses descendants ont repris le flambeau et protègent depuis des siècles le royaume de Nahmur. Aujourd’hui, Lys est devenue l’exorciste du royaume et veille à ce que les protections soient toujours actives. A l’inverse de sa petite soeur, Rin, dont les pouvoirs sont tout bonnement incontrôlables et qui, comble du malheur pour les habitants, s’est liée d’amitié avec un démon. Mais, tandis que de sombres évènements surviennent, il se pourrait bien que Rin soit la clé de l’avenir du royaume…

Dans un premier temps, j’ai été complètement éblouie devant le coup de crayon de la mangaka. Des personnages travaillés et des décors magnifiques : on se retrouve immédiatement plongé dans ce royaume fantastico-médiéval. Le soin apporté au chara design est vraiment superbe et, pour moi qui y attache énormément d’importance, je ne pouvais pas rêver mieux !

L’histoire a fait le reste. Une fois les éléments mis en place, je me suis laissée emporter par l’intrigue. J’ai tout bonnement adoré, et cela faisait longtemps qu’un manga fantasy ne m’avait pas autant séduite. Le récit est dense, riche, et plein de détails qui ouvrent de réelles possibilités sur la suite. Je suis conquise, et j’ai déjà hâte de me plonger dans le prochain tome !
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date : 09-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/06/decroche-moi-la-lune-sarah-dessen/

Emaline est une jeune fille normale, presque banale, qui passe son dernier été à Colby, sa ville, avant de partir pour l’université. La vie d’Emaline pourrait ressembler à celle de bien des jeunes filles, tout comme les interrogations qui l’accompagnent durant cette période de transition entre sa vie d’enfant et celle d’adulte. Premier amour, famille recomposée, incertitude quant à son avenir… Emaline va se retrouver durant ce court été, pour mieux sauter à pieds joints dans sa nouvelle vie…

Décroche-moi la Lune est assez différent des autres romans de Sarah Dessen. Les personnages sont plein de nuances, et il y en a plusieurs que j’ai détestés avant de les apprécier, tout comme l’effet inverse. Sarah Dessen dépeint parfaitement la nature humaine avec ses erreurs, ses incertitudes et ses hésitations, mais c’est ce qui, une nouvelle fois, rend le cadre de cette histoire si réaliste.

Il m’a quand même été assez difficile de m’attacher aux personnages qui sont assez changeants. Emaline m’a d’ailleurs bien agacée par moment, mais, pour avoir connu sa situation, j’ai tout de même compris son attitude lunatique. Emaline est ce genre de personnage qui, inconsciemment, cherche toujours à faire passer les autres en premier. Durant cet été, elle va enfin essayer de s’affirmer et d’arrêter d’être celle sur qui tout le monde peut compter sans se soucier de son avis. Mais Emaline reste une jeune fille et, dans son envie de liberté, va parfois être bien maladroite pour se faire comprendre.

En définitive, ce roman est une belle tranche de vie sur la période charnière du passage à l’age adulte, mais aussi sur les liens des familles recomposées. Je regrette simplement que la romance soit peu présente, mais aussi que les personnages soient bien moins attachants que dans les autres romans de l’auteure. Pour autant, Emaline ne m’aura pas laissée insensible, et j’ai aimé la voir évoluer et grandir durant ce bel été à Colby…
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https://aliceneverland.com/2018/12/07/sous-ta-peau-tome-4-dark-scarlett-cole/

Sous ta peau est une série que j’ai adoré découvrir au fur et à mesure des tomes. Et, avec Dark, le dernier opus, Scarlett Cole conclut avec brio sa saga qui m’aura fait vibrer tout au long de ses histoires.

Lia et Reid se rencontre par un joyeux coup du sort. En effet, tandis que sa chère voiture tombe en panne sur le bord d’une route isolée, c’est Reid, garagiste, qui vient à sa rescousse. Dès leur rencontre, l’alchimie est là, brulante, prête à exploser. Mais tous deux ne veulent s’engager à rien.

Leur rencontre peut paraitre clichée et, malgré la sensualité qui se dégage de leur duo, l’histoire est un peu lente à démarrer. Mais Scarlett Cole est indéniablement une valeur sûre et, avec ce dernier tome, elle nous le démontre une nouvelle fois.

En effet, l’histoire est loin d’être simple. Lia, malgré son look pin-up, vit dans une famille toxique qu’elle se force à continuer de voir, au détriment de son bonheur. Le salon et le monde du tatouage sont sa bouffée d’air frais, son oxygène, ce qui lui permet de tenir et d’être elle-même.

Reid, malgré son charisme de fou et son charme séducteur, n’est pas en reste. Et il était loin d’imaginer que son coup de cœur pour la magnifique Lia allait le conduire au salon de tatouage dans lequel travaille sa sœur, Harper. Une sœur envers laquelle il se sent coupable de ce qui lui est arrivé. Son attitude m’a touchée, sa maladresse aussi, mais on voit vite le grand cœur qui se cache derrière des paroles parfois un peu trop malhabiles.

