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Commentaires de livres faits par lemondedunechataigne

Extraits de livres par lemondedunechataigne

Commentaires de livres appréciés par lemondedunechataigne

Extraits de livres appréciés par lemondedunechataigne

Version Bêta ne m’a pas convaincue. L’idée en général est bonne, mais malheureusement tout se casse la figure.

Selon moi, le livre manque de profondeur ; le rythme est lent et l’histoire a du mal à prendre son envol. L’écriture est assez fluide, cependant j’ai eu du mal parfois à suivre le fil des conversations des personnages.

Je ne me suis pas attachée au personnage principal, et je dirais même que tous les personnages ne sont pas aussi attachants qu’Elysia, mise à part peut-être Liesel ou Xanthe, et encore, faut-il qu’on les apprécie à leur juste valeur vu qu’on les voit peu.

La romance est plate et sans intérêt. Ca se passe tellement vite et il n’y a aucune émotion qu’on se demande si les deux individus sont réellement amoureux l’un de l’autre. Je ne crois pas du tout à leur alchimie.

Je pense avoir mis des attentes. Les sentiments, les sensations sont des choses inconnues pour un clone ; lorsqu’Elysia découvre ces choses, je me suis fait à l’idée que ces scènes-là devaient être des moments touchants. Or, mes attentes s’avèrent vaines : à aucun moment je n’ai été atteinte par une quelconque émotion.

Quant aux rebondissements à la fin, je ne sais pas trop quoi en penser. Je mentionne surtout le moment où
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Elysia constate qu’elle est enceinte
. C’est tellement surprenant qu’encore une fois, cela me paraît peu crédible. J’ai un peu l’impression que l’auteur s’est amusé à nous balancer cette révélation comme si elle avait sorti un lapin de son chapeau. Alors, était-elle en manque d’idée et que ces évènements lui ont inspiré sur un coup de tête ? Ma foi, je suis complètement perplexe.

Bref, Version Bêta est un livre dont je ne conseillerais pas.
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L’Elue est un roman frais et léger, qui est complètement dans la continuité des autres tomes.

America et Maxon continuent à jouer au jeu du chat et de la souris, ce qui a le don d’exaspérer et (parfois) d’agacer. Mais ils savent être touchants, et lorsqu’ils sont dans cet esprit-là, cela rend les moments intimes, magnifiques et intenses.

L’univers et les décors du palais sont toujours aussi faciles à s’imaginer. Comme ses prédécesseurs, le livre se lit très vite. Les Renégats –particulièrement du Nord- sont mis au devant de la scène, mais pour moi, il y a trop peu d’informations sur eux.

Les rebondissements s’enchaînent, trop vite à mon goût : au final, ça donne une impression de scènes superficielles car il y a un manque de développement. C’est peut-être dû au fait que nous restons en arrière de l’action… Dans ce cas, je pense que l’auteur n’est pas très à l’aise avec les scènes d’actions.

Le problème avec Kiera Cass -et ce depuis le premier tome- c’est qu’elle ne va pas au bout de ces idées. Elle détient de bons éléments mais elle n’explore pas assez le fond, elle reste à la surface des choses et ne développe pas ce qui pourrait être développé. Je trouve ça bien dommage, car sans ce manque d’approfondissement, la série aurait été milles fois plus meilleure.

La fin est très facile à deviner. Franchement, il n’y avait pas 36 fins et une fin heureuse était évidemment ce qui correspondait le mieux. Cependant, je n’aurais pas boudé mon plaisir si l’auteur avait décidé de prendre une autre direction et par la même occasion, de nous surprendre. Mais je reste très satisfaite de cette conclusion. D’habitude, je ne pardonne pas les fins faciles mais comme c’est une série légère et rose, je laisse couler.

En bref, la trilogie se conclue digne des contes de fées et est recommandée à toutes celles qui rêveraient de devenir un jour une princesse !
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date : 15-08-2014
Je qualifierai Boys Don’t Cry comme une petite perle. Rien ne me préparait à ce que je sois émue, le jour où j’ai décidé de le prendre au CDI. La vraie force de ce livre réside dans ses personnages plus qu'attachants, et des scènes vraiment touchantes. Ce livre fait un peu penser à une morale mais surtout, il nous fait rappeler à quel point la famille est importante et que quelque soit les situations délicates qu'on rencontre, elle sera toujours là pour nous soutenir.
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Cet opus est selon moi le moins bon de la trilogie. Il n’est pas à la hauteur des deux autres tomes et, tenant à cœur cette série, j’ai l’impression d’avoir pris une claque en pleine figure, comme si Tahereh Mafi avait sorti une plaisanterie de mauvais goût…

Je vais commencer par parler des personnages ; Juliette m’a surprise. C’est bizarre de la découvrir sous un nouveau jour, forte et déterminée alors qu’on l’a toujours connu comme fragile et instable. Surtout quand elle déclare à un moment du livre,
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son attention de diriger le pays
. Ebahissement total, c’est fou J. ce que t’as grandi ! Autre personnage qui m’a scotché, c’est Adam. Il a beaucoup changé lui aussi. Emporté par l’émotion, il se montre désagréable voire violent envers Juliette, et le voir dans cet état-là m’a déplu. Je ne méprise pas Adam, au contraire je l’aime bien, mais je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir de la peine pour lui. Cependant, je dois difficilement avouer que LE personnage qui m’a fait tomber en adoration est celui qui me déçoit le plus. Nous avons un nouveau Warner, et ça me chagrine que l’auteur l’ait rendu plus humain. Il est moins dérangeant, moins mystérieux, moins arrogant, bref toutes ces « qualités » qui le rendait si malsain se sont envolés, et je ne suis plus aussi charmée qu’auparavant. Forcément, ça a un impact sur la relation qu’il partage avec Juliette. Si dans les autres tomes chaque moment passé ensemble me donnait des papillons dans le ventre, ici leur couple ne m’a pas procuré plus d’émotions qu’avant.

