J’ai découvert Ludivine Vancker en ouvrant ce roman, et quelle découverte ! Si ce personnage a un lourd passif souvent évoqué, le fait de ne pas avoir lu les précédents tomes de cette série n’empêche en rien la lecture de La Constance du Prédateur. Dès le premier chapitre, nous plongeons dans un univers sombre et d’une grande violence, à en faire des cauchemars. Il y a de nombreux rebondissements dans ce roman, et à chaque fois que nous croyons en voir le bout et avoir enfin découvert le fin mot de l’histoire et le coupable derrière toutes ces horreurs, tout s’écroule et l’enquête repart de plus belle ! C’est une course contre la montre pour une vie et la tension bat son plein jusqu’à la dernière minute. J’ai été un peu dérangée par Vancker et son syndrome du héros qui la pousse à accomplir des actes inconscients qui ne pourraient jamais se produire dans la réalité, mais j’imagine que c’est ce qui fait le charme du personnage. C’est peut-être ce manque cuisant de réalisme qui m’a un peu dérangée par moment mais cela permet de se détacher des monstruosités de ce livre et de ne pas oublier qu’il s’agit d’une fiction.

Ce dernier tome conclut à merveille cette trilogie ! Terrafæ et sa magie me manqueront beaucoup, ainsi que tous les personnages, Cardan, Jude et ses soeurs, et bien sûr la cour des ombres. C'est à regret que je quitte ce monde incroyable. Je suis juste un peu déçue qu'il ne se soit pas passé plus de choses pour le final de la saga :

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la guerre tant attendue n'a pas vraiment eu lieu, la malédiction de Cardan a été finalement relativement simple à rompre et de façon assez prévisible, etc . Je trouve la fin un peu précipitée et un peu creuse, mais peut-être est-ce tout simplement parce que je n'étais pas prête à quitter cet univers... Une super saga, à découvrir !

Pour commencer je tiens à souligner que ce livre est un bel ouvrage féministe témoignage de tout le courage et la force dont peut faire preuve une femme ! Angélique est une jeune femme battante, brillante et brave, d'une grande maturité pour son très jeune âge et je m'y suis attachée dès les premières pages. Aristocrate de naissance, elle n'a pourtant jamais rechigné à se rabaisser à des fonctions de plus basse extraction, qu'en plus elle a toujours réussi à mener avec brio ! Les injustices dans les héritages étaient malheureusement monnaie courante à cette époque et ce sont encore des choses qui se voient aujourd'hui... J'ai développé tellement de haine envers Tristan et Elisabeth, que j'en bouillonnais littéralement ! La vengeance est un plat qui se mange froid et c'est le cas de le dire... Quel plaisir de voir cette petite Angélique s'en sortir si bien et avec tant d'intelligence ! J'ai l'impression d'avoir vécu une partie de sa vie avec elle tant je me suis laissée prendre par son histoire... Je suis déjà nostalgique des aventures de la Duchesse du Boudoir !

J'ai découvert ce livre avec un regard de grande personne et j'en suis heureuse car j'ai pu alors percevoir tout son aspect philosophique et poétique.
Ce livre n'est pas seulement un hommage à l'enfance et l'innocence, c'est un rappel de toutes les plus belles valeurs qui font la vie et que l'on a trop tendance à oublier parfois. Un coup de coeur merveilleux.

J'ai adoré ce dernier tome ! J'ai enchaîné les volumes si rapidement, je suis si triste d'avoir déjà fini... Les personnages sont très attachants et le dessin est superbe. Rien d'extraordinaire avec le scénario mais c'est un mignon shojo avec une belle romance (bien compliquée) qui n'a absolument rien de décevant.
Sakisaka est une de mes auteures préférées, foncez lire Blue Spring Ride si ce n'est pas encore fait, ce Shojo est une pépite.

