Commentaires de livres faits par maplv8
Extraits de livres par maplv8
Commentaires de livres appréciés par maplv8
Extraits de livres appréciés par maplv8
Eadlyn, que j'ai toujours préférée à America, évolue vraiment et, aussi surprenant et bizarre que ça puisse paraître, je me suis vraiment identifiée à elle. Elle reste toujours ambiguë, mais son caractère devient plus vivable. J'ai aussi beaucoup aimé les candidats : Henri me faisait craquer, Kile était le prince charmant, Hale l'adorablitude en personne et j'en passe. Oui. J'ai aimé retrouver cet univers, avec les prétendants, une princesse perdue et ce château que j'imagine splendide.
Cependant, je n'ai pas tout adoré. America et Maxon, le couple parfait, alors qu'on sait tous qu'ils passaient leur temps à se disputer étant plus jeunes (c'est ce qui faisait le piment de l'histoire d'ailleurs).
La fin. Je ne suis toujours pas d'accord.
Certains choix d'Eadlyn sont vraiment discutables et surtout : elle prend des décisions sur un coup de tête. Décisions importantes, décisives pour l'avenir du royaume.
La traduction. Je l'ai lu en français, puisque j'avais lu la saga entière en français. J'ai trouvé des fautes d'orthographe et de traduction (les anglicismes...). C'est purement sur la forme mais je dois dire que ça 'a un peu hérissé le poil par moments.
J'aurais aimé que le livre soit un poil plus long, pour que les relations entre Eadlyn et les autres s'affinent un peu. Jai franchement été déçue de la fin, que j'avais déjà prédite au milieu du livre.
Malgré tout, c'était un livre à la hauteur du reste de la série. Divertissant. Simple à lire et à comprendre. Cette série a le pouvoir de vous détendre à une vitesse affolante. Je me suis délectée des twists et des moments de tension. J'ai adoré suivre Eadlyn parce qu'elle évolue vraiment. J'ai d'ailleurs préféré L'héritière et La couronne aux trois premiers tomes.
Je garderai un très bon souvenir de cette série, foncez la lire !! :)
Antoine a perdu sa femme dans les attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan.
Cette phrase résume tout. Cette toute petite phrase fait remonter chez chacun de nous des tremblements, des sueurs froides, une peur viscérale. Ces quelques mots, cette évocation, nous plonge à nouveau en ce funeste vendredi soir. On se souvient tous de où on était. De ce qu’on faisait. De qui était avec nous. On se souvient de notre insouciance et de notre bonheur de vivre. De cette sécurité qu’on avait toujours eue.
Vous n’aurez pas ma haine, c’est une histoire de vie. L’histoire d’une vie arrachée, et de tous les dommages collatéraux. C’est l’histoire d’un homme meurtri et de son fils trop petit pour comprendre. L’histoire d’un soir digne d’un mauvais film hollywoodien. Ce sont les mots d’un homme brisé mais qui doit être là pour son fils. D’un homme brisé prêt à montrer au monde que haïr ceux qui lui ont enlevé son aimée n’est pas la solution. Que la solution, c’est de rire et de vivre et d’en profiter.
J’ai eu mal. J’ai eu mal. J’ai eu tellement mal. Pas un chapitre ne passait sans que ma gorge ne se serre, sans que ma vision ne se brouille, sans que mon corps ne frissonne. Ce livre, c’est le témoignage d’un homme qui n’avait rien demandé et qui s’est fait enlevé l’amour de sa vie. Ce livre, c’est le témoignage d’une femme, tombée sous les balles pour être sortie s’amuser. Ce livre, c’est le témoignage que ce petit garçon qui ne comprend pas où est maman. Ce livre, c’est la parole de familles cassées et irréparables. Des destins coupées. Des projets effacés. Des sourires oubliés.
