J'ai trouvé ce tome meilleur que le premier: L'histoire se complexifie un peu (rien d'exceptionnel non plus, mais ça passe) et l'arrivée de Arrow apporte du nouveau. On commence à nous donner des pistes sur ce qui pourrait arriver dans le tome 3 et cela donne envie de continuer.

Un roman très frais que j'ai adoré dévorer. C'est bien écrit, les personnages sont réalistes et sortent des clichés traditionnels : Pas de gros trauma vécue par l’héroïne dans son enfance, on a vraiment l'impression d'avoir affaire à de vraies soeur : Semblables mais non identiques, les réactions collent avec l'âge des personnages et l'histoire entre eux n'est pas compliquée artificiellement.

Je ne sais pas si je lirai le tome 2 car pour moi, celui-ci se suffit à lui-même et j'ai peur que le suivant commence à aborder la sexualité chez les ados (thème que je déteste voir abordé dans les livres américains).

J'ai été un peu déçue par cette lecture.

Le style de l'auteur est très travaillé, mais personnellement, je trouve que ce français recherché ne colle pas du tout avec un récit à la première personne (je n'aime de toute façon pas les récits à la première personne).

Ce style ralentit inévitablement l'action, alors il faut que celle-ci soit suffisamment intéressante pour tenir en haleine. Mais ici, pas non plus de quoi s'exalter. Je n'ai pas détesté, mais je préfère lire un Twilight ou Dracula plutôt qu'une histoire entre les deux...

Un petit livre dont l'histoire se lit vite, même si elle n'est pas inoubliable.

En revanche, moi qui n'y connait pas grand chose en peinture, j'ai beaucoup appris, notamment sur Vermeer : La façon dont il peignait, dont il réfléchissait à son tableau... et ce côté là m'a beaucoup plu!

Je n'ai lu aucun livre des deux auteurs, donc je n'avais aucune idée de ce dans quoi je me lançais.

Et j'ai adoré ma lecture. Alors oui, cela ressemble à Harry Potter pour le décor / personnages (l'école, les années à la place des maisons, le trio ...) mais côté intrigue je n'ai pas trouvé plus de point communs que n'importe quel livre et certaines idées sont très bien trouvées. Après j'ai aussi aimé pour les points communs à Harry Potter.

Mais je ne pensais pas aimer également le reste du livre. L'histoire est intéressante et le livre se lit très vite (lu en Allemand pour moi). Le tome 2 se trouve dans ma PAL et ne devrait pas y rester longtemps !

Malheureusement, je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire comme ce fut le cas avec Rouge Rubis.

J'ai fini par abandonner ma lecture, je n'avais plus envie de m'acharner plus que cela.

J'ai adoré cette lecture. Je trouve l'univers de Murakami absolument sublime. On oscille toujours entre réel et surréel, même si le "réel" en soit n'est déjà pas tout à fait comme le réel que l'on connait.

Je l'ai lu sans savoir du tout de quoi cela allait parler et j'en suis ravie!

Un livre qui sort du lot dans la collection R (dont je ne suis pas franchement fan) puisque ici pas de fantasy / dystopie cher au Young adult, mais du roman historique.

L'histoire est touchante et le personnage principal, bien qu'un peu effacé au début évolue et surtout à des défauts notoires : Elle aime la richesse et le monde auquel elle n'appartient pas.

Malheureusement, je ne saurais expliquer pourquoi après quelques mois, je ne suis pas plus emballée sur ce livre que ça. Sûrement parce que j'aime Balzac (mais pas Zola) et que du coup j'ai l'habitude de lire une écriture plus travaillée.

J'ai déjà lu Alice au pays des merveilles dans sa version traditionnelle. Et malgré ma préférence pour sa suite "de l'autre côté du miroir", j'ai foncé sur cette magnifique édition illustrée.
Je n'ai pas été déçue. Les images sont absolument magnifiques et correspondent totalement à l'ambiance déjantée du livre.

Diptyque lu dans la foulée. Comme toujours j'adore Gabriel Katz et cette histoire confirme mes pensées.

Les personnages sont magnifiques et l'écriture et agréable et un poil recherchée (mais pas au point de devoir se concentrer outre mesure). Mais c'est surtout l'histoire qui m'a fait craquée. Après avoir lu pas mal de livre de fantasy dont le monde de base est semblable à celui d'Aeternia, ce livre nous surprend par les idées et cultures développées et les retournements de situations qui sont originaux et pourtant pas si tirés par les cheveux que cela.

