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Commentaires de livres faits par Kesciana

Extraits de livres par Kesciana

Commentaires de livres appréciés par Kesciana

Extraits de livres appréciés par Kesciana

date : 25-01-2017
https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/25/famous-jilly-gagnon/

Je suis toujours curieuse de découvrir les titres de la collection New Way, une collection young adult qui cache de belles pépites mais qui sait varier les genres. C’est donc un peu les yeux fermés que je lis leurs livres, n’ayant jamais été déçue jusque là.

#Famous est une histoire vraiment mignonne, un peu surréaliste par moment, mais qui dénonce tout de même la dérive des réseaux sociaux chez les jeunes aujourd’hui. En effet, il est très facile de devenir, grâce à ce support, la nouvelle star du moment par un étrange concours de circonstances. Mais il est tout aussi facile de se cacher derrière son pseudo pour juger une personne que l’on ne connait pas ou pour tenter de rabaisser une personne que l’on connait.

L’histoire met ainsi en balance le bien et le mal que l’on peut trouver sur les réseaux sociaux. Si Kyle devient, du jour au lendemain, la petite coqueluche des journalistes, Rachel va voir sa vie devenir un enfer, destinatrice de messages virulents se permettant de la juger sans la connaitre.

Et j’ai trouvé que l’auteur traitait avec justesse et équilibre cette double facette des réseaux sociaux. C’est vraiment intéressant de voir comment une personne peut être idolâtrée sans rien faire, tout comme d’en voir une autre être trainée dans la boue par des gens qu’elle ne connait ni d’Eve ni d’Adam mais qui se croient mieux placés qu’elle pour la condamner sans aucune autre explication.

Humiliée, harcelée… Rachel fait preuve d’un énorme courage et fait face à la situation avec brio. Même si, intérieurement, ces messages la rabaissent un peu plus chaque jour. J’ai beaucoup aimé son personnage auquel je me suis immédiatement attachée. Avec Kyle, c’était quelque peu différent. Le gus met du temps, beaucouuuuup de temps pour comprendre les conséquences de cette situation. Il est long à la détente et se laisse complètement porter par la vague. Mais bon, c’est un garçon aussi… **sifflote**

Quant à la romance, j’ai aimé qu’elle ne soit pas immédiate – on remerciera d’ailleurs le temps de réaction de Kyle pour ce fait. Mais cela permet de rester focalisé sur les conséquences que cette petite photo publiée sur Twitter a pu entrainer. Et c’est là le vrai point névralgique du roman.

Pour conclure : #Famous est une histoire sans prétention qui frôle un peu le surréalisme, mais qui pousse le lecteur à se poser les bonnes questions. J’ai beaucoup aimé la dualité de la situation que l’on découvre ici. Son aspect positif pour Kyle, mais aussi négatif pour Rachel. Jilly Gagnon aborde avec intelligence et pertinence cette thématique des réseaux sociaux, mais aussi ses dérives, source aujourd’hui de tant de faits divers, tout en gardant une grande positivité. Une très belle histoire !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/24/up-in-the-air-tome-4-mister-b-r-k-lilley/

On dit que l’on garde souvent le meilleur pour la fin. Mais, livresquement parlant, ce n’est pas toujours le cas, et les tomes ne sont pas souvent au même niveau que le premier. Ce fut le cas avec Up in the air. Pour autant, quand j’ai su que ce quatrième tome portait sur les garçons de la série, je n’ai pas vraiment hésité. Non pas pour James, qui ne m’avait pas convaincue plus que cela, mais plutôt pour Stephan que j’avais tout simplement adoré.

Et je peux vous dire que ça valait la peine de l’attendre ce tome ! Pourtant, en temps normal, je suis vraiment réticente aux « réécritures » qui changent uniquement de point de vue. J’ai l’impression de relire des dialogues déjà-lus, et savoir à l’avance ce qu’il va se passer ne me passionne pas vraiment. Ici, j’avais quand même envie d’en savoir plus sur Stephan. Et j’ai été agréablement surprise. Sauf que cette surprise n’est pas venue de Stephan en lui-même, mais plutôt de James.

Et j’en suis la première stupéfaite. Car, durant les trois tomes, ça avait été sans plus. James ne m’avait pas passionnée ; il était là mais bon, ça aurait pu être lui ou un énième monsieur super-dominateur-super-autoritaire-super-milliardaire que ça aurait été pareil. Mais R.K. Lilley aborde ici tout le pan émotionnel qu’elle avait complètement délaissé dans les tomes précédents. Et on comprend enfin les raisons d’un tel attachement, d’une telle relation qui devient ainsi bien plus réelle et moins préfabriquée.

Mais l’auteur ne se cantonne pas à une simple réécriture. On en découvre ainsi un peu plus sur le passé de notre trio, ainsi que sur ce qu’ils deviennent depuis. James prend une profondeur à laquelle je ne m’attendais absolument pas. On découvre également un Stephan bien plus sombre que ce que ses apparitions nous laissaient penser, et on voit combien il a du mal à s’affranchir de ses blessures passées et comment cela influence ses choix actuels.

En somme, j’avais peur de tomber dans le tome de trop, même si j’étais curieuse d’en découvrir un peu plus sur l’univers des hommes de la vie de Bianca. Mais s’il ne fallait en retenir qu’un seul tome, ce serait celui-ci car il apporte vraiment l’aspect qu’il manquait à la trilogie de base. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cet opus. Bien plus qu’en lisant les trois premiers tomes, c’est pour dire. Il clôture à merveille cette série et apporte l’épaisseur qu’il manquait aux personnages masculins. On apprécie bien plus l’histoire sous cette nouvelle perspective qui change incroyablement la donne, et c’est dommage qu’il ait fallu attendre ce quatrième tome pour pouvoir en explorer cet aspect.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/19/les-messagers-des-vents-tome-3-gardiens-des-feux-clelie-avit/

Si vous me suivez depuis un petit moment, vous devez connaître mon amour pour la série fantasy de Clélie Avit. J’ai immédiatement été séduite par son univers et ses personnages, et c’est à chaque fois une torture d’en attendre les tomes suivants. Je me suis donc jetée sur cette suite dès que j’ai eu la chance de l’avoir entre les mains.

Je ne vous cache pas que, comme lors de ma lecture du second tome, j’ai quand même eu pas mal de difficultés à me remettre dans l’histoire. Il faut dire que l’univers de l’auteur est très précis, très spécifique également et comporte son propre vocabulaire assez singulier. Résultat : difficile pour moi de me remettre ne tête les multiples personnages ainsi que les éléments si particuliers de cet univers, et il m’a fallu reprendre un certain nombre de fois ce livre avant de pouvoir retrouver LE déclic.

Une fois cette étape délicate de franchie, je me suis une nouvelle fois régalée. Je suis toujours sous le charme de cette série, que je trouve pensée jusque dans ses moindres détails. Et quel régal de retrouver Eriana, Setrian et leurs comparses ! Surtout que de nombreux mystères commencent à trouver un début de résolution, on voit que l’ultime tome se rapproche et que le final se profile. A ce titre, les rouages se mettent tout doucement en place et permettent à une histoire bien plus complexe que ce que l’on croyait de se dévoiler pleinement.

L’univers de Célie Avit est toujours aussi enchanteur, sa plume toujours aussi magique, et ses descriptions toujours aussi féeriques. Elle a réussi à créer un monde très particulier, égal à lui-même et qui cache de nombreux secrets. Ainsi, elle nous entraîne de surprises en rebondissements, et on se rend compte que le moindre petit détail rencontré jusque-là trouve une explication logique à un moment donné. C’est indéniablement le gros point fort de cette série, et la magie opère toujours, même au bout de trois tomes.

Pour conclure : je regrette vraiment que l’auteur ne nous délivre pas un résumé ou un glossaire à chaque début de nouveau tome, car j’ai, à chaque fois, beaucoup de mal à me remettre dans le bain. Il m’aura donc encore fallu un certain temps avant de retrouver mon rythme de croisière dans cette série que j’affectionne tout particulièrement. Car j’adore ce monde, cet univers, cette intrigue et ces personnages… Et je peux vous assurer que, vu la fin que nous sert Clélie Avit, si j’avais eu le quatrième tome sous la main, je l’aurais enchaîné sans soucis. J’ai vraiment hâte de découvrir le final de tout cela, car je n’ai aucune idée de la façon dont l’histoire va se terminer !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/20/off-campus-tome-4-the-goal-elle-kennedy/

Vous connaissez mon amour pour cette série de Elle Kennedy. Alors, ce quatrième tome était THE sortie de ce début 2017 que j’attendais avec impatience. Déjà sous le charme de Garrett, Logan et Dean, je mourrais d’envie de découvrir Tucker et de voir si la magie allait opérer une fois encore.

Et je peux vous confirmer que cette série restera une de mes favorites dans le genre. Car ce quatrième tome confirme mon amour pour la plume et les héros de Elle Kennedy. Pourtant, l’histoire en elle-même peut paraître déjà-lue. Mais l’écriture de l’auteur fait toute la différence, apportant un humour, un pétillant et un mordant délicieux qui m’a encore une fois fait tomber sous le charme.