Mon cœur saigne toujours. Et je pense au petit Melvil qui doit avoir bien grandi maintenant. Je pense à Antoine et à ses nuits blanches. Je pense à cette tombe, dans l’allée X du cimetière Montmartre et qui ne devrait pas être là. Je pense à cette photo que j’ai vue d’elle, et son image me hante. Sa vie me hante. Cette joie me hante. Me dire qu’elle ne respire plus, qu’elle ne respirera plus jamais, me hante. Que Melvil ne rira plus dans le bain, entouré de ses deux parents me hante. Qu’Antoine ne verra plus Hélène se déhancher sur des chaussures vertigineuses à moitié nue me hante. Que son rire s’est éteint pour toujours me hante.
Je l’ai lu en une heure. Et j’ai souffert. J’ai pleuré cette humanité perdue. J’ai pleuré cette France meurtrie.J’ai pleuré ces vies de gens qui m’étaient inconnus. J’ai pleuré ces yeux fermés et ces cœurs immobiles pour l’éternité.
Vous n’aurez pas ma haine m’a forcée à ne pas oublier. A vivre pour toutes ces personnes qui ne vivent plus depuis 1 an et demi. Antoine Leiris m’a montré une douleur omniprésente et atroce. Pas pour qu’il fasse figure de héro. Pas pour inciter à la haine ou à la colère. Non. Il a voulu exprimer sa douleur parce que cette douleur n’aurait jamais dû s’ancrer en lui ce vendredi 13.Parce qu’il aime sa femme et qu’en écrivant ce livre il ne pouvait rêver un plus bel hommage. Parce qu’en 124 pages, on apprend à aimer Hélène et à la pleurer sans même la connaitre.
Ce livre n’est pas à propos de la mort. Il est à propos de la vie. La vie continue. Bouleversée. Défigurée. Haïssable. Mais elle continue. Et rien que pour emmerder ceux qui ont jugé judicieux ou héroïque de tirer sur des innocents :
VOUS N’AUREZ PAS MA HAINE.
Je ne m'attendais pas à ce que Will soit lycéenne et quelque part, ça m'a déçue. J'aurais voulu voir une femme d'une vingtaine d'années, émancipée, heureuse, qui s'assume. Je me suis retrouvée avec une fille de mon âge, paumée, défaitiste et franchement immature.Et je n'ai pas détesté ce livre, malgré tout. L'idée du concours de beauté m'a plu. Ellen m'a plu. L'univers en général m'a plu. Mais pas Will. Non. Pas du tout. J'aurais voulu refermer le livre en me disant "Je peux le faire!". J'aurais voulu aimer ce livre pour tout ce qu'il représente : confiance en soi, rejet des codes, bonne humeur, positive-attitude. Raté.
TOUT.
Tout dans ce livre m'a bouleversée. Je suis passée par un millier de couleurs en lisant ces pages. Je suis passée par toutes les émotions possibles et inimaginables. J'ai ri, j'ai failli verser ma petite larme, j'ai senti mon cœur péter un câble parce que "non c'est pas possible". J'ai eu peur, j'ai été atterrée devant tant d'humanité, de vie et paradoxalement tant de mort et de dureté.Markus Zusak signe ici, je pense, une base de ce que devrait être l'être humain et nous pousse à réfléchir sur nous-mêmes. Et sur le reste : la mort, la guerre, l'amour, la différence. J'ai adoré La Voleuse de livres parce que je me suis sentie vivante en le lisant et que même s'il fait 600 pages et des brouettes, je l'ai dévoré en moins d'une semaine :).
La narratrice, c'est la Mort. Original de base. Mais carrément brillant quand on se lei d'amitié avec elle. Je l'a adorée. Elle m'a éclatée. Je l'ai trouvée tellement humaine et vivante (je sais c'est bizarre) mais peut-être plus attachante que les autres.
Liesel, je ne sais pas. Je n'ai jamais su. Elle m'a retournée parce qu'elle est attachante et parce que son histoire ne peut-être qu'attendrissante. Et des fois avec son caractère de cochon je me suis dit "purée Liesel !". Mais en fait elle est adorable.
Rudy. Les gars, cela faisait longtemps que je n'avais pas autant aimé un petit garçon dans un livre. Son côté fougueux et téméraire, son côté têtu m'ont fait fondre mais surtout son courage.