Parlons maintenant de la fin, gros point noir de l’ouvrage. L’auteur me déçoit énormément. Avant la sortie du dernier livre, j’avais émis des hypothèses comme quoi Tahereh Mafi nous offrirait une fin dramatique, parce que ce n’était pas son genre d’écrire un happy end et qu’elle est beaucoup plus maligne et maniaque, quitte à ce qu’elle en fasse baver à ses personnages (et aux lecteurs par la même occasion). Je m’attendais donc à ce qu’elle nous surprenne ! Mais la colère et la frustration m’ont habité quand j’ai refermé le livre. Elle a pris le chemin de la facilité, tout est trop rapide et c’est un monde de bisounours que se finit la série. Je suis désolée, mais ce genre de fin ne correspond pas à l’univers des livres.

Ma foi, Ne m’abandonne pas reste addictif et je suis toujours aussi émerveillée par l’écriture poétique et les mots enivrants de l’écrivain. Même si les personnages ont évolués, c’est toujours bon et excitant de suivre leur aventure. Il est bien dommage que cette fin gâche cette série merveilleuse…
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Miss Peregrine et les enfants particuliers est une agréable surprise. Si je l’ai pris au CDI de mon ancien lycée, c’est parce que la couverture est intrigante, mystérieuse et on peut le dire, la petite fille qui y paraît fait un peu peur, vous ne trouvez pas ?

Mais la cerise sur le gâteau se trouve au sein des pages : c’est un magnifique ouvrage, doté de photographies tous plus fascinantes et dérangeantes les unes que les autres. On ne trouve pas ce genre de chose dans n’importe quel livre, et rien que pour ça, Miss Peregrine et les enfants particuliers mérite qu’on s’y intéresse.

J’admet que moi et les livres avec pour contexte les guerres mondiales ça fait deux. Hors, quand le paranormal se mêle à une histoire passée, j’achète ! Ça change des lectures habituelles, on se laisse aspirer par les pages. Le scénario est peut-être un peu simple, mais on se laisse bercer par cet air d’ancien temps.

Les personnages sont très attachants, j’ai été captivée par tous ces êtres aux pouvoirs surnaturels. Ces enfants si particuliers sont l’incarnation de la gaieté à l’état pur : toujours enjoués et joyeux, ils nous contaminent avec leur bonne humeur. En même temps, un sentiment de tristesse nous habite quand on sait qu’ils restent coincés dans la boucle, prisonniers dans leur époque et dans leur propre corps.

Pour finir, un seul ordre : jetez-vous dessus !
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Petite nostalgie concernant la fin des Enchanteurs, où j’ai suivi les aventures de Lena et d’Ethan pendant près de 4 ans. Une de mes premières séries Young Adult après Twilight. Seulement voilà, la nostalgie contraste avec mon avis plutôt médiocre.

Je ne vais pas tourner autour du pot : il est clair que cette série perd son souffle. Est-ce parce que je suis devenue plus exigeante ? Sans doute. L’univers des Enchanteurs ne me séduit plus. Rien ne m’a attaché. Au bout de quatre tomes, la relation qu’entretiennent nos deux héros ne m’a toujours pas séduite.

Les auteurs enchaînent les évènements sans grand intérêt. C’est fade, ça ne m’a procuré aucune émotion. Parfois je me suis demandé si elles ne mettaient pas trop la main légère sur certains passages, comme si elles voulaient sauter des étapes pour en finir au plus vite le livre. 19 Lunes est, selon mon avis, un livre quasi inutile.

Seul l’écriture plaisante parvient à sauver le roman.

Grosso modo, je me suis limite ennuyée. Finalement, la série des Enchanteurs fait bien de se terminer car je commençais à me lasser des aventures d’Ethan et de Lena. C’est dommage, pour moi les Enchanteurs se finit sur une mauvaise note.

NB : Les auteurs ont annoncé il y a peu de temps qu’une nouvelle série spin-off verrait le jour l’année prochaine, cette fois centrée sur Ridley et Link. Bien que ce sont des personnages un tantinet intéressants, je pense (même j’en suis sûre) ne pas lire leur histoire.
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Bouche bée et sur les fesses. Voilà comment j’étais une fois le livre refermé. Suspendue à un fil, j’aurais pu avaler une mouche tant ma bouche était grande ouverte. Requiem est une conclusion qui vous reste à travers la gorge, qui vous laisse un goût amer sur la langue. Comment l’auteur peut-elle laisser en suspens tout ce qu’elle a construit ? Comment peut-elle faire ça à nous, petits lecteurs malheureux ?