Même si au final, j'ai préféré le puits des mémoires, je recommande ce diptyque à tous ceux qui pensent que la fantasy est toujours trop compliquée pour eux !

Un bon tome dans la lignée de "Percy Jackson et les dieux grecs". J'ai eu la surprise de découvrir ce tome qui contient exactement ce que je cherchais après la lecture du précédent : L'histoire des héros sauce Percy !

Le seul point négatif, est que les textes sur les héros sont au final assez similaires (puisque si on y regarde bien, les héros grecs, c'est un peu toujours la même chose)

Une histoire courte très intéressante sur le début des avions courriers. On y suit principalement le personnage de Rivière qui a son entreprise à gérer et doit faire face parfois à des choix difficiles.

Au delà du milieu de l’aviation qui reste à un niveau global, le personnage de Rivière permet de se mettre dans la peau d'un "petit patron" à une époque où les théories sur le management étaient bien différentes.

Je tiens déjà à souligner la couverture qui est sans doute la « moins pire » de toute la série (avec le tome 3). Je pense que le stagiaire qui a fait les premières à gros coup de photo montage ignoble a fini sa période chez Albin Michel Wiz. Sans avoir une couverture exceptionnelle, on a tout de même quelque chose de très regardable.

Et voilà, c’est fini fini Percy Jackson ! Dans ce dernier tome, on a sans surprise le grand combat final contre le grand méchant de l’histoire. Le ton de l’histoire est du coup beaucoup plus sérieux que les tomes précédents. L’humour étant principalement porté par Léo.

J’avais commencé à me lasser lentement de Percy Jackson en général, je trouve qu’il manque le côté nouveauté et nouvelles anecdotes mythologique des premiers tomes. Ici, on nous parle beaucoup des mêmes dieux / héros / monstres que dans les tomes précédents et cela enlève tout le côté pédagogique.

Mais comme c’est Rick Riordan, j’adore quand même rien que pour l’écriture. Une fois de plus j’ai dévoré ce tome à la vitesse de l’éclair et je ne me souviens déjà plus trop de l’histoire, sauf que c’était trop bien ! Parce que c’est cela qui fait tout: les personnages et les dialogues. Les chapitres sur Nico sont très intéressants et très touchants. Et la fin, bien qu’attendue, fait quand même plaisir et au final, j’ai une fois de plus refermé ce livre avec un sourire au lèvres.

Ce roman est pour moi l'exemple parfait d'un roman de gare. Mais d'un bon roman de gare.

L'histoire alterne entre notre époque et Londres de 1941 avec certains passages plus courts à d'autres dates. Ce n'est pourtant pas un roman historique. L'auteur a fait des recherches mais cela ne se voit pas beaucoup dans son récit car au final, la guerre et l'Histoire est très peu présente. On suit surtout la petite vie de Dolly avec ses amies, ses amours, ses emmerdes. De tout le récit nous n'entrendrons pas parler de Churchill ou de la guerre en général. Le seul personnage qui nous la présente est Jimmy, photographe de guerre.

Cela se lit bien, les personnages sont attachants et on a envie de savoir la suite. On a des surprises à la fin du roman et c'est plutôt bien écrit. Mais on est loin du livre renversant qui change notre vision du monde. Je ne lis pas beaucoup de contemporain alors je ne suis peut être pas la mieux placée pour en parler, mais comparé à du John Irving, rien à voir.


Au final, je pense que cela s'oublie assez bien, mais reste une lecture à recommander si vous avez déjà le livre chez vous.

Comme le résumé le souligne, nous allons suivre Chet dans un Paris post apocalyptique qui s’est plutôt bien remis, car même si beaucoup de choses ont changées dans la capitale, on y retrouve la vie parisienne, les lieux emblèmatiques de la ville et une population importante et hétéroclite.

J’ai dévoré ce livre en quelques heures pour un gros point positif : L’ambiance. Le Paris présenté est absolument génial et chaque page est truffée de bonnes idées originales. Les personnages sont très attachants et on sort vraiment des sentiers battus habituels (avoir comme personnage principal un homme bi-sexuel se travestissant pour chanter du jazz dans des bars, c’est inhabituel).

paris-tour-eiffel-apres-apocalypse.jpgL’histoire est secondaire et on le ressent surtout dans la deuxième moitié du récit. Je n’ai pas vraiment adhéré à l’intrigue dans les dernières pages, lorsque l’enjeu nous est présenté.