Une lecture très addictive ! Un thriller ésotérique et horrifique qui ne laisse pas indemne à la fin, ça c'est sûr...
J'ai trouvé quelques longueurs à ce roman qui nous ont toutefois permis de bien faire connaissance avec les personnages et de nous y attacher...peut-être un peu trop d'ailleurs... L'histoire se déroule au travers de plusieurs points de vue, et c'est plutôt captivant de passer de la vision cartésienne des adultes Spencer au regard innocent, fantaisiste et beaucoup plus ouvert d'un groupe d'ados de 14 ans. Rien de mieux pour nous faire douter jusqu'au bout : faut-il raisonner logiquement et ne pas croire à tout ça ? Les enfants ont-ils raison ? En tout cas, il y en a pour tous les goûts, toutes les tranches d'âges et les classes sont là : la petite famille citadine, le groupes d'ados aventuriers, la lycéenne et ses problèmes d'ados, les flics, le vieux voisin et ses secrets, etc.
J'ai adoré l'aspect totalement surnaturel de ce roman, même si c'est relativement "bateau" et que le suspens n'est pas immense, étant donné que l'on se doute dès le départ de la nature du mal qui rôde dans Mahingan Falls.
Je crois que je suis un peu déçue de la fin ; elle est très impressionnante, on ne peut pas dire le contraire, mais le côté gore est un peu forcé et j'ai parfois eu l'impression que Chattam prenait juste du plaisir à massacrer tout ce petit monde, juste pour choquer le lecteur.

J'ai aimé cette histoire originale, avec un univers totalement nouveau. L'écriture est bonne, j'ai plutôt bien accroché avec le style de l'auteure. Malgré ça, je reste un peu sur ma faim, je trouve que tout est allé trop vite et pas assez en profondeur. L'univers est original mais pas assez développé, pas assez exploré. Les personnages sont plutôt creux (mise à part Avery peut-être) et l'histoire d'amour qui survient arrive d'on ne sait où, tellement prévisible et pourtant si inattendue... Je pense que ce roman aurait été bien meilleur s'il avait été un peu plus étoffé ; 200 pages me semblent vraiment peu pour un tel univers fantastique avec un si gros potentiel.
C'était quand même une bonne petite lecture de vacances : facile à lire et au concept intéressant.

J'ai beaucoup aimé cette histoire bien que je sois pas spécialement une adepte du genre vampirique. Je dois dire que j'ai eu un coup de cœur plus pour l'univers, gothique, sombre, violent à souhait, que pour les personnages. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à Henri qui est si froid, si distant et qui ne s'est jamais vraiment battu pour l'amour de Cornelia. Quant à cette dernière, si je l'appréciais plus à la fin du roman, j'ai été assez refroidie par ses crises de larmes à répétition et, par moment, son caractère de "coincée" marqué

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(par exemple quand elle repousse l'amitié de Nathalie au restaurant, j'ai juste trouvée sa réaction malpolie et désagréable). Au final, j'ai fini par m'habituer à ces personnages étranges mais la familiarisation a été difficile !
J'ai adoré les chapitres relatifs aux souvenirs oniriques de Cornelia ! Cette constante bascule entre les deux époques était très bien menée et passionnante.

Gros coup de cœur pour ce troisième tome. Bien que j'étais un peu sceptique sur le premier tome, j'ai fini par dévorer la saga en une semaine. Je crois que l'arrivée de Loki a grandement aidé...
Je suis habituée à lire ce genre de romans et il en faut beaucoup pour me surprendre, et malgré ça j'ai trouvé l'univers des Trylles très original et captivant !
L'évolution de l'héroïne est bluffante. On passe de la gamine insupportable et capricieuse à une jeune femme responsable et très courageuse. Bon, même si j'avoue que la fin était quand même un peu précipitée, elle n'a quand même que 18 ans...

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C'est un peu jeune pour se marier et avoir un enfant !!
Je suis très triste de devoir refermer ce dernier tome ! Il a été au-delà de toutes mes attentes et j'en garderai un très bon souvenir.

Ce premier tome est agréable à lire bien que j'ai dû m'accrocher au départ. Les 80/100 premières pages m'ont parues interminables. Cependant, une fois le contexte bien posé et l'histoire vraiment commencée, on découvre un univers mystique très original ! Étrangement j'ai eu plus d'atomes crochus avec les personnages secondaires comme Rhys qu'avec les deux principaux. J'espère les trouver un peu plus attachants dans les prochains tomes.

