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Charles Bertin, qui est né en 1919, a rêvé de sa grand-mère, morte depuis un demi-siècle.
Au matin, ce rêve lui est apparu comme le signe qu'il fallait sans délai rendre visite à la petite dame en son jardin de Bruges. Dans la manière d'un tissage aux laines délicates se compose alors, au fil du voyage, un portrait d'une tendresse si sensible et d'une véracité si évidente que nul ne saurait lire ces pages sans aller aussitôt à ses propres souvenirs, ni sans ressentir, à l'exemple de Charles Bertin, l'effroi de revoir su bien sans jamais pourvoir franchir le glacis qu'impose la mort.
Thérese-Augustine n'avait jamais cru au hasard. Mon irruption dans sa vie à l'heure où elle se demandait ce qu'elle allait faire des heures qui lui restaient à passer sur la terre lui apparut comme un clin d’œil de la Providence. Ce n'était sûrement pas sans intention qu'au creux le plus noir de la solitude et du désœuvrement qui l'accablèrent au lendemain de la mort de son mari, la fortune lui avait jeté entre les bras cet enfant qui se trouvait être de surcroît le fils de son fils.
Magnifique roman, La petite dame en son jardin de Brugesnous emmène dans le vieux Bruges et le long de la côte belge.
Le lecteur fait la connaissance d'une femme vive et énergique, malgré sa vieillesse. A la fin du roman, toutefois, elle va perdre cet éclat et vieillir très vite. C'est donc une histoire à la fois superbe, mais aussi assez triste que Charles Bertin nous offre.
Les descriptions de l'auteur sont absolument magnifiques et me donnent presque envie de devenir une patriote acharnée. Cela renforce encore l'impression de gâchis que l'on éprouve quand on est Belge et qu'on entend parler de l'état des négociations pour former un nouveau gouvernement... Pour ceux qui ne seraient pas au courant, la Belgique a dépassé le record de l'Irak, puisque cela fait plus d'un an que le gouvernement démissionnaire est en affaires courantes et qu'il n'est pas possible d'en former un nouveau (négociations difficiles entre Wallons, Flamands et Bruxellois). Passons.
Bruges est une magnifique cité flamande et constitue un décor idéal pour ce texte aussi émouvant que nostalgique. Encore une fois, les descriptions donnent envie de s'y rendre immédiatement et de redécouvrir, à vélo ou en bateau (sur les fameux canaux) une ville sereine et lumineuse.
Malheureusement peu connu, La petite dame en son jardin de Bruges mérite vraiment d'être lu !
C'est un livre à sensations, mais pas dans le sens où on l'entend habituellement. En effet, si vous cherchez l'aventure rocambolesque, cette histoire n'est pas pour vous. Mais c'est si charmant, si poétique, et ça rappelle tant l'enfance ! Je l'ai lu assez vite, pour l'histoire, mais je le relirai sans tarder pour la prose, en prenant le temps de noter certains mots et rechercher leur signification exacte.
C'est un livre que l'on m'avait prêté, je l'ai adoré et m'en suis procuré un exemplaire. Je l'ai déjà relu depuis! Un livre plein de nostalgie et de charme.Très vite lu, c'est vrai , mais un très agréable moment de lecture.
Un recueil qui est une lecture surprise ! Derrière le portrait de cette grand-mère attachante, on peut découvrir en filigrane l'enfance de l'auteur, son éveil pour les mots, des souvenirs... Un texte écrit avec beaucoup de finesse, et avec une tendresse constante, avec des phrases très poétiques et très douces. Ce texte est à savourer, comme la délicate madeleine d'un auteur que je en nommerais pas !
Récit exquis d'un auteur belge, qui nous parle de la flandre, de la mer du nord, à travers l'évocation de ses souvenirs d'enfance et de sa grand-mère qu'il devait beaucoup aimer.
c'est un livre "madeleine de Proust". ELle ma ramène à ma grand-mère maternelle, aux odeurs de la mer du nord, de la côte belge en été. Les odeurs de confitures faites maison, de bisous mouillés sur ma joue et ce regard si pur et doux de ma Mi.
Résumé
Charles Bertin, qui est né en 1919, a rêvé de sa grand-mère, morte depuis un demi-siècle.
Au matin, ce rêve lui est apparu comme le signe qu'il fallait sans délai rendre visite à la petite dame en son jardin de Bruges. Dans la manière d'un tissage aux laines délicates se compose alors, au fil du voyage, un portrait d'une tendresse si sensible et d'une véracité si évidente que nul ne saurait lire ces pages sans aller aussitôt à ses propres souvenirs, ni sans ressentir, à l'exemple de Charles Bertin, l'effroi de revoir su bien sans jamais pourvoir franchir le glacis qu'impose la mort.
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