Le rythme est toujours aussi soutenu, toujours aussi addictif. L’amour n’est plus un des grands thèmes dans ce tome, il est relayé au second plan ; désormais c’est l’action qui est mis en avant. Julian et Alex étant moins présents, on est plus focalisé sur l’intrigue, la peur de mourir, de tout perdre.

Lauren Oliver a su retranscrire à merveille le point de vue d’une Invalide : sans émotion est le mot d’ordre. Le monde qui entoure Hana n’est pas aussi rose qu’on pourrait le croire.

Quant à Lena, elle n’a rien à voir avec celle du tome 1. Comme elle le dit, « la Lena d’avant n’existe plus. La Lena d’avant a changé ». Elle commence à se faire respecter, à se faire une place au sein de la résistance. Je n’étais pas franchement surprise de sa rencontre avec une certaine personne perdu de vue depuis des années, vu que je m’en suis doutée. Cependant ces moments de complicité entre elle et la personne en question ne m’ont pas trop convaincu. Je ne sais pas, soit les moments de partage n’étaient pas assez nombreux, soit ça manquait de développement.

L’avenir est particulièrement « la chose » qui me rebute tant dans Requiem. Quel avenir réservera t-on aux personnages ? Le destin les réunira t-ils ? ou au contraire, les éloignera t-ils ? Autant de questions sans réponses. En somme, laissez parler votre imagination. Personnellement, je n’ai rien contre les fins ouvertes mais quand c’est trop ouvert, je ne suis pas très emballée. Non, je préfère que l’auteur nous donne quelques petits indices et ensuite à nous de deviner la suite, ce qui n’est pas bien le cas dans ce dernier tome à mon avis.

Des personnes aimeront cette fin et d’autres la détesteront. A vous de forger votre propre avis.

Tout ce charabia pour dire que je n’arrive pas à me décider si ce dernier opus est à la même hauteur du premier ou si c’est le moins bon des trois.
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"June" est une déception. J’ai eu du mal à le terminer mais je suis quand même parvenue à mes fins !

L’histoire aurait pu être intéressante si l’auteur avait su dès le début poser les bonnes bases.

Et pourtant, le début du livre semblait démarrer sur de bonnes positions et promettait des aventures enrichissantes et palpitantes… que nenni ! Malgré une écriture fluide, l’intrigue ne tient pas la route. Je n’ai absolument rien retenu des Sylphes, de leur monde et leur agissement sur le commun des mortels. On en sait peu sur le pouvoir de June : à vrai dire ça traîne trop en longueur, c’est au dernier moment qu’on obtient un peu plus d’information. Je sais que l’auteur voulait mettre au parfum le lecteur pour mieux entretenir le suspens, mais le charme n’a pas opéré chez moi.

Les personnages sont plutôt fades, c’est bien dommage que Manon Fargetton n’ait pas davantage mieux travaillé leur personnalité car ils méritaient qu’on leur attribue toute notre attention sur eux.

Autre défaut : l’auteur jongle mal entre la rapidité et la lenteur. Je m’explique : durant le premier quart de l’ouvrage, June essaye de comprendre, de se familiariser avec son pouvoir mais n’arrive à rien. Un ennui total, il ne se passe rien, on tourne autour d’un pot de chambre quand pouf ! d’un chapitre à l’autre deux ans se sont écoulés. Comme ci de rien n’était. Là je n’ai pas compris Manon Fargetton. Pourquoi faire écouler deux ans pour qu’enfin les choses se mettent un p’tit peu à bouger ? J’étais confuse et je le demeure toujours autant. Sinon, certaines scènes m’ont aussi paru bâclées.

En conclusion : une histoire et une intrigue maladroite, bancale qui aurait pu être mieux remédier.
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C’est bien dommage qu’il m’ait fallu un temps d’adaptation à l’écriture car j’aurai certainement aimé le livre dans toute sa globalité.

"La voix du couteau" est étrange. L’intrigue est bien penser et tient la route: le monde de Todd est assez lourd psychologiquement, assez noir et terrifiant ; plusieurs éléments dissimulés -du passé notamment- titillent la curiosité du lecteur, poussant ce dernier à se poser plein de questions. On aimerait en savoir plus et c’est cette attente qui rend le suspens captivant. Côté personnage, on s’attache vite aux « gentils » comme on peut mépriser les « méchants » !

Parlons de l’écriture : il faut savoir que la plume compliquée de Patrick Ness reflète parfaitement le manque d’éducation de Todd. Ainsi, certaines phrases n’ont pas de sens, ou sont incohérentes, elles ne sont pas finies voire laissées en suspens. Le style de l’auteur est particulier et décalé, il donne aux mots un aspect brut et rugueux. Dans ce sens-là, ça peut paraître original, mais certaines personnes risqueraient d’être déranger de l’écriture, voire même les décourager dans leur lecture. Je sais que quelques fois j’ai été agacée mais ça m’a pas empêchée de ne pas laisser tomber le livre.

En somme, essayez de vous accrocher à l’écriture car l’histoire en vaut vraiment la chandelle !
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Lecture agréable, on passe un bon moment cependant le livre n’est pas à la hauteur de son prédécesseur.