Cette saga est une de mes préférées. Une quête épique, des personnages attachants, de la magie… Tout est au rendez-vous ! Nous sommes transportés dès le départ dans l’aventure d’Avry et de ses compagnons, et nous voyageons avec eux, au rythme de leur épopée, au travers des pages.
Le pouvoir des Lys c’est un roman de pur fantasy où Avry, guérisseuse, se retrouve embarquée contre son grès dans une quête sans fin pour sauver un prince disparu. Kerrick et ses acolytes, fidèles guerriers du dit prince, vont alors l'entraîner dans de périlleuses aventures au travers des forêts des Quinze Royaumes et de la Montagne des Neuf. Si au départ Avry n’est ni plus ni moins qu’une prisonnière, au fil de l’histoire de solides liens se tissent entre chacun des personnages et l’aventure n’en devient que plus passionnante. Ce seul tome regorge de rebondissements et de retournements de situations, si bien qu’il n’y a jamais de temps mort ! Et c’est d’ailleurs une des raisons qui fait que cette saga est une pépite du genre ; contrairement à beaucoup de romans de fantasy, il n’y aucune longueur, l’action est toujours présente et vous avez d’ailleurs intérêt à bien accrocher votre petit coeur car chaque personnage a une épée de Damoclès au-dessus de la tête et personne n’est à l’abris de trépasser sous la lame d’un mercenaire, d’un guerrier de Tohon, ou encore sous les crocs d’un ufa sanguinaire. J’avais un peu peur de ne pas m’attacher à Avry, de trouver son pouvoir inutile voire d’être agacée par le fait qu’elle soit juste bonne à vouloir sauver des gens et ne serve à rien dans les batailles. Eh bien, je me suis trompée, Avry est tout sauf une bonne à rien inutile, c’est un des personnages les plus courageux de l’histoire et un des plus attachants, et contrairement aux à priori, son don magique est tout sauf inoffensif. Avry a beaucoup de caractère, ce qui lui permet de rapidement faire sa place dans tous les groupes masculins qu’elle rencontre et elle y est très vite prise au sérieux. Je dirais même qu’elle mène son petit monde à la baguette et si c’est drôle la plupart du temps, j’avoue que son côté “tête de mule” m’a parfois autant exaspérée que Kerrick et ses compagnons. Quant à Kerrick, je l’adore ! Il peut paraître un peu froid et rustre au début, mais c’est ce qui fait son charme et il suffit simplement de briser la glace pour découvrir qu’il est en fait un homme loyal et qui se battra jusqu’à la mort pour ses proches s’il le faut. Belen, Quain, Loren, Flea, il n’y a pas un seul protagoniste de ce roman qui ne soit pas attachant, impossible de ne pas les aimer.
Enfin, avis aux romantiques, ce tome 1 présente un petit fond de romance, léger, bien amené et pas du tout précipité, ce qui donne encore plus de caractère à ce bouquin déjà exceptionnel.

Finis les vampires et les loups-garous, voici une espèce fantastique totalement unique et innovante : les Luxens. Êtres faits de lumière, ils appartiennent à une espèce extraterrestre lointaine qui fut contrainte à l’exile sur Terre lors de la guerre qui les opposa à leurs ennemis de toujours, faits d’ombre et de ténèbres, les Arums.
Katy, une adolescente banale, déménage en Virginie-Occidentale avec sa mère, pour tenter de se reconstruire après la perte de son père, il y a trois ans de cela, terrassé par un cancer.
Le début des ennuis commence après son emménagement, lors de la rencontre de ses nouveaux voisins, deux jumeaux de son âge, un garçon et une fille, si beaux qu’ils n’en paraissent pas humains. Si elle devient très vite amie avec la fille, Dee, le garçon appelé Daemon, oppose une ferme résistance à cette amitié émergente entre sa soeur et elle. Il lui en fait voir de toutes les couleurs, l’humilie en public, la repousse… Mais Katy s’accroche, pour le meilleur et pour le pire.
J’ai adoré ce premier tome, il est très addictif. J’avoue avoir eu parfois du mal avec le je t’aime/moi non plus de Katy et Daemon, dont l’attirance est évidente et réciproque dès le début. Ce n’est pas niais, c’est juste frustrant, et leurs réactions, souvent enfantines et grotesques, vous font grincer des dents.
Concernant le côté fantastique et surnaturel, il se met en place en douceur. Il est présent tout au long de cette première partie mais reste mystérieux, plein de zones d’ombres. Katy, et le lecteur d’ailleurs, rentrent tout doucement dans ce nouveau monde et on n’est encore loin de tout savoir une fois le roman terminé. Ce premier tome se contente de se centrer sur la rivalité qui oppose les Luxens et les Arums, la découverte de ces existences extraterrestres et enfin, et surtout, sur la relation à naître entre Daemon et Katy. Je ne peux pas m’empêcher de faire un parallèle avec Twilight : la famille surnaturelle, la romance, les problèmes qui débarquent… Tout ça pour dire que si vous aimez les romances teenages, à l’univers lycéen bien présent, avec un brin de fantastique, cette histoire est faite pour vous. J’ai quand même dans l’espoir que les tomes suivants soient un peu moins accès sur la romance et développent une intrigue un peu plus consistante sur le plan fantastique.