Hans. Alors là, Hans. Les mots me manquent. Sincèrement. Il incarne le papa parfait. Il incarne la bonté, la générosité et l'intelligence tout en même temps. C'était un peu la force tranquille du roman et je l'ai adoré pour ça.
Rosa m'a fait mourir de rire. Vraiment. Je l'imaginais si bien... avec sa cuillère en bois :).
Les autres, je vous laisse les découvrir mais honnêtement, ce livre est une pure pépite.
Mais hormis tout cela, j'ai trouvé ce livre vraiment intéressant et surtout original. Une intrigue différente de d'habitude.
Chapeau pour ce premier livre, Morgane !
Les bons points maintenant ! Park ! J’ai adoré ce personnage. Il est tout ce dont on avait besoin dans la littérature : l’humour, le charme, l’originalité, l’intelligence, la fidélité. Tout ce que j’aime ! :)
J’ai adoré le fait que sa mère soit coréenne, là encore ça change de d’habitude (un personnage aux origines autres qu’américaines, françaises ou anglaises). Il est vraiment adorable par moments et j’ai vraiment adoré sa timidité trop mignonne ! Plus, Eleanor et lui sont très différents, du coup ça donne un joli petit couple contrasté bien choux :)
Sinon l’histoire en elle-même était bien tournée, bien écrite (en anglais suuuper accessible :) ), bien amenée. Des sujets lourds sont abordés, ce qui apporte une dimension réelle au livre. Vraiment, j’avais l’impression de lire la vie d’une vraie lycéenne et d’un vrai lycéen :) Superbe découverte, même si pas un coup de cœur malheureusement.
Je vous le recommande chaudement, ce livre est une bulle d’originalité qui fait réfléchir (qui suis-je ? Qui ai-je été avant que le monde ne me restreigne avec ces codes à deux balles ?). Et en prime, vous aimez vos parents après avoir lu ce livre (vous verrez que certains personnages parentaux sont des crevures). Breeef ! Bonne lecture ! :)
Ce roman s'il brûle, brûle à la manière de la glace, c'est tout à fait ça ! :)
Bonne lecture !!
1984 est à la hauteur de sa réputation. J'ai aimé ce côté théorique, ces explications (parfois un peu interminables j'avoue), ce côté futuriste mais dans le passé. En effet, 1984 a été écrit en 1949. C'était donc l'équivalent de nos dystopies actuelles ( un futur proche mais loin). Je dois dire que la littérature en 1949 était quand même plus complète que notre littérature actuelle. J'ai vraiment trouvé un État intéressant, bien mis en place. Et puis, Winston n'est pas héros. Dans son âme il est profondément humain, et cela m'a vraiment marquée. Enfin un personnage faible par moments, perdu, écrasé, oppressé, mais impuissant ! J'ai aimé cette humanité, cette originalité qu'il avait. Et je ne pouvais m'empêcher de comparer 1984 aux romans d'anticipation/SF/dystopiques qui sortent par milliers des maisons d'édition et qui racontent globalement tous la même histoire. Assez ironiquement, 1984 m'a fait croire que la dystopie peut se renouveler, alors que le livre en lui-même est précurseur du genre.
En définitive, ce fut une excellente lecture, très axée sur l'esprit et la manipulation de celui-ci. Cela m'a plus effarée que toutes nos dystopies (que je dévore, n'en doutez pas) où l'esprit n'est peut être pas assez développé.
Bonne lecture, foncez !
Pourquoi ?
Le personnage de Bishop a, selon moi, été absolument métamorphosé entre le premier et le deuxième livre. Je l'ai trouvé bestial, brute dans ses sentiments, lui qui m'avait habituée à plus de sensibilité et de romantisme . Trop catégorique , trop désireux de jouer au héros, et tellement sûr de lui.. Oui, Bishop, MON Bishop, s'est retrouvé transfiguré, déformé, et totalement infidèle à lui- même. Rien que ça, ça a totalement fait descendre mon estime pour cette duologie.