J’ai beaucoup aimé l’histoire de Sabrina James. Pourtant, la jeune fille ne m’avait pas vraiment séduite à travers ses quelques apparitions dans les autres tomes. Hautaine et glaciale, j’étais un peu dubitative en la voyant au centre de ce tome, car je n’avais pas, mais alors pas du tout, envie de l’apprécier. Mais, dès le départ, l’auteur nous montre toute une dimension qui ne peut nous empêcher de succomber à cette jeune femme, à sa force, son courage et sa détermination malgré les épreuves.

Concernant Tucker, bon, certes il n’a pas réussi à détrôner Dean et Garrett dans mon petit cœur. Mais le gars reste parfait malgré ses doutes, ses espoirs et ses peurs. Humainement parfait en somme. Car c’est la toute la magie d’Elle Kennedy : elle n’est pas là pour nous faire des histoires dignes de contes de fée, elle nous narre juste les histoires d’hommes simples, normaux, qui auraient pu être nos colocs de fac, tout en y ajoutant une dimension humoristique qui fait toute la différence.

Et ça marche, une nouvelle fois. Pourtant, au bout de quatre tomes, on peut avoir peur d’être lassé à force d’en connaître la recette. Mais non, pas le moins du monde. Et je serais prête à enchaîner avec bien d’autres tomes tant l’écriture d’Elle Kennedy fait du bien.

Je suis donc bien triste de quitter les garçons de Briar. Des garçons qui m’auront émue à de nombreuses reprises, mais aussi rire comme une folle. Quelle délicieuse série que nous a donc proposé Elle Kennedy avec Off-Campus ! Je sais déjà que je vais relire ces histoires avec le même plaisir tant je me suis à chaque fois régalée. Alors, si vous n’avez toujours pas fait connaissance avec ces garçons, n’hésitez pas une seule seconde !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/18/sexy-lawyers-tome-2-sous-influence-emma-chase/

J’avais adoré retrouver la plume d’Emma Chase dans le premier tome de cette nouvelle série, même si j’avais été moins convaincue par Stanton. Pour autant, l’ambiance de Sexy Lawyers m’avait séduite, et j’étais impatiente d’en découvrir les tomes suivants.

Je peux vous assurer que, si Stanton m’avait laissée mitigée, je suis complètement tombée sous le charme de Jake, et j’ai enfin retrouvé avec délice ce qui rend les héros d’Emma Chase si particulier. Dès le premier chapitre, le ton était donné, et je n’ai pas pu me retenir de rire devant l’épreuve cocasse que doit endurer Jake. Et puis, tout doucement, l’auteur insère des petits éclats émotionnels vraiment touchants et vibrants de sincérité, tant et si bien que je me suis tout simplement laissée emporter.

J’ai été extrêmement touchée par la situation de Chelsea ainsi que par celle des enfants. A vrai dire, j’ai trouvé que cela apportait une vraie profondeur à l’histoire qui se présentait, au départ, assez légère. Mais Emma Chase réussi l’exploit de rendre ces six enfants tour à tour énervants, attachants, mignons et j’en passe… Difficile de ne pas succomber à ces terreurs, mi-anges mi-démons. Mais, tout comme pour Jake, mon petit cœur de lectrice a fondu, littéralement.

Le reste du récit apparaît, somme toute, assez classique. Mais entre humour, rire et larmes, l’auteur nous embarque d’une main de maitre du début à la fin. Je n’ai pas vu les pages défiler, je me suis juste laissée porter et j’ai profité de cette romance mignonne à souhait où l’on retrouve tout le mordant décalé propre à Emma Chase.

Pour conclure : j’avais été déçue par le personnage de Stanton dans le premier opus de Sexy Lawyers. Mais Jake me réconcilie définitivement avec l’auteur. J’ai retrouvé avec délice tout ce qui faisait le charme et la particularité des héros de l’auteur et je me suis laissée séduire sans trop de difficultés. Si l’histoire reste quelque peu prévisible, le pétillant de l’auteur nous transporte sans soucis et nous fait passer un délicieux moment plein d’émotion, de mignonnerie et de guimauve. Je me suis tout simplement régalée !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/16/orgueil-et-prejuges-jane-austen-po-tse/

Ne serait ce que, en tant que livre objet, ce dernier est tout simplement magnifique. Couverture violette poudrée, dorures et arabesques.. Tout est là pour faire miroiter nos petits yeux, et l’effet est indéniable.

De plus, cela faisait un moment que je voulais découvrir l’œuvre de Jane Austen. Surtout après tout ce dont j’en ai entendu parler. Mais les livres classiques et moi, on ne s’entend pas vraiment. Mes études littéraires n’ont pas arrangé la chose, et j‘ai beaucoup de mal à lire ces livres dont je trouve l’écriture trop lourde et trop pompeuse.

Quoi de mieux donc, pour une première lecture, que de découvrir ce titre dans un format que j’affectionne tout particulièrement : le manga. Le compromis était idéal, et j’étais bien plus enthousiaste de le lire sous cet aspect. C’est donc avec un grand intérêt que je me suis lancée, curieuse de pouvoir faire une première immersion dans le fabuleux monde de Jane Austen…

En premier lieu, je vais vous parler du chara design. Car c’est ce qui a fait que ce manga m’a immédiatement tapé dans l’œil. Le style de Po Tse correspond tout à fait à ce que j’adore retrouver dans les shojo. Des traits fins, des décors raffinés, des expressions réalistes… Les dessins sont vraiment de toute beauté et j’ai tout de suite accroché. Po Tse a su retranscrire à merveille, à travers ses dessins, l’ambiance de cette Angleterre du début XIXème. J’en ai pris plein les yeux, je me suis régalée de la moindre scène, du moindre personnage.. Bref, j’étais tout de suite sous le charme.

Quant à l’intrigue, n’ayant pas lu l’œuvre originale de Jane Austen, je ne saurais vous dire si cette dernière est des plus fidèle. Mais j’en ressors avec l’incroyable envie d’en découvrir plus encore et de me plonger pour de bon dans ce grand classique. Car l’histoire que j’ai découverte m’a enchantée, plus riche et plus profonde que ce que je pensais. Alors, certes, la version manga apporte une légèreté qui, je pense, doit être quelque peu absente de la version originale. Mais, maintenant que je sais à quoi m’attendre, et à quoi l’histoire ressemble, j’ai bien envie de me lancer à mon tour dans ce texte précurseur et qui a servi de base à tant d’histoires aujourd’hui publiées.

Pour conclure : cette adaptation de l’œuvre de Jane Austen est tout simplement sublime. Entre romantisme, sentiment, rire et larme, toutes les clés sont réunies pour passer un délicieux moment. Quant aux dessins, purement magnifiques, ils rehaussent ce chef d’œuvre classique et en font un manga ravissant au charme indéniable. Je suis conquise, tant par le livre objet que par l’histoire et ses images. Un très beau coup de cœur pour un manga qui sort quelque peu de l’ordinaire !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/17/la-reine-du-tearling-tome-1-erika-johansen/

A la sortie de ce livre, j’ai très vite été intriguée par les premiers retours que j’en lisais. Curieuse, j’ai donc saisi l’occasion pour me plonger dans ce monde fantastique et en découvrir tous ses secrets.

Première surprise : au delà de son aspect fantasy, le Tearling, pays que l’on découvre ici, s’ancre dans un possible futur très lointain, à la façon des chroniques de Shannara. En effet, de nombreuses références à notre monde actuel y sont faites, que ce soit à travers l’Histoire même de ce pays, ou de l’exode qui l’a engendré. C’est un aspect qui m’a vraiment surprise, cette façon d’inscrire cet univers fantastique dans notre monde, et le mélange opéré reste très séduisant et intrigant à découvrir.

Dans les faits, ce premier opus est un véritable tome d’introduction. Les choses se mettent tout doucement en place et l’auteur prend le temps de nous expliquer son univers, son Histoire passée et présente, ainsi que toutes ses spécificités. Le résultat est enchanteur ; j’ai adoré découvrir la naissance et la vie de ce monde, tout comme j’en ai aimé le fil conducteur.

Niveau personnage, je suis tout simplement conquise. Je me suis très vite attachée à Kelsea ainsi qu’à tous ceux qui gravitent autour d’elle. Notre héroïne est pleine de mystères, on les découvre en même temps que cette dernière et je n’ai pu m’empêcher d’imaginer mille et un scénario. Plus on en découvre à son propos, ainsi que sur son histoire, plus on ne peut qu’être encore plus attiré par la profondeur de son personnage, sa force et sa droiture. C’est ce qui fait toute la magie de Kelsea.