Très bon livre mais peut-être pas aussi exceptionnel que je l’espérais au vu de son titre de best-seller.
Le chuchoteur qu’est-ce que c’est ? C’est une histoire de meurtre des plus monstrueuses puisque les victimes sont des enfants, de toutes petites filles même pas encore adolescentes. Sans trop spoiler, le modus operatori est également des plus horrifiques puisque les fillettes se retrouvent amputées du bras gauche : la signature du psychopathe imaginé par Dorato Carrissi. Peu après la découverte d’un cimetière d’exactement six petits bras, débarque une petite équipe d’enquêteurs prêts à tout pour retrouver ce kidnappeur et tueur d’enfants. Mila, est une flic spécialiste du kidnapping d’enfants qui n’a rien à voir avec le milieu des Serial Killer et se retrouve mêlée, malgré elle, à cette enquête qui s’annonce des plus traumatisantes. Au fil de l’histoire, l’équipe se tend, se consolide avant de se détruire et de se reconstruire, et toutes ces tensions et ses émotions hautes en couleurs, rendent tout ce petit monde plutôt attachant. Boris, Stern et Rosa sont plutôt survolés mais nous voyons un peu plus en profondeur Gauran et surtout Mila. J’ai eu du mal à cerner Mila, un personnage apathique, même si la découverte de son passé explique une grande partie de ses comportements et réactions étranges. Gauran, d’abord un peu tuteur de Mila, devient très rapidement plus que ça. On s’attache également à cet Homme qui n’a pas été épargné par la vie, et on déchante quand on apprend la vérité.
L’histoire est pleine de rebondissements et ne cesse d’aller d’horreur en horreur. Tout le monde devient suspect et on ne sait plus à quel personnage on peut réellement se fier.
Je suis un peu déçue de la fin car on ne sait au final pas grand chose du vrai instigateur des meurtres. Peut-être aurais-je apprécié une étude plus poussée de sa psychologie, de ses motivations.

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Finalement, on n’en sait plus sur les autres meurtriers, qui ne sont au final que des “pions” que sur le réel monstre de cette histoire…
Pour conclure, un thriller très prenant, même addictif qui apprend qu’il faut toujours voir au-delà des apparences et qu’un monstre peut en cacher un autre… Présentation romancée très juste du danger que représentent les Chuchoteurs.

Deux histoires d'amour totalement fleur bleue. La première a un certain charme, sur une belle île Hawaïenne, ça donnerait envie de partir en vacances. J'ai bien aimé le contexte de la seconde, les circuits de Formule 1, j'ai trouvé que l'univers était plutôt innovant par rapport à ce qu'on a l'habitude de voir dans ce genre de romans.
En revanche, dans les deux histoires, on suit des personnages presque identiques, c'est-à-dire des jeunes gens aisés et plutôt de la haute société. J'ai trouvé les personnages assez creux et pas franchement attachants, parfois hautains voire détestables (j'ai eu beaucoup de mal avec Lance dans la seconde histoire). Nora Roberts a pourtant choisi des héroïnes intéressantes, l'une retrouvant son père après des années de séparation et l'autre, photographe et d'une grande sensibilité artistique, mais ça n'a pas marché sur moi, je n'ai pas réussi à me sentir proche d'elles ni à réellement aimer suivre leurs histoires.
Un peu déçue par cette lecture.