En plus du point de vue de Jessica, nous avons le droit d’avoir le point de vue de Mindy, sa meilleure amie. Bien que ce soit sympathique d’être dans sa tête, je ne trouve pas que c’était une nécessité, son regard n’apporte pas un grand « plus » à l’histoire. Je pense que sans le point de vue de Mindy, l’intrigue n’aurait pas changé.

Nous rencontrons de nouveaux personnages dont Raniero, à la fois charismatique et mystérieux ; j’aurai voulu en savoir davantage sur lui.

Dans Comment se débarrasser d’un vampire amoureux, la relation entre Jessica et Lucius m’a touchée, j’ai ressenti toute l’alchimie qu’il y avait entre eux. Là je l’ai moins ressentie, j’ai moins senti cette magie. Néanmoins ils restent toujours aussi mignon et forment un beau couple soudé malgré les circonstances dramatiques qui s’abat sur nos deux tourtereaux.

Quant aux rebondissements, elles ne sont pas aussi énorme qu’on pourrait s’attendre ; de ce fait j’ai pu facilement deviner vers les cinquante/cents premières pages le responsable du meurtre d’un des Grands Aïeux et de « la descente aux enfers de Lucius ».

En somme, cette suite se résume à un bon moment agréable et sympathique, pas trop prise de tête mais qui selon moi n’arrive pas à la cheville du premier tome.
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A mon goût Pandemonium est bien meilleur que Delirium.

Je pense que cette préférence est due au personnage de Julian. Pourquoi ? Ma réponse est vague : je n’en ai pas la moindre idée. Bizarrement je l’ai plus préféré à Alex. Bizarrement la relation qu’il entretient avec Lena m’a plus touchée que cette dernière entretenait avec Alex. Bizarrement j’ai envie (voire très) que Lena finisse dans les bras de Julian et qu’elle soit heureuse avec lui pour toujours. Mais ce n’est pas possible. Pas avec cette fin. Pas avec cette affreuse, misérable, désastreuse, renversante fin. Encore une fois, Lauren Oliver a su magistralement (à la fois magnifiquement et horriblement) arraché le souffle au lecteur. Je commence à croire que l’auteur est une vraie sadique et qu’elle aime faire souffrir ses lecteurs.

Côté intrigue, il y a beaucoup plus d’action, le rythme est effréné, haletant, la menace et la peur soupèsent tout au long du livre.

L’alternance entre « avant » et « maintenant » est une idée prodigieuse, c’est un gros avantage car ça rend l’histoire de Lena beaucoup plus captivante. Sans le « avant », le livre ne serait pas aussi complet et aurait manqué de développement.

Bref, selon moi Pandemonium emporte haut la main sur Delirium.
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Mon avis est contradictoire par rapport aux éloges qu’a reçu en majorité cet ouvrage.

J'ai beaucoup aimé les trois premiers tomes, j'attendais donc un final spectaculaire, à la hauteur de mes espérances. Malheureusement la sauce n'a pas pris ; la dernière partie du livre m’a semblé être bâclé, j'avais l'impression que l'auteur voulait au plus vite mettre un terme à cette histoire. Certains rebondissements étaient prévisibles. Sans spoiler, il y a une révélation qui m'a désagréablement surprise. La fin était trop facile à mon goût, c'est difficile de faire ressortir mon ressenti mais si je devais la caractériser alors je dirais qu’elle était bien sans être bien. Je trouve Patch effacé, son personnage n'est pas égal à lui-même comparé aux trois derniers tomes. Le hic quand un livre n’atteint pas le niveau très haut de mes attentes, surtout quand j’ai adoré les précédents tomes de l’auteur, j’ai la fâcheuse manie à ne voir que les défauts. C’est vraiment dommage, j’aurai voulu aimer cette conclusion, j’aurai voulu retrouver le Patch qui a su me séduire dans les autres livres. Cela me frustre dans le sens où c’est le dernier tome d’une saga qui m’a époustouflé et ne pas aimer l’ultime conclusion reste bien moins déroutant !

Malgré ces points noirs, j’ai aimé me replonger dans le rythme entraînant de l’histoire et l’écriture fluide est toujours aussi plaisante à lire. J’ai retrouvé dans Finale – que j’ai ressentie dans les précédents tomes- ce petit effet mystérieux et preneur qui est si caractéristique à l’auteur, auquel on s’accroche aux pages, à notre lecture.

En somme, la frustration était à l'honneur dans Finale à mon grand regret.

J’espère que vous aimerez Finale autant que moi.
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Je ressors de ma lecture avec des milliers d’étoiles dans les yeux. Je suis à 2000 km du sol terrestre, la tête dans les étoiles et un feu d’artifice explose en moi.

Insaisissable se démarque des autres livres par rapport à la plume de l’auteur. L’écriture de Tahereh Mafi est parsemée de métaphores. Certains vous diront qu’il y a trop de métaphores, qu’elles sont plus ou moins farfelues. Dans mon cas, je les apprécies à leur juste valeur : elles m’ont prise sous leur ailes et m’ont transporté dans leur univers, m’ont fait voyager de la terre jusqu’au ciel, m’ont envoûté sous des mots et des mots tous plus magiques les uns que les autres. Ses phrases sont empreintes d’une douceur poétique à la fois explorer et amère.