L’auteur mène parfaitement bien sa barque tout au long du récit. Pourtant, on a l’impression qu’il ne se passe pas grand-chose, mais chaque détail, chaque signification peut se révéler d’une cruelle importance. Le rythme va crescendo, jusqu’à nous embarquer dans une course contre la montre. On en vient à redouter l’avenir malgré la justesse des décisions de Kelsea. Jusqu’à terminer sur un final qui me laisse des plus perplexe, complètement soufflée et impatiente d’en découvrir toujours plus encore.

Pour conclure : La Reine du Tearling se révèle être une histoire bien plus complexe et plus riche que son résumé ne le laissait sous entendre. J’ai été agréablement surprise par le monde que j’ai découvert, et par tous les mystères qui entourent le personnage de Kelsea. Cet univers que l’on y découvre regorge de magie, de secrets et d’intrigues qui captivent le lecteur sans aucun soucis. Je me suis régalée, du début à la fin, et j’ai vraiment hâte d’en découvrir plus encore… Bonne nouvelle, les deux prochains tomes sont annoncés courant 2017. Vivement !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/11/le-grand-saut-tome-1-florence-hinckel/

Ayant découvert Florence Hinckel à travers la série U4, j’étais curieuse de la lire dans un autre registre plus contemporain. Surtout que le résumé me plaisait énormément et me rendait nostalgique de l’époque de Quatre filles et un jean. C’est donc avec curiosité que je me suis plongée dans cette histoire.

Globalement, si certains passages restent prévisibles et un peu longuets, je me suis tout de même bien attachée à ce groupe d’amis. Car Florence Hinckel nous entraîne à leurs côtés ; on vit intensément l’histoire en même temps qu’eux, on les accompagne dans leurs découvertes, leurs craintes, leurs amours et leurs joies.. Et c’est sûrement le plus merveilleux de ce livre, cette façon de « vivre » le récit comme si on était un personnage du groupe.

J’ai beaucoup aimé partager la vie de ces six adolescents. Florence Hinckel réussit parfaitement à retranscrire toutes leurs émotions et à nous y faire participer. Le tout garde un cadre très humain, on s’imagine sans aucun soucis cette bande d’amis ainsi que leurs déboires et on les partage avec eux. Je me suis retrouvée dans certaines de leurs préoccupations qui me faisaient penser aux miennes quand j’avais leur âge. C’est très réaliste, très touchant, et très bien écrit là encore.

Pour conclure : j’ai aimé retrouver cette ambiance à la Ann Brashares que j’avais tant adorée dans ma jeunesse. Florence Hinckel arrive parfaitement à nous faire partager ce petit bout de vie de ces adolescents. On a ce sentiment d’être à leurs côtés et de vivre à notre tour cette histoire. Quant à la fin, renversante, j’avoue qu’elle me donne tout simplement envie de me précipiter sur la suite. Le grand saut est un excellent roman pour adolescents dans lequel ces derniers se retrouveront sans aucun doute.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/11/power-club-tome-1-lapprentissage-alain-gagnol/

C’est avec curiosité que j’ai découvert ce roman dont je n’avais absolument pas entendu parler. Mais le résumé m’a pas mal intriguée, je trouvais l’idée de base de l’auteur excellente, et j’étais donc curieuse de découvrir comment il avait transposé ce concept dans son roman.

Dans notre monde, les super-héros ainsi que leurs pouvoirs affolants restent un fantasme absolu. Qui n’a jamais eu à répondre à la question « Quel est le pouvoir que vous auriez aimé posséder ? ». C’est sur ce postulat de départ qu’Alain Gagnol a construit son récit. En effet, dans les comics et autres histoires, les pouvoirs s’obtiennent le plus souvent par un incroyable effet du hasard. Mais, dans une société où tout se monnaye, comment ne pas imaginer qu’un jour il sera possible de posséder un pouvoir rêvé, fantasmé et adulé contre un simple gros chèque (bon, avec plein de zéros quand même…)

C’est ce qui arrive à Anna ici. Pourtant, elle a en horreur ces membres du Power Club qui abreuvent les écrans de leurs exploits, toujours à se mettre en avant et à faire de la pub entre deux sauvetages. Mais, le jour où ses parents lui offrent un bon d’adhésion au Power Club, elle va vite découvrir l’envers du décor.

J’ai beaucoup aimé la dualité que l’on retrouve dans ce roman et qui s’exprime surtout à travers le personnage d’Anna. En effet, cette dernière, bien que devenue super héroïne, va pourtant tenter de rester la plus terre à terre possible. Mais, ce n’est pas parce qu’elle a des super-pouvoirs qu’elle reste libre de faire ce qu’elle veut, et elle va vite se rendre compte que cette biotechnologie lui enlève petit à petit sa liberté et qu’on va tout simplement les exploiter, elle et ses nouveaux pouvoirs.

Alain Gagnol porte ici une réflexion sociétale avec une histoire de super-héros bien éloignée de celles dont abreuvent les comics. Et ça marche. On découvre en même temps qu’Anna ce Club fantastique qui fait rêver, mais aussi les secrets que ce dernier semble cacher. C’est vraiment intéressant et c’est ce qui permet à Power Club de ne pas être qu’un simple roman de super-héros supplémentaire.

Pour conclure : l’histoire parait bien simple au départ, mais pourtant elle cache une profondeur et une réflexion qui l’enrichissent considérablement. Le personnage d’Anna, loin de se laisser séduire par le monde qu’elle découvre, reste très terre à terre tout en nous faisant partager ses découvertes, autant physiques qu’émotionnelles. J’ai vraiment passé un bon moment de lecture, et je reste curieuse de découvrir ce qu’Alain Gagnol nous réserve pour la suite de son Power club.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/12/the-team-tome-2-addiction-lynda-aicher/

J’avais véritablement adoré le premier tome de cette série, et étais donc pressée de découvrir la suite, mais aussi de retrouver la plume de l’auteur que j’avais beaucoup aimée.

Mais mon ressenti reste très mitigé sur ce livre. Pourtant, j’ai été stupéfaite par le sujet abordé ici par Lynda Aicher, puisqu’elle y parle d’une thématique assez taboue dans le monde du sport : l’addiction.

A la suite d’une énième blessure à son genou, Scott, le célèbre capitaine des Glaciers, l’équipe de hockey, se retrouve obligé de prendre un cocktail de médicaments afin d’en supporter la douleur et de, surtout, pouvoir continuer à jouer. Jusqu’à ce que son avenir au sein même de l’équipe s’en retrouve menacé.

J’ai vraiment aimé la façon dont l’auteur amène ce sujet sur le tapis, petit à petit. Au début, on voit Scott prendre quelques cachets pour la douleur et, comme lui, on se dit que ce n’est qu’un simple médicament pour en supporter la souffrance. Et puis, doucement, on prend conscience, en même temps que Scott, de la gravité de la situation ; que ce n’est plus uniquement pour supporter ce mal, mais que ça en devient vital ; que son corps ne supporte plus le manque et qu’il est devenu addict, tout simplement.

A ce niveau-là, j’ai trouvé que l’auteur avait parfaitement bien traité son thème. Dans un premier temps, on comprend Scott, son rêve, sa passion, et le fait que les médicaments sont le seul moyen pour lui de continuer à jouer. Sur ce point, rien à redire, et j’ai trouvé que c’était indubitablement le gros point fort du récit. C’est avec les autres éléments que j’ai eu plus de mal…

Tout d’abord, il m’a fallu attendre un long, très long moment afin de pouvoir rentrer dans l’histoire. Le début était loin d’être addictif, j’étais complètement détachée du récit et des personnages, et je n’arrivais pas du tout à accrocher. A vrai dire, il ne se passe quasiment rien, et je suis vraiment tombée de haut après l’incroyable coup de cœur que j’avais eu pour le premier tome dès les premières pages. La plume de l’auteur avait perdu ce pétillant que j’aimais temps, et j’ai éprouvé pas mal de difficultés à trouver le point charnière permettant de me lancer enfin dans le récit.

A cela s’ajouter une héroïne à laquelle je ne me suis absolument pas attachée. A vrai dire, elle m’a plus gavée qu’autre chose (et le mot est faible). Sincèrement, l’excuse qu’elle nous sort à la fin pour expliquer son manque d’envie de se lancer dans sa relation… Comment dire… Je n’y ai pas cru, mais alors pas du tout tant elle paraissait venir de je-ne-sais-où. Et, malgré son dévouement envers Scott, je l’ai trouvée trop égoïste sur ce point, à en éprouver une vraie rancœur avec elle. Pour une femme d’une trentaine d’années, elle avait plutôt l’air de se comporter comme une gamine de dix-huit ans. Bref…

Pour conclure : la thématique que développe l’auteur dans ce tome, à savoir les conséquences des blessures liées au sport qui peuvent laisser des séquelles bien plus graves qu’une simple opération, est vraiment le gros point fort de ce second tome. La vision de Scott sur sa propre condition évolue en même temps que celle du lecteur, et j’ai beaucoup aimé ce parallèle. Mais, malheureusement, je n’ai pas réussi à retrouver l’humour pétillant et le mordant de l’écriture de l’auteur qui m’avait séduite dès les premières lignes dans le premier tome. A cela s’ajoute une héroïne qui m’a complètement horripilée… Je ressors donc très mitigée de cette lecture, tout en sachant que je retenterai tout de même l’expérience avec le troisième tome.
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date : 13-01-2017
https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/13/unwanted-unexpected-elle-kennedy/

Ayant adoré Elle Kennedy avec sa série Off Campus, j’ai donc voulu (re)découvrir l’auteur avec deux autres de ses livres parus aux éditions Harlequin.