Un tome que j'ai trouvé au-dessus du tome 2, j'ai pris à nouveau plaisir à retrouver l'univers de Becca Fitzpatrick.
Je déteste les romans où le personnage principal a une perte de mémoire car en général il redevient aussi inintéressant qu'il l'était au tout départ de l'histoire. Sans surprise, j'ai donc trouvé les 100/200 premières pages très longues, presque sans vie... MAIS je trouve que ça nous a permis, malgré tout, de re-découvrir sous un nouvel œil certains personnages comme Scott, et de nous attacher à eux, ce qui n'aurait pas été forcément possible avec le passif de Nora.
J'ai commencé à apprécier réellement l'histoire au retour de Patch qui est, il faut le dire, le pilier de cette saga. Le couple Nora/Patch est vraiment adorable et la dévotion de Patch est incroyable, c'est beau tant d'amour !
La tournure des événements dans le final est assez inattendue, je me demande ce qu'il va advenir de Nora maintenant que tant de choses ont changé pour elle.

J'ai apprécié ce tome-là mais il ne m'a pas époustouflée. J'ai été assez exaspérée par la instaurée entre Nora et Patch... Je n'aimais pas les nouvelles fréquentations de Patch, totalement hors de propos, une espèce de triangle amoureux sorti de nulle part, juste là pour agacer le lecteur selon moi. Les raisons de l'éloignement entre Nora et Patch sont à la limite du grotesque, il se fait soudainement, après une dispute des plus ridicules... Et Patch ne donne jamais aucune explication sous-prétexte qu'il est surveillé par les Archanges. Tout ça pour dire que j'ai passé une bonne partie du roman à grincer des dents, sans compter sur Vee, la meilleure amie de Nora, que je trouve vraiment agaçante. Je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé ce tome, j'ai passé un bon moment malgré tout. Cependant, je suis de plus en plus déçue par cette histoire qui a fait beaucoup de bruit et qui ne me transcende pour l'instant vraiment pas.

Un bon premier tome, une bonne petite histoire de lycéenne dont la vie se retrouve bouleversée par un brin de fantastique. J'ai bien aimé Patch mais difficile de me sentir proche de Nora, que je ne peux pas m'empêcher de trouver agaçante. Je trouve de grandes similitudes avec Twilight, et en parcourant les commentaires, je me suis rendue compte que je n'étais pas la seule. L'univers des anges est nouveau pour moi et je reste un peu sur ma faim car il n'est pas assez approfondi à mon goût. En dehors de ça, l'écriture est agréable et on passe un bon moment de lecture. Sympa pour se changer les idées !

Un road-trip sanglant plutôt original. Difficile de lâcher ce livre une fois commencé, tant on veut savoir ce qu'il va advenir des personnages.

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J'ai trouvé que la soudaine folie/schizophrénie de Meryl arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, même si au final c'est peut-être la solution la plus logique (quoiqu'un peu trop facile à mon goût) J'ai beaucoup aimé me retrouver face à la descente aux enfers de Meryl, qui n'avait pourtant rien d'une meurtrière au premier abord, et c'est peut-être la première fois de ma vie que j'ai réussi à "m'attacher" à un personnage criminel. Le policier, Russel, ainsi que son lieutenant Larsen, sont tous les deux assez sympathiques et j'ai aimé les suivre tout au long de la résolution de cette affaire.
La fin est choquante et totalement inattendue, de celles qui vous laissent un goût amer et qui pourtant ne pourrait pas mieux conclure une pareille histoire.