Insaisissable est une dystopie et reprend ainsi les caractéristiques d’un monde en faillite ; les informations sur l’univers dépeint par l’auteur sont assez restreintes puisque Juliette est enfermée et qu’à travers ses yeux on ne sait pas grand-chose à l’extérieur de sa cellule, cependant ces informations sont suffisamment alléchantes pour attirer la curiosité du lecteur.

Les personnages m’ont tous charmés : Juliette, fragile mais forte et déterminée, Adam, doux et protecteur, Warner, compliqué et énigmatique ou encore Kenji, amuseur de service et fidèle. Par contre, j’ai un léger penchant pour Warner. Je devrais le détester mais en fait je l’adore, il est tellement obsédé par Juliette, il tient à ce qu’elle soit sienne et pas à un autre. J’aime son côté psychopathe (quoi, je vous fais peur ?), j’ai succombé à son charme ravageur. C’est sa détermination à garder Juliette auprès de lui qui a fait battre mon cœur de midinette, il est tellement près à tout pour Juliette, à faire n’importe quoi pour elle. Je pourrais en parler encore et encore mais je vais m’arrêter là.

Les relations Juliette-Adam et Juliette-Warner m’ont toute deux fait vibrer. Chaque scène passée ensemble, c’était mille papillons qui s’envolaient dans mon ventre. Rare sont les relations qui me mettent dans tous mes états.

Certains lecteurs ont déclaré que la fin ressemblait à X-men et je confirme quant au fait que les dernières pages m’ont fait étrangement penser au film.

Bref, j’en redemande !
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date : 08-11-2012
Addictif : je trouve que cet adjectif qualifie à merveille Legend. Addictif car l’histoire ne traîne jamais en longueur : l’ennui n’est pas à sa place dans ce livre.

Bon ok c’est encore une dystopie, donc on ressert la même soupe : un gouvernement totalitaire, un peuple sous pression, un(e) jeune héros/héroïne naïf/naïve des magouilles de la société au départ puis se rend compte de la situation et se rebelle par la suite… Stop ! Rectification : deux jeunes héros déterminés à servir son pays/ à cavaler pour sauver sa peau. Un soupçon de déjà-vu, cependant sous la plume de Marie Lu c’est de la remise à neuf et de la qualité qu’elle nous sert.

J’admire June et Day pour leurs capacités physiques et intellectuelles, leur maturité et intrépidité. J’admire June et Day pour leur vulnérabilité et leur attachement à leur famille. Pourtant ils viennent de deux milieux opposés, ont un mode de vie différente et ont une vision divergente du gouvernement qui régit le pays ; au fond on retrouve la même force soudante chez nos protagonistes. Ils sont jeunes ? Qu’importe, l’histoire parvient à nous faire oublier leur âge.

J’avais l’impression d’être avec eux, de vivre chaque instant à leur côté, de partir à l’aventure. Je voyais dérouler sous mes yeux une adaption cinématographique, j’étais prise sous le feu de l’action. C’était mille et une images qui défilaient dans ma tête. Explosif.

J’aurai aimé avoir (même plus qu’aimer, envie) entre mes mains un gros pavé et non pas un ridicule livre contenant à peine plus de deux cents pages.

Pour conclure, Legend est un coup de foudre ; il me reste donc à attendre la suite : hurry up please !

Info : Legend va être adapté au cinéma ! Les droits ont été achetés par CBS Films et sera produit par Temple Hills.
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Vous prenez au hasard un conte de fée, mélangez-le à de la dystopie et vous obtenez comme résultat La Sélection.

America est une de ces héroïnes auxquels on s’attache, tantôt drôle, tantôt caractère de cochon ou tantôt émouvante, elle nous sert une palette d’humeur qui fait qu’on ne s’ennuie pas avec elle.
Si cette dernière n’est pas tombée dès le début sous le charme de Maxon, pour moi ça a été le cas. Le prince se distingue des habituels protagonistes masculins par sa maladresse auprès des femmes. Il est gentil, doux, attentionné mais maladroit, coincé et panique face à une femme qui pleure : comment pouvais-je lui résister ? J’aimerais tant être à la place d’America *soupirs*. La relation entre America et Maxon est belle sans qu’elle ne parte sur les chapeaux de roue. A chaque rendez-vous, je ne pouvais m’empêcher de sourire comme une gamine et d’exprimer ma joie avec un petit « oui ! ».
Aspen, Aspen. Comme bon nombre des lecteurs, il m’a plus énervé qu’autre chose. Refuser d’avoir un avenir commun avec America, regretter par la suite puis revenir réclamer sa belle, son comportement m’a exaspéré. Je lui laisse sa chance de me convaincre dans le prochain tome, car il a quand même un bon fond.

Cet ouvrage est vraiment une boisson d’eau fraîche. La Sélection prenant largement la place, l’histoire des renégats est au second plan, mais pas assez invisible pour qu’on s’y intéresse de près. J’espère (et je pense) que la dystopie s’accentuera dans le prochain tome, car comme notre héroïne, je trouve cela très intriguant et palpitant à la fois.