Mais ce n'est pas tout. Déjà dans le premier tome, l'histoire avait parfois frôlé le cliché. Dans celui-ci, on y est, et les deux pieds dedans ! Beaucoup de scènes sont là uniquement pour arranger l'auteure. Je n'en citerai pas, mais les rares de mon avis comprendront de quoi je parle.
Mais à part ça, et le comportement d'Ivy à la fin
J'ai longtemps réfléchi à cette toute petite phrase. Mais c'est vrai. On accepte l'amour que l'on croit mériter. Et ne vous attendez pas à ce que ce livre révolutionne le monde, mais croyez-moi, il vous révolutionnera, vous. Toutes ces pensées inutiles qui nous traversent l'esprit dans le journée, et bien Charlie en a plein en réserve, et je me suis rendue compte qu'elles sont tout sauf inutiles. Il se questionne sur lui-même, sur le monde, et par extension, il nous fait nous demander qui nous sommes et pourquoi on est ainsi.
J'ai été Charlie. On a tous été Charlie, nouvel élève, la peur au ventre, dévorant livre sur livre. On s'est tous inquiétés du regard des autres sur nous. On s'est tous regardés dans le miroir et on s'est tous trouvés pas assez bien. On s'est tous comparés au copain de gauche ou à la copine de droite. Mais Charlie, lui il a compris que c'était inutile. Que le regard des autres importe peu quand nous sommes entourés de belles personnes qui nous aiment pour ce que nous sommes. Vous me pensez hors sujet ? Pas moi. J'ai ressenti ce livre comme étant un ouvrage fait pour que l'on réfléchisse sur nous-mêmes et fait pour nous dire : "J'ai de la chance. Je suis bien. Je vais me relever."
On a tous eu des mauvaises passes, et il faut bien admettre que Charlie les collectionne, mais on a pas pitié de lui. on s'identifie à lui. On est tous Charlie.
Pourquoi ?
Déjà, le style de Stephen Chbosky. Accessible, mais poétique. Courant mais touchant. J'ai adoré lire les mots de cet auteur. J'avais l'impression de lire une vraie lettre qui m'était destinée. J'étais dans la vie de Charlie, et c'était grandiose. Plein de couleurs et de découvertes. J'ai trouvé ce livre vrai et je trouve qu'il dépeint bien notre monde et l'adolescence.
Sam. Sam avec sa répartie et sa féminité indéniables. C'est le flou. Que ressent-elle, qui est-elle ? Et je l'ai aimée du début à la fin.
Je pense en tout honnêteté que mon personnage préféré reste Patrick. Mon rêve serait d'avoir un ami comme Patrick. Il est tellement touchant, et humain, et sensible. J'ai adoré suivre ses péripéties, je le trouvais tellement vrai. Vraiment, il est génial !
Bref, abrégeons ce commentaire immense, j'ai adoré ce livre vous l'aurez compris ! Je vous conseille vraiment de le lire ou au moins de voir le film. Vous ne pourrez plus de vous passer de Charlie, Sam et Patrick.
Bonne lecture !! :p
Jennifer Niven a réussi à me faire rêver au prince charmant encore plus fort qu'auparavant. Finch est différent, mais tellement... Je ne sais pas, j'ai ressenti quelque chose, assise là à lire ses pensées les plus profondes. Violet m'a moins marquée, je ne saurais dire pourquoi, mais je me trouvais face à une fille plus ou moins banale, ce qui ne me dérange pas à la base, mais être banale à côté de Theodore Finch, c'est s'effacer.
Cela n'influe en rien sur le fait que je pourrais faire des éloges de ce livre pendant des années encore. On a tous besoin de moments où on met ses problèmes de côté et on se concentre sur la vie des autres. Ce livre, c'est ça. C'est beau, c'est vrai et on en redemande. Notre vie ne nous importe plus beaucoup lorsqu'on rentre dans la tête de Violet et de Finch. Quel duo ! Improbable mais tellement... évident au final. Le noir et le blanc, le yin et le yang et pourtant, ils étaient parfaits tous les deux. L'auteure nous fait ressentir cette évidence, et nous... on tombe les deux pieds dans le plat.