Vu la taille des écrits, je m’attendais à des histoires rapides, et je n’ai pas été déçue sur ce point. Unwanted et Unexpected sont deux récits assez accrocheurs quoique un peu trop expédiés par moments, mais les histoires restent plaisantes à lire. Pour autant, je n’ai pas réussi à y retrouver le pétillant de l’auteur que j’avais découvert avec The Deal.

Et ce sera mon seul point négatif quant à ces deux histoires. Car, après le régal qu’avaient été les trois premiers tomes d’Off Campus, j’avais vraiment envie de retrouver cette sensation avec ces deux récits. A ce niveau là, je suis malheureusement restée sur ma faim.

Pourtant, ces deux stand alone restent agréables à lire et m’ont fait passer un bon moment. Les histoires sont complètement différentes l’une de l’autre et nous plongent dans deux univers différents. J’ai plutôt bien accroché avec, et je me suis prise au jeu sans soucis. Elle Kennedy arrive avec brio à nous captiver avec ses récits, même s’ils restent parfois un peu trop rapides. Mais elle a quand même pris le temps de développer ses intrigues et de leur construire une véritable ossature et, vu le nombre de pages de chacun de ces tomes, c’est une vraie prouesse.

Pour conclure : si je n’ai pas vraiment été surprise par chacune de ces deux intrigues, j’ai tout de même passé un très bon moment livresque. Je regrette tout de même de ne pas avoir pu retrouver l’humour qui fait le charme de l’écriture d’Elle Kennedy. Mais les histoires restent tout de même agréables, accrocheuses et bien tournées.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/13/my-favorite-mistake-chelsea-m-cameron/

J’avais envie d’une romance légère, sans prise de tête et dans l’univers des campus universitaires. Alors quand je suis tombée sur cette nouveauté de la collection &H, elle s’est bizarrement glissée directement dans mon panier. Oups ?

Je n’avais pas énormément d’attente, et c’est peut-être pour cela que j’ai plutôt passé un bon moment. Il faut dire que My Favorite Mistake ne révolutionne pas vraiment la romance ; c’est du déjà vu, du lu et relu, mais cela ne m’a pas empêchée d’apprécier cette lecture.

Sur le papier, et au niveau de la trame, rien de nouveau donc. Un héros et une héroïne qui ne s’apprécient pas mais qui passent leur temps à flirter entre deux chamailleries… A ce niveau-là, ça reste, mignon, drôle par moment, et addictif au possible : on ne change pas une recette qui marche.

Je reste plus mitigée sur les passifs de nos personnages, et l’avancée de l’histoire. A vrai dire, à un certain moment, j’avais un peu l’impression de tourner en rond. Les révélations de Taylor arrivent trop tard ; résultat, si, au début, j’étais intriguée par son histoire, quand on la découvre enfin, l’effet était passé depuis un moment et j’étais plus blasée qu’autre chose.

Quant à Hunter, là aussi rien de nouveau. Sincèrement, sa perfection m’a parfois un peu soulée tant elle ne paraissait pas réelle du tout – mais alors pas du tout. De plus, j’ai trouvé que l’auteur ne développait pas assez son passé. Mais, surtout, j’ai eu plus de mal encore sur l’évolution de ses sentiments. On passe du « Ne tombe jamais amoureuse de moi » (avertissement dont on ne comprend pas vraiment la présence au fur et à mesure de l’avancée de l’histoire) à un « je t’aime » fort, vibrant de sincérité, mais sans aucune transition entre les deux états. C’est là où ça a un peu coincé pour ma part.

L’histoire reste quand même agréable à lire, et très addictive. Je ne cache pas que je n’ai pas lâché mon bouquin de la matinée, et il m’a été difficile de le mettre de côté pour le repas. Il n’aura donc pas fait long feu, et aura rempli parfaitement son contrat. Pour autant, je n’ai pas réussi à être surprise par les nombreuses révélations. Je suis restée assez extérieure à tout cela, même si je ne cache pas avoir apprécié cette lecture. Bref, un bon moment, pour une romance certes assez convenue, mais qui reste mignonne à souhait, pleine de cœur, de sucre et de guimauve.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/10/zodiaque-tome-2-letoile-vagabonde-romina-russell/

J’avais beaucoup aimé le décor et la mythologie qu’avait instaurés l’auteur dans le premier tome. Pour autant, l’héroïne et le triangle amoureux m’avaient exaspérée, et il m’aura donc fallu un long moment avant d’en lire la suite et de relaisser sa chance à ce tome.

Je savais donc un peu mieux à quoi m’attendre. C’est peut-être pour cela que j’ai été moins déçue que pour le premier tome. Bon, je ne vous le cache pas, j’ai toujours un peu de mal avec Rhoma. Mais elle m’a parue moins agaçante, moins téméraire et plus réfléchie (surtout vers la fin, avouons-le). Il faut dire que, déchue de son titre de Gardienne, cette dernière n’a plus de compte à rendre, plus rien à prouver à qui que ce soit. Ou peut-être bien qu’elle a tout à prouver justement…

Concernant le triangle amoureux, comment dire… Il était là au premier tome donc, sans surprise, il est toujours présent dans le second. Et c’est vraiment le gros, l’énorme, l’incommensurable point noir de cette série. Sincèrement, il n’apporte strictement rien, si ce n’est qu’agacer le lecteur, encore et encore. Et ça en devient véritablement lassant. A vrai dire, j’en arrive à un stade où je me moque royalement de la romance. Elle devient complètement inutile et j’ai eu ce sentiment tout au long du tome qu’elle ne servait qu’à gâcher l’intrigue mise en place par l’auteur.

Car l’intrigue, c’est bien ça qui sauve ce roman. En fait, juste pour tout cet univers fantastique, magique et plein d’une mythologie astrologique qui prend vie, cette série vaut vraiment la peine d’être découverte. C’est un vrai régal d’évoluer dans le monde qu’a imaginé l’auteur. On en découvre plus encore sur les Maisons du Zodiaque, j’en ai eu des étoiles plein les yeux et je me suis littéralement délectée du moindre détail, de la moindre description

L’histoire, quant à elle, évolue d’une façon assez surprenante et inattendue. Ochus est quelque peu laissé de côté puisque l’intrigue de ce tome tourne principalement autour du groupe terroriste Marad. J’étais assez sceptique au départ, puis j’ai vite saisi pourquoi l’auteur avait choisi une telle évolution pour son récit. Au final, ce choix se révèle des plus importants et laisse la perspective d’un troisième tome fascinant qui va voir tous les rouages s’enclencher.

Pour conclure : j’ai une nouvelle fois complètement savouré le monde qu’a mis en place l’auteur, ainsi que la mythologie associée. Je suis à chaque fois ébahie devant l’imagination de Romina Russell ainsi que des petits détails qui apportent une véritable épaisseur à cet univers. L’intrigue, ici, nous offre également une nouvelle vision de la situation dans son ensemble ; Ochus passe au second plan pour mieux revenir, et on sent bien que Rhoma ne sera pas au bout de ses peines dans le troisième tome. Pour autant, je reste incroyablement déçue par la romance qui regroupe tous les aspects que je déteste dans les young adult, en passant par le triangle amoureux complétement inutile et agaçant. Mais je sais déjà que je lirai la suite, juste pour avoir une nouvelle fois des étoiles plein les yeux … !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/07/reckless-tome-2-something-real-lexi-ryan/

J’étais pressée de retrouver Liz et Sam dans la suite de leurs aventures. Il faut dire que le premier tome avait été un véritable page-turner, simple mais efficace. Et avec une telle révélation finale, je ne pouvais avoir qu’une seule envie : lire la suite.

Si le premier tome était principalement axé sur Liz et ses déboires, le second se recentre sur Sam. Et il s’en passe des choses dans sa vie. Des évènements sur lesquels il n’a absolument aucune influence et qu’il ne peut que subir.

A vrai dire, c’est surement le point qui m’a le plus dérangée dans cette suite. J’avais terriblement envie de le secouer, de lui dire d’être un homme, pour une fois, et de prendre enfin des décisions par lui-même plutôt que de se laisser dire par tout le monde ce qu’il devait faire. Pendant les trois quarts du livre, Sam est complètement amorphe, une véritable poupée que de nombreuses personnes bougent au gré de leurs envies. Et cette apathie m’a vraiment énervée.

