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Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s’en rendre compte les dernières paroles d’une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C’est là qu’Arnljótur aura aimé Anna, une amie d’un ami, un petit bout de nuit, et l’aura mise innocemment enceinte.
En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d’Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.
Je ne comprends pas l'engouement suscité par ce livre. Il est bien mais sans plus, l'histoire est très classique, c'est très plat. Trop court, je n'ai pas vraiment eu le temps de m'attacher aux personnages, une fin très prévisible bref une déception pour moi.
Un vrai régal. Le plus abouti des romans de l'auteur (de mon point de vue après lecure de tous les autres). Une écriture fine et poétique, une histoire d'itinérance et d'humanité.
La première moitié du livre était longue et ennuyeuse. Le protagoniste est plutôt antipathique. On ressent son agacement face à un père trop âgé. Pour parler de son frère jumeaux il dit « mon frère demeuré ». Je ne comprends pas l'intention de l'autrice derrière cette violence.
Nous lisons ses pensées, loin d'être passionnantes. À partir du moment où il arrive au monastère, les choses s'arrangent. J'ai pu accélérer ma lecture et y prendre du plaisir. Son attitude vis-à-vis des siens s'est adoucie. Je regrette le côté inégal de la lecture.
Alors je pense que c'est un bon classique pour découvrir la littérature islandaise : la plume est joliment ouvragée dans un style simple et émouvant. Mais voilà j'avais pas envie de lire l'histoire d'un fils à maman un peu pervers et un peu perdu qui cherche son paradis personnel... Donc bien sur la forme bof sur le fond, à voir si je tente d'autres œuvres de l'autrice.
Comme la rose s'entrouvre sous le regard aimant du jardinier bienveillant, Rosa Candida s'offre au lecteur avec pudeur, douceur et malice.
Comme le jeune héros de vingt-deux ans découvre la vie avec un regard neuf et des questionnements incessants, l'écriture de Audur Ava Ólafsdóttir se révèle au lecteur avec une saveur insulaire nouvelle et une originalité toute islandaise.
Comme le jardin centenaire d'un monastère impose un silence bienfaisant, ce livre invite ceux qui tournent ses pages à la contemplation.
C'est avec une délicatesse émerveillée que j'ai cheminé dans les pages de ce roman dépaysant de simplicité et de quiétude. Le livre choisi au hasard sur mon immense pile m'a permis de prolonger ma semaine annuelle de silence.
Chut...
Je contemple...
Comme Arnljòtur, je m'émerveille sur la vie et son sens. J'admire la Nature et la beauté d'une enfant qui grandit sous les regards aimants. Je réfléchis à l'héritage familial, aux sensations du corps, à la responsabilité de la paternité. Je m'ouvre aux mystères des relations amoureuses, à la force des attentes, à l'omniprésence des peurs.
Je suis complètement charmée et apaisée devant tant de poésie, de lumière et de beauté. Je vais avoir de la peine à redescendre sur terre.
Ce livre est une balade dans une partie de la vie d'Arnljótur. On suit son voyage à l'étranger et à l'intérieur de lui même. Il se découvre et découvre le monde avec sa simplicité.
C'est une histoire très douce, relaté avec des mot simples mais qui m'a touché par sa sincérité.
Je ressors apaisé de ma lecture.
Ne vous attendez pas à une grande histoire ou à une intrigue bien ficelée, il s'agit plus d'un passage très fugace dans la vie d'Arnljótur.
Voilà un livre que je suis contente d'avoir emprunté à ma maman. Il se trouvait dans ma wish-list depuis quelque temps mais, honnêtement, je suis contente de ne pas l'avoir acheté moi-même.
Le résumé paraissait pourtant prometteur. D'autant que l'éditeur précise, sur sa quatrième de couverture, que Rosa Candida est le roman qu'il faut avoir lu (ou quelque chose comme ça, je ne l'ai plus sous les yeux). Mouais... Chacun ses goûts. En ce qui me concerne, ce roman ne correspond pas du tout à ce que j'espérais / attendais.