Ce sont des personnages avec leurs cicatrices, leurs problèmes, leurs peurs et leur personnalité, qui pourtant s'assemblent pour ne faire qu'un. J'ai aimé ces différences qui les rapprochent finalement.
Pour ce qui est de l'histoire, je ne vais pas trop en dire car je me suis moi-même plongé dans ce roman sans vraiment savoir de quoi il parlait, et c'est génial de découvrir le décor petit à petit, sans avoir reçu d'indices au préalable. Tout ce que vous aurez à savoir, c'est que c'est une histoire belle, simple et compliquée, banale mais unique, et vraiment je ne peux que vous la conseiller !
J'ai adoré. C'est tout. C'était moi, dans ce livre. Moi qui vivait la vie de Rosaline. Et pourtant, ma vie est à l'opposée de la sienne. Mais quelle personnalité ! J'ai adoré partager les pensées de Rosie pendant ces trois-cents et quelques pages...
Tous les contemporains devraient prodiguer les mêmes émotions que celui-ci m'a fait éprouver. Résultat des courses : je n'ai pas lâché le livre de la soirée, trop pressée de savoir la fin...
Venons en au principal : le livre en lui-même.
1) La couverture : Cela peut sembler superficiel, et ça l'est, mais cette illustration représente totalement le livre. Cela nous donne déjà un aperçu de l'ambiance du roman.
2)L'écriture. Géniale. Il n'y a rien d'autre à dire. Okay, ce n'était pas du Jane Austen, ou du Tahereh Mafi, mais c'était accessible, proche de nous. Malgré cela, j'ai retrouvé un peu de poésie dans les écrits de l'auteure.
3) Les personnages. Superbes. J'ai cru me voir, avec mes meilleures amies tout le long du livre. Charlie, Olivia et Rosaline ont toutes les trois des caractères différents, mais sont toutes attachantes et adorables. Elles tiennent les unes aux autres et j'ai adoré ça. Rob a peut-être été un de mes préférés. Je ne sais pas. La caricature du beau mec populaire m'a fait rêver, mais surtout, il n'était pas que ça. Pas juste un mignon surfeur cliché. Non. La fin nous le prouve assez bien, même si j'ai pas toujours compris ou approuvé ses choix. Len. Oooh Len !! Je l'ai détesté au début, et aimé et re-haï, puis compris et re-adoré !! Sa personnalité m'a émue, m'a conquise...
4)L'histoire en elle-même. L'idée de cette réécriture moderne, d'un autre point de vue, avec de nouveaux personnages. Génial. Juste renversant ! En plus, j'ai trouvé les références littéraires et musicales parfaitement choisies et mises en valeur.
5)La chute. Lisez la, c'est tout. Je ne dirais rien mais juste.... LISEZ LA !!
Sur ce, je vous laisse à votre empressement de lire ce superbe roman contemporain ;)
Ce troisième tome m'a littéralement retourné l'estomac, a fait valdinguer mon esprit et détruit mes certitudes. Je pensais connaître le dénouement de cette série. Je pensais savoir. Je pensais croire. Mais rien n'a été comme je l'imaginais et quel choc ce fut !
Marissa Meyer me bluffe, une fois de plus, avec cette suite sublime. J'ai eu le plaisir de retrouver Cinder, Scarlet, Loup, Kaito, Iko et Thorne. Mais j'ai pu aussi découvrir de nouveaux personnages tels que Cress, Winter, Jacin. J'ai pu laisser mon cœur plonger dans ma poitrine en chute libre, tandis que mon esprit s'efforçait de réaliser les actions et coups de théâtre qui s'enchainent à chaque nouvelle page ! Quel concentré de sentiments divers et variés passant d'un bonheur infini
Je commence à croire que l'auteure exerce un magnétisme lunaire puissant sur moi, tant je suis subjuguée par tant de beauté ! Cette série, ce livre, est un savant mélange de dystopie, science-fiction et de contes. On a ce côté noir et combattif et post-apocalyptique, mais on a aussi ces espoirs et cette petite voix qui dit : cela finira forcément bien. Mais juste après avoir pensé ça, l'auteure retourne la situation et, par la même occasion, accélère notre rythme cardiaque !