L’histoire, quant à elle, reste toujours aussi addictive, même si ce second tome est un léger cran en dessous du premier. Liz essaie d’avancer malgré son cœur meurtri, brisé et littéralement écrasé par l’homme qu’elle aime. J’ai eu beaucoup de pitié pour elle, même si, par moment, j’avais l’impression qu’elle retombait dans les mêmes travers que précédemment.

Mais toutes nos questions trouvent leurs réponses avec ce tome. Les situations s’éclaircissent, les rouages se mettent en place, et on arrive mieux à cerner la personne qui tirait les ficelles. De plus, j’ai beaucoup aimé le jeu des répercussions politiques, et c’était intéressant de voir comment les équipes des politiciens pouvaient maquiller et détourner une histoire sordide pour en faire un véritable fer de lance.

Pour conclure : si j’ai trouvé ce second tome un chouia en deçà que le premier, je l’ai tout de même dévoré avec la même frénésie. Certes, Sam m’a insupportée, à se laisser dicter sa conduite et à toujours rejeter les fautes sur les autres. Pour autant, je trouve que Lexi Ryan nous offre un décor assez intéressant avec cette série, et j’ai vraiment pris plaisir à évoluer dans cette ambiance de campagne électorale et de jeu politique. J’espère que l’on aura la chance de lire la suite de cette saga, car je suis dorénavant curieuse de découvrir l’histoire qui peut se cacher derrière le personnage de Nix qui fait une très belle apparition dans ce tome !
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date : 07-01-2017
https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/06/never-never-saison-3-colleen-hoover-tarryn-fisher/

Inutile de vous préciser à quel point j’attendais la sortie de ce troisième tome avec impatience. Il faut dire que Tarryn Fisher et Colleen Hoover ont su m’embarquer dès les premiers chapitres dans leur histoire, et je n’avais qu’une hâte : découvrir comment l’histoire entre Silas et Charlie allait se terminer et, surtout, pourquoi et comment tout cela était survenu.

On m’avait prévenu que l’explication apportée par les deux auteurs était assez décevante. Pour ma part, cela ne m’a pas vraiment dérangée, car je ne voyais pas comment terminer cette histoire tout en en préservant le cadre réel. Résultat : les auteurs ont trouvé une solution quoique très romantique, mais que j’ai aussi trouvée pleine de poésie et de philosophie.

Du coup, les auteurs m’ont complètement séduite avec tout cela. J’ai été touchée par la grande force de caractère de Silas et la façon dont il porte l’histoire ainsi que Charlie à bout de bras. Il est un peu comme le ciment de base de l’intrigue et, sans surprise, j’ai beaucoup aimé le développement de son personnage.

Mais celle qui m’a le plus surprise, c’est sans conteste Charlie elle-même. Dans les deux premiers tomes, j’avais du mal à m’attacher à elle. Je la trouvais assez hautaine, froide et manipulatrice et, plus j’en découvrais par rapport à son passé, moins je l’appréciais. Mais, dans ce troisième tome, on la voit se détacher de toute l’influence qu’elle a pu subir durant son enfance, et prendre tout doucement son envol pour devenir la jeune fille qu’elle a toujours voulu être. C’est sûrement la plus belle surprise de ce tome, et je suis conquise par l’évolution de Charlie par rapport au tout début.

Pour conclure : entre fantastique et philosophie, la conclusion apportée par Colleen Hoover et Tarryn Fisher m’a amplement satisfaite. Je trouve que cela a permis de garder un caractère réel, un cadre plausible sans trop basculer dans le fantastique. Un juste équilibre parfaitement maîtrisé de la part des deux auteurs ; équilibre que l’on retrouve également dans les personnages et leur évolution.

Never Never est une série qui a démarré très fort, et dont la conclusion reste à la hauteur de tout cela sans basculer dans le « n’importe quoi », comme je le craignais. Une très belle surprise pour une jolie collaboration !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/05/calendar-girl-tome-1-janvier-audrey-carlan/

Voilà une série dont j’ai beaucoup entendu parler, bien avant sa sortie. Il faut dire que son principe est assez original. En effet, on va suivre Mia durant douze mois, à raison d’un tome à paraitre mensuellement. Sans surprise, on commence donc cette série avec le tout premier opus : Janvier.

Si j’étais curieuse de découvrir le fil rouge qui va donc nous accompagner une année durant, je ne cache pas que j’étais quand même assez sceptique. A vrai dire, j’ai peur d’être lassée au bout d’un moment, et que j’ai un peu peur que ces douze tomes fassent « trop ». J’ai donc commencé cette lecture aussi curieuse que perplexe.

Dans un premier temps, j’ai quand même eu quelques craintes. Il faut dire que le format de ce roman, très court, empêche l’histoire de se développer. Tout est très rapide, trop rapide même, et j’ai eu énormément de mal à m’attacher à Mia, que l’on ne découvre qu’en surface. Il faut dire que 130 pages pour décrire trois semaines, c’est assez déséquilibré.

J’ai aussi eu un autre problème dès le départ. J’avais l’impression que cela ne posait aucun problème à Mia, ni à sa tante, ni aux autres personnes auxquelles elles parlent, que cette dernière doive être escort pour s’en sortir. Pire, le fait que les relations sexuelles soient du bonus et se retrouvent monnayées sans que cela ne choque personne m’a encore plus dérangée. J’avais l’impression d’avoir un modèle de prostitution de luxe qui paraissait des plus naturel qu’il soit. Et j’ai eu beaucoup de difficultés avec ce point.

Mais, petit à petit, je me suis prise au jeu. A vrai dire, la « romance » entre Wes et Mia est le point qui m’a le plus séduite, mélange entre Cendrillon et Pretty Woman. Et je sais déjà que je lirai les prochains tomes juste pour savoir si Mia reviendra vers Wes malgré tout. Peut être même que je serais charmée par un des onze autres protagonistes, sait-on jamais. Mais, sur le principe, l’auteur à vraiment réussi son coup puisque j’ai terminé ce tome en mourant d’envie d’en découvrir la suite.

Pour conclure : je sais déjà que je n’hésiterais pas une seule seconde à découvrir les prochains tomes. Pourtant, je ne me suis pas vraiment attachée à Mia, chose pas très étonnante vu le format court que présente cette série. Peut être que, sur les douze tomes, je pourrais en découvrir bien plus à son sujet mais, pour l’instant, c’est sans plus. Je suis quand même curieuse de découvrir le fin mot de cette histoire, sur le principe c’est plutôt accrocheur, et c’est pari réussi pour l’auteur avec ce premier tome qui nous donne envie d’en découvrir la suite. Un bon premier tome donc, malgré quelques « détails » qui m’ont dérangée, et je place donc beaucoup d’espoir dans les tomes à venir…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/04/william-clarck-mission-1-leminence-bleue-guillaume-benech/

J’ai plutôt bien accroché avec l’intrigue de base de l’histoire. Pour autant, beaucoup d’incohérences et de maladresses sont à y relever, et cela m’a grandement perturbée durant ma lecture. Résultat, je reste sur un sentiment bien mitigé alors que les éléments étaient réunis pour faire de ce livre une très bonne histoire.

J’ai également eu beaucoup de mal à m’attacher aux personnages. J’ai eu l’impression que l’auteur lui même n’osait pas s’attarder dessus. D’ailleurs, certains ont un rôle que je n’ai pas réussi à cerner (je pense à Zoé surtout qui est presque complètement inutile…). Et je ne parlerai même pas de William, qui m’a énervée à plus d’une reprise… Bref, des personnages insipides et énervants au possible manquant de charisme et qui n’arrivent pas à porter ce roman sur leurs épaules..

Heureusement, l’histoire reste accrocheuse, menée tambour battant, j’ai trouvé qu’elle maintenait un bon rythme tout au long du récit. Je regrette quand même que l’auteur n’ait pas approfondi certains passages, quitte à nous donner plus de détails, car cela aurait évité un certain nombre d’incohérence complètement tirées par les cheveux qui m’ont trop souvent dérangée.

Par contre, j‘ai été agréablement surprise par la fin du livre. Surement le passage le mieux travaillé de l’auteur et qui fait indéniablement son petit effet. Cela redonne un second souffle au récit et annonce une suite aussi rythmée que ce premier tome.

Pour conclure : J’ai eu beaucoup de difficultés à accrocher à cette histoire. Pourtant, les éléments de l’intrigue donnent un certain rythme au récit et la fin relance incontestablement le livre. Mais j’ai été véritablement déçue par les personnages et l’écriture de l’auteur dans laquelle on sent toute sa jeunesse et la faiblesse d’un premier roman. Il aurait fallu étoffer tout cela pour rendre cette histoire moins incohérente et plus réaliste et, surtout, j’aurais aimé que les personnages soient moins égocentriques et plus développés. Malheureusement, même si l’histoire a un vrai potentiel, je pense que je m’arrêterai là pour ma part.
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date : 04-01-2017
https://aliceneverland.wordpress.com/2017/01/03/faux-frere-vrai-secret-olivier-gay/#more-22344

J’ai toujours beaucoup entendu parler d’Olivier Gay. Alors, quand ce livre est sorti, je me suis dit que ce serait le roman idéal pour découvrir sa plume, surtout que le résumé me bottait vraiment. Je n’ai donc pas hésité à me le procurer lors de mon passage sur le stand de Bragelonne au SLPJ de Montreuil 2016.