Malgré un début lent à démarrer, Scarlett Cole nous régale d’une histoire surprenante où les rebondissements sont légions. Au-delà de la mise en place du couple Lia/Reid, l’intrigue est dense et m’a complètement happée du début à la fin. C’est aussi un régal de retrouver les autres personnages des tomes précédents, et j’ai adoré évoluer au milieu de cet ensemble.

Ce tome restera mon préféré de la série tant je le trouve merveilleusement bien construit. Un final magnifique pour une saga toute aussi étonnante. A savoir, Scarlett Cole reviendra dès janvier avec Te regarder, une série spin off tirée de l’univers du Second Circle Tattoo qui mettra en avant le groupe de musique de Dred !
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https://aliceneverland.com/2018/12/08/mis-a-lessai-tome-1-le-sportif-et-lintrovertie-l-h-cosway-penny-reid/

Les romances dans le milieu du sport, c’est toujours mon petit péché mignon. Alors, en découvrant le second tome de cette série se déroulant dans l’univers du rugby, je n’ai pas hésité à me lancer dans le premier opus.

Ici, le monde du sport est présent, mais pas de la façon dont on l’entend. Loin des stades et des matchs de Rugby, c’est plutôt de la partie « image » dont il est question ici, du relationnel avec les médias et la façon dont les informations sont détournées par les magazines people. Un aspect que j’ai trouvé vraiment intéressant et qui change un peu des romances sportives traditionnelles.

L’esprit du jeu est quand même bien là, et Ronan Fitzpatrick illustre parfaitement le joueur de rugby bourru mais prêt à tout envers les joueurs de son équipe. Enfin, tous sauf un. En effet, c’est à Cassidy qu’il doit ses déboires avec la presse, mais aussi sa rupture avec sa fiancée. Une rupture mouvementée et très commentée qui l’amène droit vers les bureaux de l’agence de relations publiques Davidson & Croft afin que les rumeurs n’entachent pas définitivement sa carrière professionnelle, mais aussi pour remettre sur pied sa réputation avant la reprise de la saison.

Chez Davidson & Croft, il va tomber sur Annie Catrel. Un vrai petit génie des réseaux sociaux, capable de faire des miracles. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’Annie est également La Cyber Espionne, un avatar en ligne qui dirige un célèbre blog sur les stars. Avatar avec qui il échange depuis peu des messages bien acidulés suite à un billet dont il fut l’objet.

J’ai eu un peu de mal à rentrer dans le roman. Il faut dire que le début est très cliché, avec le mec riche plus que macho qui se croit tout permis et une jeune femme à l’apparence effacée qui cède en deux temps trop mouvements devant la mÂle. C’était quelque peu agaçant, et j’avais beaucoup de difficultés envers l’attitude de Ronan.

Mais, malgré ce début difficile, le caractère de Ronan change rapidement – et heureusement ! Et je me suis laissée entrainer dans cette romance addictive sans plus aucune difficulté. Ronan est vraiment bourru mais cache un coeur tendre, on dirait un gros nounours. Quant à Annie, malgré son apparence, elle cache un caractère explosif qui va en faire voir de toutes les couleurs au joueur de rugby.

Au final, j’ai vraiment passé un super moment, et j’ai déjà hâte de me plonger dans le prochain tome sur Cassidy – oui oui, sur l’ennemi numéro 1 de Mama Fitzpatrick ! Je sens que la suite de cette série nous réserve des histoires encore plus surprenantes !
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date : 05-12-2018
https://aliceneverland.com/2018/12/05/ego-maniac-vi-keeland/

« Chère Vi Keeland,

Mais qu’est ce qui vous est passé par la tête quand vous avez écrit cette terrible merveille ???!!! »

Trêves de plaisanteries. Je vous présente LA romance à avoir absolument lue cette année. THE histoire où humour et romantisme s’accouplent à merveille et nous offre une magnifique pépite de la new romance. Une histoire fraîche, drôle et pétillante, qui se savoure, se déguste et se finit bien trop tôt. Le manque en devient cruel, impossible de tourner la page…

Les chroniques des livres que l’on a adorés sont toujours les plus difficiles à rédiger. Difficile de vous faire comprendre, par des mots, le sentiment de bien être ressenti durant cette lecture. J’étais juste bien, dans ma bulle, le sourire aux lèvres, et le fou rire jamais trop loin.

Drew et Emerie sont aussi touchants que complètement barges. Pour autant, l’histoire n’est pas que légère. Bien construite, sans chichi ni drame visible dès les premières lignes. C’est simple, terriblement normal, terriblement cynique, terriblement addictif : ça fait tout simplement du bien au moral. Une merveille de rire, d’humour, d’amour et d’ego surdimensionné : Drew, mon nouveau héros…

« Chère Vi Keeland,

Je suis amoureuse de votre plume, de votre humour, de vos histoires.. Il m’en faut encore ❤ »
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