Seul reproche, j’aurai voulu que la description soit un peu plus salée, l’univers du palais est trop décrit en surface à mon goût.

La Sélection c’est comme une bonne part de gâteau, ça se mange vite fait en une bouchée ; une fois le livre refermé, on a toujours faim et on réclame une autre grosse part, encore et encore ! On s’arrache les cheveux de la tête lorsqu’il faut attendre avril 2013… je sais, c’est dur.

La Sélection : à consommer avec modération.
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date : 15-08-2012
Delirium a un tel succès qu’on me l’a vivement conseillé à plusieurs reprises. Ayant lu des avis très positifs à ce sujet, j’avais donc de grosses attentes, la barre était fixée assez haut, et je me suis dit que je vais adoré… Malheureusement, cela n’a pas été le cas.

Ici, nouvelle dystopie, nouveau monde ; monde dépourvu d’amour où tous les sentiments sont éradiqués. Bien qu’on commence à connaître les enjeux d’une société dystopique, cet univers où l’amour est considéré comme la pire des maladies m’a bien évidemment séduite. Si ce n’est que j’ai trouvé le début lent, cependant pour mettre les bases, cela paraît évident.

Lena est une héroïne auquel je me suis identifiée rapidement ; attachante, obéissante à la société, on la voit évoluer au fil de l’histoire, remettant ainsi en doute le Protocole et ses bienfaisances, découvrant l’amour, hésitant entre le pour et le contre. A part Lena, Grace est un autre personnage marquant ; enfermée dans son mutisme, considérée par ses proches (sauf Lena bien sûr) comme « bête à manger du foin » , sa situation est triste quand on sait qu’elle souffre au fond, et elle a réussi à m’émouvoir, à me bouleverser.

La relation entre Lena et Alex m’a pour ainsi dire gêner au début. Ne me jeter pas des cailloux s’il vous plaît, mais j’ai eu du mal à ressentir la « magie » de leur couple. Je l’ai même trouvé un peu précipitée. Ceci est mon ressenti, libre à ceux qui sont en désaccord avec moi, mais c’est ce que j’en ai pensé personnellement. Alors est-ce moi, ou j’ai lu le livre trop vite ? Je ne saurais vous dire.

Quant à la fin, on m’avait prévenue. Et en effet, il n’y a pas de mot pour décrire cette fin, juste cette affreuse sensation de déchirement au cœur. J’avoue m’y être attendue d’ailleurs, vu les nombreuses références à Roméo et Juliette dans le livre, je n’ai pas pu m’empêcher de deviner en quelque sorte la fin. Mais à côté les larmes que j’ai versées ont vite fait faire disparaître ce détail.

En conclusion, élaborer mon avis sur Delirium n’a pas été une mince affaire ; j’ai aimé à quelques exceptions près, mais je n’ai pas ressenti cette petite étincelle qui fait qu’on adhère à un livre. J’ai longtemps hésité à le mettre soit en liste d’or soit en liste d’argent ; finalement j’ai opté pour l’or car j’ai quand même pleuré, chose rare qu’un livre peut soutirer de moi. Je note tout de même que c’est un bel ouvrage, marquant pour sa réalité des choses et d’un combat acharné de la valeur des sentiments.
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Je suis déçue de la part de l'auteur ; ayant lu deux de ces oeuvres qui m'ont bien plu, à côté ce livre est mièvre. Et pourtant, je sais très bien que c'était son premier livre publié.

Le début est très lent, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. J'ai beau avaler les six premiers chapitres, l'intrigue a du mal à se mettre en place - je dirais même qu'il n'y a pas d'intrigue, ça part dans tous les sens. Je ne retrouve pas son humour "so british", à la place j'ai affaire à de nombreuses descriptions, laissant vite place à l'ennui. Les personnages sont plats et pas assez travaillés à mon goût. Alors certes, c’est un livre de détente, mais au lieu de rire et sourire bêtement des gaffes du protagoniste que Sophie Kinsella nous sert d’habitude, j’ai plutôt été vite habité par l’ennui. Est-ce à cause de l’histoire racontée à la troisième personne qui renforce cette impression ?

Bref, une déception, je ne continuerai pas la suite.
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The End. La fin d’une belle aventure. Je ne vous cache pas que je suis encore réticente de quitter mes personnages bien aimés !

Dans cet ultime volet, nous errons dans la tête de l’ancien prince de la Cour d’Hiver, à la recherche d’une âme pour retrouver son amour, avec l’aide de son ennemi juré, Puck, et de l’incorrigible chat, Grimalkin. Si Meghan est moins présente par rapport aux trois autres tomes, elle reste néanmoins à hanter la mémoire de Ash.

Ah Ash… que ne ferait-il pas par amour pour retrouver sa belle ? En effet, sa quête sera parsemée d’embûche, de surprise de taille… et de rencontre. J’en mentionne une en particulière, qui m’a complètement laissé pantoise, tout comme notre prince glacé ; j’ai eu mal au cœur pour lui. Nous faisons enfin connaissance de ses pensées, ses souvenirs, ses sentiments, ses cauchemars, ses rêves, ses craintes. Si Ash a maintenant délaissé le Prince froid de l’Hiver, il n’empêche que ses souvenirs de l’ancien temps m’ont collé une bonne sueur froide.

Puck reste fidèle à lui-même ; espiègle, enfantin et amuseur de service du groupe... Alors quand on sait qu’il accompagne Ash dans son périple, bonjour les répliques cinglantes et les pics ! Ces deux-là sont toujours en train de se chercher des poux dans la tête, mais c’est pour ça qu’on les adore, qu’un sourire s’affiche sur notre visage. Malgré qu’ils vouent une haine l’un envers l’autre, on ne peut s’empêcher de remarquer qu’au fond d’eux l’amitié n’a jamais cessée d’exister.

Alors oui, c’est la fin d’une grande aventure, d’une saga époustouflante. On laisse derrière nous nos personnages préférés, on quitte ce monde les larmes aux yeux, néanmoins avec le sourire aux lèvres, heureux de cette fin. Je remercie Julie Kagawa d’avoir pu me transporter dans son monde féerique, et j’ai hâte de mieux faire connaissance d’Ethan, le petit frère de Meghan !
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Mon avis est on ne peut plus mitigé, car je n’arrive pas à déterminé si ce deuxième tome est meilleur que le premier.

Dans ce tome, il ne faut pas s'attendre à de l'action ; elle se fait très rare, et je pense qu'il faut attendre le dernier tome pour en avoir. C'est la douce écriture de l'auteur qui une fois de plus prend le dessus. On découvre un nouveau monde : fini le côté "douillet", protecteur et rassurant de la Société, ici Cassia fait face à un univers plus dur, plus réaliste, plus dangereux, mais d'une certaine beauté. L'auteur a bien fait de nous faire partager le point de vue de Ky, on apprend mieux ses motivations, son passé, ses peines, pourquoi il est toujours autant réservé... même si ce renfermement touche Cassia, mais je n'en dis pas plus. Quant à Xander, on ne le voit presque pas, c'est vraiment dommage. La suite risque d'être prometteuse, puisque des révélations surprenantes le concernant voient le jour, ce qui fait de lui un personnage important.

En somme, le livre est je pense de la même ligné que son prédécesseur, mais avec une certaine ambiance lourde qui plane.
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J'ai lu auparavant une autre œuvre de Sophie Kinsella, "Samantha bonne à rien faire", dont l'auteur m'a convaincue par sa touche de fraîcheur et de légèreté. C'est pourquoi, j'ai accueilli les bras ouverts et les yeux fermés cet œuvre.

Je vais m'abstenir de répéter ce qui a été reconnu dans les autres commentaires. J’ai retrouvé les mêmes caractéristiques de ce qui a été dans « Samantha bonne à rien faire » ; une héroïne auquel on s’attache se retrouvant dans une situation inattendue et compliquée, une histoire sentimentale à l’horizon, et bien sûr des gags en perspective qui n’ont pas manqué à me faire sourire bêtement.

A ne pas prendre pour de la grande littérature, mais plus pour se prélasser au soleil.
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Bal de Givre à New York est étrange, je l’admets. Je me suis sentie en majorité un peu perdue, il y avait des moments où je ne comprenais pas très bien. Je pense que l'auteur avait pour but de nous malmener en bateau tout au long du livre, pour qu'à la fin tout s'éclaircisse ; avec cette fin pour le moins surprenante -et vraiment bien trouvée je trouve-, j'avais l'impression où les choses n’ayant pas été comprises avaient enfin du sens. En gros, on comprend mieux l'histoire qu'à partir de la fin.

Certes, c'est étrange, dans le cas où Anna ne se rappelle plus de rien, elle rencontre Wynter, ils se connaissent à peine et pourtant il dit qu'ils sont liés ; cette rencontre était précipité (d’où l’étrangeté de la situation) et la naïveté de Anna n’arrange rien ; je me suis posée beaucoup de question sur le compte de Wynter, pourquoi il tient tant à elle. On se fait une image sur les personnages douteux, et au final on constate qu’on les a mal jugés. L'univers où atterri Anna est aussi semble t-il étrange, bizarre.

En somme, j’ai bien aimé cet étrange livre au risque d’être un peu noyé par-ci, par-là.
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Le Serment d'une Reine. Troisième et avant-dernier tome d’une série magique. Je ne dirais pas qu'il est autant meilleur que les deux premiers, mais qu'il égalise avec le premier tome. En gros, c'est (encore) une excellente suite.

On retrouve une Meghan plus forte, plus sûre d'elle même, plus déterminée à prendre son destin en main. Ash m'avait déjà fait fondre auparavant avec son air de prince glacial et menaçant ; dans ce tome, il m'a anéanti, maintenant qu'il est devenu plus doux, plus tendre, plus protecteur envers sa bien-aimée. Ainsi, on rencontre le "vrai" Ash, et c'est un délice. Meghan et Ash sont – et restent - à mes yeux un couple magnifique. Le personnage qui m’a le plus marqué est Puck. Il a su comme d’habitude à me faire rire. Il a su depuis le deuxième tome à me toucher : c’est encore le cas ici même. Sa détermination à suivre Meghan, à l’attendre, même si cette dernière a fait son choix m’a émue. J’aurais beaucoup de plaisir à lire le point de vue de Puck si l’auteur nous consacre cette faveur dans un livre entier.