Pour autant, cette lecture me laisse assez mitigée. Si l’histoire est assez fluide, je trouve que le roman est trop court pour ce qu’il met en place. Le récit n’est pas assez approfondi, et je pense qu’il y aurait eu matière à développer avec le thème que met en place l’auteur.

A vrai dire, je ne m’attendais pas du tout à cette thématique. Il faut dire que la lecture du résumé ne m’avait pas laissé entr’apercevoir la direction que prend l’auteur (ou alors je n’ai pas su saisir le message). Si j’ai été assez surprise dans un premier temps face à cette découverte, je suis complètement restée sur ma faim ensuite.

Car tout est trop simple, trop facile. Dès que j’ai compris où l’auteur voulait en venir, j’avais déjà réussi à prévoir la suite de l’histoire. Rien de trop surprenant donc, une histoire somme toute linéaire et qui n’aura pas réussi à m’embarquer plus que cela. De plus, cela se ressent également sur Léa, l’héroïne, à laquelle je n’ai pas du tout réussi à m’attacher. Elle aussi reste assez convenue et sans surprise, comme si l’auteur n’avait pas voulu prendre la peine de la développer en ne restant concentré que sur l’intrigue de son récit.

Au final, Faux frère, vrai secret aura réussi à me surprendre sur sa thématique. Pour le reste, j’ai trouvé que l’auteur restait dans une relative zone de confort, sans prendre aucun risque. Et c’est dommage, car je pense qu’il y avait vraiment matière à. Pour autant, l’histoire reste fluide et se lit rapidement, et j’ai beaucoup aimé l’écriture de l’auteur pleine de nombreuses références à la culture d’aujourd’hui. Je pense que je retenterai ultérieurement l’expérience avec Olivier Gay car, si l’histoire de Faux frère, vrai secret ne m’a pas plus convaincue que cela, je reste agréablement surprise par son style.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/30/carry-on-rainbow-rowell/

Lors de ma lecture de Fangirl, mes passages préférés étaient sans conteste ceux qui représentaient ce que Cath écrivait dans ses fanfictions. Vous le savez, les fanfictions et moi, c’est une loooongue histoire d’amour qui dure depuis plus d’une quinzaine d’années. J’ai baigné dans le fandom d’Harry Potter depuis la parution du cinquième tome, et je n’en suis toujours pas sortie.

Ce qui m’avait marquée dans Fangirl, c’est que l’auteur avait choisi un univers pour ses fanfictions qui me faisait penser à celui d’Harry Potter. Dans ma tête, j’avais immédiatement attribué Simon Snow, ce jeune magicien élu devant sauver le monde des Mages, et dont la venue fut annoncée dans une prophétie bien avant sa naissance, au personnage d’Harry Potter, et celui de Baz, son ennemi de toujours, sa Némésis descendant d’une grande et ancienne famille de mages très influente, à celui de Draco Malfoy. Et quand on sait que je baigne dans le fandom HPDM, je ne pouvais qu’être séduite par cette combinaison.

Bref, dès le départ, tous les ingrédients sont là pour nous promettre une épopée fantastique dans la pure lignée d’Harry Potter. Et si, dans un premier temps, j’avais du mal à me défaire de cette sensation comme quoi je lisais une fanfiction, j’avoue que je me suis très vite prise au jeu. Car, oui, beaucoup d’éléments nous rappellent le monde de notre sorcier à lunettes. Pour autant, Rainbow Rowell réussit tout doucement à donner sa propre empreinte à cet univers et à s’en détacher tout doucement pour nous livrer un monde fantastique cohérent, riche et assez singulier.

Sincèrement, j’ai très vite accroché. J’ai lu ce livre au moment des fêtes de Noël, et j’ai eu du mal à le reposer pour le réveillon, c’est pour dire ! Car Rainbow Rowell a parfaitement réussi son coup. L’histoire est intense, rythmée, et on arrive sans soucis à se plonger dedans. Les révélations sont surprenantes, son intrigue bien ficelée, et j’avoue avoir été agréablement surprise par certains retournements de situation que je n’avais pas vus venir.

Quant à la romance, c’est tout simplement la cerise sur le gâteau. J’en rêvais, Rainbow Rowell l’a fait, que demander de plus ? Elle correspond tout à fait à ce que j’attendais, j’ai eu le smile aux lèvres pendant toute l’histoire… Bref, je me suis régalée, tout simplement.

Pour conclure : pas besoin d’avoir lu Fangirl pour découvrir cette histoire. Carry On est un délicieux roman qui ravira les amoureux d’Harry Potter. Certes, l’univers de Simon Snow rappelle intensément celui de JK Rowling, mais Rainbow Rowell arrive tout doucement à s’en détacher pour nous servir, avec brio, un univers magique hyper addictif. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas autant régalée dans un livre fantastique ; Carry On est une véritable pépite, un bonbon que j’ai savouré du début à la fin !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/29/les-freres-maddox-tome-2-beautiful-redemption-jamie-mcguire/

Après la fin du premier tome, je n’avais qu’une hâte : me plonger dans le second. Il faut dire que je n’avais absolument pas vu venir la révélation finale, et comme le second tome y était consacré, mon choix s’est vite fait. Bref, sitôt le premier fini, j’ai donc enchainé.

J’ai beaucoup aimé la dimension qu’apporte ce tome à toute l’histoire, depuis Beautiful Disaster. A vrai dire, s’il y a bien un point que j’avais trouvé incohérent dans le tout premier arc, c’est bien la façon dont Abby « sauve » Travis. Comme si les enquêteurs ne pouvaient pas faire le lien, après une telle tragédie, surtout à l’heure actuelle de la technologie.

Beautiful Redemption apporte donc tous les éléments qui me manquaient pour pouvoir apprécier la logique de l’intrigue de Jamie McGuire. Ce tome se pose ainsi en véritable charnière de toute la série de l’auteur, et c’est lui qui permet à tous les éléments de se mettre en place. Du coup, je suis vraiment curieuse de découvrir comment l’auteur va poursuivre tout cela avec les prochains tomes.

Au-delà de cette intrigue, j’ai beaucoup aimé en découvrir plus sur le personnage de Thomas Maddox. Il faut dire que l’on en sait que très peu à son propos, et à juste titre. J’ai également apprécié la façon dont Jamie McGuire aborde la dualité de ses sentiments, avec cohérence et retenue. J’ai beaucoup aimé l’analyse que Thomas en fait d’ailleurs ; il ne tourne pas la page avec rapidité, c’est judicieux, bien amené, bref, j’y ai cru sans soucis.

J’ai eu un peu plus de mal avec Liis. En fait, je n’arrivais pas vraiment à comprendre pourquoi est-ce qu’elle ne lâchait pas prise, pourquoi est-ce qu’elle cherchait toujours la petite bête pour faire capoter sa relation avec Thomas, et ses changements d’avis constants. Un coup c’est oui, deux paragraphes plus loin c’est non… A ce niveau-là, c’est vraiment un détail qui m’a exaspérée, j’avais juste envie qu’elle se laisse aller et qu’elle me laisse profiter de l’histoire.

Par contre, j’ai adoré le cadre dans lequel l’histoire évolue. J’ai adoré les relations du « boulot », j’ai adoré l’ambiance FBI, et je suis heureuse que la plupart de l’histoire se soit passée dans cet univers-là. A vrai dire, ce sont vraiment les passages que j’ai préférés, même si j’ai été un peu perdue par moment dans le « qui cherche à attraper qui, et pourquoi, et grâce à qui/quoi ». J’ai aussi eu du mal à cerner le rôle qu’aura Travis dans tout cela, mais je suis persuadée que l’on en saura plus dans le prochain tome !

Pour conclure : ce tome est sans conteste mon préféré de la série puisque c’est celui qui apporte toute la cohérence aux tomes précédents. J’ai beaucoup aimé le duo que forment Thomas et Liis, que ce soit au travail ou dans la sphère privée. Liis a une bonne répartie, et j’aurais aimée qu’elle soit juste un peu moins têtue. Thomas, par contre, m’a vraiment surprise, et j’ai beaucoup apprécié la façon dont il se dévoile. J’ai hâte de découvrir la suite de la série, et de voir ce que ce tome va avoir comme conséquence sur l’histoire à venir. Dans tous les cas, ce fut une très belle surprise !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/27/les-freres-maddox-tome-1-beautiful-oblivion-jamie-mcguire/

J’ai beaucoup entendu parler de cette série faisant suite directement à l’histoire bien connue de Travis Maddox et d’Abby dans Beautiful Disaster. Pour autant, même si j’avais eu un coup de coeur pour cette romance, je n’avais pas vraiment été conquise par Travis que j’avais en horreur (sérieusement, un gars qui appelle sa copine « poulette »… Non, définitivement pas, cela ne passe pas…). Alors, une série sur les frères Maddox, ça ne me bottait pas vraiment…

Il m’aura donc fallu un certain temps pour passer au-delà de ça, et pour retenter l’expérience. Et puis, sincèrement, rien que le fait que cet arc ne soit pas centrer autour de Travis, je ne cache pas que cela m’a procuré un certain soulagement. Je me suis donc lancée, malgré un certain a priori.