En bref, je vous recommande cette série, ce livre ! C'est tellement inédit !
J'attendais beaucoup de ce dernier tome, de cette Fin de partie. Mes attentes ont été dépassées ! La fin est exactement telle que je la voulais, et l'intrigue est toujours aussi bien mise en place. C.J.Daugherty m'a fait éprouver des sentiments très contradictoires, et à réussi à me convaincre que ce ne sont pas nos actions qui nous définissent, mais nos sentiments, je parle, bien évidemment, du comportement de Sylvain dans le premier livre.
Nos personnages, parlons-en ! Allie m'a plu grâce à son caractère enflammé et déterminé. Elle fait des erreurs, dit des absurdités de temps en temps, mais je l'ai adorée. Tout d'abord, dans le premier livre, elle est différente de toutes ces super-héroïnes avec une vie parfaite etc... Elle, elle est en colère contre le monde entier, et son évolution a été spectaculaire.
Carter, ah Carter ! Lui, je l'ai aimé, mais aimé si vous saviez.... Il a été génial, du début à la fin ! Son tempérament bien trempé s'accordait bien avec celui d'Allie, et ses sentiments sont très beaux, très vrais. Son histoire n'est pas non plus un conte de fées, et le fait qu'ils se consolent mutuellement en s'aimant m'a fait fondre.
Et maintenant, Sylvain. Sylvain, à l'accent français craquant, au charme indéniable et au regard magnifique. Sylvain qui m'a déçue, puis touchée, puis attendrie. Sylvain, avec ses sentiments si réels, si profonds et son humour à la française ! C.J Daugherty a réussi à me faire voir le bien en lui, le bon côté. Le côté fleur bleu et romantique, au lieu du brutal et effrayant jeune homme du premier tome.
Là-dessus, je finis mon commentaire, en vous recommandant chaudement cette série remarquable, à l'intrigue savamment étudiée et aux personnages absolument parfaits ;)
Ce livre en est un concentré. Un concentré de claques et de sentiments. Les mots s'embrouillent dans ma tête tant ce livre est unique.
Nous suivons Grace, une jeune fille au caractère particulier avec une vie franchement difficile. Loin de m'inspirer de la pitié, elle m'a plutôt rendue admirative, tout en étant remplie de compassion. Les événements s'enchainent dans sa vie, de la petite dispute avec une amie, à d'horribles révélations. Ce livre m'a fait sortir de ma zone de confort. Ces lignes, ces mots qui nous transpercent, ces mots qui nous bouleversent comme des torrents de lames aiguisées. Confusion nous montre la puissance des mots, la puissance des sentiments et des attitudes. Les personnages que l'on y retrouvent n'ont rien de héros. Ils sont juste humains, plus profondément humains que tellement de personnes dans la vie réelle.
Alors que l'on pourrait penser que ce livre est déprimant et ne nous donne qu'une envie : pleurer, et pleurer, et pleurer, et se morfondre ; en réalité, il nous donne soif de vivre. Soif de prendre sa vie en main pour ne pas vivre les mêmes horreurs que Grace a vécu. Ce livre nous donne envie de mener une vie géniale, de voir le bon côté des choses, pour s'en sortir avec une vie bien. Vous m'excuserez de la longueur de ce commentaire, mais vraiment, lisez-le. Confusion est un ouragan qui souffle tout sur son passage. Toutes nos peurs deviennent futiles lorsque l'on tourne les pages de cet ouvrage. Toute notre vie brille de mille feux lorsqu'on le referme, puisque Grace a une vie tellement pire que la notre.
En conclusion, Confusion est un ovni dans le genre : courez l'acheter !!