Je ne peux pas m'empêcher d'avoir le cœur serré à l'idée que les aventures sur Nil sont terminées. Ça y est la saga s'achève...
Ce dernier tome était riche en émotions, haletant, angoissant. Combien de fois j'ai eu peur qu'un de mes personnages favoris y laisse sa peau ?
Le plus beau dans cette trilogie c'est que chaque personnage a son importance, on se sent proche des anciens que l'on a appris à connaitre au cours des trois tomes mais on s'attache également aux nouveaux sans problème. Nil c'est la douleur, la souffrance, la peur. Et c'est le plus bel aspect de l'être humain qui est révélé par toute cette horreur : l'entraide, l'envie de survivre ensemble.
Seul problème dans ce dernier tome, et c'est pour cette raison que je ne l'ai pas mis en liste de diamant, l'intrigue perd bien souvent en logique, on se noie dans les mystères, les énigmes, ... Plus rien n'a de sens au final et Skye, à la fin, me donne juste l'impression d'être devenue complètement folle ! Un tas de choses restent irrésolues au final. Comment une île peut-elle être douée de conscience ? Pourquoi, au tout commencement, cette porte s'est ouverte entre les Jumelles de la Mort et Nil ? J'ai eu parfois l'impression que les fondements du roman manquaient de cohérence, que l'auteure elle-même n'avait pas su bien établir le pourquoi et le comment. La fin également, est inexplicable, abrupte, et est un poil décevante. Mais passons là-dessus, c'est un roman fantastique et tout ne peut pas être logique pour cette dernière raison.
Pour finir, pourquoi je recommande Nil ? Tous les bons sentiments qu'on aime tant sont réunis dans cette histoire aussi bien dans les amours que dans les amitiés. Les liens sont forts, les rebondissements sont violents et percutants, l'univers est vraiment original, du jamais vu. La survie n'a jamais eu autant de place, n'a jamais été aussi forte que dans Nil.

Un très bon moment de lecture. Je pensais tomber sur un univers sympathique qui allait simplement me faire passer le temps. Je m'attendais à découvrir une meute de Loups-Garous, bateau de chez bateau. Quelle agréable surprise de découvrir un monde aussi travaillé avec toute une ribambelle de races de Changeling différentes, et les Psi, créatures originales et surtout... du jamais vu !
Comme dans ce style de romans, le côté "sexy" est très présent et occulte un peu le côté fantasy par moment mais c'est un petit détail. La romance entre les deux personnages principaux est prévisible dès la rencontre de Lucas et Sasha, mais bon si on considère que la découverte de son âme sœur chez les Changeling a un petit côté soudain et surtout magique, pourquoi pas... On va dire que c'était une sorte de coup de foudre !!
Bref, univers génial, romance comme il faut, personnages attachants. A lire !

Je me suis intéressée à Forbidden le jour-même de sa sortie française, non pas parce que tout le monde en parlait mais parce qu'il semblait différent. Par là j'entends que le sujet était sensible et intriguant à la fois. La couverture à elle-seule invoquait le thème de l'interdit. Et qui dit interdit dit tentant. Je ne sais pas pourquoi, j'ai laissé tomber l'affaire pendant un moment et ce n'est que récemment que j'ai pris mon courage à deux mains et que je me suis lancée.
Forbidden c'est une histoire sur laquelle j'ai du mal à donner un avis concret, clairement défini, car moi-même, plus d'une semaine après l'avoir refermée, je ne sais toujours pas quoi en penser.
Je suis incapable de dire si j'ai aimé réellement la relation de Maya et Lochan, qui est pourtant au centre de l'histoire. Elle ne m'a pas choquée, ne m'a pas paru affreuse, ou encore rebutante, dans le sens où Lochan et Maya étaient, pour moi, deux êtres tellement attirés l'un par l'autre, touchés par un amour si fort et si pur, qu'ils ne pouvaient tout simplement pas être frère et soeur. Impossible. Il y avait une erreur quelque part, ces deux-là étaient des âmes soeurs, c'était aussi clair que l'eau de roche. Pourtant, au-delà de cette certitude que j'avais que leur amour était des plus purs, il y a une autre part de moi, qui ne peut s'empêcher de faire le parallèle avec leur lien de parenté, et qui ne peut pas comprendre ; et je pense que c'est cette espèce de barrière qui m'empêche et qui m'a également empêcher au cours de ma lecture, de me sentir proche des personnages, de me transposer en eux. La projection est quelque chose d'essentiel pour moi lors de mes lectures. Or, je n'ai pas vécu leur amour en direct, je ne l'ai pas totalement compris, je n'ai pas su l'apprécier à sa juste valeur.
Si j'ai beaucoup de mal à mettre des mots sur la relation de Maya et Lochan, à juger si oui ou non c'est une des plus belles histoires d'amour auxquelles j'ai été confrontée, en revanche il y a une chose qui m'a profondément heurtée dans Forbidden : Lochan.
Lochan, c'est cet être marqué au fer rouge, cet écorché vif, qui n'a jamais connu que la solitude et la détresse. Je n'ai jamais été autant touchée par un personnage. Il est brisé en milles morceaux, il est détruit, et pourtant c'est un garçon d'une si rare pureté. Lochan a une timidité maladive, il est un "inadapté social" comme il le dit si bien lui-même. Pourtant, qui ne s'est jamais senti proche de lui ? Qui ne s'est jamais retrouvé en lui ? Vous rendez-vous compte que ce jeune homme a porté à bout de bras, depuis ses douze ans, sa famille ? Qu'il n'a eu ni père ni mère, car qui peut appeler "mère" un monstre d'égoïsme comme la leur.
Voilà ce qui fait la force de l'écriture de Tabitha Suzuma, une prose riche en émotions, en sentiments. Pouvoir ressentir, la détresse, la douleur, le tourment, de quelqu'un à ce point-là, c'est juste impressionnant. Quand Lochan étouffait, j'étouffais. Quand Lochan avait mal, j'avais mal. La scène finale fut un des plus grands déchirements de mon expérience de lectrice.