Au final, Beautiful Oblivion s’est révélé être une agréable surprise. Pas un coup de cœur, certes, mais c’est une romance new adult toute mignonne qui se laisse lire sans soucis et qui m’aura fait passer un très bon moment.

Je me suis vite attachée à Trenton Maddox qui est, dieu merci, assez éloigné de son frère malgré quelques similitudes (on est Maddox ou on ne l’est pas après tout). Mais ce dernier possède un véritable charisme qui m’a vite convaincue. Alors oui, il ne révolutionne pas vraiment le bad boy, mais cela reste agréable à lire : exactement ce que je recherchais. Quant à Cami, j’ai également apprécié cette héroïne même si j’avoue qu’elle tergiverse un peu trop à mon goût. En dehors de cela, on s’attache très vite à ce petit bout de bonne femme, et j’ai beaucoup aimé la douceur qui en ressort.

On retrouve également un certain nombre de personnages croisés dans Beautiful Disaster. Mais aussi nos chers Travis et Abby. Et je peux vous dire que l’auteur à réussi l’exploit de me faire apprécier ce duo à travers le regard de Cami, bien plus que lors de ma lecture du premier arc. Peut être parce que du temps avait passé ? Je ne sais pas, mais je ne cache pas que j’ai été touchée par les petites apparitions de Travis. Et j’en suis la première surprise !

Pour autant, l’histoire reste assez prévisible malgré tout. C’est mignon, bien sucré et guimauve comme il faut, tout en laissant la place à des histoires familiales bien plus complexes qu’il n’y paraît au premier abord. Jusqu’à la toute fin, c’est cette prévisibilité qui m’a assez dérangée. J’avais l’impression que l’auteur ne faisait rien pour surprendre son lecteur, et je trouvais la démarche quelque peu facile.

Et puis les trois derniers mots ont surgi. Et là, je peux vous assurer que j’en suis restée bouche bée, tant et si bien que j’ai du relire entièrement ce dernier chapitre pour essayer de trouver les indices de ce que je n’avais pas réussi à déceler. Moi qui reprochais à l’auteur son manque de créativité, je peux vous dire que j’ai vite retourné ma veste. Je n’avais qu’une envie : relire cette histoire à la lumière de cette toute dernière révélation qui a immédiatement changé la donne !

Pour conclure : si Beautiful Oblivion paraît être une histoire comme il en existe tant d’autre, Jamie McGuire réussit à nous retourner le cerveau à la toute fin du livre. Et je n’ai absolument pas vu le coup venir. Car la dernière phrase de ce premier tome change toute la vision que j’avais sur cette histoire, et annonce une suite tout aussi surprenante. Résultat : je suis déjà en train d’enchaîner sur le second tome, curieuse comme pas possible !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/26/le-joyau-tome-3-la-cle-noire-amy-ewing/

J’avais été agréablement surprise par le second tome de la série, qui ouvrait l’intrigue sur une mythologie vraiment originale et qui m’avait plus que séduite. J’étais donc curieuse de découvrir jusqu’où l’auteur allait nous embarquer, et je n’ai pas hésité une seule seconde à me plonger dans la suite des aventures de Violet.

Ce troisième tome est sans conteste celui que j’ai préféré, bien plus dans l’action et les révélations. Petit bémol concernant Ash, toujours aussi transparent et presque inutile. Sincèrement, l’auteur aurait très bien pu se passer de ce personnage que se serait revenu au même. Mais, concernant l’intrigue, je me suis tout simplement régalée.

On en découvre bien plus sur les Protectrices, leurs capacités et leurs pouvoirs. Mais aussi sur Le Joyau. L’heure est à la révolution, et la noblesse se découvre bien moins à l’abri que ce qu’elle pensait. Les cercles extérieurs se soulèvent, et les Protectrices ont foi en leur avenir. Le reste n’est qu’une simple question de temps.

Violet est toujours aussi tête brulée. Elle agit avant de réfléchir et de se rendre compte qu’elle n’a pas forcément fait le bon choix. Pour le reste, même si j’ai apprécié tout le cadre de l’histoire, je regrette que l’auteur résolve le tout assez simplement. A vrai dire, comme on est enfermé dans le Joyau avec Violet, on ne sait pas vraiment ce que fait la révolution dehors, et on le découvre en même temps que notre héroïne. Ce sera surement mon seul bémol, cette façon simplifiée est un peu trop facile dont l’auteur a conclu sa trilogie.

Après, j’ai tout de même passé un agréable moment. La lecture reste très fluide et l’histoire se lit sans aucun souci. Et c’est surement le gros point positif de la trilogie. J’ai beaucoup aimé le contexte dans lequel évolue l’histoire, et même si j’aurais aimé avoir une meilleure visibilité sur les conséquences de cette Révolution. Mais j’ai quand même apprécié la façon dont tout cela se termine.

Pour conclure : Le Joyau est une trilogie qui a vraiment su s’améliorer avec les tomes. Ce dernier opus est sans conteste mon préféré ; le voile se lève tant sur la Royauté que sur les Protectrices. J’ai beaucoup aimé la mythologie que l’auteur a su construire autour de son histoire, et c’est sans conteste ce qui permet à cette série de se démarquer de tant d’autres. Il m’aura juste manqué plus de développement au niveau de la romance, qui reste très artificielle, ainsi qu’au niveau de la fin. Mais, dans l’ensemble, cette série fut une agréable surprise !
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date : 19-12-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/19/une-seconde-chance-dani-atkins/

Cela faisait un certain moment que j’avais repéré ce livre. Il faut dire que j’avais tout simplement craqué sur sa couverture qui attirait à chaque fois mon regard en librairie. J’étais donc bien contente de le recevoir à mon anniversaire, et ai attendu d’être en bonne période hivernale pour me lancer.

Pourtant, je ressors de cette histoire plutôt perturbée. Je ne vous cache pas que j’avais eu ma petite idée au départ sur le pourquoi du comment de cette « seconde chance », et j’étais extrêmement proche de la réalité de l’auteur. Mais ce n’est pas cela qui me laisse mitigée.

A vrai dire, j’ai beaucoup aimé l’histoire. Rachel est très touchante dans son vécu et sa façon de nous le transmettre. Dès le premier chapitre, j’ai été surprise de ressentir autant d’émotions. Et ce fut également le cas durant tout le roman.

L’histoire est d’une fluidité remarquable. Les chapitres se laissent lire sans difficulté, et l’histoire se savoure pleinement. J’ai aimé la façon dont on découvre la seconde vie de Rachel en même temps qu’elle. J’ai aimé cette recherche d’indice, cette recherche de la vérité, mais aussi cette incroyable recherche sur elle-même, sur son bonheur et sur ses espoirs. Car, à trop s’être renfermée sur ses remords, Rachel en avait oublié tous les petits bonheur que comportait sa vie. Et, parfois, un petit grain de riz peut faire toute la différence.

Ici, ce petit grain de riz, c’est Jimmy. Et c’est fou comment la simple présence d’une personne peut changer toute la perception que l’on a de notre vie. Et j’ai extrêmement été touchée par cette philosophie que nous transmet Dani Atkins avec douceur, amour et mélancolie.

Et puis la fin est arrivée. Et je n’ai pas osée y croire. Je ne peux pas vous en dire davantage, mais j’ai été scotchée par la direction que prend l’auteur après toute cette incroyable leçon de vie. Sur le coup, je n’ai pas compris, et je pensais que l’auteur allait changer d’avis jusqu’à la toute fin du récit. Mais, avec du recul, et après quelques jours où j’ai pu y repenser tranquillement, je trouve que c’est cette partie-là qui fait toute la beauté du roman. Un happy end qui n’en ai pas vraiment un, mais qui, pourtant, ne pouvait en être autrement.

Pour conclure : beaucoup de sentiments, d’émotions et de larmes pour cette histoire pleine de tendresse, de nostalgie, de mélancolie et de douceur. Dani Atkins nous livre ici une histoire de toute beauté aussi surprenante que bouleversante. Il m’aura pourtant fallu plusieurs jours pour m’en remettre et pour en comprendre toute la portée et le message que nous dévoile l’auteur. Une très belle histoire qui nous fait passer un bon moment, mais qui m’a aussi beaucoup faite réfléchir. Un roman que je n’oublierai pas de sitôt…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/16/enael-tome-1-lappat-helen-falconer/

Cela fait un moment que je cherche une histoire de fée qui réussirait à me séduire en tout point. J’avais donc très envie de découvrir cette nouvelle série, et je remercie ma petite Sarah pour m’avoir fait cette belle surprise à l’occasion de mon anniversaire.

