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Dans la grande tradition du roman sudiste, dénonçant l'oppression raciale et sexuelle dont étaient victimes les femmes noires, La Couleur pourpre fait date. Le livre raconte l'histoire de Celie et Nettie, deux sœurs, séparées à l'adolescence mais liées par un amour indéfectible que ne terniront pas les brimades et le mépris, les guerres et l'absence. Celie, mariée enfant à un homme violent, ne reçoit pas les lettres que lui adresse Nettie, devenue missionnaire en Afrique, car son mari les subtilise. Ignorant l'adresse de sa sœur, elle-même envoie ses lettres au bon Dieu. Une correspondance sans espoir de réponse... Une correspondance qui sauvera les deux femmes du désespoir... Ayant découvert l'amour dans les bras d'une amie de son mari, Celie parviendra-t-elle à se libérer de sa tragique condition ? C'est tout le sujet de ce roman poignant, mais d'où l'humour n'est pas absent, et qui fit assez sensation à sa parution pour obtenir les deux principaux prix littéraires américains, le Pulitzer et l'American Book Award, en 1983. Puis pour être ensuite porté à l'écran par Steven Spielberg avec le retentissement que l'on sait.
Tu te prends pour quoi? il fait en riant. Tu peux pas jeter des sorts comme ça. Regarde toi donc. T'es noire, pauvre, moche, et en plus t'es une femme. T'es vraiment rien du tout.
Je ne sais pas par où commencer tellement il a de choses à dire sur ce roman épistolaire, alors je vais simplement dire que c'est un de mes coups de coeur, et "allez le lire tout de suite" parce que c'est vraiment un bijou qui traite de beaucoup de sujets différents : le racisme, la condition de la femme noire au sein de la vie de tous les jours/ de sa propre famille..
À travers Celie, une femme noire qui survit aux abus et découvre l’amour et la solidarité féminine, l’auteure dépeint un parcours de transformation intérieure. Les personnages comme Shug Avery, source de liberté pour Celie, incarnent la force des liens féminins, capables de panser les blessures les plus profondes. Dans une écriture sobre et intense, Alice Walker aborde des thèmes d’oppression et de dignité, nous rappelant que même les vies les plus brisées peuvent retrouver espoir et liberté.
Ce roman est une ode puissante à la résilience et à l’émancipation.
Il y a quelques mois Arte rediffusait La Couleur pourpre de Steven Spielberg, ce qui tombait à point nommé, car j'avais très envie de revoir cette adaptation depuis un certain temps. J'ai donc redécouvert avec plaisir ce film que je trouve tout simplement merveilleux. C'est une ode à la vie, à la liberté, mais aussi à l'amour. Je savais que le film avait été adapté d'un roman écrit pas Alice Walker et je n'avais, jusqu'à cet été, jamais eu la curiosité de le lire. Publié en 1982, et récompensé par le très prestigieux prix Pulitzer l'année suivante, La Couleur pourpre est considéré à présent comme un classique de la littérature américaine. LA SUITE SUR MON BLOG: https://mariechristmash.wixsite.com/mariechristmash/post/la-couleur-pourpre-d-alice-walker-lue-sous-le-prisme-de-l-adaptation-de-spielberg
Un roman qui se lit plutôt pas mal, mais je me suis senti assez peu concerné par ce que vivent les personnages malgré l’importance des sujets. J’ai quand même noté quelques évolutions intéressantes, mais largement sous-exploitées.
Ce roman figurait dans ma liste des livres cultes à lire depuis un moment. C'est un classique qui a reçu le prix Pulitzer et l'American Book Award. Mais c'est surtout parce que l'adaptation de Spielberg m'avait marquée. Un superbe casting est une Woopy Goldberg exceptionnelle.
N'étant pas fan des romans épistolaires, j'ai tardé à m'y mettre. Mais finalement ça ne m'a pas posé de souci.
Les narratrices sont deux soeurs afro-américaines, très fusionnelles et complices, séparées dès l'adolescence. Celie est encore une enfant quand elle est abusée sexuellement puis mariée de force. Sa vie n'est qu'une longue suite de malheurs et plus encore quand elle est séparée de sa soeur. Elle accepte tout sans broncher, comme une fatalité. Les différentes rencontres, parfois très inattendues, l'aideront à se construire et changeront sa vie.
