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Au sud de l’Amérique profonde, en Alabama, un café au bord d’une voie ferrée... Ninny, fringante octogénaire, se souvient et raconte à Evelyn, une femme au foyer à l’existence monotone, les incroyables histoires de la petite ville de Whistle Stop. Grâce à l’adorable vieille dame, Evelyn, qui vit très mal l’approche de la cinquantaine, va peu à peu s’affirmer et reprendre goût à la vie.
Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d'humour.
Après ça, quand je suis rentrée chez moi, j'ai dit à mon amie Mrs. Otis qu'il ne nous restait plus qu'à attendre de claquer... Elle m'a répliqué qu'elle préférait dire "s'éteindre". La pauvre, je n'ai pas eu le coeur de lui dire qu'on n'était pas des lumières et que, de toute façon, péter les plombs, s'éteindre ou claquer, c'était du pareil au même.
J’adore les livres où il faut suivre…ou aucun chapitre n’a la même longueur…ou on a des flashbacks perpétuels et dans le désordre, pour découvrir les faits de différents points de vue…ou la galerie de personnages principaux et secondaires et aussi variée que croulante sous le nombre. Chacun des personnages même secondaires a d’ailleurs droit à des scènes qui lui sont consacrées…c’est prenant, c’est plein d’émotions, c’est gouleyant comme un grand cru de jus de fruits du soleil (oui je ne sais pas apprécier le vin…d’où ma version sans alcool de cette expression !^^) On en redemande, on veut tout connaitre de la famille Threadgoode des années 20 à 86…leurs joies leurs peines, leurs coups fourrés…période de tension entre Blancs et Noirs (l’esclavage a été abolit mais les relations ne sont pas au beau fixe) mais aussi d’amitié et d’entraide très forte entre les 2 races au Whistle Stop Caffe…un aperçu de ce qui apparait dans le roman à petite ou grande échelle : famille nombreuse, petite communauté unie, Klux Klux Klan, homosexualité, lignes de trains glorifiées bien que des accidents graves en résultent, groupe de bonimenteurs : surnommé le Club des Cornichons, procès pour suspicion de meurtre, femme battue, divorce non existant, non égalité Homme-Femme…un micmac foisonnant qui sans masquer la gravité de certains évènements ne tombent jamais dans le mélodrame et utilise la dérision pour adoucir la lecture! Une petite pépite qui m’a donner faim (voir les recettes de cuisine à la toute fin) et en même temps rassasiée car toutes les aventures des héros m’ont repues…je laisse Ninny, Cleo, Idgie (impayable Idgie !^^), Ruth, Grady, Big Georges, Artis, Essie, Jasper, Julian, M’ma, P’pa, Stumb, Naugthy Bird, Eva, Buddy, Wilbur, Dot Weems et sa gazette ainsi tous les autres à regret…je suis heureuse que le personnage d’Evelyn (alias Towanda son identité « mentale » secrète de redresseuse de torts quand elle craque nerveusement!^^) par sa venue à Rose Terrace ait permis de découvrir tout l’univers de Ninny à travers les souvenirs contés de cette dernière…
Le petit plus qui facilite le suivit de la chronologie (ben oui on passe de 1924 à 1986, à 1928 à 1959 à 1923…etc…et parfois de mai à mars de la même année !^^) chaque « chapitre » en haut de page précise non seulement le lieu où l’on se trouve ainsi que la date précise du fait relaté mais en plus le tout est orné d’un dessin type qui lui est propre…exemple : pour la Gazette de Dot Weems (qui m’a bien fait rire avec son humour et sa « tendre moitié ») c’est un rouleau de papier avec une plume/feuille taillée pour écrire, pour la Maison de retraite de Rose Terrasse il y a des petites fleurs…ainsi notre subconscient tilt direct quel personnage on retrouve et à quelle période environ. J’ai l’impression de ressortir grandie de ma lecture comme Evelyn s’est sentie grandie et décomplexée par les récits de Ninny. Je replongerais avec bonheur dans ce livre (j’ai une grande tendresse pour tout ce petit monde) …je comprends le succès phénoménal qu’il a remporté…il faut que je me procure son adaptation cinématographique pour comparer…mais la version papier d’origine est une valeur sure…laissez-vous tenter !
