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Commentaires de livres faits par Kesciana

Extraits de livres par Kesciana

Commentaires de livres appréciés par Kesciana

Extraits de livres appréciés par Kesciana

https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/07/le-monde-secret-de-sombreterre-tome-2-les-gardiens-cassandra-odonnell/

S’il y a bien une auteur que je suis assidument aux rayon de la littérature jeunesse, c’est bien Cassandra O’Donnell. Charmée par sa première série, Malenfer, je n’ai pas hésité une seule seconde avant de découvrir Le monde secret de Sombreterre, pour mon plus grand plaisir.

Après un premier tome posant les bases d’un monde fantastique étonnant et bourré de mystères, je me suis donc lancée dans cette suite. Une suite largement à la hauteur de mes espérances et qui nous fait découvrir le fameux monde de Sombreterre…

J’ai donc retrouvé avec plaisir Victor, Alina et Lucas, et j’ai exploré avec eux le pays fantastique qu’ils découvrent. Entre les paysages et les créatures, l’auteur nous en met plein la vue. Mais, plus encore, c’est la destinée de Victor qui interroge. Est-il vraiment l’enfant tant attendu ?

Ce que j’aime le plus avec l’écriture de Cassandra O’Donnell, c’est qu’elle permet aux jeunes lecteurs de découvrir le genre fantastique sans aucune difficulté. Et, une fois encore, ça fonctionne. Même si, du haut de mes quelques XX années, j’aurais aimé en savoir bien plus, je sais que c’est un univers qui pourra se découvrir sans soucis par le lectorat concerné.
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Enfin, une nouvelle fois, les illustrations qui accompagnent le texte sont de toute beauté. Jérémie Fleury possède un coup de crayon que j’adore et que j’aime vraiment retrouver dans cette série. Les images sont fidèles et permettent ainsi de s’immerger complètement dans ce monde fantastique. De quoi faire travailler l’imagination des petits et grands !

Pour conclure : une nouvelle fois, c’est une très belle histoire que nous livre Cassandra O’Donnell. Sombreterre n’a rien à envier à Malenfer, et je suis toujours aussi fan de sa façon d’écrire. Les petits lecteurs en herbe s’immergeront dans le monde fantastique de l’auteur sans aucun soucis. De quoi s’initier parfaitement à ce genre littéraire ! Pour ma part, je suis encore une fois conquise…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/06/marjane-tome-2-le-serment-marie-pavlenko/

Il y a des livres qui, quand on les referme, on ne peut s’empêcher de songer à la suite. Alors quand on sait que le second tome vient de paraître, difficile de se concentrer sur une nouvelle histoire. C’est ce qu’il s’est passé avec Marjane. Sitôt le premier tome fini, je n’avais de cesse de penser à ce qui avait pu arriver à mes ninns préférés. Résultat : je n’ai pas attendu bien longtemps avant d’en lire la suite !

Suite que j’ai dévorée dans une même soirée. Il faut dire que, une nouvelle fois, la plume de Marie Pavlenko est diablement efficace. Elle nous entraine tout au long de son récit sans aucune difficulté. Pourtant, elle révèle un monde tellement riche qu’elle aurait pu en perdre plus d’un. Mais non. Avec douceur et adresse, elle nous embarque avec une facilité déconcertante. Bref, son histoire se dévore, tout simplement.

J’en ai encore plus pris plein les mirettes. Le monde fantastique qui se dévoile sous nos yeux est vraiment phénoménal et possède une cohérence qui m’interpelle à chaque fois. Tout est pensé, chaque peuple possède sa spécificité qui lui permet de se démarquer des autres. Et intégrer le tout à la ville de Paris, à ses lieux connus ou moins connus de cette ville lumière, c’est tout simplement superbe.

L’intrigue, quant à elle, prend un nouveau souffle dans ce second tome. Sans surprise, on découvre bien des secrets que les ninns pensaient avoir cachés jusque-là. Les révélations finales s’enchainent et nous laissent sur des informations que j’avais, certes, devinées pour certaines, mais qui annoncent un troisième tome tout aussi prometteur que ces prédécesseurs.

Mon seul petit bémol sera pour Marjane. J’ai toujours assez de difficultés à m’attacher à elle, et ce fut une nouvelle fois le cas dans ce tome. Certaines de ses paroles et actions m’ont paru assez égoïstes et, pour quelqu’un qui se veut majeur et responsable, j’ai trouvé qu’elle se regardait un peu trop le nombril par moment ; un fait qui m’exaspère chez les héroïnes. Heureusement que les personnages secondaires, parfaitement développés et hauts en couleurs, permettent de relever le niveau de Marjane. Résultat : même si cette dernière m’a quelque peu horripilée, je me suis incroyablement attachée à Mats, Soura, Drake et bien d’autres encore.. (et les corkans *_* )

Pour conclure : c’est rare pour les seconds tomes, mais j’ai encore plus apprécié celui-ci que le premier. Marie Pavlenko continue de nous dévoiler un univers et une mythologie hyper addictifs. Je suis ébahie devant la facilité avec laquelle elle nous entraine dans ce monde, sans aucune difficulté. Et puis, avec une telle fin, j’espère qu’on pourra vite découvrir le prochain tome qui s’annonce tout aussi excellent !
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date : 05-12-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/02/runes-tome-1-ednah-walters/

J’ai tellement vu ce livre circuler sur la toile que j’ai très vite eu l’envie de le découvrir à mon tour. Surtout que je suis très faible devant les couvertures de livres, et je trouve celle de ce tome tout simplement sublime. Je me suis donc lancée sans trop savoir à quoi m’attendre.

Du coup, avec tous ces incroyables échos que j’en avais lus, peut être en attendais-je beaucoup trop ? Il n’empêche que j’ai passé les trois quarts du roman en me demandant comment (et pourquoi) on l’encensait autant.

Il faut dire que, dès le départ, je ne suis pas, mais alors pas du tout partie du bon pied avec Raine. Ce personnage m’a très vite énervée, mais je l’ai aussi trouvée complètement incohérente dans ses réactions, son attitude et ses sentiments. Un personnage cliché en somme, pas tellement développé et qui ressemblait à tant d’autres héroïnes du même genre, mais en moins bien. A vrai dire, vu tout ce qu’il se passe autour d’elle, elle ne se pose absolument aucune question et j’ai juste été atterrée dès le départ devant son comportement incohérent.

Vous l’aurez compris, ce n’est pas vraiment pour Raine que j’ai continué l’histoire. En fait, ce ne sont pas les personnages qui m’ont convaincue ici, mais l’univers que met en place l’auteur. Je suis complètement tombée amoureuse de ce mix entre le monde moderne et le culte des divinités vikings. Une sorte de mélange entre The Mortal Instruments, Lux, Twilight et les sagas de Rick Riordan (Magnus Chase en tête).

Et c’est là que l’auteur tire son épingle du jeu. Car elle a vraiment réussi à m’accrocher avec son monde malgré ce sentiment de déjà-lu. Tant et si bien que j’ai vraiment continué cette histoire pour en découvrir plus sur la mythologie mise en place. Et puis, petit à petit, Raine m’a moins horripilée, même si je trouvais que Torin restait beaucoup trop cliché à mon gout et manquait de charisme.

Pour conclure : j’ai mis un moment avant de réussir à apprécier quelque peu les personnages que l’on découvre ici. Torin reprend TOUS les codes du héros typiques, ténébreux, plein de secrets et de mystères, qui tombe sous le charme de la petite voisine du coin (coucou Lux et Twilight). Quant à Raine, elle m’a exaspérée dès le départ et j’ai encore du mal à l’apprécier quelque peu. Heureusement, l’univers mis en place par l’auteur compense grandement cet aspect négatif. J’ai adoré cette découverte et toute la mythologie que l’on découvre. Et puis, il faut dire que l’auteur a su parfaitement écrire sa sortie. Et, juste pour ça, je sais déjà que je vais m’empresser d’en lire la suite.
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date : 01-12-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/12/01/never-never-saison-2-colleen-hoover-tarryn-fisher/

Après les révélations survenant à la toute fin du premier tome, je n’avais qu’une hâte : me plonger dans la suite ! Alors quand j’ai eu la saison deux entre les mains, je n’ai pas hésité une seule seconde avant de me lancer.

Il faut dire que ces cent cinquante et quelques pages se dévorent très (trop) rapidement. Et c’est le plus frustrant dans cette série, ce format court qui coupe à chaque fois l’histoire alors que des révélations surprenantes nous sont faites. Ce fut une nouvelle fois le cas ici, et je peux vous certifier que j’aurais pu en jeter le livre par la fenêtre tant j’étais en mode Hulk.

