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Commentaires de livres faits par Kesciana

Extraits de livres par Kesciana

Commentaires de livres appréciés par Kesciana

Extraits de livres appréciés par Kesciana

date : 25-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/25/silver-tome-3-livre-troisieme-kerstin-gier/

Le premier tome de cette série ne m’avait pas vraiment convaincue, mais j’avais été surprise par le second qui s’était révélé être une lecture bien agréable et plus entrainante. J’attendais donc cette conclusion finale, curieuse de découvrir le fin mot de cette série.

A l’instar du second tome, je me suis plus rapidement prise au jeu de l’intrigue. Il faut dire que j’aime vraiment le monde qu’a mis en place l’auteur, entre rêve et réalité, et c’est vraiment le gros point fort de la série. L’ambiance correspond parfaitement à cette atmosphère onirique, et c’est avec plaisir que l’on retourne au pays des rêves…

Mais, si les révélations s’enchainent, et que l’on commence enfin à entr’apercevoir le pourquoi de toute cette histoire, j’ai trouvé que de nombreuses longueurs parsemaient le récit et empêchaient l’intrigue de se développer et de se résoudre comme il se doit. Alors ajoutez-y une héroïne qui passe son temps à geindre…

Car, une fois encore, c’est Mia, la sœur de Liv, qui a sauvé le roman. Je ne sais pas vraiment comment, ni pourquoi, mais Liv est devenu un personnage qui n’arrive absolument plus à me convaincre. Bien au contraire, j’ai sans cesse levé les yeux au ciel face à ses réactions et j’ai été agacée par bon nombre de ses réactions

Pour autant, malgré ces bémols, j’ai quand même bien apprécié cette lecture. Je reste une nouvelle fois surprise devant la richesse de l’univers de Kerstin Gier, et j’ai vraiment aimé l’évolution qu’elle a su apporter à son intrigue. Si, au départ, le récit était assez fermé, il s’est petit à petit ouvert sur plus de personnages qui ont réussi, à leur tour, à enrichir cette histoire qui ne ressemble à aucune autre. Les passages de vie « réelle » sont de véritables bulles d’humour, et je me suis autant régalée dans un monde que dans l’autre.

Pour conclure : rien que l’univers de Kerstin Gier mérite que l’on s’arrête sur cette série, même si je trouve qu’elle a un peu trop étiré le dernier tome. J’ai été surprise par le personnage de Mia, qui a su prendre de plus en plus d’ampleur au fil des tomes, et c’est vraiment elle qui permet aux romans de se démarquer. Je reste un peu plus mitigée face à Liv, qui m’avait séduite dans le premier livre mais qui s’est transformée en une héroïne qui m’a bien trop souvent exaspérée. J’ai tout de même passé un bon moment avec cette série, et je suis convaincue qu’elle plaira sans nul doute aux amoureux de la toute première saga de l’auteur, Rouge Rubis…
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date : 25-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/25/never-never-saison-1-colleen-hoover-tarryn-fisher/#more-19649

Ce roman, je l’attendais depuis très longtemps. Etant une fan de l’écriture de Colleen Hoover, et étant tout autant intriguée par sa collaboration avec Tarryn Fisher ainsi que par la couverture VO du roman, je me posais énormément de questions sur ce titre. Sans surprise donc, aussitôt eu, aussitôt lu !

Il faut dire que ce livre se lit très facilement, faisant à peine deux cent pages. Et l’histoire est hyper addictive. Sincèrement, je me suis posée mille et une questions sur le pourquoi du comment, sans réussir à en trouver une réponse qui tenait la route. Je me suis retrouvée avec cette sensation frénétique de devoir absolument tourner les pages pour en savoir le plus possible, tout en redoutant pour autant d’arriver à la fin de ce premier tome, sachant que deux autres suivaient.

Si je n’ai pas retrouvé le côté empathique et plein d’émotion de la plume de Colleen Hoover, je ne cache pas que cette écriture à quatre mains m’a parue des plus naturelle. Les auteurs jouent autant sur les codes du fantastique que de la new romance, sans que l’on ne sache véritablement vers quel côté va pencher la balance. Et le tout avec une justesse et une efficacité remarquable.

« Ne jamais arrêter. Ne jamais oublier. »

On découvre Silas et Charlie en même temps qu’ils se découvrent eux-mêmes, et c’est assez perturbant. Car, petit à petit, ils vont apprendre des choses qui vont les rapprocher tout en les éloignant également. Et c’est peut etre ce qui m’a le plus plu, cette dualité dans les personnages presque proche de la schizophrénie. Comment faire confiance au passé et aux actions d’une personne que l’on ne connaît pas alors que c’était nous ?

A ce niveau là, les auteurs ont réussi parfaitement leur pari. Je me suis prise au jeu dès les premières pages, ayant besoin de savoir ce qu’il s’était passé, mais aussi de comprendre comment Silas et Charlie avaient pu en arriver là. On se pose énormément de questions tout au long de ce court roman, les indices sont faibles mais, quand ils surviennent, ils renforcent encore plus tout le mystère autour de nos deux protagonistes. Et la fin… Sincèrement, si j’avais eu les tomes suivants sous la main, je sais que je les aurais enchainés sans aucun problème !

Pour conclure : ce livre fut une véritable petite découverte. Les pages défilent à une allure phénoménale, et on se prend véritablement au jeu de cette histoire. J’ai complètement redécouvert Colleen Hoover sur ce livre, et c’est un aspect qui m’a vraiment plus. Sans surprise, et sur un rythme effréné et cette course au savoir, Colleen Hoover et Tarryn Fisher nous plongent avec ravissement dans une histoire qui en séduira plus d’un !
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date : 21-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/21/londres-avec-toi-erin-lawless/

C’est avec curiosité que j’ai découvert ce livre dans la box Dans ma bulle ce mois-ci. Pour autant, lors de sa publication, cette histoire ne m’avait pas intéressée plus que cela. C’est donc sans un grand intérêt que j’ai commencé ma lecture, intriguée d’en découvrir le récit mais aussi quelque peu sur mes réserves.

De ce fait, j’ai mis un long moment avant de vraiment accrocher à l’histoire. Il faut dire que la construction narrative n’est pas de celle dont je raffole. A double voix, on passe d’un point narratif à un autre, tout en ayant parfois de longues ellipses temporelles entre les deux. Bref, on sait quand on quitte nos personnages, mais jamais vraiment à quel moment on les retrouve. J’ai donc eu du mal à rentrer dans le récit, et je suis restée assez détachée durant toute une première partie.

Car, et c’est surement lié à cette narration spéciale, j’ai cette impression de ne pas avoir pu prendre le temps de connaître Nadia et Alex. Certes, on les suit tout au long de leurs aventures dans Londres, mais aussi dans leur vie sentimentale. Mais le reste passe aux oubliettes. En dehors de brèves mentions sur leur passé ou encore leur travail, j’avais ce sentiment de ne rien savoir d’eux.

Pour autant, la romance est toute mignonne. Les amoureux de Londres aimeront (re)découvrir cette ville et ses trésors cachés aux touristes. De même, la relation qui s’installe entre Alex et Nadia est toute douce, toute sucrée, et m’aura fait passer un doux moment.

En somme, Londres avec toi n’est certes pas la romance de l’année, mais elle se laisse lire tranquillement et en douceur. Je trouve quand même dommage que l’auteur se soit uniquement focalisée sur l’aspect sentimental et n’ait pas pris la peine de développer comme il se doit son monde. C’est vraiment une chose qui m’a manquée et qui m’a empêchée de m’attacher pleinement aux personnages, n’ayant pas eu ce sentiment de les connaître et de me sentir proche d’eux. Une bonne lecture donc, sans plus, sans moins.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/20/meilleurs-ennemis-de-la-haine-a-lamour-il-ny-a-quun-pas-sally-thorne/

Il y a des livres dont on sait immédiatement qu’ils vont nous plaire. Ce fut exactement le cas pour cette parution. A peine en avais-je lu le résumé que j’ai su instantanément que j’allais adorer. Et cela n’a pas manqué.Sincèrement, je ne sais même pas par où commencer pour ce roman, car j’ai vraiment tout adoré. Que ce soit l’histoire, les personnages, mais aussi (et surtout) les joutes entre Joshua et Lucy, véritables parties de ping-pong où les piques s’enchainent… J’ai passé toute ma lecture à rire, pouffer et soupirer et, surtout, à en dévorer l’histoire. Bref, je me suis RÉGALÉE.

Le gros, gros, gros point fort de cette romance, c’est le duo formé par Lucy et Josh. Un duo sensationnel, épique, qui nous fait partager son quotidien fait de piques, de confrontations, de joutes verbales et autres Jeux (Jeu du Regard, Jeux du Miroir… tous deux ne manquent pas d’imagination pour faire craquer l’autre et remporter la manche). C’est à la fois hilarant, pétillant et piquant, et cela monte tout doucement jusqu’à atteindre un point où aucun retour en arrière ne sera possible.

Tous deux sont d’ailleurs à l’opposé l’un de l’autre : Lucy est toute en couleurs, petite et gentille ; elle fait tout ce qu’elle peut pour faire plaisir aux autres et n’a jamais un mot plus haut que l’autre. Sauf avec Josh. Le grand, immense et rigide Josh, prévisible au possible et qui n’est apprécié par personne ; tous ont peur de ce grand gaillard. Et pourtant, malgré toutes ces différences, l’alchimie entre eux est superbe. On la ressent dès les premières pages, et c’est avec émerveillement que j’ai regardé l’évolution de tout cela.

Si la première partie est assez légère, j’ai été surprise de découvrir que la seconde cachait plus de profondeur. Au-delà de la simple comédie romantique, l’auteur a su donner une dimension plus riche à son histoire. C’est une partie que j’ai également beaucoup aimée, même si j’ai trouvé quelques passages un peu longuets.

Mais, en cela, la plume de l’auteur est diablement efficace. Rythmée, elle nous entraine d’une réplique à une autre sans soucis. On découvre tout ce petit monde et on s’attache incroyablement vite à Joshua et Lucy. Sincèrement, je découvre l’auteur avec cette histoire, et je n’hésiterai vraiment pas à relire d’autres de ces écrits tant j’ai été sous le charme de son écriture.

Pour conclure : une romance délicieuse, drôle, tendre et sensuelle… C’est typiquement le genre d’histoire que j’aime, et cette dernière m’aura fait passer un très, très bon moment. Malgré quelques petites longueurs à certains moments, le récit se laisse dévorer sans difficulté. J’ai adoré Lucy, j’ai soupiré devant Josh, et je me rappellerai encore longtemps de ce duo aussi infernal qu’adorable. A lire sans hésitation !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/19/dan-et-celia-les-jumeaux-de-lautremonde-tome-1-limpossible-mission-sophie-audouin-mamikonian/

J’ai toujours voulu découvrir l’univers de Tara Duncan, une série dont j’avais entendu beaucoup de bien. Mais, sincèrement, devoir en rattraper les douze tomes parus, cela m’a démoralisée à chaque fois. Malgré tout, j’avais pu faire une premier immersion dans l’univers de l’auteur grâce à La fille de Belle, que j’avais beaucoup aimé. Alors quand on m’a proposé cette « nouvelle » série, je n’ai pas hésité à retenter l’aventure !

Ma plus grosse peur était d’être complètement larguée par l’univers de Sophie Audouin-Mamikonian. Il faut dire qu’en douze tomes, elle a dû en développer des choses, et je craignais de me retrouver lésée par ce fait et de passer complètement à côté du roman. Alors, certes, l’auteur ne se perd pas dans de longues explications, ce qui rassurera les lecteurs et connaisseurs de la série d’origine. Mais, pour les novices tels que moi, on découvre avec bonheur de nombreuses informations en bas de page quand la situation l’exige. Un excellent procédé qui permet donc aux non-connaisseurs de plonger au cœur de l’intrigue avec un véritable filet de sécurité.

Ce premier fait avéré, j’ai pu tout simplement profiter une nouvelle fois de l’excellence et de la richesse du monde de Tara Duncan ainsi que de la plume de l’auteur. Quelle expérience ! Des personnages hauts en couleurs, un monde aussi bizarre que loufoque, de l’humour, du rire, des larmes, de l’actions… L’auteur ne nous laisse absolument aucune seconde de répit. Et quel régal ! Je me suis complètement laissée embarquer par l’auteur sans aucune résistance. Je ne cherchais même pas à prévoir quoique ce soit tant j’allais de surprise en surprise. Une expérience livresque bien différente de celle que j’avais vécue au travers de La fille de Belle.

Dan et Célia est typiquement ce genre de livre qu’on lit pour se détendre, mais aussi parce que l’on a la certitude de passer un très bon moment. L’écriture de qualité sert une intrigue enchanteresse, entre magie et autres créatures sorties d’une imagination foisonnante, le tout servi par une action rythmée.. On ne s’ennuie absolument pas. Sincèrement, si la série Tara Duncan est faite du même calibre, je risque fortement de revoir ma position afin de la découvrir à mon tour !

Pour conclure : je suis complètement sous le charme de la plume de Sophie Audouin-Mamikonian. Je ne sais pas du tout où elle va chercher toutes ses idées, mais c’est aussi phénoménal que génial. L’appréhension que j’avais au tout début de ma lecture s’est vite envolé et j’ai pu profité pleinement de cette histoire aussi addictive que complètement barge. Un pur régal !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/18/leos-chance-tome-2-mia-sheridan/

J’avais terminé le premier tome en étant quelque peu mitigée. En effet, après l’excellente découverte d’Archer’s Voice, je pensais vraiment tomber sous le charme de cette lecture… Pourtant, malgré cette déception, j’attendais de découvrir le point de vue de Léo. Il faut dire que ce dernier était assez mystérieux sur son histoire, et j’étais vraiment curieuse d’en découvrir un peu plus sur lui.

Sauf que, voilà. Je pense qu’il aurait fallu patienter un peu plus avant de publier cette « suite ». Ou, tout du moins, j’aurais du attendre avant de la lire. Car, loin d’être une redécouverte de l’histoire, j’avais surtout l’impression d’en faire une relecture.

Certes, le point de vue de Leo sur toute son histoire change la donne et apporte une profondeur qu’il n’y avait pas vraiment dans le premier opus. Mais, voilà, les dialogues sont identiques, et le fait de me souvenir que trop bien de ces éléments a fait en sorte que je me suis tout simplement ennuyée.

Il faut dire qu’en temps normal, je fuis les ré-écritures. Même si je peux comprendre qu’un second point de vue soit bénéfique à la compréhension du récit. Ou, tout du moins, apporte une nouvelle vision sur une histoire déjà connue. Ce fut le cas pour After et Before, par exemple. Mais, la plupart du temps, je considère que l’histoire est déjà lue et, pour ma part, je ne vois pas trop d’intérêt de relire un livre dont j’en connais déjà les tenants aboutis.

C’est exactement ce qu’il s’est passé ici. Sachant à l’avance ce qu’il allait se passer, je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire. Pourtant, découvrir l’histoire de Leo, tout ce qu’il a dû subir depuis son adoption.. c’était vraiment touchant et émouvant. Mais cela ne m’a pas suffit. Je suis restée totalement extérieure à l’histoire, et je n’ai pas pu ressentir la moindre petite émotion.

Pour conclure : je pense avoir lu ce livre bien trop tôt, l’histoire du premier tome étant déjà trop ancrée dans ma tête. C’est dommage, car cela m’a empêché d’apprécier cette « suite » à sa juste valeur. Je suis constamment restée en retrait, et je n’ai pas réussi à m’attacher à nouveau aux personnages. Je pense que ceux qui aiment les ré-écritures se régaleront mais, pour ma part, je suis complètement passée à côté….
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/17/beautiful-bastard-tome-5-beautiful-christina-lauren/

Difficile de se dire que, après dix tomes, il est temps de tourner la dernière page de cette saga. Il faut dire que cette série est la toute première que j’ai lu post Fifty Shades ; c’est avec celle-ci que j’ai découvert l’univers de la new romance, un genre que je n’allais pas quitter depuis. Alors dire au revoir à nos chers Beautiful, c’était assez spécial.

Quelle évolution depuis le tout premier tome ailleurs ! J’avais déjà eu cette impression à travers la série Wild Seasons, mais ce tome m’a également fait ressentir cela. On est bien loin du tout premier Beautiful Bastard, et on sent que notre duo à quatre mains a gagné en maturité, mais aussi en expérience. Aujourd’hui, c’est à chaque fois une nouvelle histoire qu’elles nous livrent, évitant ainsi de nous faire le simple tome supplémentaire.

Et, sincèrement, cet ultime opus est tout simplement mon préféré. Autant parce qu’on retrouve notre équipe de joyeux drilles au complet, mais aussi parce que l’histoire est tout simplement savoureuse. Pétillante, sensuelle, mais aussi pleine d’humour, je me suis régalée et je n’ai pu reposer ce roman avant de l’avoir fini.

De plus, le couple formé par Pippa et Jensen est tout simplement sensationnel. Pippa surtout, qui m’aura faite mourir de rire ! J’ai adoré cette héroïne, j’ai adoré sa gaieté, mais aussi sa joyeuseté et sa légèreté. Elle ne se laisse pas abattre, sait ce qu’elle veut et ne passe pas cent dix ans à se poser des questions. Fonceuse, haute en couleur et originale elle apporte une délicieuse touche d’humour à cet histoire.

Pour conclure : cet ultime tome clôture en beauté cette merveilleuse saga qui a su évoluer au fur et à mesure de sa publication. La magie Christina Lauren fonctionne toujours autant, et elles nous livrent ici un de leur tome les plus abouti. Dès le premier chapitre, je savais que j’allais passer un délicieux moment, et cela n’a pas manqué : je me suis tout simplement régalée. Un final à la hauteur du rayonnement de cette série, un très joli coup de cœur !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/13/waterfire-tome-3-dark-tide-jennifer-donnelly/

La saga Waterfire est une des rares séries young adult mettant en place le mythe des sirènes. Dès le début, j’ai été subjuguée par l’univers que j’y ai découvert, mais aussi par les superbes objets-livres réalisés par les éditions Hachette. Sans surprise, je n’ai donc pas hésité à poursuivre cette aventure avec ce troisième tome.

Mais il m’aura fallu un moment avant de me lancer véritablement ; trois bonnes semaines avant de reprendre le fil de l’histoire et de me replonger complètement dans l’intrigue. Car, à vrai dire, je ne me rappelais plus grand chose du second tome, ce qui ne me motivais pas vraiment à me lancer dans ce troisième.

Pourtant, à partir du moment où il y a eu ce déclic, au bout d’une cinquantaine de pages, j’ai repris mon rythme de croisière et je n’ai fait qu’une bouchée du livre. Il faut dire que l’auteur n’est plus dans les présentations de cet univers ou de sa mythologie. On entre directement au cœur de l’action, et les énigmes commencent doucement à se résoudre tandis que d’autres surgissent sans qu’on ne les voit venir.

Le fil conducteur fait donc un bond considérable en avant, on sent que la quête de nos six sirènes touche à sa fin, et que le combat final se profile. Le rythme est très soutenu, et les actions s’enchainent. C’est surement ce qui m’a le plus marquée, cette constance palpitante qui nous immerge totalement dans cet univers qui cache encore bien des secrets.

Et quel univers ! Une fois encore, Jennifer Donnelly nous en met plein les yeux. Je suis constamment abasourdie quand je vois tout ce qu’elle a su mettre en place. Un monde enchanteur, mais aussi plein de mystères et qui possède son lot d’effroi… J’adore, tout simplement, et c’est toujours un régal de replonger dans ce monde.

Pour conclure : un troisième tome très rythmé qui multiplie les rebondissements et les révélations : on sent bel et bien que la fin se rapproche à grand pas. Jennifer Donnelly a su créer un monde fantastique qui nous séduit dès les premières pages et qui nous révèle encore bien des surprises. J’ai encore plus hâte de me plonger dans le prochain et dernier tome qui promet d’être tout autant fourni en action. Une très belle série que je recommande à tous les amoureux des sirènes !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/11/dan-machi-la-legende-des-familias-tome-2-fujino-omori/

J’étais vraiment curieuse de découvrir la suite des aventures de Bell. Il faut dire que j’avais plutôt bien accroché avec le premier tome, et j’avais très envie de replonger dans cet univers.

C’est donc avec délice que j’ai retrouvé ce monde de conquête et de rencontre, mais au ton aussi drôle que badin. Ainsi, on en découvre un peu plus sur la faction de fonctionner du Donjon, mais aussi des aventuriers et de leurs expéditions.

J’ai, d’ailleurs, été agréablement surprise par l’évolution du récit. Même si ce dernier garde le ton léger propre à cette série, j’ai trouvé que l’histoire s’enrichissait bien plus encore. Les mystères planant autour de Bell sont de plus en plus nombreux et je m’interroge toujours autant sur ce personnage. Fujino Omori n’a pas fini de nous surprendre, et c’est avec régal que j’ai dévoré ce tome en une après midi seulement.

Il faut dire que les péripéties s’enchainent, ce qui permet au texte de garder un très bon rythme. Mais, surtout, l’auteur nous montre qu’il nous reste bien des choses à découvrir sur cet univers, malgré un premier tome pourtant des plus complets. Les narrations croisées permettent d’ailleurs d’en voir beaucoup plus sur un même évènement, et cette vision à 360° est vraiment un des gros points forts de cette série.

Je regrette simplement la forte prévisibilité de l’évènement principal, mais j’ai tout de même beaucoup aimé l’environnement qu’a construit l’auteur tout autour, avec notamment la découverte de la guilde de Soma. J’aurais quand même aimé en savoir un peu plus sur ce dieu qui apparaît bien différent des autres, mais l’histoire se focalise principalement sur Bell et Lili. De ce fait, les autres personnages deviennent très secondaires, tant et si bien qu’on en oublierait presque leur importance due au premier tome. C’est vraiment ce qui m’a le plus dérangée, et je regrette que le fait d’intégrer de nouveaux personnages poussent l’auteur à en reléguer d’autres au second plan.

Pour conclure : dans la pure lignée du premier tome, Dan Machi est sans conteste un light novel plein de surprises. On s’attache très vite aux personnages et Fujino Omori arrive encore à nous surprendre malgré des tomes assez complets. Le fan service est également toujours présent, quoique un peu moindre que dans le premier opus, ce qui ne me dérange pas étant donné que ce n’était pas vraiment la partie qui m’attirait. Mais Bell est un héros touchant, au grand cœur, qui essaye toujours de bien faire mais qui ne manque pas non plus de nous faire rire. Un très bon second tome qui donne encore plus envie d’en découvrir la suite !
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date : 07-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/07/rouge-bonbon-cathy-cassidy/

J’aime énormément lire Cathy Cassidy. Chacun de ses livres est une véritable dose de sucre, de douceur et de mignonnerie qui met immédiatement de bonne humeur. Je n’ai donc pas hésité un seul instant de la retrouver dans ce nouveau stand alone.

Et la magie a une fois de plus opéré. Pourtant, au départ, j’ai eu beaucoup de mal à comprendre Scarlett, notre héroïne dans Rouge bonbon. A vrai dire, elle me paraissait capricieuse, hautaine et égoïste au possible, et j’avais du mal à me dire que Cathy Cassidy avait développé un tel personnage.

Puis, tout doucement, on apprend à découvrir cette jeune fille qui, somme toute, se cherche depuis le divorce de ses parents. Comme trouver sa place quand tout ce en quoi on croyait s’est retrouvé brisé du jour au lendemain ? Comment continuer à faire semblant que tout va bien quand on n’a plus un seul repère ? C’est sur cette thématique que Cathy Cassidy nous propose de découvrir sa nouvelle histoire.

Et ça marche, encore et encore. L’auteur reprend la recette qui lui va si bien et la saupoudre de paillettes. On découvre l’histoire et on la dévore avec délice. Car, une nouvelle fois, Cathy Cassidy met au centre de son récit une problématique qui parlera immédiatement au lectorat concerné. Elle évoque ces thématiques avec douceur et empathie, et on ne peut s’empêcher de se sentir bien, tout simplement.

Pour conclure : si j’ai été quelque peu étonnée par le personnage de Scarlett, haut en couleur et écarlate de colère, j’ai une nouvelle fois retrouvé tous les éléments que j’apprécie dans l’écriture de Cathy Cassidy. Le brasier incontrôlable qu’est Scarlett va devenir tout doucement une douce chaleur agréable, et c’est avec affection qu’on la laisse une fois la dernière page tournée. Du pur Cathy Cassidy, tout simplement, dans cette nouvelle histoire qui ravira les jeunes lectrices !
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date : 06-10-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/06/lechappee-julie-tremblay/

En romance, je suis faible, très faible. Et quand le hockey se retrouve mêlé à l’histoire, de près ou de loin, je le suis encore plus. Sans surprise, après seulement en avoir lu le résumé, j’avais donc extrêmement envie de découvrir ce livre.

Si, au départ, j’ai eu un peu peur, étant donné que je n’arrivais pas du tout à accrocher à l’histoire, très vite ce ressenti s’est inversé. Au bout de trois chapitres, j’étais littéralement sous le charme de Myers Lake et du paysage canadien qui y est décrit. Mais, plus encore, c’est une fois la rencontre avec Ethan passée que je savais que je n’allais pas pouvoir reposer ce roman avant de l’avoir fini.

Car c’est sans conteste Ethan qui porte le roman à bout de bras. Pourtant, même s’il est le héro du récit, c’est Anne qui prend le plus de place dans la narration. Mais Ethan m’a incroyablement marquée par son désespoir et j’ai éprouvé énormément d’empathie envers son personnage. Sa souffrance et sa détresse sont très touchantes et donne toute l’ambiance particulière de ce roman.

A l’inverse, le personnage d’Anne m’a chamboulée par tout l’espoir qu’elle met dans ses actions. Même si on sent très vite qu’elle n’est pas une simple saisonnière lambda et qu’elle cache elle aussi une expérience forte et douloureuse, il n’empêche qu’elle est la lumière du roman quand Ethan bascule un peu trop dans l’obscurité. Sans pour autant prendre le pas sur ce dernier ; elle le contrebalance avec une justesse et une volonté à toute épreuve.

Ainsi, tout deux apportent un véritable équilibre, et cela se ressent au sein même du récit. D’ailleurs, j’ai beaucoup aimé la façon dont Julie Tremblay dose son récit. Entre humour, romance, et véritable leçon de vie, elle réussi à donner un sentiment de « réel » à toute son histoire. On y est, on se promène en canoë et de chalets en chalets. Mais, surtout, on observe attentivement la naissance d’un duo, puis d’un couple, qui va s’épauler tour à tour au gré des évènements. Jusqu’à terminer sur un final de toute beauté, tout simplement parfait.

Pour conclure : j’ai adoré ce récit, tout simplement. Si j’étais un peu sceptique au départ, mes craintes se sont vite envolées devant la force que dégagent Ethan et Anne. J’ai été incroyablement touchée par ces deux héros fragiles, blessés et en détresse, qui vont s’épauler et reprendre chacun gout à une vie qu’ils croyaient pourtant sans avenir. L’échappée est une véritable bouffée d’espoir et d’optimisme, ce qui permet de tourner la dernière page de cette romance avec un doux sourire aux lèvres et le cœur rempli d’émotions…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/05/the-ones-daniel-sweren-becker-concours/

The Ones est sûrement la dystopie la plus actuelle que j’ai pu lire. A ce titre, le premier chapitre est tout simplement phénoménal et nous met immédiatement dans l’ambiance. De plus, l’auteur ne s’est pas projeté trop loin dans le futur et nous livre une situation qui pourrait bien être celle de demain, tout en faisant écho à celles d’hier et d’aujourd’hui. Bref, dès le départ, The Ones promettait d’être une lecture déroutante…

Et, en effet, dans un monde où certains sont nés différents, pas « comme les autres », Daniel Sweren-Becker a parfaitement réussi à faire ressentir cette peur de l’autre, de l’inconnu. Une peur qui s’adapte cruellement à de nombreuses réflexions faites actuellement dans les médias. Surtout, à l’heure de la génétique actuelle, où l’éthique s’efface tout doucement au profit de l’idéalisation des bébés catalogues, il est très intéressant de lire les réflexions que l’on trouve dans The Ones.

Car ce livre fait réfléchir, incroyablement. Au-delà de l’intrigue, superbement bien amenée et à travers laquelle il est bien difficile de prendre position tant les avis sont partagés et se valent les uns les autres, l’auteur développe une critique que l’on ne peut s’empêcher de vivre. Je me suis révoltée, j’ai vibré devant les injustices que subissent nos personnages. Mais j’ai aussi compris un bon nombre de pensées, j’ai réfléchi autant que je me suis indignée.

En somme, Daniel Sweren-Becker a su dépasser le caractère habituel de la dystopie. Ici, on a véritablement une réflexion sociétale que l’on ne peut s’empêcher de ramener à notre actualité d’aujourd’hui. L’intrigue est aussi rythmée qu’intelligente, on a du mal à savoir qui va s’en sortir indemne ou non. Très rythmée, elle donne une véritable fluidité et un côté addictif à l’histoire. Et quand vient la fin.. Quelle fin !! Elle révolte encore plus et nous laisse sur un sentiment d’impuissance qui ne donne qu’envie d’en lire la suite, tout simplement.

En définitive, j’avais peur que The Ones ne soit qu’une dystopie de plus, mais ce livre se révèle être beaucoup plus que cela. Je me suis régalée, de la première à la dernière page, et j’ai été surprise de découvrir un univers bien plus proche du notre que l’inverse. Mais, surtout, j’ai adoré toutes les réflexions que ce livre amène à se faire. Extrêmement intelligent, vous ne pourrez pas vous empêcher de dévorer cette histoire et d’en ressortir plus grandis encore. Une lecture marquante pour un sujet qui possède bien des échos…
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/10/04/si-seulement-la-vie-sapprenait-dans-les-romans-damour-kristan-higgins/

Il faut tout d'abord préciser que ce titre est tout simplement parfait. Qui ne s’est jamais fait la réflexion comme quoi tout à l’air tellement plus simple dans les romans d’amour ? C’est sur cette idée que Kristan Higgins a construit son livre, bien loin du schéma heureux traditionnel auquel nous avons droit habituellement.

Je ne vous cache pas que la romance reste omniprésente, tout comme le comique de situation, propre à ce genre. Mais, cette fois, toutes les petites imperfections que l’on ne retrouve jamais dans les romances contemporaines sont également présentes. Car, dans la vraie vie, rien n’est facile, et on a parfois beau le savoir, cela ne nous empêche pas de faire des erreurs.

C’est ce qu’il se passe ici avec Jenny et Rachel. L’une repart sur de nouvelles bases après un divorce qu’elle n’avait absolument pas vu venir, et qui l’a laissée dans une situation plus qu’inconfortable (je vous laisse découvrir tout ça, car le premier chapitre est assez épique… !). Quant à la seconde, elle paraissait vivre la vie de rêve, avec son mari parfait, sa maison parfaite, et ses trois parfaites et adorables triplées. Jusqu’au jour où toutes ces certitudes vont voler en éclat de la façon la plus odieuse qu’il soit…

Deux histoires, deux sœurs et autant d’amour, et pourtant on oublie très vite que l’on se retrouve dans une romance. Car Kristan Higgins a su recréer un cadre tellement vrai, tellement réel que l’on n’arrive pas vraiment à en prévoir la finalité. Je ne vous cache pas que j’ai eu plus d’une fois envie de secouer nos deux sœurs tant elles essaient de s’enfermer dans leurs illusions et finissent par croire les mensonges qu’elles se servent. Difficile dans ces conditions d’ouvrir les yeux et de faire face à la réalité de la situation.

Mais, petit à petit, ces deux femmes vont éclore. Tout doucement dans un premier temps, avant de s’affirmer et de prendre enfin conscience de l’énormité de ce qu’elles vivent. Et c’était superbement bien amené, tant et si bien que cela aurait pu être deux voisines, deux amies, deux femmes comme n’importe qui et comme tant d’autres qui se seraient retrouvées dans des situations similaires. Le tout avec la petite touche d’humour nécessaire pour sourire, se sentir bien, mais aussi beaucoup d’espoir qui nous permet de voir le monde sous un meilleur angle.

Pour conclure : qu’est ce que j’ai aimé ces deux histoires différentes et pourtant si similaires ! Je me suis incroyablement attachées à nos deux sœurs, et je me suis retrouvée à vivre leur histoire à leurs côtés. J’ai refermé ce livre avec un doux sourire aux lèvres, et cette impression que les choses finissent toujours par s’arranger, même dans les situations les plus inimaginables possibles. C’était doux, rêveur, romantique et drôle : la recette idéale pour passer un merveilleux moment !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/29/wallbanger-tome-3-sexygamer-alice-clayton/

Malgré mon coup de cœur pour le premier tome, je n’étais pas très enchantée quant à l’idée de me lancer dans ce troisième opus. Il faut dire que le second avait été une véritable déception, inutile et complètement plat, à l’opposé de ce que j’avais ressenti dans Wallbanger. Du coup, je ne savais pas si j’allais retrouver la Alice Clayton du départ, ou bien celle de Lovemaker…

Surtout que l’on change complètement de couple ici. En effet, on découvre plus en profondeur le personnage de Viv que l’on avait rencontré dans le second tome. Cette dernière ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable, un élément de plus pour me faire redouter ma lecture.

Sauf que je me suis régalée. Complètement. Viv est une héroïne complètement barge et qui vit dans une romance Harlequin. Si si. Et j’ai adoré tous les parallèles qu’en fait l’auteur, plein de second degré et d’auto-dérision. C’était frais, drôle et pétillant à souhait : il ne m’aura fallu que quelques pages pour retrouver la plume enchanteresse qui m’avait faite craquer dans Wallbanger.

Si la romance reste assez prévisible, il n’empêche que j’ai passé un excellent moment. Viviane est un personnage auquel on s’attache assez vite, même si on aimerait parfois lui faire ouvrir les yeux plus rapidement. Elle vit dans un monde assez à part, tout en gardant les pieds sur terre. Mais elle en impose autant par son style que par sa personnalité.

Quant aux autres personnages, si Hank ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, j’ai été à l’inverse enchantée par celui de Clark qui révèle ses facettes au fur et à mesure du récit. De même, j’ai beaucoup aimé l’ambiance qui se dégage de cette petite ville américaine dans laquelle débarque Viv. Petite ville où tout le monde se connait et dans laquelle Viv prend facilement ses marques, de la façon la plus naturelle qu’il soit. Tout comme la vieille maison familiale qui offre une atmosphère et un cadre qui m’ont faite rêver tout au long de ma lecture…

Pour conclure : je suis bien contente de ne pas m’être arrêtée sur la mauvaise expérience du second tome car ce troisième opus rattrape largement cette déconvenue. J’ai retrouvé le style d’Alice Clayton qui m’avait tant séduite au départ ; entre humour et romance j’ai passé un très agréable moment. Je reste curieuse de découvrir ce qu’elle nous réserve pour la suite de cette série !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/27/lux-tome-3-opale-jennifer-l-armentrout/

Je suis tellement dingue de cette série que je ne sais même plus comment vous en parler dans les meilleurs termes. Il faut dire que Jennifer L. Armentrout nous offre un tome parfait. De l’humour, de la romance, des révélations, de l’action… Tout est réuni pour nous faire passer un excellent moment.

Katy s’affirme de plus en plus. En un an, la blogueuse un peu nerd que nous avions rencontrée dans le premier tome laisse place à une jeune adulte un peu effrayée par la situation dans laquelle elle se retrouve malgré elle, mais qui fait preuve d’une force et d’une maturité exemplaire. Elle n’est pas la super héroïne parfaite, elle a fait des erreurs, en fait encore et en est consciente. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle se lamente sur son sort. Elle se remet en question et fait face aux situations avec un aplomb remarquable. Et j’ai beaucoup aimé l’évolution de son personnage sur cet aspect là.

Daemon n’est pas en reste, toujours aussi parfait. Que je l’aime ce gus ; il n’est pas mon book boyfriend préféré pour rien ! Plus on en découvre sur lui, plus il se livre, et plus sa perfection se révèle à la hauteur de son ego. Mais ce ne serait pas Daemon sans cela ! Ses échanges avec Katy sont toujours aussi épiques et c’est un régal de suivre leurs joutes verbales, même si elles sont un chouilla moins explosives qu’auparavant. Tout comme c’est un régal également de voir le couple qu’ils forment se renforcer petit à petit ; ils sont tellement mignons que je n’arrêtais pas de m’extasier sur eux tout au long de ma lecture.

J’ai été surprise aussi par les autres personnages. Que ce soit l’évolution de Dee, assez inattendue mais tellement juste, ou encore Luc, Ash, Andrew, Dawson.. Mais le plus remarquable reste l’intrigue mise en place par Jennifer L. Armentrout. Et, une nouvelle fois, on en prend plein les mirettes. L’univers qu’elle a créé m’époustoufle tome après tome. Il est tellement riche que l’on en vient à redouter les éléments qui semblent se cacher sous la surface. Les retournements de situations sont légions, jusqu’à nous laisser sur une fin insoutenable, un cliffhanger qui me fait déjà me languir de la suite !

Pour conclure : j’aime tellement cette saga que je ne sais même plus quoi en dire… Mais vous l’aurez compris, c’est une nouvelle fois un beau coup de cœur pour cette série avec ce troisième tome qui relance complètement l’intrigue. Je suis complètement sous le charme, accro comme pas possible à Daemon et fan inconditionnelle de Katy. Jennifer L. Armentrout m’a rendu amoureuse des extraterrestres, et je peux vous dire que j’attends déjà la suite de pied ferme. D’ailleurs, il semblerait que les éditions J’ai Lu commencent à avoir pitié de nous, puisque le tome 4 est déjà prévu pour la mi-novembre ! J’ai hâte !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/25/beachwood-bay-tomes-1-2-unbroken-unaffraid-melody-grace/

Il y a quelques années de cela, j’avais découvert les deux premiers tomes de la série de Melody Grace, Beachwood Bay. Mais, à vrai dire, comme je pensais que la suite ne serait pas publiée en France, je ne m’étais pas lancée dans le troisième tome. C’est avec la parution du quatrième (et du cinquième ce mois-ci) que j’ai éprouvé l’envie de continuer cette lecture. Sauf que, sincèrement, avec les livres que j’avais lus depuis, je ne me rappelais plus vraiment de l’histoire. J’ai donc pris le temps de relire les deux premiers tomes.

Ayant donc relus ces deux tomes dans la même après-midi, c’est donc une chronique commune et générale que je vous livre. D’ailleurs, comme lors de ma première lecture, j’ai tout autant apprécié celle-ci. Il faut dire que Melody Grace reste dans le schéma classique de la romance new adult, mais elle le fait avec une simplicité et une facilité assez accrocheuse. Même si le récit reste assez prévisible, la plume de l’auteur est d’une fluidité remarquable qui fait que l’on engloutit l’histoire sans vraiment en voir les pages défiler.

La série possède donc un côté addictif qui n’a pas été pour me déplaire dans ces deux tomes. Pourtant, ces deux derniers, malgré les liens entre les personnages des deux histoires, sont assez différents l’un de l’autre. J’avoue avoir été plus sensible au récit du premier tome, qui m’a fait monter les larmes aux yeux à plusieurs reprises. Le cadre était vraiment magnifique, et j’arrivais à me représenter sans difficulté cette maison familiale au bord de la mer ainsi que toute l’ambiance qui y collait.

J’ai moins accroché à l’histoire du second tome, même si l’histoire en est toute aussi addictive, tout simplement à cause du cadre dont je ne suis pas très friande. Les ranchs ne m’ont jamais vraiment séduite et, même si j’ai été touchée par l’histoire d’Hunter et de Brit, cette dernière m’a moins transportée que celle de Juliet et d’Emerson.

Pour autant, j’ai encore plus envie de découvrir la suite de cette série. Ces romances new adult sont typiquement le genre d’histoire que j’aime lire, simples, légères, mais avec une profondeur et une sensibilité dans la plume qui fait toute la différence. Exactement ce que l’on retrouve ici. Il ne m’en a pas fallu plus que cela pour passer un doux moment, et je suis curieuse de découvrir ce que Melody Grace nous a réservé pour la suite de sa saga !
Pour autant, j’ai encore plus envie de découvrir la suite de cette série. Ces romances new adult sont typiquement le genre d’histoire que j’aime lire, simples, légères, mais avec une profondeur et une sensibilité dans la plume qui fait toute la différence. Exactement ce que l’on retrouve ici. Il ne m’en a pas fallu plus que cela pour passer un doux moment, et je suis curieuse de découvrir ce que Melody Grace nous a réservé pour la suite de sa saga !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/23/charlie-charlotte-shannon-lee-alexander/

En commençant ce livre, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Le résumé m’avait l’air de présenter un young adult tout mignon, un aspect renforcé par le titre, et il est vrai que le cadre scolaire correspondait parfaitement au style que je voulais lire en cette rentrée de septembre.

De ce fait, je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout à ce que j’ai découvert dans l’histoire. Si mes attentes ont été comblées dans une première partie, l’histoire prend ensuite un revirement que je n’avais pas prévu. Cela m’a tellement surprise et déstabilisée que je suis incapable de vous dire, plus d’une semaine après sa lecture, si j’ai vraiment apprécié cette histoire ou non. D’ailleurs, il m’aura fallu autant de temps avant de réussir à en parler à travers cette chronique. Tout simplement car je ne savais pas quoi en penser.

Il faut dire que c’est, en général, le genre de roman que je fuis. La thématique mise en place par l’auteur me rappelle trop de mauvais souvenirs, et je pars du principe que je lis des livres pour m’évader, et non pas pour ressasser l’histoire et la rapprocher de mon vécu. Donc, sincèrement, si j’avais su de quoi il serait question, j’aurais, sans hésitation, passé mon chemin.

Sauf que, voilà, quand je me suis rendu compte vers quoi allait l’auteur, j’en étais déjà à plus de la moitié du roman. Je m’étais attachée aux nombreux personnages, à Charlie, Charlotte, Becca, Mme Finch, la classe de terminale… Je voulais savoir où est ce que tout cela allait les mener. Alors quand j’ai vu le chemin que prenait l’histoire, je me suis sentie acculée. Un peu comme si je m’étais faite prendre au piège par l’auteur. J’étais en colère, énervée contre moi-même de ne pas l’avoir senti venir, et j’avais vraiment ce sentiment de m’être faite complètement avoir.

Et pourtant… J’ai continué. J’étais énervée, mais j’ai continué. Et j’ai suivi l’histoire de Charlie et de Charlotte tout en essayant de m’en détacher, sans grand succès. Car c’était trop tard. Et soudain. Et j’ai pleuré. De tristesse, mais aussi de colère. Car, malgré tout, c’était beau la façon dont l’auteur traitait le sujet. C’était poignant, plein d’espoir, et tout simplement magnifique. Et rien que pour ça, j’étais contente d’avoir lu ce livre. Soulagée de le finir, mais aussi heureuse et reconnaissante envers l’auteur d’avoir partagé tant de sentiments et d’émotions.

Pour être franche, je ne sais pas si je relirai un jour cette histoire. Charlie + Charlotte fait parti de ces livres qui ne procureraient pas la même émotion quand on sait déjà ce qu’il s’y passe. La beauté et la pureté des émotions que l’on ressent sont dûes à cet effet d’inattendu et de surprise. Sincèrement, je ne peux pas vous en dire plus. Je ne sais toujours pas si j’ai aimé cette histoire. Mais je reste heureuse de l’avoir lue, parce que rien que pour la façon dont l’auteur traite son sujet, ce livre mérite que l’on s’arrête quelques heures dessus….
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/22/off-campus-tome-2-the-mistake-elle-kennedy/

The Deal avait été un incroyable coup de cœur cet été. Aussi inattendu que rafraichissant. J’attendais donc vraiment cette suite avec la plus grande des impatiences.

Sans surprise, je me suis une nouvelle fois régalée. Même si, pour ma part, Logan n’a pas égalé Garrett, j’y ai quand même retrouvé tous les éléments qui avaient rendu le premier tome aussi parfait. Dans la pure continuité de The Deal, The Mistake se révèle tout aussi sensuel, doux, mais aussi drôle à souhait. Elle Kennedy a trouvé là une recette qui marche du tonnerre.

L’histoire en elle-même reste assez commune. Pas de grandes révélations fracassantes ou de rebondissements tirés par les cheveux ; l’auteur nous sert quelque chose de simple mais de parfaitement réalisé. On s’attache immédiatement à Logan et à Grace, et j’aime la façon dont ces deux derniers débutent leur histoire. Aussi simplement que n’importe quelle autre. L’auteur ne fait pas l’erreur de tomber dans l’excès, ce qui rend ce récit aussi réaliste et lui donne un cadre imprégné de vérités.

J’ai été incroyablement touchée par les histoires qui se croisent dans ce tome. Des histoires qui pourraient être celles de n’importe qui. Mais, surtout, j’aime la place que possède des valeurs fortes comme l’amitié, la famille et l’amour. Certes, on retrouve quelques quiproquos, mais rien de trop irréaliste ni cliché non plus. Elle Kennedy ne s’égare pas d’ailleurs durant de longs chapitres sur ces faits. Bref, un très bel équilibre dans l’écriture qui fait que l’on profite purement et simplement de cette histoire.

Et, là encore, on passe du rire aux larmes constamment. Sensibilité et humour se côtoient et rendent cette lecture plus savoureuse que jamais. Certains échanges sont d’ailleurs épiques et m’ont fait littéralement exploser de rire ! De même, les personnages n’hésitent pas à ravaler leur fierté quand il le faut, et à admettre facilement la situation dans laquelle ils se retrouvent. Là encore un bel équilibre qui permet au texte de garder sa légèreté et sa beauté sans tomber dans la lourdeur ou encore l’excès.

Pour conclure : si j’ai été un mini chouilla moins emballée par ce tome, c’est uniquement la faute à Garrett qui avait placé la barre bien trop haute dans le premier tome. Mais cette suite se révèle toute aussi excellent que le livre précédent. Je suis complètement fan de cette série, gaga de l’auteur, et je n’ai qu’une seule hâte : pouvoir encore me régaler de sa plume si savoureuse… !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/16/the-generations-tome-2-alight-scott-sigler/

Dire que j’attendais cette suite avec impatience n’est qu’un bel euphémisme. En effet, depuis que j’ai refermé le premier tome, je pense assez régulièrement à cette histoire. J’étais donc plus qu’impatiente d’en lire la suite, tout comme je la redoutais, ayant peur que l’auteur ne parvienne pas à me faire retrouver cette ambiance qui m’avait tant marquée dans Alive.

J’ai très vite était rassurée. Si j’avais cette sensation d’étouffement dans le premier tome, cette impression d’être dans un huis clos, le second tome m’a tout autant surprise. Pourtant, on en a de l’espace cette fois. Mais l’insécurité constante qui y règne, ce sentiment d’avoir peur de se retourner et de découvrir une personne cachée derrière soi… L’auteur ne pouvait pas mieux faire pour nous le faire ressentir que ce qu’il a accompli avec cette suite.

J’ai été sous pression constante tout au long de ma lecture. The Genrations est vraiment une série stressante, et mon rythme cardiaque a du s’emballer plusieurs fois. Je lisais avec ce sentiment d’urgence qui n’habite que très peu de livres, ce besoin presque vital de se rapprocher de la fin tout en redoutant ce que l’on pourrait y découvrir.

Car, encore une fois, l’auteur ne nous ménage pas, mais alors pas du tout. J’ai été choquée à plusieurs reprises. Jusqu’au bout, j’espérais que certains faits qui se produisent ne soient pas réels. J’ai été traumatisée par un évènement auquel je ne m’attendais pas et, à partir de ce moment, j’ai définitivement compris que rien, absolument rien n’était acquis dans cette série. Bien au contraire…

Quant à l’univers, il s’étend encore et encore et devient bien plus riche. L’intrigue devient plus complexe ; il y a tant à découvrir sur Omeyocan que l’on a l’impression qu’on n’en aura jamais fini. On sent vraiment que l’auteur a travaillé tout son background et, à ce niveau là, on en prend plein les mirettes. Les rebondissements surviennent et ne se ressemblent pas ; on va de surprises en retournements de situation pour finir complètement scotchés. Et la fin ! Quelle fin ! Encore plus sensationnelle et insoutenable que celle du premier tome ! Des révélations auxquelles je ne m’attendais absolument pas et qui m’ont fait fermer ce livre avec un cerveau bloqué en mode « Il me faut la suite. Vite. Maintenant. Que vais-je devenir ? La suiiiiiiiiite !!! »

Pour conclure : mais qu’est ce que je l’aime ce petit OVNI littéraire ! Cette série ne ressemble absolument à aucune autre, et ce second tome s’inscrit dans la pure lignée du premier. Action, suspens, ambiance oppressante et rebondissements à foison… Je me suis régalée du début jusqu’à la fin une nouvelle fois magistrale. The Generations est un véritable petit bijou, une expérience littéraire unique en son genre, et j’en veux encore !
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date : 16-09-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/15/la-sirene-kiera-cass/

J’avais beaucoup entendu parler de cette histoire écrite par Kiera Cass bien avant sa célèbre saga La Sélection. Pour autant, les avis étaient plutôt mitigés à son propos. Alors, quand j’ai appris qu’elle avait décidé de retravailler son texte, j’étais plus que ravie, surtout que la thématique des sirènes fait partie de mes préférées en littérature. Sans surprise, je me suis donc plongée dès que possible dans ce roman, curieuse d’en découvrir de quoi il en était question.

Première surprise : j’ai été littéralement subjuguée par la revisite du mythe que nous sert Kiera Cass. Sincèrement, je l’ai trouvé très original et accrocheur, mais aussi très abouti. L’auteur nous immerge complètement dans sa vision du mythe, et c’est aussi magique que magnifique. Elle n’oublie pas d’associer une part sombre à ces êtres enchanteurs et parvient à faire en sorte qu’on leur pardonne bien facilement leur nature destructrice. C’est très bien amené sur ce point, et je me suis vraiment régalée dans cette découverte.

L’auteur nous présente parfaitement la condition et situation des sirènes. Mais, a contrario, cela impacte considérablement la richesse de l’intrigue. Car si l’univers est extrêmement bien fourni, très complet et détaillé, l’histoire en elle-même en souffre. Il faut savoir que nous somme ici dans un one shot. Kiera Cass n’a donc qu’un seul tome pour construire son histoire et présenter son univers. Et, malheureusement, si l’univers est superbement présenté, cela déséquilibre complètement l’autre partie.

Ainsi, la romance passe immédiatement au second plan, voir même au troisième. Car, là encore, l’auteur passe beaucoup de temps à nous faire ressentir les états-d’âme de Kahlen, notre héroïne. Tant et si bien que j’ai passé une bonne grosse partie du roman à me demander où voulait en venir l’auteur, s’il allait y avoir des rebondissements, un intérêt quelconque à tout ce qu’elle nous présentait. Sans surprise, la romance reste donc belle, douce et agréable, mais aussi bien trop rapide dans sa mise en place. J’ai eu du mal à y croire, surtout qu’elle disparait ensuite pour revenir et repartir…

Pour conclure : L’histoire est un éternel va et vient lancinant, comme un flot perpétuel. Elle se découvre, se dévoile tout doucement, et Kiera Cass se révèle captivante et envoutante dans sa revisite du mythe des sirènes. Pour autant, si l’univers foisonne de merveilles, l’intrigue met beaucoup trop de temps à arriver et ne survient qu’à la toute fin du récit. Cela crée un véritable déséquilibre alors que le potentiel était là. Mais, rien que pour ce monde fantastique que dépeint Kiera Cass, cette histoire mérite largement d’être lue, découverte et savourée : j’ai beaucoup aimé ce que j’y ai découvert, même si je reste persuadée que Kiera Cass aurait du aller jusqu’au bout de ses idées !
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/14/aristote-et-dante-decouvrent-les-secrets-de-lunivers-benjamin-alire-saenz/

[...] Alors, certes ce n’est pas THE big coup de coeur. Mais oui, ce fut une lecture belle, intelligente, douce et vraie. Extrêmement vraie. Et si les personnages ne m’ont pas transportée, je me suis quand même attachée à eux. Car Benjamin Alire Saenz écrit avec une justesse et une harmonie touchantes et émouvantes.

Il m’a fallu quand même un petit moment pour bien entrer dans l’histoire. Il faut dire que je n’étais pas très motivée, et la moindre excuse était bonne pour que je repose le livre et que j’en repousse sa lecture. Mais je dois reconnaitre que ça n’a pas trop duré. Car j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cette tranche de vie qui parait si vraie qu’Ari et Dante en deviennent presque réels.

Et c’est vraiment ce fait qui m’a le plus marqué dans ce livre. Au delà de l’histoire, parfaite, qui n’en fait ni trop ni pas assez, tout est incroyable juste. Chaque chose est à sa place, aucun sentiment n’est déplacé. C’est un petit bout de la vie de deux adolescents qui découvrent le monde à quinze ans. Un monde qu’ils ne comprennent pas, et qui ne les comprend pas. Un monde dans lequel ils doivent se trouver une place, mais comment savoir quoi chercher quand l’avenir n’est qu’une notion abstraite et complètement floue ?

Tout ce roman possède un très bel équilibre. Et c’est là que l’on apprécie vraiment tout le travail fournit par l’auteur. Il n’est pas là pour faire dans l’excès, pour marquer les esprits d’une façon ou d’une autre. Il n’est que le narrateur extérieur, l’observateur qui nous décrit tout bonnement l’histoire qu’il a lui même sous les yeux. Il n’invente pas, il n’extrapole pas, et cela donne une véritable sérénité, une plénitude lors de la lecture de ce roman qui fait du bien, tout simplement.

Pour conclure : Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers fait partie de ces livres qui rendent heureux. L’histoire est belle, touchante et d’une justesse merveilleuse. Même si cela n’aura pas été un coup de coeur, il n’empêche que j’ai passé un très beau et bon moment, à la hauteur de ce que j’espérais y trouver. Une superbe histoire sur l’adolescence, sur deux garçons qui se cherchent et qui, à travers l’expérience que la vie leur donne, vont tout doucement, sans précipitation aucune, trouver leur petite place dans ce vaste monde qu’est l’univers.
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https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/13/les-gardiens-des-portes-tome-1-abbygaelle-sonia-alain/

[...] j’ai éprouvé une certaine difficulté à rentrer dans l’histoire. J’ai trouvé que le début était assez long à se mettre en place, et je me demandais constamment quand est ce que les choses allaient commencer à venir. A l’instar d’Abbygaelle, on subit les évènements et on attend que viennent les révélations, qui tardent un peu trop. Du coup, le rythme est lent. Il se passe certes des choses mais comme je n’arrivais pas vraiment à faire le lien entre elle, je subissais ma lecture plutôt qu’autre chose.

Mais dès que les révélations nous arrivent, j’ai été captivée par l’intrigue qui se révèle être assez riche en éléments, s’inspirant de mythes, de légendes et de créatures assez variées. J’ai vraiment aimé la façon dont Sonia arrive à faire se rencontrer tous ces univers sans heurts ni incohérences, tant et si bien que cela parait couler de source.

J’ai beaucoup aimé les mythes qu’a retransmis l’auteur. D’ailleurs, Sonia Alain l’annonçait dès le départ : derrière chaque légende se cache une histoire vraie. Et elle réussit parfaitement à intégrer cela dans une histoire bien plus fantastique encore. J’avoue que c’est cet aspect qui m’a maintenue en haleine tout au long de ma lecture. J’étais vraiment curieuse d’en connaitre le dénouement, et je n’ai absolument pas été déçue sur ce point.

Par contre, mon gros point négatif sera à l’encontre de Marcus et Abbygaelle. J’ai vraiment eu du mal avec nos deux personnages principaux. Non pas par leur caractère ou sentiment, mais surtout parce qu’ils m’ont paru d’une naïveté sans borne. La jeune fille est menacée, mais son protecteur la laisse souvent seule et s’étonne ensuite que le « méchant » parvienne à l’approcher à chaque reprise. Sincèrement, ça m’a exaspérée à chaque fois tant c’était couru d’avance, et c’est surement ce point qui fait que j’ai eu du mal à m’attacher à eux.

Pour conclure : Il m’aura fallu un certain moment avant de trouver le déclic et de ne plus lâcher cette histoire. Sonia Alain installe son intrigue morceau par morceau, parfois au détriment du rythme du récit. Mais une fois que tout se met en place, je ne cache pas avoir beaucoup apprécié cette lecture. Je reste curieuse de découvrir la suite de cette série, surtout que le prochain tome, dont les premières pages plante un décor en Écosse, m’a l’air bien plus alléchant. Il faut dire que, maintenant que les bases de l’intrigue sont posées, il ne reste plus qu’à profiter de la suite de cette série !
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date : 12-09-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/12/come-back-to-me-mila-gray/

J’ai très vite repéré ce livre à sa sortie. Sa couverture m’a tapé dans l’œil, mais c’est surtout son résumé qui m’a attirée. J’ai donc profité de la tranquillité de cette fin du mois d’aout pour en découvrir l’histoire.

Et j’ai très vite déchanté. Pourtant, c’était bien parti avec le prologue qui donne le ton. Du coup, j’ai passé la moitié du récit comme avec l‘impression qu’une épée de Damoclès se trouvait au dessus de la tête des personnages principaux. Tant et si bien que je n’osais espérer de fin heureuse à cette histoire.

Mais, au-delà de la puissance de ce que le prologue annonce, et malgré le fait que la thématique émotionnelle était bel et bien présente avec cette histoire sur les soldats américains déployés dans les pays à risque, je me suis ennuyée. Je n’ai absolument pas accroché avec les personnages, que je trouvais plats et insipides.

Surtout Jessa, qui m’a fait pensé à une gamine de quatorze ans, et non pas à la jeune adulte qu’elle affirme être. Une héroïne que j’ai eu envie de tarter à plus d’une reprise, un sentiment que je n’avais pas connu depuis Kiera dans la série Thoughtless. Dans le même genre, elle ne m’a fait absolument rien ressentir et, au contraire, m’a fait lever les yeux au ciel plus d’une fois. Quant à Kit, ce dernier manquait vraiment de charisme. Certes ce dernier fait preuve d’un romantisme sans faille, mais j’ai trouvé que ça manquait d’un certain naturel. Cela semblait préfabriqué, tant dans ses sentiments que dans sa relation avec Jessa. Je n’ai pas réussi à y croire une seule seconde…

Enfin, le cadre du récit ne laisse pas de place à la surprise. C’est même presque un peu trop cliché pour faire vrai, ce qui est vraiment dommage car le contexte, la thématique était là. Mais l‘auteur en a fait quelque chose de léger, prévisible à des kilomètres à la ronde et j’ai eu cette impression qu’elle n’osait pas allait au fond des choses. Ce qui est dommage, car il y avait vraiment matière à en faire quelque chose de formidable et de poignant. Mais Come Back to me reste à ce simple stade de romance basique et sentimentale, sans prise de tête aucune…

Pour conclure : je m’attendais à quelque chose de poignant, de fort et de percutant. Si le prologue semble annoncé tout cela, le reste de l’histoire m’a fait déchanter. L’auteur survole complètement sa principale thématique pour ne rester focalisée qu’uniquement sur sa romance qui m’a parue loin d’être naturelle. L’héroïne m’a agacée, les sentiments mis en place paraissent pré-fabriqués… Bref, je n’ai pas réussi à ressentir cette force émotionnelle que je m’attendais à retrouver. Une véritable déception.
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date : 10-09-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/09/le-club-tome-3-love-lauren-rowe/

Moi qui reprochais aux deux premiers tomes de laisser complètement le Club de côté malgré les informations que l’on obtenait au compte goutte, j’ai été royalement servie ici. Enfin ce dernier se dévoile et on plonge littéralement au cœur de cette organisation sombre et criminelle.

De ce côté-là, l’auteur ne nous ménage pas. C’était déjà un fait assez récurrent dans les deux autres tomes, mais dans ce troisième elle se lâche carrément et ne fait pas dans la dentelle. C’est ce qui m’a le plus plu : elle n’hésite pas à aller jusqu’au bout de ses idées, quitte à en marquer le lecteur. Mais cela colle parfaitement à l’ambiance qu’elle avait commencé à instaurer petit à petit dans les deux premiers tomes et permet de garder une cohérence véritable entre tous les livres.

La relation entre Josh et Sarah devient moins sulfureuse, même si les scènes sexuelles sont toujours très présentes. Mais ces derniers sont dorénavant sûrs de leurs sentiments et n’ont plus besoin de se le prouver. La confiance entre eux permet justement à l’auteur de développer pleinement son intrigue, et cela rééquilibre toute la « trilogie ». On en apprend ainsi plus sur eux, ils n’hésitent pas à dévoiler des pans entiers de leur passé, et c’est un aspect que là aussi j’ai beaucoup apprécié.

Pour conclure : ce tome remplit pleinement les promesses annoncées au début de la série. Lauren Rowe se lâche complètement dans cet opus et nous livre le fin mot d’une intrigue qui m’a maintenue en haleine dès le départ. Je me suis régalée dans ce livre, et c’est avec regret que je quitte Josh et Sarah. J’espère sincèrement que l’on aura la possibilité de voir paraitre en France la suite de cette série qui s’est révélée être une très jolie surprise !
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date : 08-09-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/08/love-ticket-mikky-sophie/

C’est avec ce titre que j’ai donc découvert les éditions de La Condamine qui publient exclusivement en numérique « le meilleur des histoires plébiscitées par les lecteurs sur Fyctia, le premier réseau social français de concours d’écriture ». Je n’ai donc pas hésité avant de découvrir ce livre, autant pour me faire mon propre avis sur la Condamine que pour le sujet qui a su immédiatement parler à l’ancienne travailleuse en restauration rapide que j’ai été.

Utilisé un tel cadre pour planter son histoire… Il fallait oser. D’ailleurs, l’auteur ne s’y trompe pas et nous plante un décor loin d’être glamour. Sauf que, pour avoir été dans le même milieu, j’adhère à deux cent pour cent à ce que nous décrit l’auteur. Où comment Mikky Sophie arrive à redonner des strass et des paillettes à un univers de friture et de sueur…

La première partie de Love Ticket parait assez classique. La jeune femme belle mais pauvre rencontre THE beau gosse par excellence, et quitte sa situation peu reluisante grâce à un formidable coup du sort.. J’avoue que j’ai lu cette partie du récit sans plus, et j’étais de ce fait assez déçue par le côté ultra prévisible du récit.

Et puis Mikky Sophie introduit un élément qui fait basculer le récit. Mélissa n’est plus le centre de l’histoire, c’est David qui prend les commandes et qui plonge l’intrigue vers un quelque chose de plus profond que je n’avais pas du tout entr’aperçu. Le récit s’épaissit, ses personnages en deviennent plus consistants, et je ne cache pas avoir littéralement avalé cette seconde moitié tant l’auteur a réussi à renouveler complètement son histoire.

Malgré quelques incohérences qui subsistent, et des éléments qui paraissent un peu trop lolilol, j’ai quand même passé un bon moment. L’histoire se laisse lire avec plaisir et parvient à nous embarquer sans problème. C’était léger, pétillant, drôle et sensuel : exactement ce que je m’attendais à retrouver.
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date : 06-09-2016
https://aliceneverland.wordpress.com/2016/09/06/et-si-rebecca-donovan/

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre avec cette nouvelle histoire de Rebecca Donovan. Il faut dire que, si j’avais été incroyablement secouée par le premier tome de sa série Ma raison de vivre, le deuxième opus m’avait laissée complètement insatisfaite. Du coup, je n’ai jamais osé me plonger dans la suite et fin de la saga. J’étais donc aussi curieuse qu’incertaine quant à ce nouveau récit.

Il faut dire que le résumé est complètement intrigant. Et l’histoire l’est tout autant. Durant toute une grande partie, on reste sur ce sentiment de ne rien savoir. Et dès que l’on commence à avoir la moindre petite certitude, l’auteur s’arrange pour que cette dernière s’évanouisse. Bref, je ne savais pas vraiment sur quel pied danser durant ma lecture, et c’était assez perturbant.

Ta fille « et si » ! Ça me plait bien .

Surtout que cette histoire reste carrément addictive. Impossible de reposer le roman, j’avais ce sentiment comme quoi il me fallait à tout prix savoir de quoi il en retournait. Ça en devenait presque vital, je ne pouvais m’empêcher d’échafauder mille et une théories jusqu’à les voir s’effondrer les unes après les autres.

Il faut dire que Rebecca Donovan arrive parfaitement à se jouer de son lecteur grâce à plusieurs strates narratives qu’elle maitrise vraiment bien. Même si ce fut assez complexe, dans un premier temps, de comprendre son schéma narratif, j’ai vite été séduite par la façon dont elle construit son récit à travers de nombreux flashback, retours en arrière (et non, ces deux principes ne sont pas du tout identiques ici) et en reliant le tout à la trame principale. C’est extrêmement bien fait, et j’ai trouvé que cela apportait la touche d’originalité qu’il fallait à cette histoire.

Alors laisse les étoiles agir. Elles vont tout arranger. Quand le soleil se lèvera et qu’elles disparaitront, elles auront emporté toute ta douleur.

Mais la beauté de l’histoire réside non pas dans le duo Cal-Nyelle, mais plutôt dans le quatuor Richelle-Cal-Nicole-Rae . Et c’est tout simplement, là encore, merveilleusement bien fait. Sincèrement, j’ai été touché par chacun de ces personnages alors qu’ils paraissent aux antipodes les uns des autres. Mais un lien les unit, un lien indéfectible qui trouve tout son sens grâce à cette histoire. Plus cette dernière avance, plus on voit les nœuds se défaire et les fils s’entremêler pour mieux se démêler. C’est à la fois beau puis douloureux, et je ne vous cache pas que la fin m’a laissée avec quelques sanglots dans la gorge…

Pour conclure : Touchant, émouvant et superbe : Et si… comporte un équilibre émotionnel parfait qui ne m’a pas laissée de marbre. Même si je suis passée à un cheveux du coup de cœur, j’ai été bouleversé par la puissance et l’espoir qui ressortent de cette histoire. A la façon de Rainbow Rowell, Rebecca Donovan m’a véritablement surprise avec ce livre, et je ne cache pas être complètement retombée sous le charme. Et si… est une sensationnelle ode à la vie et à l’amour ; une très belle histoire qui m’a véritablement chamboulée…!
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