À la fin, nous restons avec beaucoup de questions sur le personnage principal et sur son amie. Si Chet a évolué le long du roman, on a tout de même le sentiment que son chemin n’est pas fini.

Je me dois également de préciser que ce roman n’est pas destiné à de jeunes lecteurs. Tout d’abord car on est beaucoup dans du descriptif de ce que voit et ressent Chet, et également car nous avons beaucoup de ses réflexions amoureuses et sexuelles (et quelques scènes / rêves sexualisés).

Mon avis

"Qui es-tu Alaska?" s'inscrit dans le genre de "drama adolescent". Ce récit a fait écho à des titres que j'avais déjà lu comme Le monde de Charlie, Love letter to the dead, Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers ou encore moi et Becca. On suit l'arrivée "du Gros" dans sa nouvelle école et sa rencontre avec Alaska qui semble cacher un secret derrière sa joie et ses blagues.

Je n'avais jamais lu de John Green avant et j'avoue avoir beaucoup aimé sa facon d'écrire. On est face à un tableau réaliste de la vie au lycée, des pensées des adolescents et de leurs relations, qu'elles soient amicales ou amoureuses. La fin est touchante et fait réfléchir. L'auteur et le personnage principal étant fan de "dernière paroles avant de mourir de personnes célèbres" le livre en est truffé et cela, ajouté au "listes" que se fait Miles dans sa tête, donne une vrai personnalité au livre.

Comme pour les livres cités au dessus, le sentiment que me laisse ce livre est que j'aurais du lire ce genre de romans lorsque j'étais au lycée. Cela m'aurait sûrement beaucoup plu et j'aurais également mieux apprécié l'histoire. J'aurais aussi été bien mieux touchée par les senitments décrit qu'à l'heure actuelle en tant qu'adulte. Et j'aurais également mieux aimé les descriptions de vie quotidienne d'ado.

Car c'est un peu un reproche global à ces livres, c'est qu'on est toujours face au même genre et à la même histoire. Aristote et Dante m'avait impressionné car je n'avais jamais lu cela avant (et je maintiens que c'est à ce jour mon livre préféré parmis ce genre) et que cela me parlais. Mais relire 10 fois l'arrivée dans une nouvelle école d'un adolescent un peu paumé, cela devient très répétitif. Surtout quand on y rajoute un drame qui est plus ou moins le même.

Pour faire court

Sans révolutionner le genre, Qui es-tu Alaska ? Permet un moment de lecture agréable grâce à la plume de l'auteur. Le livre se lit facilement et nous fait réfléchir avec les personnages. Ce livre ne restera pourtant pas parmi mes "inoubliables".

Ce livre est une de mes meilleures lectures fantasy de cette année. Je regrette juste de l’avoir fait autant traîner dans ma PAL.

Dans ce monde, la nuit appartient aux monstres qui apparaissent au coucher du soleil. Les humains ont oublié depuis longtemps comment combattre efficacement ces monstres et le seul moyen de s’en protéger est de dessiner des runes protectrices autour de sa maison.

On suit 3 personnages différents tout au long du roman de leur enfance au début de l’âge adulte grâce à des bonds dans le temps occasionnels de plusieurs années. Chacun des trois personnages prendra une voix différente des autres :
– Arlen voudra devenir messager, les seuls qui affrontent la nuit grâce, entre autres, à des runes portatives. C’est le personnage qu’on suivra le plus.
– Leesha deviendra cueilleuse, l’équivalent des infirmières, une communauté qui a accès à certains textes ancien et oubliés
– Rojer prendra la voie des Jongleurs, ces artistes de rue qui accompagnent souvent les messagers de village en village.

Chaque héros a son histoire et on s’attache à eux en seulement quelques pages. Leurs histoires sont variées, souvent dures, mais on rit, on pleure et on s’indigne avec eux. Tous ont une personnalité entière, même les personnages secondaires. Certains ne sont pas des héros, d’autres ont des réactions déraisonnables, mais aucun personnage n’est manichéen (sauf peut-être la mère de Leesha, d’où mon léger agacement lorsqu’elle ouvrait la bouche). Toutes les personnalités sont complexes.

Homme-RuneCe qui m’a le plus impressionné, c’est l’univers que développe l’auteur. Ici, on est loin des classiques de fantasy habituels : Pas de fin du monde qui ne peut être évité que par une alliance entre les elfes et les nains, pas non plus de personnage devant se cacher car il a assassiné le roi. Là c’est très innovant et tout se tient. L’univers est très travaillé sans jamais être compliqué. On comprend rapidement le fonctionnement de cette vie entravée par les monstres, l’Histoire de ce monde nous est résumée efficacement. Les jongleurs, qui au départ étaient pour moi une idée assez bancale, ont été tellement bien approfondis que leur existence m’a paru ensuite couler de source.

La fin laisse entendre une nouvelle tournure du récit et j’ai hâte de me procurer la suite. J’espère seulement que l’auteur me réserve de nouvelles surprises dans un univers tout autant cohérent.

Lorsque le livre est sorti, il a fait un carton et j'ai pu entendre partout que ce livre était génial.
Les 30 premières pages sont super: On apprend que les parents d'Alice vont mourir, puis on assiste à leur mort sanglante ...

Et c'est tout.

Ensuite on suit la vie d'Alice: Alice va dans son nouveau lycée, Alice se fait une meilleure amie, Alice rencontre des garçons trop beaux et trop mystérieux, Alice va à une fête, Alice se demande qui a lancé la rumeur que c'est la pétasse du lycée ... ah oui, et des fois, il y a des zombies ! Pour le coup c'est subjectif, mais personnellement, ce n'est pas ce à quoi je m'attendais et j'ai été déçue.

Ce qui me déçoit le plus, c'est la pub positive que j'ai entendu autours de ce livre. Je ne pense pas que mon avis négatif vienne seulement du fait qu'on est de nouveau dans la même histoire que d'habitude à suivre une pauvre lycéenne qui voit sa vie basculer et doit sauver le monde et sortir avec l'homme le plus beau et mystérieux de la terre. Non, je pense que le livre est mauvais dans son écriture et surtout dans sa maîtrise du suspense.

L'histoire ne tient pas debout deux secondes puisque si Alice est censée avoir un pouvoir super rare, on apprend que 70% du lycée a le même puisque même la directrice est au courant. Mais ce genre d'incohérences pourraient être pardonnées si l'histoire était suffisamment intéressante.

Mais même sur ce point, c'est une catastrophe. On assiste à toutes les mauvaises techniques déjà épurées pour rajouter du suspense où il n'y en a pas. En commençant avec les personnages qui sont tous débiles et parano et ne posent ni questions, ni ne veulent y répondre quand Alice en pose une.

Dans ce tome 3.5 qui comporte environ 200 pages, on suit l'adolescence de la princesse Levana et de son ascension au trône. Ce tome est également un bon résumé des "épisodes précédents" puisque tous les évènements antérieurs au premiers tomes sont mentionnés.

J'ai adoré ce tome intermédiaire. Suivre la méchante des autres tomes et avoir son point de vue est très intéressant, surtout pendant son enfance, car elle a un caractère assez différent de celui qu'elle aura une fois adulte.

On retrouve une Levana pas très aimée par sa famille et sans amis ... Et un peu folle aussi à mon avis (elle a des sentiments et des convictions pas très saines pour elle et son prochain). On la voit évoluer au fil des années et, sans parvenir à la comprendre ou à la plaindre, on finit par découvrir une autre facette de cette méchante reine.

L'écriture est comme toujours très addictive et dans un court roman comme celui-ci, où le récit est accéléré, il est pratiquement impossible de décrocher de sa lecture.

Le seul point noir de ce roman est sans doute son prix dans son édition francaise (12€ en ebook et environ 16€ en broché). Mon édition étant en anglais (env. 9€), j'ai remarqué que ce demi-tome coutait plus cher qu'un tome normal de 500 pages, ce qui est difficilement compréhensible.

Un tome d'introduction qui permet de présenter tous les personnages principaux de DC. Un tome magnifique avec un bonne dose d'humour venant des personnages qui se détestent cordialement.

Le scénario en lui-même est plat, c'est sûr mais ça se lit bien et les dessins en mettent plein la vue.