Silas est au centre de ce tome. On l’avait laissé tandis que Charlie avait disparu, et on reprend l’histoire exactement au même moment. On en apprend bien plus également sur leurs histoires de familles. Et pourtant, on se demande toujours comment ils ont pu atterrir dans ce cercle infini où leur mémoire s’efface continuellement.

Silas a donc quarante-huit heures pour se découvrir et pour retrouver une Charlie qu’il ne connait absolument pas. A l’aide de diverses informations et éléments laissés par les Silas et Charlie antérieurs, il va apprendre à connaitre la personne qu’il était, qu’il est et qu’il veut devenir.

J’ai vraiment été touchée par toute la construction qui se fait autour de son personnage. C’est passionnant de le suivre à travers toutes ses étapes de reconstruction, mais aussi sa façon d’appréhender une Charlie qu’il ne connait pas, qu’il n’a jamais vue, mais qu’il apprend à connaitre malgré tout.

Never Never est vraiment original et addictif en ce sens : on a l’impression d’avoir la troisième, quatrième, quinzième version d’un Silas qui, pourtant, et le même depuis sa naissance. Une véritable dualité que je trouve merveilleusement bien exploitée par les auteurs.

Sans surprise, j’attends donc avec une impatience non dissimulée le dernier tome. Je me pose toujours autant de questions, et j’ai tellement hâte de découvrir le pourquoi du comment de toute cette histoire ! Car, malgré les indices laissés ici et là par les auteurs, je suis toujours dans le flou le plus complet. Vivement la suite !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/30/une-nouvelle-chance-debbie-macomber/

J’ai eu très vite envie de lire ce livre. En effet, je suis tout d’abord tombée sous le charme de la couverture, puis du résumé. Et, à cette époque de l’année, ayant envie de ces romances de Noël, je me suis donc laissée tenter.

J’ai été très surprise de découvrir que l’histoire est loin de ressembler à tant d’autres. Si la romance est convenue et quelque peu prévisible, l’auteur a inséré dans son histoire de courts interludes avec des personnages inattendus qui donnent tout le charme à ce roman. Ce qui apporte une véritable petite touche humoristique pleine de pétillant à cette histoire.

J’ai aussi très vite accroché à la romance. Il faut dire que la plume de l’auteur est assez addictive, et j’ai été étonnée de me rendre compte à quel point je l’avais rapidement lu. La magie a ainsi très vite fonctionné. Lucie et Aren sont mignons tout plein et apportent l’amour et les sentiments nécessaires au cadre de cette histoire. C’est frais, léger, tout guimauve et tendre à souhait : il ne m’en fallait pas plus pour passer un bon moment.

En définitive, cette histoire correspondait complètement à ce que je m’attendais à découvrir. J’ai quand même beaucoup aimé la touche humoristique et décalée qu’apporte l’auteur avec ses interludes. Mais j’ai surtout aimé l’atmosphère générale qui s’est dégagée de cette histoire. Une douce romance de Noël par excellence, à déguster sans modération !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/28/lux-tome-4-origine-jennifer-l-armentrout/

Ça aura été la croix et la bannière pour avoir mon exemplaire de ce quatrième tome tant attendu. Mais Lux est ma série chouchoute de tous les temps, et j’étais prête à tous les sacrifices pour pouvoir enfin en lire la suite.

Il faut dire que le troisième tome nous laissait sur une fin insoutenable. Je vous rassure de suite : celle de ce quatrième opus l’est tout autant. Jennifer Armentrout maitrise parfaitement les twists finaux, et on est royalement servi ici.

Ce fut un véritable délice de retrouver Daemon et Katy. Leur couple est tout simplement parfait en tout point ; leurs sentiments sont devenus forts, puissants et émotionnellement incroyables. Dans cette histoire où les épreuves sont légions, on ressent bien plus ce lien qui les unis. L’évolution par rapports aux premiers tomes est vraiment flagrante mais surtout très cohérente, et leur relation est belle, merveilleuse, tout simplement.

J’ai complètement vibré à leur côté. J’en voulais plus, toujours plus, et pourtant tout est parfait à ce niveau-là. Daemon et Katy doivent prendre une nouvelle fois des décisions qui auront des conséquences irrémédiables. Mais comment savoir à qui faire confiance alors que les masques tombent les uns après les autres ?

L’intrigue augmente d’un cran. Je ne sais pas ce que l’auteur nous prévoit dans le prochain tome, mais on en apprend bien plus sur les Luxens et les hybrides. Des révélations surviennent et apportent un nouvel angle à l’histoire. Quant aux derniers chapitres, le rythme est à couper le souffle, et je suis complètement restée sur les fesses alors que je tournais la dernière page.

Pour conclure : à chaque nouveau tome, je retombe complètement amoureuse de cette série. Daemon est LE mec parfait, et Katy a vraiment pris conscience de sa valeur et de ses sentiments. J’ai profité de chaque page, chaque mot, m’en rassasiant jusqu’à n’en plus pouvoir. Je suis tout simplement accro, ce tome est le plus parfait des quatre et laisse entrevoir une suite toute aussi phénoménale. Un délice, un pur moment de bonheur, une série que j’adore encore et encore !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/25/up-in-the-air-tome-3-grounded-r-k-lilley/

J’avais bien aimé le premier tome, mais le second m’avait complètement laissée sur ma faim. Je me suis donc plongée dans ce dernier sans trop savoir à quoi m’attendre.

Même si je n’y ai pas retrouvé tous les éléments qui m’avaient tant plu dans le premier opus, j’ai tout de même passé un bon moment. Certes, j’ai trouvé qu’une fois encore l’histoire possédait quelques longueurs. Mais, dans l’ensemble, je ressors plutôt convaincue de cette lecture.

Il faut dire que, malgré les scènes explicites ultra nombreuses et très variées dans le genre BDSM, j’ai été séduite par toute la douceur que l’on ressent entre James et Bianca. Plus encore, j’ai aussi aimé la place que possédait Stephan qui s’impose comme le véritable troisième héros de cette trilogie. Il a même trois à quelques chapitres de son point de vue et ce pour mon plus grand plaisir !

James a su rester cet homme plein de tendresse et débordant d’amour pour Bianca que l’on avait découvert dans le second tome. Une dualité assez étonnante quand on sait les gouts sexuels que ce dernier possède. Et pourtant, il s’impose comme un véritable prince charmant, prêt à tout pour le bonheur de sa belle. Et, à ce niveau là, je l’ai trouvé bien plus attachant que tous les Gideon Cross et autres Christian Grey du genre.

Bianca, quant à elle, arrête enfin de fuir ses sentiments. Elle s’affirme également dans ce tome, et ne se laisse plus marcher sur les pieds. Moi qui la trouvais plutôt passive jusque là, j’ai aimé la voir prendre confiance en elle et arrêter de subir les évènements plus qu’autre chose. Même si, encore une fois, elle prend trop souvent de mauvaises décisions, parfois incompréhensibles, mais bon…

Enfin, ce dernier tome, c’est celui de la vie à deux. C’est le tome des concessions, un tome dans lequel on entr’aperçoit la vie que vont vivre James et Bianca. De ce fait, je reste encore une fois un peu sur ma faim, puisque j’aurais aimé que les éléments nouveaux prennent plus de place, que l’action survienne avant la fin, mais aussi que l’histoire soit un peu plus qu’un long fleuve tranquille, un recueil de passage d’une vie de couple entrecoupé de scènes très osées. C’est donc de là que viendra mon principal bémol sur cette série, puisque le premier tome possédait un rythme que je n’ai pas réussi à retrouver dans les deux suivants.

Pour conclure : malgré ce manque d’action, je ne cache pas que j’ai passé un très bon moment de lecture. J’ai vraiment eu l’impression de pénétrer dans l’intimité de James et de Bianca, de voir leur vie de couple et d’assister à leurs moments plein de tendresse et de douceur. Ce troisième tome apparait plus comme un long épilogue dans lequel on voit le futur qui attend nos deux héros. Pour autant, j’aurais aimé que l’auteur équilibre un peu plus son roman puisque, à l’instar du second tome, il ne se passe finalement pas grand chose durant toute une longue partie. Up in the air reste quand même une excellente série pour les amatrices d’érotisme, et la plume de RK Lilley saura vous ravir sans nul doute !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/24/d-i-m-i-l-y-tome-3-did-i-mention-i-miss-you-estelle-maskame/

J’étais curieuse de découvrir le dénouement de l’histoire entre Tyler et Eden. Il faut dire que je me suis petit à petit attachée à ce couple malgré mon scepticisme du départ. Et, sans surprise, je me suis donc jetée sur ce dernier tome peu de temps après sa sortie.

Estelle Maskame possède ce genre de plume addictive qui attrape le lecteur sans aucune difficulté. Pourtant, le premier tome m’avait laissée assez mitigée. Mais j’ai toujours gardé cette envie d’en découvrir la suite, et j’ai bien fait, puisque j’ai trouvé que la saga s’améliorait au fur et à mesure.

Ce troisième et dernier tome, c’est celui des réponses. Il apporte la résolution à bien des problèmes, et nous permet de tourner la dernière page avec un doux sourire aux lèvres ; une sorte de long épilogue plein de douceur et de tendresse.

Eden a bien grandit depuis le premier tome. Alors que je ne l’avais pas supportée au départ, j’ai été surprise de m’apercevoir que je m’étais bien attachée à elle. Elle a su grandir, murir et changer de la meilleure des façons qu’il soit. Elle se pose dorénavant les bonnes questions, et ne cherche plus la confrontation à tout va. Elle veut juste comprendre afin de pouvoir tourner la page et mieux avancer dans son futur.

Tyler m’avait déjà conquise dans le second tome, et ce fut une nouvelle fois le cas ici. Il faut dire que ce bad boy a bien changé depuis le premier opus, et s’est transformé en un véritable prince charmant. Aujourd’hui, il fait tout pour que sa vie ait un sens et que ses erreurs ne l’empêchent pas de se construire l’avenir heureux qu’il souhaite. Une nouvelle fois, j’ai donc été agréablement surprise par toute sa maturité et son changement.

Pour conclure : la trilogie Dimily est une série qui s’est grandement améliorée avec les tomes. Si, au départ, le premier tome m’avait fait froncer les sourcils, j’avoue avoir été surprise de découvrir des tomes suivants bien plus matures. Eden et Tyler ont su grandir, évoluer, et tirer des leçons de leurs erreurs. De plus, l’écriture plus qu’addictive d’Estelle Maskame rend cette lecture très agréable et des plus fluides. En somme, une série qui s’est révélée tout en douceur et que je ne m’attendais pas à apprécier autant. Une très jolie surprise, une très belle conclusion, une admirable série !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/23/divergente-tome-4-divergente-raconte-par-quatre-veronica-roth/

J’avais déjà eu la chance de pouvoir découvrir la première version de ce recueil centré sur Quatre, que j’avais plutôt bien aimé. Sachant que, à l’origine, Veronica Roth avait imaginé la saga du point de vue de Quatre, je trouvais intéressant d’en découvrir un peu plus à propos de ce personnage si mystérieux.

Cette nouvelle édition reprend donc les quatre nouvelles déjà disponibles dans la première version :

Le Transfert nous permet de découvrir les motivations, les raisons qui ont poussé Tobias à vouloir s’affranchir du joug de son père, mais aussi comment Tobias est devenu le Quatre que l’on connait.
Dans Le Novice, on suit Quatre lors de son initiation ; on le voit évoluer petit à petit sans perdre pour autant les valeurs qui le définissent.
A travers Le Fils, un grand pan de son passé se dévoile, mais surtout on découvre comment il a commencé à avoir des soupçons au sein de sa faction.
Soupçons qui se renforcent dans la nouvelle Le Traitre, où Quatre subit le dilemme de choisir qui trahir : sa nouvelle faction, ou sa faction d’origine.

Mais, cette fois, on a la chance de pouvoir bénéficier de la très belle couverture VO, mais aussi de bonus exclusifs supplémentaires. Interview de l’auteur, scènes inédites, playlist, tatouages éphémères ou encore un extrait du premier manuscrit de Divergente…

Ainsi, cette nouvelle version aura tout pour ravir les plus grands fans de la série qui veulent toujours en découvrir un peu plus sur l’univers de Veronica Roth. Le livre est vraiment superbe, et apporte plus de contenu que la première édition ; il en devient ainsi bien plus légitime. Dommage qu’il ait quand même fallu attendre plus d’un an et demi pour cette réédition qui aurait valu le coup dès le départ..
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/22/the-team-tome-1-competition-lynda-aicher/

J’ai tout de suite accroché. Autant envers les personnages qu’envers l’histoire. Car l’auteur nous plonge immédiatement dans le bain. Entre patinoire, rivalité, duo épique et répliques toutes aussi épiques, tous les éléments sont ici réunis pour nous faire passer un délicieux moment.

Samantha m’a très vite intriguée. J’ai été touchée par la dualité que son personnage nous offre, fort et faible à la fois. Comme si sa condition de fille cherchait à s’exprimer alors qu’elle avait grandit comme un garçon. Elle se veut indépendante et aime montrer qu’elle ne doit rien à personne et qu’elle peut s’en sortir seule, et, de ce fait, s’empêche bien trop souvent de ressentir quoique ce soit. Et pourtant… Petit à petit, au contact de Dylan, elle se révèle mais, effrayée par tout cela, elle se retranche constamment. Et ce sera un véritable défi pour Dylan de réussir à lui faire prendre conscience de ses sentiments…

D’ailleurs, Dylan m’a tout autant surprise que Samantha. A vrai dire, j’ai été étonnée de découvrir un personnage à l’opposé de l’image de playboy qu’il renvoie, très sensible et possédant une tendresse insoupçonnée. Entre son passé et les influences qu’il a pu subir de son manager, on découvre tout au long de cette histoire un homme bien loin de ce que l’on aurait pu imaginer.

Samantha et Dylan forment ainsi un duo dans lequel l’alchimie se fait très vite ressentir, même s’il leur faudra un peu de temps pour s’en rendre compte d’eux même. J’ai adoré l’intensité de leur relation et la façon dont l’auteur les fait se jouer l’un de l’autre. Tous deux pensent maitriser la situation, chacun de leur côté, et c’est un véritable régal de se rendre compte à quel point ils sont vraiment optimistes à ce niveau là. Car le lecteur ressent l’attraction de ces deux là parfaitement, c’est un côté qui m’a vraiment charmée tout au long de ma lecture.

Et n’oublions pas l’univers sportif qui fut un délice pour la passionnée de ce sport que je suis. On entre vraiment dans les jeux, les stratégies et les tactiques, autant sur le terrain qu’en coulisse. On se rend compte de l’effort que nécessite ce sport, et l’auteur réussi parfaitement à nous faire pénétrer dans cet univers.

Pour conclure : immédiatement, après le premier chapitre, je savais que j’allais adorer cette histoire. Et cela n’a pas raté. Je me suis régalée du début à la fin, j’ai adoré le couple formé par Sam et Rylie, mais aussi le décor qu’a su parfaitement retranscrire l’auteur. L’ambiance est délicieuse, entre humour et sensualité, et cache une profondeur que le résumé ne laissait pas soupçonner. Je n’ai qu’une hâte : découvrir les prochains joueurs de la série. Rendez-vous est donc pris pour le 4 janvier 2017 !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/21/le-feu-secret-tome-2-la-cite-secrete-cj-daugherty-carina-rozenfeld/

[...] si je me rappelais de la fin du premier tome, impossible pour moi de me souvenir des grandes lignes du récit. Et comme le tome ne dispose que de très peu de rappels, je me suis donc mise à fureter sur le net à la recherche d’un résumé complet de l’histoire.

L’histoire de Sasha et Taylor nous cache encore bien des secrets. Entre alchimistes et autres malédictions, c’est un véritable jeu de recherches afin de sauver Sacha, à qui il ne reste plus qu’une semaine avant ses dix-huit ans. Une course contre la montre donc, où le temps est précieux, et où la tension est omniprésente.

De rebondissements en révélations, Carina Rozenfeld et CJ Daugherty nous font voyager tout au long de ce tome. A la recherche de la vérité, Taylor et Sasha vont devoir se battre à la fois contre une malédiction vieille de treize générations, mais aussi contre les redoutables pouvoir d’un alchimiste traitre à leur organisation. Ils ne vont pas hésiter à tout remettre en question, au-delà des incertitudes même qui les rongent. Car il ne leur reste plus que quelques jours pour briser ce que tant d’autres ont déjà essayé des années auparavant…

Pour conclure : il m’aura fallu certes un bon moment pour me remettre dans le bain, mais je me suis vraiment régalée par la suite. L’écriture à quatre mains de ce duo apporte un véritable souffle plein d’émotion, d’action et de suspens. Jusqu’au dernier moment, on ne sait pas quel va être le fin mot de toute cette histoire. Taylor et Sasha forme un duo étonnant, que tout sépare, mais pourtant plus unis que jamais malgré les peurs et les incertitudes. Une très belle fin pleine d’aventure et qui renforce le mystère rencontré tout au long de ce diptyque !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/19/la-douce-caresse-dun-vent-dhiver-sarah-morgan/

C’est avec plaisir que je me suis plongée dans ce troisième tome des frères O’Neil. Je m’étais régalée des deux premiers, des lectures hivernales par excellence, et j’étais donc impatiente d’en découvrir ce dernier tome centré sur Tyler et Brenna.

On avait pu entr’apercevoir ce duo tout au long des deux premiers tomes, et j’étais vraiment curieuse d’en savoir plus. Il faut dire que Tyler cache bien des blessures, entre celles, physiques, l’ayant forcé à arrêter la compétition de ski alors qu’il en était au sommet, et celles, intérieures, dues à son incertitude d’être un bon père pour Jess. C’est un personnage avec une réelle épaisseur, bien loin de l’image du playboy à laquelle nous avions eu droit en premier lieu. Fort, touchant, et empreint de valeurs, Tyler se révèle au fil des pages, et je suis complètement tombée sous le charme du troisième frères O’Neil.

Brenna, de son côté, n’est pas en reste. Bien loin de l’image des héroïnes habituelles, c’est un garçon manqué bien peu sûre d’elle que l’on découvre. La super bonne copine, l’amie fidèle sur qui l’on pourra toujours compter, mais qui cache un passif ayant laissé des marques douloureuses sur la personne qu’elle est devenue et son manque d’assurance flagrant.

Tous deux forment un duo vraiment remarquable. Leur complicité et le naturel avec lesquels ils évoluent collent parfaitement à l’ambiance du roman. D’ailleurs, le titre ne pouvait pas être plus adapté au roman qu’il ne le fait. Car c’est un véritable cocon de douceur, une histoire aussi moelleuse qu’un marshmallow que l’on savoure tranquillement sous un plaid au coin du feu. Et j’adore quand on ressent parfaitement ce genre d’ambiance tout en lisant un roman. Et c’est vraiment ce sentiment que j’ai eu tout au long de l’histoire.

Pour conclure : ce fut un véritable délice de découvrir l’histoire de Tyler et Brenna. Sarah Morgan possède ce genre de plume qui nous enferme dans un cocon plein de douceur et de chaleur. On est bien, on se sent bien, et on profite pleinement de l’ambiance qu’elle a su intégrer à son histoire. Une série idéale pour les longs hivers, un troisième tome tout aussi réussi que les deux premiers qui termine en apothéose cette série. Je quitte Snow Crystal avec un petit pincement, mais avec le cœur rempli de doux sentiments…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/18/outliers-tome-1-les-anomalies-kimberly-mccreight/

Je ne cache pas que j’ai choisi de lire ce livre sans trop rien en savoir. Je me suis simplement laissée convaincre par sa couverture. De plus, je ne connaissais pas l’auteur et je ne savais pas vraiment de quoi ça allait parler, donc je me suis plongée dans cette lecture en aveugle.

Dans l’ensemble, j’ai été agréablement surprise par ce livre, même si je suis passée par plusieurs états avant de finir sur cette note positive. Car, durant les trois quarts du livre, j’avais l’impression d’être dans un énorme WTF. D’un autre côté, le rythme du livre est assez intense et très addictif. J’avais envie de lire la suite malgré l’état dans lequel j’étais.

Il faut dire que, déjà en temps normal, je ne suis pas très fan du thriller. Mais bon, je pensais que, mêlé au genre young adult, ça passerait sans soucis. Sauf que, à vrai dire, cet aspect thriller m’a paru complètement tiré par les cheveux. Les rebondissements surviennent sans que les protagonistes ne se posent les bonnes questions, et j’étais quelque peu atterrée par ce que je découvrais. Franchement, on sentait le quelque chose de pas net à des kilomètres, mais on aurait cru que notre duo était complètement aveugle.

Il faut dire que, déjà, je ne partais pas vraiment du bon pied avec Wylie, l’héroïne pas très crédible, trop passive et complètement effacée. Souffrant d’une agoraphobie qui la rend complètement malade au dehors, bizarrement, elle réussit sans problème à sortir de chez elle pour sauver sa « meilleure amie » -avec laquelle elle ne parle plus depuis des semaines. Bon. Ok. Pourquoi pas. Mais c’était tellement facile que je n’ai pas compris pourquoi l’auteur lui a donné une telle phobie si c’était pour ne rien en faire. Breeeeef.

La suite est un enchainement d’un peu tout et n’importe quoi, accompagné de twists complètement Plot ? What Plot ?. Sincèrement, j’ai eu envie d’abandonner ma lecture à de nombreuses reprises tant je levais les yeux au ciel : la crédulité de Wylie me rendait tout simplement incrédule. Sans parler des Anomalies, que l’auteur intègre comme cela, d’un coup, dans son récit, sans qu’on ne sache vraiment d’où ça sorte.

Et puis, d’un coup, on entre dans le dernier quart. Et j’ai complètement revu ma copie sur ce roman. Car cette fin rationalise tout cela ; une fois que les révélations surviennent, que les masques tombent, on se dit que tout se tient. Et on reste curieux de découvrir ce que tout cela sous entend. Jusqu’à finir sur une fin très théâtrale, un cliffhanger parfaitement maitrisé qui donne indéniablement envie d’en découvrir la suite.

Pour conclure : ce livre, ça a un peu été une histoire de « ‘je t’aime, moi non plus ». Il m’aura vraiment fallu les dernières pages pour en apprécier toute l’intrigue, et heureusement que je n’avais pas abandonné cette lecture comme j’en ai eu l’envie à plusieurs reprises. Je ne suis toujours pas convaincue par Wylie, qui n’apporte pas grand-chose au roman et que j’ai juste envie de secouer et de réveiller un bon coup. Pour le reste, heureusement que la plume addictive donne envie de découvrir la suite du roman car, jusqu’aux révélations finales, j’avais cette impression d’être dans un gros n’importe quoi. Dommage qu’il faille attendre la toute dernière partie du roman pour commencer à l’apprécier…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/11/nil-tome-2-les-secrets-de-nil-lynne-matson/

Après mon très inattendu coup de cœur pour le premier tome de cette série, c’est sans surprise que j’ai très rapidement enchainé sur le second. Car, bien après avoir refermé Nil, je ne cessais de repenser à cette île… Bref, il me FALLAIT tout simplement y retourner.

Avec l’arrivée de Skye, le livre prend tout de suite un nouvel aspect. Car Skye n’est pas n’importe qui. Skye a choisi volontairement d’aller sur Nil, île où son oncle s’est retrouvé projeté bien des années auparavant. C’est donc en toute connaissance de cause qu’elle y atterri à son tour.

Et cela apporte une nouvelle dimension qu’exploite immédiatement l’auteur. Nil perd ainsi de son mystère, de cette aura surnaturelle qui l’entourait. Elle devient quelque chose de concret, de plausible. D’anormal, certes, mais de concret.

Avec Skye, ce sont aussi de nouveaux personnages qui apparaissent également et qui permettent petit à petit de lever le voile sur Nil. Je ne vous en dirai pas plus à ce niveau là, mais ce second tome est celui des révélations. On comprend l’île, on commence à saisir tout le « comment » sans que le « pourquoi » ne se dévoile. Et c’est un véritable travail d’équilibriste qu’effectue l’auteur. Pourquoi Nil existe ? On ne le saura peut être jamais. Mais comment tout cela a commencé ? C’est là que les révélations surviennent…

Si le premier tome mettait vraiment l’accent sur la relation entre Charley et Thad, ici c’est la survie qui est au centre de l’histoire. Car, si Skye est une nouvelle venue pas comme les autres, elle sait aussi des choses que les habitants de l’île ignorent. Et c’est ce qui va lui donner la hargne, la rage de se battre pour sauver le plus de monde possible.

J’ai vraiment beaucoup aimé Skye, sa fougue, son courage et sa volonté à toute épreuve. Mais c’est Rives qui m’a le plus surpris. Je gardais déjà une très bonne image de lui grâce au premier tome, mais le second permet de le découvrir complètement. Et si Thad était un chef de clan, Rives est, quant à lui, d’un altruisme à tout épreuve. Sa bonté et son grand cœur ressortent vraiment dans cet opus, et j’ai été touchée à plus d’une reprise par son personnage.

D’autres personnages vont et viennent, et laissent plus ou moins leur empreinte, au grès des fluctuences sur Nil. Car l’île est loin d’être de tout repos, l’auteur nous l’avait déjà prouvé dans le premier tome. Et, sans surprise, le cadre n’est pas devenu plus idyllique depuis le départ de Charley et Thad, bien au contraire. Rien n’est certain, il est impossible de prévoir quoique ce soit et, à ce niveau-là, Lynne Matson se joue complètement du lecteur. Jusqu’à la toute fin, elle nous rappelle que l’île reste d’une cruauté sans nom, et je ne vous cache pas que j’ai véritablement eu le cœur brisé à ce moment-là tant je ne m’y attendais pas..

Pour conclure : ce second tome est moins dans l’action, mais plus dans la compréhension. Nil se dévoile enfin, on comprend l’essence même de cette île et on en vient à espérer qu’une fin heureuse soit possible. Et c’est véritablement le personnage de Skye qui permet tout cela. Je suis une nouvelle fois subjuguée par l’atmosphère qu’a su instaurer Lynne Matson ; l’ambiance est géniale, accrocheuse et addictive. Même si j’ai été un chouïa moins transportée par Rives et Skye, je ne cache pas que j’ai encore plus hâte de lire le troisième tome. Vivement la suite !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/10/off-campus-tome-3-the-score-elle-kennedy/

Dire que j’attendais ce troisième tome avec impatience n’est qu’un doux euphémisme. En effet, rien qu’avec le premier tome de cette série, Elle Kennedy s’est hissée dans mon top d’auteurs new romance préférés. Je suis tout simplement sous le charme de son humour, de son écriture, et de l’esprit « feel good & cocooning » qu’elle a su apporter à cette série.

Sans surprise donc, je me suis empressée de dévorer ce livre le jour même où je l’ai reçu. Et, moi qui pensais Garrett indétrônable, je suis tombée sous le charme de Dean. Car si Garrett est un dieu, Logan un demi-dieu, Dean est tout bonnement un super-dieu.

Pourtant, ce n’était pas du tout le personnage que je préférais dans les deux premiers tomes, au contraire. Mais Elle Kennedy a su opérer un retournement de situation fantastique, tant et si bien que, sans m’en rendre compte, je suis devenue une des plus grandes supportrices de Dean !

Bref, que vous dire de plus sur ce tome.. Franchement, je n’en sais trop rien. J’aurais l’impression de copier/coller ma chronique du premier tome. Comment vous faire comprendre que cette série est une des meilleures new romances que j’ai pu lire ces dernières années ? Les mots me paraissent bien fades pour vous expliquer tout cela.

Il FAUT lire Off-Campus. Juste parce que vous êtes surs de vous marrer au moins dix fois durant votre lecture. Bon sang, cela faisait longtemps que je ne m’étais pas esclaffée comme cela ! L’Homme a même été étonné de voir qu’un simple livre en était la cause. Mais l’humour d’Elle Kennedy est pétillant et parfait. En tout point. Et elle apporte une douceur, une profondeur à ses personnages qui fait qu’il est impossible de ne pas s’attacher à eux.

Enfin… Je trouve cette chronique loin d’être à la hauteur pour vous faire comprendre mon fantasmagorique coup de cœur pour ce tome. Cette série est juste parfaite. Je ne sais plus quoi vous en dire de plus. Vous aimez la new romance ? Lisez-le, tout simplement. Vous êtes sûrs de passer, au minimum, un bon moment. Et si vous avez aimé Garrett et Logan, préparez-vous à adorer Dean Di Laurentis…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/08/the-irregular-at-magic-high-school-tome-1-enrolement-tsutomu-sato/

’ai une « légère » tendance à me précipiter sur chaque nouveauté de chez Ofelbe. Il faut dire que les light novel mélange deux styles que j’adore : le young adult et l’univers manga, et je suis à chaque fois curieuse de découvrir les nouvelles licences qui sortent en France. The irregular at Magic High School n’a donc pas dérogé à la règle.

Je ne connaissais pas du tout ce titre, ni son univers. Mais, à la lecture du résumé, je savais que j’allais aimer : un monde futuriste, de la magie, du mystère.. tous les éléments étaient réunis pour m’assurer que j’allais passer une très, très bon moment.

Il m’a quand même fallu un petit moment pour réussir à m’immerger dans l’univers. Il faut dire que cette licence possède un vocabulaire spécifique qui lui est propre. Difficile donc d’appréhender toutes ces nouveautés sans difficulté. Mais, heureusement, je me suis vite rendue compte qu’un glossaire était disponible en fin d’ouvrage et qu’il expliquait plus facilement les termes employés. Une fois cette découverte effectuée, je me suis replongée dans l’intrigue et j’ai pu en profiter pleinement.

Le début est un peu long à se mettre en place étant donné que l’auteur se doit de nous expliquer l’essentiel de son univers avant de développer son histoire. La première partie est donc assez calme et on apprend à découvrir l’école de magie, les Graines et les Fleurs, ainsi que la façon de fonctionner de cette époque.

Puis, petit à petit, l’auteur bascule vers l’élément clé de son intrigue, et on entre tout d’un coup dans un univers bien plus vaste et plus complexe que ce que l’on avait tout d’abord imaginé. Discriminations, terrorisme, sans oublier tout le mystère qui entoure Tatsuya et ses capacités… Je me suis vite prise au jeu et je me suis laissée entrainée sans aucune difficulté dans ce monde fantastique fait de mille et un secrets.

Pour conclure : malgré une prise en main un peu délicate due à la nouveauté de cet univers , je me suis vite retrouvée complètement immergée dans ce monde plein de magie. Une magie vraiment atypique puisque scientifique, et c’est un aspect qui m’a énormément séduite. J’ai également mis un peu de temps pour m’attacher aux personnages, assez nombreux dans un premier temps, mais qui deviennent très vite les membres d’une bande que l’on prend plaisir à suivre. Un titre original, dans la pure lignée des light novel, qui donne un second souffle à la collection. Je suis complètement intriguée, et j’ai vraiment d’en découvrir bien plus encore !

Petit bonus : une carte cadeau est glissée dans chaque exemplaire. Cette dernière donne droit au visionnage gratuit des trois premiers épisodes de l’anime sur Wakanim. Pour ma part, une fois le livre terminé, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller en zieuter les épisodes, que j’ai trouvés en totale adéquation avec l’histoire. Je pense même qu’ils facilitent la compréhension de ce nouvel univers, les éléments clés y étant expliqués de façon concrète : il est donc plus facile de se représenter l’univers et ses spécificités de cette façon. Dans tous les cas, je trouve très ingénieux de lier le light novel et son anime. Une très belle surprise pour poursuivre la découverte du monde de The Irregular at Magic High School !
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date : 09-11-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/07/nil-tome-1-lynne-matson/

Ce livre, quand il est sorti en début d’année, ne m’intéressait pas du tout. Il faut dire que je n’ai jamais été très fan de Lost, et le résumé de Nil ne me faisait penser qu’à cette série. Pour autant, la sortie du second tome et l’engouement suscité tout autour m’a donné envie de déterrer le premier de ma PAL. Bref, en bon mouton que je suis, j’ai donc eu envie de me faire ma propre idée à son propos.

Pour être franche, et à ma plus grand surprise, j’ai adoré cette lecture. Cela a même été un petit coup de cœur. J’ai été étonnée par l’environnement créé tout autour de Nil, par les mystères qui entourent cette île, mais aussi par l’ambiance instaurée par l’auteur. Car, même s’il ne se passe pas énormément de choses dans ce premier tome, Lynne Matson a réussi l’exploit de ne pas perdre son lecteur par ce manque d’action.

Au contraire, si la romance entre nos deux protagonistes principaux reste le fil conducteur de l’intrigue, l’auteur insère quelques rappels ci et là de la cruauté de l’île. Elle arrive à personnifier cette dernière, tant et si bien que j’en venais à penser à Nil comme à un véritable personnage.

De plus, jusqu’au dernier moment, l’auteur fait preuve d’une imprévisibilité qui m’a assez déstabilisée. J’en venais à redouter la fin, ne trouvant pas de porte de sortie, et j’avais presque peur de découvrir ce que Lynne Matson nous réservait comme final. Car tout est possible sur cette île et, dans ce premier tome, l’auteur nous le démontre à bien plus d’une reprise.

Enfin, j’ai été complètement sous le charme des personnages. Autant Charley et Thad que toute la bande de l’île. J’ai vraiment été étonnée de voir les liens forts entre cette « communauté » mais, surtout, j’ai vraiment adoré la relation entre Charley et Thad, que j’ai trouvée belle, pure et pleine d’espoir. Comme quoi, dans cet univers sombre et sans avenir, parfois le meilleur peut surgir…

Pour conclure : j’avais peur, au départ, d’un remake à la Lost, et j’avoue qu’il m’aura fallu un petit moment pour me défaire de cette appréhension. Au final, Nil s’est révélé être une belle surprise. J’ai été conquise par l’ambiance et les décors créés par Lynne Matson qui nous plonge immédiatement dans le monde de Nil. Pour autant, plein de questions restent sans réponse, et j’ai vraiment hâte de retourner sur cette île mystérieuse dans le second tome… !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/05/harry-potter-et-lenfant-maudit-john-tiffany-jack-thorne/

J’ai beaucoup hésité avant d’écrire cette chronique. Tout simplement parce que je ne savais pas vraiment si j’avais envie ou non de parler de cette lecture. Vous l’aurez donc compris, ce ne fut pas vraiment une expérience mémorable.

Déjà, je n’étais pas vraiment emballée à la sortie du livre. Il faut dire qu’en temps normal, je déteste le format pièce de théatre. Et Harry Potter et l’enfant maudit n’est rien d’autre qu’un script. Un format certes original, mais qui ne rend pas du tout justice à l’histoire.

Car tout est trop survolé. C’est comme lire un livre en en ayant que les dialogues. Tout le decorum et le cadre disparaissent, ce qui fait que j’ai eu, à de nombreuses reprises, l’impression de lire quelque chose de pas abouti, de pas assez développé. Bref, quelque chose qui ne méritait certainement pas le titre de « huitième histoire ».

Il faut savoir que ce n’est pas JK Rowling qui a écrit ce scénario. Certes, elle a supervisé l’histoire et son écriture, mais cela s’arrête là. Et, je ne sais pas pour vous, mais, pour ma part, je l’ai vite ressenti. Je vais peut-être être trop cinglante, mais j’avais l’impression de lire une mauvaise fanfiction. Car j’en ai lu des fanfics sur Harry Potter qui reprenaient la thématique « post bataille finale ». Et dont beaucoup évoquaient déjà des évènement et révélations similaires à ce que j’ai lu. Mais, surtout, dont la plupart était beaucoup, mais alors beaucoup, mieux écrites.

Je n’avais donc pas vraiment l’impression de lire la suite officielle de notre sorcier national. En fait, je suis un peu atterrée par tout ça, et je me suis demandé à plus d’une reprise comment le scenario a pu être validé. Je ne sais pas, mais je suis complètement restée détachée de l’histoire. Je n’avais pas ce sentiment de retrouver les personnages de ma saga préférée. Harry, Ron, Hermione, Draco.. Ils étaient tout simplement des étrangers ; je ne les ai, à aucun moment, reconnus, et c’est surtout ce fait qui m’a énormément dérangée.

Après, je ne le cache pas, c’est super de prolonger l’expérience dans l’univers d’Harry Potter. Mais j’aurais aimé une histoire bien plus aboutie que ce que j’ai pu découvrir dans cette huitième histoire. Et j’en suis la première frustrée ! J’aurais tellement voulu retrouver cette magie que je ressentais à chaque nouveau tome ! Mais rien, pas la moindre petite étincelle… Alors, peut-être que sur scène cela ressort différemment. Peut-être que l’immersion est plus facile en voyant les décors et les effets mis en scène. Peut-être, peut-être…

Donc voilà, j’ai lu Harry Potter et l’enfant Maudit. Mais, pour moi, jamais je n’intègrerai ce script comme une suite « officielle » de la saga. Pourtant, je suis la première à vouloir que JK Rowling fasse revivre son héros à lunettes. Mais il existe de bien meilleures fanfictions sur cet univers que ce huitième livre. Une expérience ratée, une lecture douloureuse.. Je m’attendais à mieux, tellement mieux….
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/04/sexy-lawyers-tome-1-objection-emma-chase/

Vous connaissez mon amour pour la saga Love Game d’Emma Chase… Alors quand j’ai appris la publication de sa nouvelle série, je peux vous dire que j’étais aux anges ! Surtout que cette dernière avait posé son décor dans le cadre juridique, avec procès, avocat et plaidoiries… Un univers que j’adore depuis Ally McBeal (si si…) donc j’étais vraiment pressée d’en découvrir un peu plus.

Bref, sitôt le livre reçu, sitôt le livre lu, et sitôt le livre fini, le tout en l’espace de six petites heures. Car, si Stanton m’a moins convaincue que le personnage de Drew Evans dans Love Game, il n’empêche que la plume et l’humour d’Emma Chase sont toujours aussi efficaces, et que ce fut un véritable régal de la redécouvrir avec Sexy Lawyers.

Comme je le disais, niveau personnage, je n’ai pas été très fan de Stanton. Il faut dire que le gars, plus aveugle que lui, tu meurs. Il est suffisant, têtu, obtus comme pas deux, et aurait été incapable de voir les merveilles sous ses yeux tant il était obnubilé par ses certitudes. Bref, même s’il s’améliore vers la fin, il ne m’a pas vraiment séduite au départ…

Par contre, j’ai adoré Sofia. Et heureusement qu’elle est là, car elle compense à merveille l’ego un peu trop surdimensionné de Stanton. Petite bouffée de fraicheur, je me suis régalée des situations dans lesquelles la mettait Emma Chase, n’hésitant pas à envoyer cette citadine en pleine cambrousse. Et, pourtant, elle vit cette aventure avec vigueur et en ressort haut la main. Un peu comme si elle découvrait une partie d’elle-même tandis que nous-même nous la découvrons pleinement.

Quant aux autres personnages, je ne le cache pas, je suis sous le charme. Que ce soit les autres comparses de Washington DC ou les habitants de Sunshine.. Emma Chase a réussi avec brio à faire ressortir ces deux ambiances, et ce fut un régal de passer d’un cadre à l’autre. Mention spéciale à Drew Evans (mon chouchou !) qui fait quelques passages assez remarqués et qui maintient une certaine continuité dans les précédentes histoires d’Emma Chase..

Pour conclure : je suis complètement sous le charme de cette lecture même si Stanton m’a énervée à plus d’une reprise. Mais la plume d’Emma Chase est toujours aussi efficace, et je me suis régalée de son humour si particulier. Il faut dire qu’elle excelle dans l’art de donner la parole aux personnages masculins, un fait assez rare pour être souligné. Bref, j’ai hâte de découvrir la suite des aventure de cette nouvelle équipe !
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date : 03-11-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/03/le-piege-de-linnocence-kelley-york/

Après le traumatisme suite à la fin de Sous la même étoile, j’étais curieuse de relire Kelley York, même si je redoutais un peu cette auteur. Il faut dire que ma première expérience avec elle avait été quelque peu trop marquante, et je savais d’ores et déjà que l’on pouvait s’attendre à tout venant de sa part.

Je me suis donc lancée dans cette lecture en l’appréhendant quelque peu. Pourtant, très vite, je me suis retrouvée happée par l’intrigue. L’histoire se lit à une vitesse folle, tant et si bien que je n’ai absolument pas vu les pages passer. Résultat : il ne m’aura fallu qu’une petite après-midi pour lire cette histoire.

J’ai trouvé très judicieux la façon dont Kelley York parle de cette « affaire ». Il faut dire que la thématique du viol est assez difficile à aborder dans la littérature jeunesse, et pourtant l’auteur réussit parfaitement à nous donner aussi bien le point de vue de la victime que celui de l’accusé, sans tomber dans le voyeurisme ou la morale. Un véritable jeu d’équilibriste qui apporte une réelle justesse à ce récit, et c’est sans conteste le gros point fort du livre.

Les personnages sont également marquants, banals mais possédant leurs propres bagages d’histoires et de problèmes ; des adolescents somme toutes normaux. Vic est assez incroyable et n’aurait eu qu’un rôle secondaire dans une autre histoire. Pourtant, il porte avec force, courage et sensibilité cette histoire à bout de bras. Car c’est lui, le gamin invisible, qui va se retrouver au centre d’un fait divers des plus tristes. Et si tout cela commence de façon assez coutumière, dans une petite ville où les gens parlent à tort ou à raison, la moindre petite suspicion peut devenir très vite une immense certitude.

Je ne cache pas que j’avais eu dès le départ ma petite idée sur le coupable. Mais Kelley York mène rondement bien son histoire, même si, sur la fin, je trouve que les révélations s’enchainent un peu trop facilement. Pour autant, tout se tient et reste cohérent : un élément plus qu’essentiel pour ce genre d’histoire. Et c’est ce qui lui permet d’embarquer le lecteur dans son enquête et de le pousser à rechercher le moindre petit indice aux côtés de Vic et Autumn.

Pour conclure : j’ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, et j’ai été étonnée de la facilité avec laquelle Kelley York a réussi à m’y entrainer avec elle. Vic est un personnage marquant et saisissant, un garçon somme toute très effacé et qui va se retrouver au cœur d’une sordide affaire. Mais c’est avec une véritable force qu’il va partir à la recherche de la vérité, et se trouver en même temps. Kelley York est une auteur qui adore mettre en lumière des personnages normaux dans des histoires trop banales que l’on rencontre habituellement dans les colonnes faits divers. Pourtant, elle réussit une fois encore à en faire une histoire plus qu’addictive et magnifiquement bien écrite. Une très jolie surprise pour une auteur qui sort quelque peu des sentiers battus… !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/02/landon-nothing-more-tome-2-between-anna-todd/

J’avais plutôt bien apprécié le premier tome, même si les monologues intérieurs de Landon m’avaient quelques peu agacée. Il faut dire que ce personnage a tendance à analyser tout ce qu’il se passe autour de lui, et cela avait quelque peu hachuré le récit. Pour autant, j’étais intriguée par Nora et son histoire, et je n’ai donc pas hésité à poursuivre l’histoire de Landon.

Sachant dorénavant à quoi m’attendre, j’ai ainsi bien plus apprécié ce tome que le premier. Pourtant, Landon restant Landon, le début a été assez longuet étant donné que nous avions droit à une introspection assez profonde de ce personnage. Mais, petit à petit, on sent l’évolution que cette histoire a eu sur lui. Il comprend mieux ses désirs, ses envies, et ne perd plus de temps à tergiverser à droite et à gauche. Même si, pour ne pas dénoter avec sa nature profonde et sa gentillesse, il ne peut s’empêcher de venir au secours d’un peu tout le monde. Mais il prend enfin le temps de se mettre au centre de sa propre histoire et de faire passer ses besoins au dessus de ceux des autres.

Mais la belle surprise est venue de Nora. Si ce personnage m’avait déjà séduite dans le premier tome, je ne cache pas que j’en suis complètement tombée sous le charme ici. Depuis le début de l’histoire, on sentait qu’une expérience importante et dramatique se cachait derrière ce personnage enjoué mais solitaire. Et, même si j’avais imaginé mille et un scénarios, j’avoue que j’étais loin du compte.

Son histoire m’a touchée, tout comme sa peur du futur, cette sensation de se retrouver coincée par le passé alors que l’on trouve enfin ce que l’on a toujours désiré. Et c’est vraiment l’aspect du livre qui m’a le plus enchantée.

Au final, ce spin off sur Landon a mis du temps à me convaincre. Mais le personnage de Nora a changé toute la donne et j’ai vraiment été touchée par son histoire. Je trouve quand même dommage que Landon mette autant de temps à se révéler, ce qui survient vers la fin du livre, et ce fut alors une jolie surprise. J’ai passé un bon moment avec cette série, certes moins addictive qu’After, mais qui permet de prolonger l’environnement de la série originale. Ce n’est pas plus mal car, et c’est un quasi miracle, j’ai adoré les apparitions d’Hardin dans ce tome. Un véritable exploit !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/01/au-pays-de-lailleurs-tahereh-mafi/

Ayant toujours eu envie de découvrir la plume de Tahereh Mafi – dont j’entendais énormément parler suite à sa première saga, Insaisissable – j’ai donc profité de la sortie de ce one shot pour m’en faire ma propre idée. Il faut dire que la couverture est vraiment superbe et, en bonne matérialiste que je suis, je savais qu’il me faudrait obligatoirement ce livre dans ma bibliothèque. Je remercie donc Babelio et les éditions Michel Lafont pour avoir permis cela.

Je ne vais pas le cacher, je suis quand même assez mitigée quant à cette lecture. Est-ce parce que j’en attendais énormément, surtout avec tout ce que j’entendais sur cette auteur ? Dans tous les cas, j’ai mis beaucoup, beaucoup trop de temps pour réussir à pénétrer enfin dans l’histoire. A vrai dire, il m’aura fallu atteindre le dernier tiers du livre pour enfin avoir ce déclic.

Pourtant, l’univers imaginé par Tahereh Mafi est vraiment mignon et assez original. C’est surement le gros point positif que je retirerais de cette histoire. Plein de couleurs et de sensations, il fait marcher l’imagination comme jamais. Mais, surtout, je l’ai trouvé plein de poésie et de douceur.

Mais, car oui, il y un mais, et un gros même… J’ai trouvé que tout cela manquait cruellement de développement. Oui, le monde est superbe, véritable tableau enchanteur, et a ravi mes petits yeux. Mais, en dehors de ce point, l’histoire paraissait creuse, il ne se passe pas grand-chose – pour ne pas dire rien – et il aura fallu attendre la toute fin pour enfin avoir quelque chose à se mettre sous la dent. Mais une fin trop rapide, une intrigue trop emportée, qui paraissent complètement déséquilibrées par rapport au développement de l’univers.

Sans oublier Alice, l’héroïne, qui, comme tout personnage principal qui se respecte, aurait du porter ce roman sur ses épaules. Sauf que c’est l’inverse qui se produit. En effet, cette gamine est si horripilante, si désagréable qu’elle dessert complètement le livre. Et c’était presque une corvée de lire ses états d’âmes et ses pensées.

Pour conclure : je n’arrive pas vraiment à comprendre la volonté de l’auteur sur ce livre là. Mais quel dommage, après avoir mis en place un univers aussi enchanteur, de le voir mis à néant par une héroïne insipide et agaçante ! Et c’est vraiment triste, car l’auteur avait tout pour faire une fantastique histoire. Pourquoi gâcher le tout avec un tel personnage ? Je ne comprends pas vraiment…
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date : 01-11-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/11/01/my-escort-love-laura-s-wild/

Ce titre m’avait intriguée lors de sa parution en ebook cet été mais, par manque de temps, je l’ai quelque peu laissé de côté. Or, avec l’annonce de sa sortie en format papier, j’étais curieuse de découvrir cette histoire dont on parlait tant et qui avait donc eu droit à son livre. Etant dans ma très grande période de romance en ce moment, je n’ai donc pas hésité à me lancer dans cette lecture.

Si, au début, j’ai quand même un peu tilté sur la mise en place de la chose (oui, j’ai quand même du mal quand les héroïnes veulent se « débarrasser » de leur virginité à tout prix), je me suis vite prise au jeu. Il faut dire que cette romance est toute mignonne et se lit comme on mangerait un bonbon. C’est doux, tendre et sans prise de tête, et on apprécie cet instant de lecture comme il se doit.

J’ai été touchée par l’héroïne et par ses problèmes. Sa façon de se dévaloriser et son manque de confiance en elle m’ont parlé et, même si j’ai trouvé qu’elle été parfois trop apathique, j’ai aimé la voir éclore tout doucement et prendre son envol petit à petit.

Pour autant, je reste moins convaincue par Noah. Disons que j’ai eu l’impression qu’il faisait tout un pataquès de ses états d’âmes alors qu’il n’y avait pas forcément de quoi plaindre ce pauvre garçon. Bref, j’ai été moins sensible à son encontre, sans que cela ne gâche pour autant ma lecture.

La seule chose qui m’a vraiment dérangée, c’est la facilité avec laquelle l’auteur résout les problèmes que notre duo rencontre. En fait, ça paraissait tellement sorti d’un chapeau de magicien que je n’y ai plus cru, surtout vers la fin. Et c’est dommage, car cela me laisse sur un sentiment doux-amer, et j’aurais vraiment aimé que l’auteur prenne le temps de développer tout cela plutôt que de nous sortir des supers solutions d’on ne sait où.

Pour conclure : si la fin ne m’a pas vraiment convaincue et aurait mérité plus de développement, j’ai tout de même passé un doux moment. La romance est toute choupinette et sans prise de tête ; elle se lit facilement, d’une traite et permet d’en apprécier l‘histoire. J’en attendais juste un peu plus, et j’aurais vraiment voulu que l’auteur développe un peu plus le contexte de son récit.
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date : 31-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/31/le-monstre-nounou-tome-1-tuutikki-tolonen/

J’étais très curieuse de découvrir la petite sœur de la collection R. En effet, cinq ans après le lancement de sa collection young adult, les éditions Robert Laffont ont donc créé une collection plus jeunesse avec des lectures dès huit ans. Le monstre Nounou inaugure donc cette « naissance » !

Connaissant la perfection de sa grande sœur, je ne m’inquiétais pas vraiment à propos de cette lecture. Et je ne me suis pas trompée. Si, effectivement, l’univers est plus jeune, avec des héros de onze et neuf ans, la qualité est toujours au rendez vous. J’ai donc découvert cette histoire avec un regard d’enfant, et je me suis régalée.

Sans nul doute, les plus jeunes seront séduits par l’ambiance. Des monstres, de l’aventure, du mystère.. L’auteur parvient immédiatement à séduire son lecteur. Et, malgré mon « grand » âge, je me suis laissée séduire à mon tour. Il faut dire que l’on y retrouve le même rythme et la même addictivité que chez sa grande sœur, ainsi qu’une fluidité qui permet de se plonger dans l’histoire très rapidement.

Même si l’aspect du livre peut quand même faire peur à huit ans (il faut dire qu’à cet âge, on ne raffole pas vraiment des « pavés » de plus trois cent pages…). Heureusement, l’éditeur a pris soin d’insérer ici et là de multiples illustrations qui, de suite, attirent plus le jeune lecteur et rend bien moins effrayant la perspective de la lecture.

Pour ma part, j’ai adoré cette lecture. J’ai adoré cette histoire fantastique qui rend si adorable ce monstre poilu. J’ai adoré les dessins qui permettent de nous mettre immédiatement dans l’ambiance du roman et qui accentuent l’univers que l’on découvre. Enfin, j’ai adoré la façon dont l’auteur nous raconte tout cela, à la fois avec un regard d’enfant tout en y glissant de grandes valeurs telles que le courage, les liens familiaux ou encore l’entraide..

Bref, Le monstre Nounou inaugure avec brio la nouvelle Collection R Jeunesse. Ce titre plaira sans nul doute à tous les jeunes lecteurs désireux de se lancer dans de grandes aventures « comme les grands » tout en conservant leur âme d’enfant. De mon côté, je suis séduite, et j’ai hâte de découvrir les autres titres que cette collection nous réserve !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/28/up-in-the-air-tome-2-mile-high-r-k-lilley/

Après le final du premier tome, et les découvertes sur le passé de Bianca, j’avais vraiment hâte de découvrir cette suite. Il faut dire que, même si l’histoire avait des airs de déjà vu, la seconde partie avait su apporter un regain d’intérêt indéniable. J’étais donc curieuse de voir le chemin qu’allaient emprunter Bianca et James.

Si j’ai été ravie de constater que les soucis de traduction qui m’avaient gênée dans le premier tome étaient résolus, je suis quand même un peu retombée de haut. Ma chronique va être brève parce que, en fait, il ne se passe pas grand chose. Voir rien. Et, après les promesses qu’avait laissées entrevoir le premier tome, je n’ai pas du tout compris ce changement chez l’auteur.

Bref, durant tout ce tome, Bianca s’interroge sur ses émotions et sentiments. Une chose est certaine : elle l’aime, son Monsieur Magnifique. Mais elle est bien loin de le lui dire ou de lui faire comprendre. Car son attitude et ses réponses sont aux antipodes de celles d’une personne amoureuse. Et je ne vous cache pas que c’est un aspect qui m’a quelque peu exaspéré.

Quand à ce cher Cavendish, c’est de lui qu’est venu la surprise. J’ai été séduite par son côté protecteur. Il sait ce qu’il veut, il est sûr de ce qu’il ressent et ne prend pas la peine de le cacher. A vrai dire, il est franc dès le départ sur ses émotions, et c’est ce qui m’a le plus plu chez lui. Même si, malheureusement, Bianca cherche toujours à lire entre des lignes alors qu’il n’y a rien de plus à comprendre…

Heureusement, les derniers chapitres ont réussi à me réveiller quelque peu et ont permis de relancer – enfin – l’intrigue. Car, en dehors des introspections de Bianca, il n’y a pas eu grand chose à se mettre sous la dent avec ce tome. Pour autant, je ne me suis pas tellement ennuyée. J’ai lu l’histoire comme elle venait, sans plus, sans moins. C’était agréable mais pas mémorable et, même si j’ai lu le livre d’une traite, je ne vous cache pas l’avoir refermé, sceptique, cherchant à comprendre ce que R.K. Lilley avait voulu apporter avec cet opus.

Pour conclure : malheureusement, ce second livre nous abreuve de tous les travers typiques des « entre-deux tomes ». L’histoire, stagnante, fait du surplace et est d’un intérêt assez bas. Je n’irai pas jusqu’à dire que j’ai perdu mon temps puisque R.K. Lilley a réussi à m’embarquer sur son vol sans soucis. Pour autant, je ne comprends toujours pas l’utilité de ces 360 pages. Par contre, la fin de ce tome apporte une nouvelle dimension à l’histoire de Bianca que je serais curieuse de découvrir. J’espère donc vraiment que le troisième livre me permettra de retrouver ce qui m’avait tant plu dans le premier opus et me fera oublier la déconvenue du second…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/27/marjane-tome-1-la-crypte-marie-pavlenko/

J’avais beaucoup – mais alors, vraiment beaucoup – entendu parler de ce livre à sa sortie. Pour autant, il avait ce je-ne-sais-quoi qui ne me donnait pas envie de le lire. Le même genre d’appréhension que j’avais eu quant à La Passe-Miroir. Alors, sur un coup de tête, et vu le nouvel engouement autour de la sortie du second tome, j’ai eu moi aussi envie de comprendre cet intérêt pour cette série, et je me suis donc lancée une bonne fois pour toute dans cette lecture.

Et, à l’instar de la série de Christelle Dabos, je me serais bien donné des claques pour ne pas l’avoir lue avant. Car, même si ce ne fut pas un coup de cœur, il n’empêche que j’ai beaucoup aimé l’univers qu’a recréé Marie Pavlenko tout autour des rues de Paris.

Car c’est un véritable foisonnement de mythes aussi divers que variés que l’on retrouve ici. Et l’auteur a réussi l’exploit de les faire tous s’entremêler sans perdre en cohérence et en intérêt. Et j’en ai pris plein les mirettes.

Par contre, il m’aura fallu un bon petit moment avant de réussir à m’immerger complètement dans ce récit. Je pense que mes a priori de départ y sont pour beaucoup, et que c’est ce qui m’a empêchée de profiter à fond des premières pages. Je partais tellement dans l’optique d’être déçue que j’ai mis un moment à me détacher de tout cela afin de pouvoir profiter pleinement du récit.

Et, une fois fait, ce fut un véritable régal. Comme je le disais, Marie Pavlenko réussi à entrelacer un nombre incalculable de mythologies, ce qui permet à son univers de s’en retrouver plus grandi encore. Le tout conjugué à une ville parisienne qui révèle bien des secrets cachés et enfouis. On se promène dans les rues de Paris et on redécouvre ainsi la capitale sous un nouveau jour fantastique.

Et pourtant, l’auteur parvient parfaitement à garder un fil conducteur harmonieux et d’une logique sans faille. Un aspect pas si simple que cela quand on découvre l’immensité de ce monde et les mystères non-élucidés qu’il semble encore receler.

Quant aux personnages, je reste un peu plus mitigée. A vrai dire, ces derniers révèlent pleinement leur potentiel dans la seconde partie du roman. Mais, dans la première, je les trouvais assez simples, sans trop de profondeur, et quelques peu caricaturés. J’ai mis un moment avant de réussir à m’attacher pour de bon à Marjane. Mats est surement le seul qui m’a convaincue dès le départ, véritable énigme qui se dévoile petit à petit. Et si j’ai pu apprécier pleinement leurs qualités à tous vers la fin, je ne vous cache pas qu’au départ j’étais plus sceptique qu’autre chose.

Pour conclure : malgré un début assez difficile où il m’a fallu passer outre mes (trop) nombreux a priori, je me suis véritablement régalée de cette lecture. Je ne m’attendais absolument pas à une telle richesse dans l’univers de Marie Pavlenko, ni dans son intrigue qui semble cacher bien des mystères encore. Je sais déjà que je risque d’ici peu de me jeter sur le second tome de cette série qui m’a séduite sans trop de difficultés. Une très belle surprise !
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