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Cracovie 1943, Oskar Schindler, industriel allemand, est venu en Pologne sur les pas de l'armée nazie et a vite fait de prospérer grâce à ses amis S.S., en fabriquant de la vaisselle émaillée. Il sort chaque soir, croix gammée au revers du smoking, pour ripailler le plus souvent chez Amon Goeth, commandant du camp de travaux forcés de Plaszow, près de Cracovie. Buveur, sadique, amateur de poules de luxe, Goeth lui fournit, contre cadeaux, la main-d'œuvre de ses ateliers, juive, bon marché.
Mais ce qui est bon marché, en 1943, c'est la vie des juifs. En les gardant à travailler chez lui, Schindler les sauve de l'extermination. Car Auschwitz-Birkenau est tout près. Au cœur de l'enfer concentrationnaire. Une "liste" de juifs échappe ainsi à la mort. Ils témoigneront après la guerre. Aujourd'hui, un arbre à Jérusalem se nomme O. Schindler.
– Sans Oskar, les SS me l'auraient de toute façon piqué, dit-il en ouvrant la bouche pour montrer la série imposante de bridges qui la garnissaient. Tout cela serait aujourd'hui empilé dans un entrepôt avec les quelques millions de dents des gens de Lublin, de Lodz ou de Lwow.
C'était quand même un peu délicat, mais Jereth insistait tellement qu'un prisonnier ayant quelques connaissances dentaires retira les bridges. Licht mit le tout dans un creuset et confectionna une bague portant en inscription ce verset du Talmud que Stern avait cité à Oskar dans les bureaux de Buchheister en octobre 1939 : "Celui qui sauve une seule vie sauve le monde entier."
J'ai attaqué ce livre en pensant lire l'histoire racontée merveilleusement bien par Spielberg. Mais c'est mieux! On comprend les motivations de Schindler et d'autres industriels de l'époque. Des opportunistes qui pensaient d'abord profiter du régime Nazi avant de voir, horrifiés, ce régime se transformer en machine de mort. Ils réagissent chacun à leur manière pour tacher de rendre une humanité à ce peuple juif en cours d'extermination.
C'est captivant, cela montre une facette que je ne connaissait pas de l'Allemagne: ces gens qui, tout en restant dans la ligne du Parti, tentaient de sauver des vies. Film exceptionnel. Livre exceptionnel
J'avais vu le film il y a quelques années, mais je n'avais jamais lu le roman.
J'ai passé une nuit blanche à tourner les pages. Oscar Schindler est l'exemple même de l'homme qui me fascine.
Quant à l'auteur, il nous fait vivre l'histoire avec une intensité peu commune. J'ai ri, j'ai pleuré, j'ai vibré, j'ai ressenti de la colère, de l'injustice, comment décrire toutes les émotions ressenties ?
Magnifique. J'ai demandé à ma fille de le lire, ce roman restera toujours un exemple pour l'humanité.
Ce lire est extrêmement bouleversant pour plusieurs raisons. D'abord, la plus évidente, parce qu'il traite d'un sujet dur, qu'on préfèrerait oublier, mais dont il est indispensable de se souvenir. Et puis, ce livre a suscité en moi de multiples émotions: la colère, la peur, la tristesse, la rage, mais aussi l'admiration du courage de ces femmes et hommes et de ceux qui les ont défendus et protégés. On s'attache aux personnages comme on le ferait pour un roman de fiction en oubliant presque que l'histoire est bien réelle.
C’est un chef-d’œuvre écrit d’après une histoire vraie qui donne une véritable leçon !
Je ne saurai dire le nombre incalculable de fois que je l’ai lu, re-lu ou encore regardé en film. Je suis constamment touchée, dérangée, bouleversée par cette histoire.
C’est un grand succès qui nous fait ouvrir les yeux sur le passé insoutenable qu’à enduré nombre de personnes durant la Seconde Guerre Mondiale.
La cruauté de l’Humain amène une profonde réflexion...
Un des livres les plus durs et les plus émouvants que je n'ai jamais lu. Ce témoignage biographique glace le sang quand on découvre certains détails de la Shoah, et malgré ses nombreux péchés véniels, on s'attache durablement à Oskar le Magnifique.
C'est un roman très dur à lire, et pas uniquement parce qu'il y a beaucoup de personnages, avec en plus une consonance polonaise ou allemande compliquée à lire/prononcer. J'ai beau avoir lu tout un tas de romans se déroulant pendant cette période, tout un tas de témoignages, c'est à chaque fois difficile de lire toutes ces horreurs...
J'avais vu le film il y a quelques années, que j'avais trouvé magnifique. Je découvre aujourd'hui le livre qui en découle. J'y ai mis le temps, parce qu'il est long mine de rien. Il ne fait que 400 pages mais c'est écrit assez petit et chacune d'entre elles regorge de tout plein d'informations et d'événements. Plongée dans cette période remplie d'atrocités, j'ai pris mon temps pour ne rien oublier...
Un roman marquant et monstrueux, émouvant et écœurant, très bien écrit, mais qui montre malgré tout que les Hommes ne sont pas tous des monstres... Un roman qui va me rester en mémoire un bon bout de temps...
Résumé
Cracovie 1943, Oskar Schindler, industriel allemand, est venu en Pologne sur les pas de l'armée nazie et a vite fait de prospérer grâce à ses amis S.S., en fabriquant de la vaisselle émaillée. Il sort chaque soir, croix gammée au revers du smoking, pour ripailler le plus souvent chez Amon Goeth, commandant du camp de travaux forcés de Plaszow, près de Cracovie. Buveur, sadique, amateur de poules de luxe, Goeth lui fournit, contre cadeaux, la main-d'œuvre de ses ateliers, juive, bon marché.
Mais ce qui est bon marché, en 1943, c'est la vie des juifs. En les gardant à travailler chez lui, Schindler les sauve de l'extermination. Car Auschwitz-Birkenau est tout près. Au cœur de l'enfer concentrationnaire. Une "liste" de juifs échappe ainsi à la mort. Ils témoigneront après la guerre. Aujourd'hui, un arbre à Jérusalem se nomme O. Schindler.
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