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Même si j'avais compris depuis le début ce qui allait se passer, j'ai été dans le déni jusqu'à la fin, pensant que Lochan avait trouvé un moyen de s'en sortir, qu'il allait miraculeusement réussir à s'enfuir. Je n'ai réalisé que lorsqu'il a serré la boucle autour de son cou. Et j'ai eu l'impression que mon cœur s'arrêtait en même temps que le sien.
Lochan est la force de ce roman.
Je n'irais pas jusqu'à dire que je n'aimais pas Maya mais je n'ai pas eu l'impression de la découvrir puis de la connaitre aussi bien que Lochan. Je ne me suis à aucun moment sentie proche d'elle. En fait, je pense qu'elle a été occultée par la personnalité si forte de son frère.
Pour résumer, Forbidden c'est un roman pour lequel il est difficile de tirer une conclusion. C'est un livre addictif d'une grande intensité. Je me suis beaucoup remise en question à son sujet, sur le sens de la vie, sur les liens du sang, sur tant d'autres choses. Encore aujourd'hui il me hante et j'y repense souvent. Je suis heureuse de l'avoir lu, ne serait-ce que pour tout ce chamboulement émotionnel. Merci Tabitha Suzuma.

Alors par où commencer ? J'ai eu une grosse appréhension avant de débuter ce tome 2 de Nil et j'ai mis plusieurs mois avant de me lancer dans sa lecture. Pourquoi ? Parce que j'étais bien trop attristée de ne plus voir Thad et Charley, le couple phare du tome 1 ! Je sais que c'était idiot car j'adore Rives, personnage principal de ce second tome, mais voilà, parfois difficile d'aller contre ses a priori...
Bref, tout ça pour dire que je me suis enfin lancée dans la lecture des "Secrets de Nil" il y a trois jours et que je l'ai dévoré ! Pour être honnête, j'ai eu du mal à totalement rentrer dedans jusqu'à environ la moitié du livre. Je trouvais que la trame était trop proche de celle du premier tome, juste une histoire de survie, avec des mystères toujours aussi insondables. En plus de ça, j'étais passablement frustrée que Skye et Rives mettent autant de temps à se rencontrer.... Ça a mis un peu de temps à se mettre en place mais ça a fini par arriver. Et franchement, c'était grandiose ! Déjà, pour commencer, le fait que Skye ne soit pas une petite débutante qui ne connaissait rien à Nil, ça changeait vachement la donne ! Elle devenait une adversaire redoutable pour cette île maudite. Bon, parfois je la trouvais un peu fatigante à remettre sans arrêt sur le tapis que oui, son oncle Scott était venu sur cette île et que oui, elle était là pour tous les sauver. Bref, un brin trop téméraire et sûre d'elle la petite Skye mais sacrément attachante malgré tout.
Quant à Rives, que dire... Fidèle à celui que l'on avait découvert dans le premier tome. J'ai adoré le découvrir plus personnellement, m'apercevoir que le mec si cool avec ses dread et son assurance, était en fait comme tout le monde, avait ses failles, ses faiblesses, et était profondément brisé par ce qu'il avait enduré au cours des derniers mois.
Le couple Skye, Rives, c'est un duo de survivants, d'ados courageux et très attachants. Leur complicité est belle et touchante. Pour conclure sur ces deux-là, je dirais que leur relation, d'une intensité si remarquable, nous apparaît encore plus belle car elle s'est construit dans le sang et les épreuves. Elle présente bien des similitudes avec celle de Thad et de Charley.
Je tiens quand même à dire un mot sur d'autres personnages, Dex ou encore Jillian, des personnages qui ont été là tout au long, et qui m'ont émue aux larmes parfois. Nil tient sa force dans sa capacité à nous faire sentir si proches de ses protagonistes.

