La Couleur des sentiments

Très plaisant et agréable à lire, touchant et souvent drôle, cet ouvrage m'a plu . Cependant je ne peux m'empêcher de trouver la fin de l'histoire... bâclée!

Je me demande si d'autres lecteurs ont eu la même impression?

Voilà plusieurs années que je voulais lire ce livre (après avoir vu le film)

C'était une très bonne lecture!

Suivre ces femmes dans leurs histoires avec les familles blanches qui les emploient, leurs liens créés avec les enfants dont elles s'occupent, et les changements de mentalité qui s'opère avec le vent des années soixante...

Gros coup de cœur pour les coups de gueule de Minny mais aussi pour le lien entre Abby et la petite dont elle s'occupe.

Vraiment je vous conseille ce livre qui a beau être une fiction, doit avoir un fond de vérité qui ne m'étonnerait même pas.

Un roman que j'ai lu pour me remettre à la lecture. C'était parfait, il est passionnant, drôle et les personnages sont attendrissants. Bien sûr, certains personnages sont absolument abjects et sont très bien écrits en cela. Je trouve que l'écriture est très immersive, j'ai vraiment eu l'impression d'être plongé dans cette Amérique d'entre deux décennies

En refermant ce livre, j’ai eu l’impression d’avoir vécu quelque chose de fort et d’humain. Et même si le monde a changé depuis l’époque où se déroule l’histoire, je n’ai pas pu m’empêcher de penser que certaines injustices, sous d’autres formes, persistent encore aujourd’hui. Cela donne à ce roman une résonance toujours actuelle.

Magnifique livre qui parle de la ségrégation raciale au Mississippi autour des années 1960...

En rencontre, deux bonnes au service de famille blanche, de leur condition de travail ainsi qu'une femme qui s'interroge sur leur vie... Ensemble, elles feront connaître leurs voix au risque de représailles. Le livre est réaliste, émouvant, avec une pointe d'humour avec la tarte aux chocolats de Minnie...

À travers les voix de Skeeter, Aibileen et Minny, j’ai plongé dans l’Amérique ségrégationniste des années 1960, un univers à la fois révoltant et fascinant. Ce roman met en lumière les injustices que subissaient les femmes noires au service des familles blanches, tout en révélant leur force, leur courage et leur humanité.

Ce que j’ai adoré, c’est la manière dont Kathryn Stockett a su donner une voix à ces femmes souvent réduites au silence. Les personnages sont d’une richesse incroyable, chacun avec ses doutes, ses espoirs et ses luttes. L’histoire nous rappelle à quel point il est important d’écouter, de comprendre et d’agir pour le changement.

Le style d’écriture est fluide et très accessible, ce qui m’a permis de me plonger facilement dans le récit. Malgré la gravité des thèmes abordés, il y a aussi des moments d’humour et de tendresse qui rendent la lecture encore plus poignante.

Ce livre m’a marquée par sa puissance émotionnelle et m’a fait réfléchir sur le courage qu’il faut pour dénoncer l’injustice, même quand cela semble impossible.

Un roman d'une tendresse infinie face à une thématique si complexe qu'est la ségrégation aux Etats Unis des années 60.

Trois femmes très différentes, avec trois points de vues narratifs. Les personnages sont attachants et les maillages entre eux sont hyper bien construit.

On rentre doucement dans l histoire, et la fin fait monter un suspens auquel je ne m'attendais pas.

C'est une belle écriture et une jolie découverte

Ce roman donne voix à trois personnages d’une richesse extraordinaire : Skeeter, une jeune femme blanche, fille d’une famille de producteurs de coton, qui rêve de devenir journaliste ; Aibileen, une femme tendre et calme, dévouée aux enfants des familles blanches tout en assumant les tâches domestiques ; et Minny, plus jeune, au caractère bien trempé, mère aimante et fidèle amie d’Aibileen. Employée par Celia, une femme blanche issue d’un milieu modeste qui brise les codes en la traitant en égale, leur relation, sincère et profonde, illustre comment deux âmes blessées peuvent s’élever mutuellement.

Au début, Skeeter m’a agacée par son ignorance face aux horreurs qui l’entourent, mais son évolution auprès d’Aibileen et Minny, ainsi que ses choix ,m’ont finalement touchée.Cependant, c’est Aibileen qui a capturé mon cœur. Seule depuis la mort tragique de son fils, elle continue d’élever avec amour les enfants des autres, leur apprenant à s’aimer malgré la cruauté d’un monde qui, plus tard, les rendra souvent indifférents ou hostiles envers elle. Ces injustices sont parfois contrebalancées par des liens sincères, faits d’amour ou de respect, même si ces moments lumineux ne suffisent pas à effacer la dure réalité.Parmi les personnages secondaires, Hilly incarne la violence et l’hypocrisie de la ségrégation. Par sa méchanceté et son mépris, elle symbolise les pires travers d’une société injuste. Si sa "punition" est savoureuse, elle laisse le goût amer d’une justice incompétente et inégal.

En conclusion, La Couleur des Sentiments est bien plus qu’un roman. C’est un cri contre l’injustice, une ode à l’amour et à l’espoir, et un rappel que, même dans un monde marqué par l’inhumanité, des âmes courageuses peuvent semer les graines d’un avenir meilleur.

A lire absolument un vrai coup de coeur

Il fait partis pour moi des incontournable qu'il fallait que je lise.

C'est un très beau roman, super bien construit. On s'attache au personnages. Il donne se sentiment de force, justice et de courage.

Et la petite touche de vengeance, vraiment magnifique, le trait d'humour bien placé.