Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 790
Membres
1 013 841

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Le Règne du vivant



Description ajoutée par LillyOrenda 2014-08-20T18:15:48+02:00

Résumé

Aiguillonné par la curiosité, et très vite porté par l'admiration, un journaliste norvégien s'embarque sur l'Arrowhead avec une poignée de militants s'opposant activement à la pêche illégale en zone protégée. À leur tête, Magnus Wallace, figure héroïque et charismatique qui lutte avec des moyens dérisoires - mais un redoutable sens de la communication - contre le pillage organisé des richesses de la mer et le massacre de la faune.

Retraçant les étapes de cette insurrection singulière, témoignant des discours et des valeurs qui la fondent, Alice Ferney s'empare d'un sujet aussi urgent qu'universel pour célébrer la beauté souveraine du monde marin et les vertus de l'engagement. Alors que l'homme étend sur les océans son emprise prédatrice, Le Règne du vivant questionne le devenir de "cette Terre que nous empruntons à nos enfants" et rend hommage à la dissidence nécessaire, face au cynisme organisé.

Afficher en entier

Classement en biblio - 29 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par rabanne73 2021-11-20T01:18:58+01:00

Quatre cents zones marines sont déclarées mortes. Les grands prédateurs disparaissent. Nous léguons à nos enfants un océan où des modèles réduits n'ont pas le temps de grandir. Les espèces protégées ne le sont qu'en théorie. La pêche pirate est si gigantesque et profitable que l'extinction est une affaire de quelques années. Le poisson n'est plus l'être vivant universel du globe, éternel dans toutes les eaux. L'infini ou l'inépuisable sont des idées fausses qu'il faut de toute urgence nous ôter de la tête.

Afficher en entier

Commentaire le plus apprécié

Or

ce roman est sublime. Le mer, ses habitants y sont si bien décrits que nous les voyons, nous apprenons à les connaître et à les aimer. Le style est lyrique, presque poétique. L'indignation, la colère et l'admiration pour Magnus Wallace grandit en nous au fil du roman. En cherchant un peu sur internet, j'ai découvert que l'histoire est inspirée de fait réels, et Magnus Wallace de Paul Watson; ce dernier a fondé l'association activiste Sea Shepheard qui se bat contre les baleiniers.

De plus, lorsque je l'ai commencé j'écoutais la fin de la playlist de JB sur les sagas, et les orchestres symphoniques se mariaient parfaitement avec le ton enflammé et convaincu du prologue. Pour conclure, un seul mot d'ordre: lisez-le!!

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Commentaire ajouté par Antanasia222 2023-09-26T18:50:47+02:00
Diamant

Un livre que j'ai du lire pour un cours lorsque j'étais encore à la fac. Cette lecture a été le déclic qu'il me fallait pour passer le cap et devenir végétarienne. Ça fera 7 ans dans quelques semaines. Un récit bouleversant et sensible.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par rabanne73 2021-11-14T15:17:52+01:00
Or

Lu en 2017. Inconditionnelle de l'auteure, j'avais avalé d'une traite ce livre . Une qualité de plume qui m'avait une fois de plus conquise, mais dans un genre différent des autres romans de lus.

L'histoire traite ici de l'engagement d'un homme, sa lutte acharnée contre l'extinction des grands mammifères marins, son combat contre le braconnage et la macabre loi des quotas. Une croisade, écologiste comme humaniste, d'autant plus courageuse que risquée..

Un récit palpitant, réaliste et émouvant, dénonçant la vanité, la cupidité, la violence et l'inconscience des hommes. Encore un discours idéaliste, une simple goutte d'eau dans la mer ?... Il y aurait comme une urgence à nous préoccuper de nos ressources vitales, à éduquer nos enfants pour préserver les générations futures (!)

Afficher en entier
Commentaire ajouté par marine_livraddict 2019-07-19T00:13:53+02:00
Bronze

La préservation des mers et océans me tient beaucoup à cœur depuis plusieurs années, depuis que j'ai enfin ouvert les yeux sur ce qu'il se passe en ce moment même dans le monde. Je suis tombée par hasard sur ce livre à la médiathèque et le résumé m'a tout de suite interpellé. J'étais obligée de l'emprunter et j'ai bien fait!

Nous suivons un journaliste/cameraman norvégien qui, au départ, souhaitait seulement faire un reportage sur le capitaine Magnus Wallace et son organisation Gaïa mais qui va devenir un éminent membre de Gaïa, à bord de l'Arrowhead, aux côtés d'un homme qui se bat de toutes ses forces et aux côtés de nombreux bénévoles venus du monde entier.