La vie de Nettie sera totalement différente puisqu'elle est missionnaire en Afrique. Malgré l'éloignement et le temps qui passe, leur amour restera intact.
Ce roman aborde principalement la condition des femmes noires au début du XXe siècle dans le sud des États-Unis et l'amour entre les deux soeurs, mais aussi le patriarcat, le racisme, la violence faite aux femmes, l'homosexualité, les inégalités sociales, etc. Je constate tristement que ces sujets sont hélas toujours d'actualité,
Les personnages sont hauts en couleur et chaque portrait est magnifiquement brossé. J'ai bien sûr adoré Celie, mais Sofia et Shug m'ont également ravie. Toutes sont des femmes fortes et courageuses.
Si j'ai adoré les parties avec Célie, j'ai été moins enthousiaste par celles avec Nettie. Les thèmes abordés sont intéressants, mais je les ai trouvés moins développés. J'ai moins accroché à cette partie, ainsi qu'aux personnages.
Un très beau roman, bouleversant et puissant, porté par une héroïne inoubliable. C'est triste, c'est drôle parfois, c'est poignant, c'est à lire !
C'est un roman parfois difficile. Parce que Célie n'a vraiment pas une vie facile. Balottée d'un homme à l'autre, violée plus que contrainte par les "voeux du mariage", la pauvre est la bonne sur laquelle on tape...
Mais elle est courageuse et ne baisse pas les bras. Découvrira même l'amour grâce à Shug, une jeune femme. De cette amour naitra une autre vision du monde et de sa vie. C'est grâce à cette jeune femme exubérante, et choquante pour la société, que la vie et le monde de Célie évolueront dans le bon sens. L'histoire de Nettie m'a un peu moins touché. Plus "lisse", j'ai moins adhéré. Nettie souffre vlairement moins que sa soeur. Elle est plus moderne en quelque sorte, plus encline à s'ouvrir au monde et à ne pas être une victime. De plus, Nettie va apporter un côté "conte de fée" à l'histoire qui est certes mignon, mais ne m'a pas convaincu outre mesure.
Je vous recommande cependant cette lecture.
Rapide, rien d’écœurant à lire, un "simple" témoignage brut de sincérité.
J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous plonge dans une autre époque, celle des noirs, affranchis mais toujours exclus, en Amérique, celle de la colonisation en Afrique. Ses personnages sont très émouvants. J'ai voyagé...
L’histoire se situe dans l’Amérique profonde et on suit la vie d’une femme sur une trentaine d’années.
Sous forme de lettres et de journal intime des sujets sont traités tels que le viol, l’inceste, les violences conjugales et la condition de la femme pauvre noire dans les années 30.
Ce drame est une histoire de vie, d’amour et d'amitié qui prend aux tripes.
Résumé
Dans la grande tradition du roman sudiste, dénonçant l'oppression raciale et sexuelle dont étaient victimes les femmes noires, La Couleur pourpre fait date. Le livre raconte l'histoire de Celie et Nettie, deux sœurs, séparées à l'adolescence mais liées par un amour indéfectible que ne terniront pas les brimades et le mépris, les guerres et l'absence. Celie, mariée enfant à un homme violent, ne reçoit pas les lettres que lui adresse Nettie, devenue missionnaire en Afrique, car son mari les subtilise. Ignorant l'adresse de sa sœur, elle-même envoie ses lettres au bon Dieu. Une correspondance sans espoir de réponse... Une correspondance qui sauvera les deux femmes du désespoir... Ayant découvert l'amour dans les bras d'une amie de son mari, Celie parviendra-t-elle à se libérer de sa tragique condition ? C'est tout le sujet de ce roman poignant, mais d'où l'humour n'est pas absent, et qui fit assez sensation à sa parution pour obtenir les deux principaux prix littéraires américains, le Pulitzer et l'American Book Award, en 1983. Puis pour être ensuite porté à l'écran par Steven Spielberg avec le retentissement que l'on sait.
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