Ce livre a un charme ancien et rustique indéniable, un peu dans le genre Petite maison dans la prairie, partageant les joies et les drames de tout un petit monde se connaissant bien ou des histoires et des anecdotes. Pour autant j'ai trouvé que l'ensemble manquait d'une certaine clarté ou linéarité pour être vraiment agréable à lire.
Je me souviens avoir vu le film adapté de cette histoire en étant enfant mais je n’avais jamais lu le livre. J’ai redécouvert cette belle histoire pleine d’humour et d’émotions. Le récit alterne entre plusieurs époques et la narration change selon les chapitres mais au lieu d’alourdir le texte ça lui donne plus de légèreté. On découvre la vie des personnages sous différents angles.
On ne présente plus l'histoire de "Beignets de tomates vertes". Beaucoup de lecteurs ont vu le film de 1991 avec Kathy Bates qui joue le rôle d'Evelyn Couch, la ménagère déprimée obligée d'aller voir sa belle-mère acariâtre en maison de retraite. Là, elle sympathise avec Ninny Threadgoode qui lui raconte sa vie passée et surtout l'histoire du Whistle Stop Café tenu par sa belle-soeur rebelle Imogène dite Idgie et sa meilleure amie Ruth. A chacune de leurs rencontres, Ninny et Evelyn partagent des souvenirs, de l'amitié et se gavent de biscuits, bonbons et douceurs interdites (amateurs de régimes, s'abstenir). Elle décrit des personnages sympathiques de l'époque d'entre les deux guerres et leur vie quotidienne faite de bons moments, de convivialité et de malheurs. Franck Bennett, le mari violent de Ruth vient jouer les troubles fête et va disparaître. Qui l'a tué ? Suspens... Le film était intéressant. Le livre datant de 1987 est meilleur. Il y a de l'humour, de l'émotion et c'est tout simplement génial. En prime, à la fin de l'ouvrage, il y a les principales recettes évoquées dans l'histoire, dont les fameux beignets (attention spoiler !) qui sont des tranches de tomates passés dans de la panure et frites dans l'huile. Je vais peut-être essayer de réaliser ce plat pour rester dans l'ambiance du Sud des Etats-Unis.
L'intrigue de «Beignets de tomates vertes» n'est pas racontée de façon linéaire ; outre le fait qu'il y a de très nombreux personnages ( que j'ai eu du mal à distinguer ) , c'est peut-être ce qui a fait que j'ai été un peu moins accroché ... mais l'histoire est très agréable à lire .
Comme à son habitude , Fannie Flagg emmène le lecteur en Alabama , dans le Sud profond … Les personnages sont attachants et le ton est toujours empreint de nostalgie et d'humour , même si les sujets en arrière-plan sont graves ( la Grande Dépression , la discrimination raciale , le Ku Klux Klan , la pauvreté , la condition féminine …).
Malgré quelques longueurs dans la seconde moitié , un agréable roman .
Difficile de se repérer avec la multiplicité des temporalités et des personnages dans ce roman dont j'attendais beaucoup.
J'avoue avoir été gêné de trop souvent m'être retrouvé perdu dans ses chapitres sans ordre, et cela, sans compter ceux qui ne racontent rien.
Le sujet de fond relatant de la ségrégation, véritable institution, dans un des États du Sud du pays où elle est le plus marquée, est bien traité, ce qui, à mes yeux, sauve du naufrage cette œuvre.
Trop enthousiaste, j'ai acheté la suite... Peut-être la construction est-elle différente ?
J'ai eu un peu peur au début, car l'autrice alterne les points de vues, et les époques, dans des chapitres parfois ultra courts. Elle gère extrêmement bien ce mélange et tout va assez vite être cohérent. Je me suis rapidement passionnée pour cette ambiance de l'Alabama des années 30. Les personnages sont hauts en couleurs, attachants, et drôles. Aucun ne laisse indifférent. L'autrice va évoquer le racisme (présence du KKK), ainsi que le sexisme très présent à cette époque. Mais elle va aussi tout dénoncer de manière vraiment très fine. L'homosexualité est également sous entendue pour certains personnages. Même s'il y a parfois des sujets extrêmement durs, le lecteur est dans une bulle de douceur, de bienveillance, mais également d'humour.