Même si l'autrice choisit d'utiliser d'autres termes et d'autres noms, j'ai tout de suite compris qu'elle avait mis en avant l'organisation internationale Sea Shepherd et son créateur Paul Watson, qui luttent avec force et conviction pour cette cause tellement importante qu'est la protection de notre planète. Magnus Wallace est en fait le capitaine Paul Watson, l'organisation Noé est en fait Greenpeace, Gaïa est l'organisation Sea Shepherd, les navires de l'ONG ont eux aussi différents noms. J'ai reconnu les grands événements qui ont marqué l'association et son capitaine, surtout parce que j'avais lu une biographie sur le capitaine Paul Watson il n'y a pas si longtemps et c'était encore assez frais dans ma tête. Bien sûr, quelqu'un qui ne connaitrait pas Sea Shepherd et Paul Watson ou très peu ne ferait pas le rapprochement. Sea Shepherd est une association environnementale que je suis assidûment depuis plusieurs années, dont j'applaudis les efforts, le courage et les résultats. Bravo à tous ceux qui œuvrent pour Mère Nature.

La plume est acérée, incisive, presque poétique. L'autrice ne prend pas de gants, elle ne nous épargne aucunement. Certains passages étaient très durs (notamment les mises à mort des animaux)mais je me suis forcée à les lire parce qu'il le faut, il ne faut pas fermer les yeux.

C'est un livre d'actualité, tout ce qu'il se passe dedans est véridique. Les mers et océans sont vitaux pour la planète et pourtant l'Homme détruit tout. L'avenir s'annonce bien sombre. Le règne des vivants a trouvé écho en moi, m'a poussé fortement à la réflexion, à la remise en question.

Ce livre m'a forcément touché, choqué, révolté. Une lecture coup de poing, très engagée et importante, qui fait sonner la sonnette d'alarme quant à l'avenir de notre planète, de ce qu'il se passe réellement dans l'ombre alors que nous sommes accaparés par nos petites vies.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par bookemixer 2017-01-03T06:45:53+01:00
Bronze

Encore un bel ouvrage de cette auteure.

Cette fois, sur le thème de la prise de conscience des notions de cause à effet.

Tant que l'humanité considérera sa génération comme "exclusive" et sans lendemain, nous n'aboutirons qu'à la destruction inéluctable de notre planète.

Mais, peut être que la terre vivra mieux sans humanité =)

Afficher en entier
Commentaire ajouté par M-a_n_o-n 2016-05-31T17:20:47+02:00
Bronze

Dans ce roman, Alice Ferney rend hommage et légitime le travail des éco-terroristes (un nom un peu fort mais qui reste vrai). J'ai d'ailleurs lu une interview très intéressante de l'auteur qui expliquait pourquoi ce choix d’écrire sur l'écologie. C'est un roman très intéressant mais j'ai trouvé l'écriture beaucoup trop lourde à lire pour un tel sujet. Les phrases se perdent dans des divagations littéraires qui freinent la lecture.

J'en retiens néanmoins le combat de ces écologistes qui se battent contre le braconnage et la surpêche, un texte qui fait réfléchir.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par jta91 2016-05-22T13:22:11+02:00
Or

ce roman est sublime. Le mer, ses habitants y sont si bien décrits que nous les voyons, nous apprenons à les connaître et à les aimer. Le style est lyrique, presque poétique. L'indignation, la colère et l'admiration pour Magnus Wallace grandit en nous au fil du roman. En cherchant un peu sur internet, j'ai découvert que l'histoire est inspirée de fait réels, et Magnus Wallace de Paul Watson; ce dernier a fondé l'association activiste Sea Shepheard qui se bat contre les baleiniers.

De plus, lorsque je l'ai commencé j'écoutais la fin de la playlist de JB sur les sagas, et les orchestres symphoniques se mariaient parfaitement avec le ton enflammé et convaincu du prologue. Pour conclure, un seul mot d'ordre: lisez-le!!

Afficher en entier
Commentaire ajouté par luckita 2015-01-10T22:44:41+01:00
Diamant

Je vous préviens tout de suite que ma critique du Règne du Vivant d'Alice Ferney risque de manquer d'objectivité.

Cet ouvrage se présente pour la forme du témoignage d'un caméraman ayant suivi Magnus Wallas, le fondateur de Gaïa, lors de ses campagnes de protection de la faune marine et des Océans.

La plume magnifique d'Alice Ferney nous entraine dans les combats menés, sans concession, par cet activiste charismatique. Et, évidemment nous reconnaissons très rapidement le Capitaine Paul Watson, fondateur de Sea Shepheard et son combat sans relâche contre les baleiniers japonais. Je pense d'ailleurs qu'Alice Ferney a dû lire "Entretien avec un pirate" avant d'écrire son livre.

L'auteur, on le sent, voue une grande admiration à ce personnage controversé et certains pourront penser que le livre manque d'objectivité. En ce qui me concerne je me suis complètement retrouvée dans les idées développées et j'ai donc complètement adhéré au livre.

Merci Alice Ferney pour ce bel hommage aux femmes et aux hommes qui n'hésitent pas à mettre leur vie en danger pour défendre leurs convictions.

Afficher en entier

Date de sortie

Le Règne du vivant

  • France : 2014-08-20 - Poche (Français)

Activité récente

loola le place en liste or
2018-04-12T09:17:39+02:00
JudyM l'ajoute dans sa biblio or
2017-06-23T11:56:39+02:00

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 29
Commentaires 7
extraits 34
Evaluations 9
Note globale 8.22 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode