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Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime Hector, qui est mort... Pris dans une chaîne amoureuse sans issue, comment pourraient-ils s'en sortir ? De fait, quand le rideau s'ouvre, tous les éléments de l'étau tragique sont déjà prêts à se refermer sur les personnages : prisonniers de leurs passions, leur perte est inéluctable. Racine orchestre avec délectation leurs débats impuissants, leurs actions désespérées, et leur terrible fin, pour le plus grand plaisir du spectateur et du lecteur. Modèle par excellence de l'écriture classique, Racine n'en reste pas moins d'une modernité étonnante : sa peinture des rapports humains et sa connaissance du cœur amoureux touchent peut-être plus que jamais. En particulier dans Andromaque qui est sans doute, avec Phèdre, la tragédie où la passion amoureuse est la plus dévastatrice. Et sur scène, depuis sa création en 1667, le succès ininterrompu d'Andromaque est la preuve vivante de cette modernité. Pour prolonger votre lecture, et découvrir des pièces moins connues, reportez-vous au premier tome des Œuvres de Racine qui vient d'être réédité dans la Pléiade.
Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime Hector, qui est mort... Pris dans une chaîne amoureuse sans issue, comment pourraient-ils s'en sortir ? De fait, quand le rideau s'ouvre, tous les éléments de l'étau tragique sont déjà prêts à se refermer sur les personnages : prisonniers de leurs passions, leur perte est inéluctable. Racine orchestre avec délectation leurs débats impuissants, leurs actions désespérées, et leur terrible fin, pour le plus grand plaisir du spectateur et du lecteur.
Andromaque est la seule Troyenne parmi les Grecs, et elle est officiellement inférieure à tous. Mais avec l’intervention des sentiments amoureux, la mère captive est hissée au pouvoir : c’est elle qui a le sort de tous entre ses mains. Oreste est soumis à Hermione, qui se soumet à Pyrrhus, qui est à genoux devant Andromaque, et celle-ci est le seul personnage « libre », qui n’est pas prisonnier de l’amour passionnel. En quelque sorte, on pourrait voir cette ascension et cette domination comme la revanche de Troie sur les Grecs. J’ai lu cette tragédie pour l’école. D’habitude, je préfère la prose au théâtre, mais j’ai été agréablement surprise, car l’histoire m’a beaucoup plu. C’est la première pièce de Racine que j’ai lue, et elle m’a donné envie d’en lire d’autres. Je vous le recommande vraiment, l’écriture de Racine est magnifique, ou si vous avez l’occasion d’aller voir la pièce au théâtre, alors je vous conseille encore davantage d’aller la voir.
"Andromaque" est l'une des tragédies les plus emblématiques de Jean Racine, créée en 1667. Elle s'inscrit dans la tradition classique française et se distingue par sa profondeur psychologique, son intensité dramatique et la pureté de sa langue. La pièce est ancrée dans la mythologie grecque et se concentre sur les thèmes de l'amour, de la jalousie, de la vengeance et de la fidélité.
Lu dans le cadre des cours, je n'ai pas tellement de souvenirs de cette pièce. Je sais juste que le personnage d'Andromaque ne m'a pas vraiment séduite et que je me suis un peu ennuyée.
Racine sait bien écrire ses tragédies, celle ci est prise dans une spirale infernale: Oreste éprouve des sentiment pour Hermione, qui aime Pyrrhus qui lui est tombé éperdument amoureux de son esclave Andromaque qui veut rester fidèle à son défunt mari Hector.
La première fois que j’ai lu cette œuvre était pour les cours de seconde, bien évidemment ça ne me donnais pas envie. De plus, ce livre est assez compliqué au niveau de la langue car il est écrit avec d’anciens mots et les phrases sont tournés dans un ancien sens. Il faut le lire sans y être forcé sinon vous risquez de vous mélanger et d’abréger votre lecture sans comprendre le sens et l’importance des différents dialogues.
C'est un bon classique, facile à lire et rapide. J'ai apprécié le lire même si cela ne m'a pas passionné. Je l'ai plus lu par obligation que par ma volonté.
Andromaque est ma pièce de théâtre préférée, celle que je conseille toujours. Cela fait des années que je n'ai pas plongé dans cette tragédie, mais il m'arrive encore souvent d'y penser. Je me ferai peut-être une nouvelle relecture car, je dois bien l'avouer, j'aime me plonger dans ce genre de lecture.
Je trouve que le personnage d'Andromaque est une des grandes figures féminines de la mythologie grecque, elle porte et incarne dans un sens énormément de valeur. La plume et la poésie sont fluides, recherchées mais compréhensibles. Et comment ne pas mentionner les liens entre tous les personnages. Il y a quelque chose de captivant et beaucoup de thèmes forts sont abordés.
Ce n'est pas le personnage le plus connu de la mythologie grecque et pourtant, pour moi, c'est une des femmes les plus admirables de l'époque. Courageuse, aimante, fidèle, forte et fragile à la fois. Un classique, certes moins connu que Phèdre, mais je l'ai préféré!
Dans un cercle vicieux d’amours déçues, les répliques fusent et les affrontements ont un cachet épique. Racine développe avec adresse une tragédie faite de rebondissements en séries, captant l’intérêt avec facilité et emportant le lecteur dans un tourbillon passionnel fascinant.
Franchement je ne pensais pas prendre autant de plaisir à lire cette pièce de Racine. J’étais un peu perdue au début, n’ayant pas eu tout de suite la référence sur certains personnages mais petit à petit, je me suis rappelée du film Troie et ça m’a beaucoup aidé 😂 Si j’avais pris latin au collège je me dis que j’aurai pu mieux m’en sortir dans la compréhension du latin et de la mythologie… mais bon j’étais un peu flemmarde à l’époque.
En tout cas c’est une très belle tragédie même si à notre époque ça paraît vraiment inimaginable… toutes ses morts causées par l’amour …mais qui pourtant peuvent bien être réelles.
La lecture était fluide et la poésie recherchée. C’était très agréable à lire. Je sais c’est étonnant mais j’ai découvert quand lisant ses pièces un peu plus tard… et bah on comprend davantage le message que lorsqu’on est au collège.
Résumé
Oreste aime Hermione, qui aime Pyrrhus, qui aime Andromaque, qui aime Hector, qui est mort... Pris dans une chaîne amoureuse sans issue, comment pourraient-ils s'en sortir ? De fait, quand le rideau s'ouvre, tous les éléments de l'étau tragique sont déjà prêts à se refermer sur les personnages : prisonniers de leurs passions, leur perte est inéluctable. Racine orchestre avec délectation leurs débats impuissants, leurs actions désespérées, et leur terrible fin, pour le plus grand plaisir du spectateur et du lecteur. Modèle par excellence de l'écriture classique, Racine n'en reste pas moins d'une modernité étonnante : sa peinture des rapports humains et sa connaissance du cœur amoureux touchent peut-être plus que jamais. En particulier dans Andromaque qui est sans doute, avec Phèdre, la tragédie où la passion amoureuse est la plus dévastatrice. Et sur scène, depuis sa création en 1667, le succès ininterrompu d'Andromaque est la preuve vivante de cette modernité. Pour prolonger votre lecture, et découvrir des pièces moins connues, reportez-vous au premier tome des Œuvres de Racine qui vient d'être réédité dans la Pléiade.
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