L'histoire est donc très bien structurée, malgré un fin légèrement rapide, j'ai trouvé. Mais qui n' en rien gâché mon plaisir lors de ma lecture.
Nous découvrons Sarah, fille très forte tout en restant humaine ; Jago, super-entrainé, très puissant, mais est tout de même, là encore, humain !
Vraiment, ce ne sont que deux personnages sur tous, mais vraiment deux de mes préférés. Très différent des protagonistes d'autres romans de par leur entrainement, leur violence. Vraiment, j'ai beaucoup aimé le fait de découvrir un autre genre de personnages.
Enfin, l'intrigue : haletante. On ne sait rien du dénouement (même si des fois on se dit : c'est bligé que ça finisse comme ça !). James Frey a su me tenir en haleine pendant les 538 pages de son livre. Quel changement de genre !
Le seul point négatif : le style d'écriture. Je l'ai trouvé tellement simple et commun, alors qu'un tel livre devrait avoir un style d'écriture parfait ! C'est le seul bémol.
vraiment, lisez-le ; et je tiens à dire qu'Endgame n'est similaire en rien à Hunger Games. Mise à part l'idée de jeu, tout le reste est unique et très différent !
Pour en venir au Passeur, j'ai beaucoup aimé ce personnage qui souffre énormément, et qui le dis. Un personnage enfermé dans son Annexe. Qui mène une vie de solitaire. Personnage très intriguant. J'ai aussi beaucoup aimé le style de Lois Lowry.
En définitive, je peux vous dire que c'est un livre excellent ! Je vous le recommande, et je comprends maintenant pourquoi c'est un classique du genre.
maplv8
Pleins de choses sont percées à jour dans ce tome (comme par exemple nous découvrons ENFIN qui est la taupe ; Allie fait enfin un choix qui m'a retournée de joie !)
Parlons-en, du triangle amoureux de ce quatrième tome ! Tellement plus présent que dans le troisième, tellement exaltant, tellement .....comme j'aime !
Merveilleux livre, toujours un style fluide, que j'adore lire. Toujours Cimmeria, que j'adore ! Des fois, j'aimerais être élève là-bas !
Bref, à lire absolument,
JE VEUX LIRE LE 5!
maplv8
J'ai mis un certain temps avant de m'acclimater entièrement à ce nouvel univers plein de technologie et de changements...
Nous découvrons donc Cinder, mi-humaine mi-cyborg, qui nous fait tourner la tête de par ses idées folles et incongrues. D'après ce que j'ai compris, l'histoire se passe dans ce qui est aujourd'hui l'Asie. Le monde dans le livre est complètement réformé. Les territoires sont à peu près les mêmes, mais nous découvrons un autre peuple, les Lunaires. Un peuple si intrigant de par ses coutumes et son apparence.
L'auteure nous fait découvrir son futur à elle. Elle nous fait partager le Prince Kaito, qui incarne le prince charmant dans les contes.
J'ai aussi trouvé la parallèle à Cendrillon parfaite. Vraiment, tout y est. La belle-mère, le prince, le bal, la chaussure...
Lorsque l'on ressort du livre, on est tellement plus.....apte à comprendre certaines choses.
Vivement le tome 2 !
Mais nous verrons dans les suivants !!
Ce roman a résonné dans es tréfonds de mon être, que ce soit par le sujet, ou par les réflexions. C'était un sommet, un monument de littérature. Cette fin me fait encore trembler. Les personnages me font encore vibrer. Les réflexions sur la mort, sur Dieu, sur le terrorisme, ces questions qu'on s'est tous posé après le 7 janvier, ou le 13 novembre, ou le 14 juillet, ou dès qu'un attentat n'importe où dans le monde éclate. Dès qu'une guerre déchire un pays. C'est un livre qui fait ouvrir les yeux, qui efface les illusions, qui fait réfléchir. Et j'ai adoré chaque page, chaque ligne, chaque mot de ce livre.
Que dire, à part que ce genre de romans, dans les circonstances actuelles, est crucial. Il aide à comprendre. Il pose les bonnes questions.