J’ai plongé dans cette histoire en ayant énormément d’attentes. Peut-être trop en fait, car du coup j’ai mis un moment avant d’accrocher. J’ai surtout eu énormément de mal avec l’héroïne qui réagit de façon complètement incohérente durant une grande partie du roman. Cela ne m’a donc pas vraiment aidé à en apprécier l’histoire.

Autre petit bémol : la romance qui surgit de je-ne-sais-où, comme un cheveu sur la soupe. Je n’y ai pas du tout cru, et cela m’a plus énervée qu’autre chose. A ce niveau-là, je m’attendais quand même à mieux, et non pas à une relation ni à des sentiments complètement préfabriqués.

Le début n’est qu’un enchainement de faits parfois sans queue ni tête et sans aucune liaison entre eux. En fait, des évènements se produisent à la pelle sans que l’on ne comprenne vraiment où l’auteur voulait en venir. De plus, Enael étant vraiment soulante ; elle ne réfléchit jamais à ce qu’elle fait et ne se pose pas du tout les bonnes questions.

Ainsi, le texte possède énormément d’incohérence, notamment dans les réactions des personnages qui ne s’étonnent même pas des évènements surnaturels qui se produisent. Je n’ai pas arrêté de soupirer tant ces réactions paraissent complètement à côté de la plaque.

Au final, j’ai eu envie d’abandonner à plus d’une reprise à cause de toute cette première partie bourrée d’incohérences. Et puis, tout doucement, l’auteur dévoile un fil rouge qui intrigue, accroche et donne envie d’en savoir plus. J’ai donc découvert la suite de cette histoire avec un regard neuf. Il y a clairement eu un avant et un après, tant et si bien que j’aurais presque pu croire que deux personnes distinctes avaient écrit cette histoire. La seconde partie est bien plus fluide et mieux construite, même si Enael reste Enael et qu’elle oublie toujours de se poser les bonnes questions…

Pour conclure : ce premier tome me laisse sur un sentiment mitigé. J’ai eu énormément de mal avec Enael durant la majorité du récit. De plus, la première partie n’est clairement pas à la hauteur de ce à quoi je m’attendais, même si le folklore sur l’univers des fées est clairement présent et reprend un certain nombre de croyances d’antan, pour mon plus grand plaisir. Pour autant, l’auteur dévoile ensuite une intrigue qui a su me captiver. Résultat, une fois ce premier tome fini, je ne cache pas avoir envie d’en découvrir la suite. Reste à voir si je tenterais cette lecture, sachant maintenant à quoi m’attendre…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/15/reckless-tome-0-et-tome-1-something-wild-something-dangerous-lexi-ryan/

J’avais l’idée quelque peu utopique de vous proposer deux avis distincts pour chacun de ces deux tomes. Sauf que je me suis faite royalement avoir par cette série, tant et si bien que j’ai enchainé les deux livres dans la même après-midi.

Il faut dire que je remercie chaudement les éditions Hugo Roman d’avoir publié le préquel en même temps que le premier tome. Car ce dernier explique bien des évènements sur lesquels l’auteur ne s’arrête pas plus que cela ensuite. En fait, cela permet de découvrir plus intimement les personnages et leurs histoires.

Du coup, quand on commence le premier tome, on est immédiatement dans le bain. La lecture est fluide, on comprend sans soucis les retours de l’auteur, et cela apporte une vraie différence. Sincèrement, si je n’avais pas lu le préquel, je ne sais pas si j’aurais eu la même sensation ma lecture terminée.

D’ailleurs, ce tome « 0 » est un sacré piège en lui-même. Car il donne indéniablement envie d’enchainer sur le premier opus. Délicieuse mise en bouche, une fois la dernière page tournée, je n’ai eu qu’une seule envie : lire la suite !

L’histoire en elle-même m’a également séduite. Même si j’avais deviné assez vite le « who’s who« , je me suis rapidement prise au jeu de ces jeux de politiques et de pouvoirs. C’est à la fois nouveau et déjà-vu, tant et si bien que cela ne m’a pas vraiment dérangée, et j’ai été la première surprise de passer un si agréablement moment.

Liz est bien loin de la jeune fille naïve, même si elle a quelque peu perdu espoir en l’avenir. Elle cherche à vivre ce grand Amour, le même que celui de sa sœur et de ses amies. Ce grand Amour qui fait vibrer, sourire béatement et rêver d’enfant. C’est devenu son objectif, quitte à devoir embrasser bien des crapauds et ce même si elle connait déjà la seule personne capable de lui faire ressentir tout cela. Malgré quelques défauts, j’ai beaucoup aimé son personnage.

Samuel m’a moins fait vibrer. A vrai dire, j’avais envie de le secouer un bon coup afin qu’il se réveille et qu’il agisse comme un homme, un vrai ! Car, comme le dit si bien Liz, avec lui c’est souvent que des paroles et assez peu d’action. Je l’ai trouvé assez inconstant, à ne pas trop savoir que faire ; on ne sait pas vraiment ce qu’il veut, et son indécision m’a quelque fois fait ronger mon frein.

Malgré tout, je me suis laissée prendre au piège de ce duo et des inextricables liens qui les relient. C’est avec une véritable impatience que j’attends la sortie du second tome, et le dénouement de tout cet enchevêtrement de nœuds et de quiproquos. Liz et Sam ont su évoluer, c’est à deux qu’ils avancent le mieux, et j’espère vraiment qu’ils continueront sur cette lancée, pour mon plus grand plaisir. Dans tous les cas, ce début de série est plutôt prometteur !
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date : 13-12-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/13/phobos-tome-3-il-est-trop-tard-pour-regretter-victor-dixen/

Phobos était sûrement la fin de série que j’attendais le plus en 2016. C’est donc avec excitation que j’ai découvert ce gros bébé de six cent vingt pages et que je me suis lancée dans cette lecture.

Et je peux vous dire qu’il y a de quoi faire ! Entre jeux politiques, guerres de nerfs et autre, les rebondissements sont multiples et nous laissent constamment sous pression. J’en ai été la première surprise, mais Victor Dixen arrive à instaurer une ambiance haletante et frénétique. Je n’avais qu’une hâte : découvrir le fin mot de toute cette histoire, et pourtant j’en redoutais le moment, incapable de savoir ce que l’auteur nous réservait.

Pour autant, au départ, j’ai eu un certain moment de flottement. En effet, j’avais du mal à me rappeler sur quoi se terminait le second tome, et j’avais peur d’être perdue au début du troisième. Mais, très vite, les choses se remettent en place. Victor Dixen reprend l’histoire exactement là où il l’avait arrêtée. Résultat, on retrouve le feu de l’action, et on se remet dans le bain sans aucun soucis.

Bon, j’ai quand même eu envie de trucider l’auteur à une bonne dizaine de reprises. Il faut dire qu’il joue complètement avec nos nerfs : quand on a l’impression que la situation s’arrange enfin, ce n’est que pour mieux empirer. Les révélations s’enchaînent, mais soulèvent à leur tour de nouvelles questions. Sans compter les mystères qui planent autour de Serena, d’Harmony et des pionniers sur Mars… J’en ai pris plein les mirettes, et je peux vous dire que l’auteur ne nous laisse aucun moment de répit.

Ainsi, Victor Dixen a le chic de nous réserver des retournements de situation complètement imprévus et qui m’ont laissée coite plus d’une fois. Encore une fois, rien n’est acquis avec cet auteur, rien n’est définitif, et il faut arriver aux toutes dernières pages pour enfin réussir à entrapercevoir le fin mot de tout cela. Et pourtant, ce n’est pas gagné pour autant…

Mon seul bémol sera donc sur cette fin qui me laisse tout simplement sur ma faim. J’aurais aimé un épilogue permettant de conclure tout cela étant donné qu’on ne sait absolument pas ce qu’il survient une fois la dernière page tournée. D’un autre côté, cela laisse une porte ouverte pour une suite. Et, étant donné que l’on peut s’attendre à tout de la part de Victor Dixen… **sifflote**

Pour conclure : ce troisième tome est une explosion de rebondissements, d’actions et de révélations. La plupart des questions que l’on se posait depuis le tout début trouvent enfin leurs réponses. Pour autant, Victor Dixen joue avec nos nerfs jusqu’à la dernière page. J’ai été surprise par certains de ses choix, mon petit coeur s’est serré devant d’autres, mais j’éprouve encore plus d’admiration pour cette série aussi originale dans son écriture que dans son récit. Je me suis attachée aux personnages et j’ai vraiment eu cette sensation de regarder à mon tour la chaine Genesis. Je garde espoir qu’il y ait un jour une suite, aussi infime soit-elle, pour pouvoir boucler la boucle. Phobos reste donc une très belle surprise, et ce troisième tome remplit toutes ses promesses !
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