Je pensais tout d'abord me retrouver face à des héros sympathiques. Ces deux jeunes gens qui se retrouvent parents malgré eux mais décident quand même d'assumer leurs responsabilités, cela promettait quelques rebondissements. Et bien, en dehors de la crise d'appendicite d'Arnljótur et de l'arrivée impromptue d'Anna et de Flora Sol lorsque le jeune homme restaure la roseraie qu'il s'est engagé à ramener à la vie, il ne se passe pas grand chose.
Arnljótur nous raconte sa vie comme elle vient et nous relate les événements qui animent son quotidien de façon très plate. Un peu comme si je vous écrivais un roman sur ma vie en vous disant : " Ce matin j'ai mangé deux un bol de céréales et j'ai bu une tasse de café. J'ai caressé un de mes chats. Je me suis douchée et habillée. J'ai démêlé mes cheveux. J'ai caressé un autre de mes chats. J'ai ouvert ma fenêtre, puis j'ai enfilé un gilet parce que j'avais froid. " C'est peut-être passionnant pour moi (et encore, je m'ennuie presque moi-même...) parce que c'est ma propre vie mais je ne pense pas que d'autres aimeraient le lire.
J'ai eu un peu d'espoir lorsque Anna et Flora Sol viennent rejoindre Arnljótur : enfin, il allait forcément se passer quelque chose. Ce fut une nouvelle déception : préparation des repas, reprise de ses relations avec Anna et doutes habituels chez ce personnages décidément fatigant sont tout ce qu'Arnljótur trouve à nous raconter. Anne elle-même ne fait rien à part lire des livres et effectuer des recherches pour sa thèse. Et Flora Sol n'étant qu'un bébé, elle ne contribue pas vraiment à animer les choses (d'autant qu'elle est très calme pour un bébé...).
Les seuls moments de lecture vraiment agréables dans Rosa Candida sont ceux où Arnljótur nous parle de jardins, de fleurs (en particulier de roses), de plantes et d'autres végétaux. Ce sont les seuls passages où le jeune homme semble s'animer un peu et où il paraît savoir ce qu'il veut. Car en dehors de ces instants-là, Arnljótur me donne l'impression de se laisser vivre : il ne prend aucune décision claire et précise quant à son avenir, il ne sait pas ce qu'il veut faire... Il n'est pas non plus toujours très sympa avec son vieux père et avec son frère jumeau autiste (j'ai pourtant trouvé que c'étaient les deux personnages les plus sympathiques de ce roman). Seuls comptent à ses yeux les roses et les jardins. C'est déjà ça, me direz-vous mais, franchement, plus de 300 pages comme ça, ce fut long !
Un roman du chemin parcouru vers la maturité affective et vitale.
Ce livre décrit le voyage initiatique d'un jeune Islandais qui cherche un sens à sa vie, un peu maladroitement, un peu naïvement, et quitte pour la première fois son pays et sa famille, privée de la mère disparue brutalement.
Des rencontres un peu au hasard (des infirmières attentives, une jeune fille prise en stop, un moine inattendu) jusqu'à ce que se manifeste sans prévenir la mère de son enfant conçu dans un moment oublié, et le bébé lui-même. Et voilà notre Candide (pourquoi croyez-vous qu'il accorde tant d'importance à une rose "Candida"?) qui doit tout apprendre, du change de couches à la cuisine et à l'émotion érotique qui, peut-être, débouchera sur un amour partagé et pérenne. Une éducation sentimentale, une initiation à la responsabilité paternelle.
Un beau récit de vie tout en sensibilité. Et qu'importent les invraisemblances...
Un livre qui nous fait voyager aux côtés d'un jeune homme qui va devoir mûrir. Touchant et émouvant, je vous le conseille fortement :) Ce n'est peut-être pas le plus captivant des romans, mais c'est une lecture qui se fait tout en douceur sans nous laisser pour autant sur notre faim dans son contenu !
Résumé
Le jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens. Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s’en rendre compte les dernières paroles d’une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C’est là qu’Arnljótur aura aimé Anna, une amie d’un ami, un petit bout de nuit, et l’aura mise innocemment enceinte.
En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d’Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.