Arrivée à la fin de ce roman, je me suis demandée si, finalement, il y avait une histoire... J'ai pris un plaisir fou à suivre le Whistle Stop Café. Ces personnages, avec leurs difficultés et leurs bonheurs, m'ont ému, énervé. J'ai pleuré, j'ai ri, j'ai été en colère. J'aurais aimé m'arrêter dans ce café, et échanger avec ces personnages qui sont tous tellement vivants. Ce roman a été un formidable coup de cœur, et je n'oublierai pas de sitôt sa magie.
Aujourd’hui je vous invite dans une maison de retraite. Ne vous inquiétez pas juste pour une visite.
Evelyn accompagne son mari pour rendre visite à sa belle-mère, une grincheuse qu’elle apprécie peu ; aussi, elle s’arrange pour quitter la chambre et s’isoler dans la salle d’attente. C’est là qu’elle va faire la connaissance de Ninny, une vieille dame qui ne manque pas de piquant et qui va la captiver avec ses souvenirs, d’il y a environ cinquante ans, à Whistle Stop en Alabama. Evelyn va prendre goût aux récits de Ninny et revenir partager avec sa vieille amie les souvenirs et des friandises…
Ainsi, nous allons revivre les aventures de ce petit bourg, de personnages hauts en couleur, notamment Idgie, qui décide du jour au lendemain de s’habiller en pantalon et qui tombera sous le charme de Ruth, avec laquelle elle ouvrira plus tard un café, fort célèbre. Nous suivrons les joies, les peines de toute une famille, très attachante.
Des histoires drôles, du racisme, des naissances, des décès, des amitiés, des haines ; tout y est, la vie s’écoule et au milieu des récits, la gazette de Weems avec son bulletin hebdomadaire qui relate les nouvelles de la bourgade.
C’est un roman parfois drôle, parfois émouvant, qui sait tenir son lecteur en haleine ; ce livre magnifique, on n’a pas envie de le reposer.
Bref c’est un roman qui retrace avec magie la vie d’une famille, d’une bourgade il y a cinquante ans, sans oublier les personnages d’aujourd’hui, Ninny et Evelyn.
Fannie Flagg nous entraîne dans cette histoire avec un réel talent, et si vous avez eu l’eau à la bouche, vous aurez même quelques recettes à la fin du roman.
À lire confortablement installé(e) dans une maison de retraite où dans votre canapé, en dégustant quelques beignets de tomates vertes accompagnés d’une bière (ou d’un thé Gunpowder).
Quand j'ai ouvert ce livre, la première chose que je me suis dite est "Mon dieu, ce livre va me perdre en trois chapitres, je ne réussirai jamais à aller au bout". Très riche, avec une multitude de personnages (une sorte de toile géante), ce livre reste une agréable surprise pour moi, car je me suis rapidement laissée happer par les histoires rocambolesques d'Idgie et sa bande de copains.
La lecture reste néanmoins complexe, il vaut mieux ne pas lâcher le livre trop longtemps sous peine de se retrouver complètement perdu dans l'espace temps et les multiples personnages de Whistle Stop.
Ce livre est compliqué à lire à cause de la multitude de personnages et à leurs noms ou surnoms compliqués
Mais passé un moment on s'habitue et on peut enfin apprécier ce roman.
On se retrouve plongé au coeur d'une petite ville et on partage le quotidien d'une famille et plus particulièrement la vie de Idgie. Cette femme au allure de garçon manqué va bouleverser des vies
Résumé
Au sud de l’Amérique profonde, en Alabama, un café au bord d’une voie ferrée... Ninny, fringante octogénaire, se souvient et raconte à Evelyn, une femme au foyer à l’existence monotone, les incroyables histoires de la petite ville de Whistle Stop. Grâce à l’adorable vieille dame, Evelyn, qui vit très mal l’approche de la cinquantaine, va peu à peu s’affirmer et reprendre goût à la vie.
Une chronique nostalgique et tendre, généreuse et colorée, pleine de saveur et d'humour.
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