Mon premier comics Superman et une très bonne découverte.

le lecteur n'a pas besoin de connaître Superman sur le bout des doigts pour s'y plonger. On y retrouve également les autres personnages emblématiques de DC dans un version alternative très intéressante.

Le communisme reste tout de même décrit comme le traditionnel point de vue américain. Sans être non plus manichéen, j'aurais aimé plus de subtilité concernant les idées communistes pour essayer de mieux me plonger dans le point de vue de ce superman alternatif.

Je n'avais pas la moindre idée de l'histoire de ce roman, si ce n'est qu'il racontait une histoire d'amour. Mais j'avais envie de lire du Aragon et cela me paraissait plus accessible que la poésie.

J'ai bien aimé ma lecture. Je l'ai étalée sur plusieurs semaines, mais c'est exactement le genre de livres qui ne s'apprécie qu'avec une lecture lente et réfléchie.

Ce que j'ai le plus apprécié, c'est la facon dont Paris est dépeint. On découvre ce Paris d'après guerre où tout le monde fait la fête et est heureux jusqu'à l'exagération. On nous parle de Picasso, Rousseau, Cocteau et nous sommes plongés dans l'ambiance de l'époque. Mais on retrouve également ceux qui ont fait la guerre. Oubliés par le pays et ne sachant eux mêmes pas ce qu'ils doivent faire, maintenant que personne n'est là pour donner des ordres.

J'ai également adoré suivre les personnages secondaires plus que les principaux. Edmond et Blanchette ont chacun des personnalités très différentes et on suit une rélle évolution des personnages, surtout en ce qui concerne Blanchette. Les dadaistes sont également intéressant à suivre dans leur idée de "refuser le système" au point de créer un système eux-mêmes.

L'histoire entre Bérénice et Aurélien (que je ne considère pas vraiment comme une histoire d'amour, vu le peu qui se passe entre eux) est également intéressante. Je dois dire que j'ai beaucoup plus aimé le personnage de Bérénice à celui d'Aurélien. J'ai trouvé Aurélien mou et bête et j'ai eu du mal à être convaincue de son amour pour Bérénice (J'avais plutôt l'impression qu'il voulait également se convaincre lui-même).

La fin m'a beaucoup touchée. L'épilogue et indispensable à l'histoire pour en comprendre toute la profondeur et le gouffre entre les personnages.

Encore un superbe tome des robots d'Asimov. J'attendais avec impatience de découvrir Aurora et je n'ai pas été déçue.

J'ai trouvé l’enquête un peu "légère", voire inintéressante, mais tout cela est rattrapé par l'ambiance et la découverte de la civilisation auroraine. La fin est géniale et on commence à entrevoir le début du cycle de Fondation (que j'ai commencé en parallèle).

Plus qu'un tome avant la fin ... heureusement qu'il reste encore pas mal de chose à lire de l'auteur !

Un tome quatre très intéressant qui se renouvelle de façon agréable grâce aux nouveaux "mondes" et "personnages" rencontrés.

Comme d'habitude, je trouve que le début est ultra lent. C'est un peu dommage. On a 2 chapitres environ dans notre monde qui, bien qu'ayant une utilité, font un peu "tâches" tout seuls.

A part cela, j'ai dévoré ma lecture (en VO).

Premier livre sur le guet, je redoutais un peu cette lecture car j'adore Rincevent et il n'est pas dans ce tome.

Mais au final j'ai absolument adoré. Les personnages sont très attachants et surtout, le scénario est le mieux ficelé que j'ai vu dans un Pratchett jusque là. Ici on arrive parfaitement à suivre l'histoire, on a des rebondissements qui ne sont pourtant pas démesurés et la progression est facile à suivre.

J'ai plus que hâte de lire la suite des annales du disque-monde, car si les tomes suivants sont pareils, je vais tout dévorer !

Ce roman est un Balzac assez léger dans son écriture. On y retrouve notamment des scènes assez cocasses entre les protagonistes qui rappellent parfois les pièces de théâtre de Molière. Ayant déjà lu pas mal de Balzac, je sais déjà sa vision et ses fins de romans. Mais dans celui-ci, je n'ai jamais su dire comment cela allait se finir pour Eugénie.

Un tome assez facile à aborder (si on enlève les scènes où on compte les sous de son père) dans l'univers de Balzac.