Bien sûr, on est toujours bercé par l'écriture féerique de Kagawa : l'émotion est toujours aussi présente et la tension monte crescendo. Quant au Pays de Nul Part qu'on a connu, et bien ce n'est plus le même : vu que le fer ronge le monde, on découvre cet univers sous un jour froid et hostile, dépourvu d'émotion. J'ai versé des larmes vers les cent ou cinquante dernières pages. C'est atroce, il n’y a pas mieux à dire.

Bref, vous l’aurez compris, j'ai aimé aimé et aimé !
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Ne Jamais Tomber Amoureuse me faisait de l’œil depuis des mois, et oh quelle joie quand j’ai appris sa sortie en version poche ! Néanmoins, je m’attendais à beaucoup plus, bien que l’histoire dans le fond est intéressante. J’avais l’impression qu’il manquait quelque chose, mais je ne saurais vous dire quoi…

Les personnages sont très distincts ; si certains lecteurs n’ont pas beaucoup porté dans leur coeur Keenan, de mon côté il m’a plutôt séduite, je l’ai plus préféré qu’à Aislinn ou Seth. Donia m’a aussi beaucoup plu, et sa relation qu’elle entretien avec Keenan est simplement belle. J’ai aimé pouvoir partager ses pensées, ses craintes, sa haine, son manque d’amour envers lui. Il y a peu d’action, à part à la fin où les choses s’accélèrent.

En parlant de la fin, elle ne m’a pas posée de problème, cela me convenait parfaitement. Les fées sont en somme des êtres qui aiment jouer avec les humains, sans que ces derniers s’en aperçoivent. Même si l’histoire se déroule dans le monde mortel, on peut constater les effets du monde féerique sur notre monde commun. Les citations du début de chaque chapitre donnent un aperçu des comportements et des rites des fées, et j’ai trouvé ce concept très intéressant de la part de l’auteur.

J’ai connu mieux en matières des fées, cependant c’est toujours aussi agréable d’explorer un territoire déjà connu, mais venant de la plume d’un autre auteur.
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Découvrir une histoire sur les zombies est pour moi une première… Ce monde hostile, froid, sombre a de quoi avoir des frissons sur les bras.

Bienvenue dans un monde post-apocalyptique empreint de noirceur, où les Damnés ne cessent de vous réclamer en tant que gibier.
Malgré la peur et la menace constante, Mary croit à l’espoir, elle s’accroche à ses rêves et parviendra à tout pour les atteindre, à mettre la vie de ses proches et la sienne en danger s’il le faut.
Si le premier chapitre démarre sur une note dramatique, la suite en est tout autant. On assiste à des pertes, à des scènes d’horreur et de dégoût.

J’ai été bluffé par l’écriture de l’auteur : les phrases sont pesantes, voir déchirantes pour qu’elles nous restent mémorables. Des phrases lourdes de sens… On se fait mal à poursuivre la lecture, craignant le pire à venir.

L’histoire d’amour est si belle, si tendre qu’on a envie d’y croire dans cet univers malsain.

Je ne peux que vous le conseillez car cet ouvrage en vaut le détour.

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Un tome moins bien que le précédent.

Tout d'abord la répétition de certains mots au début comme "foireux" ou "intense" m'a particulièrement dérangée, même si au bout du compte on comprend l'importance de ces mots.
J'ai retrouvé des similitudes avec le tome un, l'histoire se répète à certains passages comme cela a été dit précédemment par Vivyne et Adele26.

Maintenant que Tally est devenue Pretty, on découvre un nouveau monde, différent des Uglies. Un monde où règne les fêtes, les loisirs... malgré les joies de ce mode de vie, Tally doute au fond d'elle-même, jusqu'à découvrir la vérité. L'arrivé d'un nouveau personnage, Zane, va chambouler la vie de Tally, et les révélations concernant celui-ci sont intéressantes.

Dommage que les anciens personnages n'étaient pas plus présents ; le choix entre David et Zane est particulièrement lourd pour notre protagoniste, chose qui m'a plu.

La fin est facile à prédire quand on sait déjà le titre du troisième tome...
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date : 01-02-2012
Divergent fait petit à petit son succès sur les sites et blogs littéraires : je ne pouvais pas passer à côté, surtout de la dystopie !

Si je devais cité les éléments qui m'ont marqué, je citerais d'abord le caractère de Tris : j'ai été stupéfaite par sa force, son courage, son besoin d'aller toujours plus loin. Une fille qui ne baisse jamais les bras, qui se relève dans les moments les plus pénibles. Une fille qu'on ne peut pas oublier facilement.

On a le plaisir de découvrir un nouvel univers, le plaisir de découvrir les modes de vies de chaque faction, à quel point elles se différencient.
L'intrigue est semée d'embûches, les évènements prennent une tournure auquel on s'attend pas, au point où mon ventre se tordait sous la tension omniprésente. Plus on avance dans l'histoire, plus on a envie d'en apprendre toujours plus.

Grande romantique je suis, la relation entre Tris et Quatre évolue en douceur ; à en avoir des papillons dans le ventre lors des moments tendres.

Un énième roman de dystopie qui m'a conquise : jetez vous dessus !
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