Qui n'a jamais rêvé de vivre une aventure façon Koh-Lanta ? De s'inventer apprenti-aventurier, et de vivre à la Robinson Crusoé pendant quelques temps ? Après avoir lu Nil, la survie prend un tout autre aspect. Vous ne verrez plus les îles paradisiaques de la même manière...

Incroyable ! Ce livre est une pépite. Dans les premières pages, tout se déroule comme dans une dystopie banale : l'héroïne perd sa famille, son environnement sombre dans le chaos le plus total et toute sa vie bascule. Mais la suite n'a rien de classique, on s'attache réellement aux personnages qui sont vraiment profonds et authentiques. Laïa est une fille courageuse, très brave, qui serait prête à subir toutes les pires horreurs du monde pour sauver ceux qu'elles aiment. Elias est fait du même marbre que Laïa, il se bat pour ses convictions jusqu'au bout, peu importe le prix. Comme le dit Cain, ils sont des braises sous la cendre.
J'ai adoré cette histoire du début à la fin car rien n'est épargné, toute la violence et le sang sont là, réels, tangibles. Il y a des moments où je me suis vue rebelle, prête à joindre la Résistance et d'autres où je me suis découverte Mask, obligée, vouée à ce destin non choisi. Laïa et Elias nous permettent de nous projeter dans ces deux mondes totalement différents et nous vivons ce roman comme si nous en étions des personnages. J'ai adoré.

Une très bonne lecture.

J'ai été séduite par cet univers pour le moins original qui nous fait découvrir le monde des créatures obscures. Parmi les personnages principaux, on trouve une humaine tout-à-fait banale et des tueurs à gages, dits Créatures de l'ombre. J'adore ces derniers ! Au vu de leur passe-temps, on pourrait croire que ce sont de dangereux psychopathes, pas du tout attachants, et pourtant, tout comme Charlotte, on se laisse vite avoir par leurs grands yeux bleus et leur (étonnante) naïveté (apparemment les relations humaines, ce n'est pas trop leur truc). A vrai dire, on en vient presque à comprendre ce qui les motive à exercer ce "job" et même à les approuver... Adam et son petit frère Elias sont tellement adorables, j'ai eu un vrai coup de coeur pour ces deux personnages !

Je suis un peu triste que ce premier tome ait été basé essentiellement sur la société humaine et les petits tracas de l'héroïne, Charlotte, mais on a malgré tout un bref aperçu, sur la fin, du monde obscure et des différentes créatures qu'il héberge. J'ai d'ailleurs bien aimé les nouvelles qui nous présentent Clématite, Myosotis, Firmin, Nicolette ainsi que Lazare, et nous permettent de nous familiariser avec ces personnages que l'on a bien trop peu vus.

Ce premier livre était surtout centré sur l'histoire d'amour naissante entre Adam et Charlotte, et en terme d'action il ne s'est pas passé grand chose, mais il annonce en tout cas une superbe saga fantasy, pleine d'originalité. J'ai hâte de découvrir davantage le monde des ombres.

Waouh quelle découverte ! J'ai adoré suivre les aventures de Cas. Je m'attendais à une vulgaire chasse aux fantômes légèrement romancée et me voilà ultra-surprise par un univers très captivant et toute une ribambelle de personnages très attachants ! C'est rare que j'accroche autant à une histoire dès les premières pages mais là, dès le deuxième chapitre, j'étais totalement happée par l'imaginaire de Kendare Blake.
J'ai beaucoup aimé Cas. Un brin orgueilleux, légèrement agaçant à vouloir toujours tout faire tout seul, et j'avoue que je n'ai pas aimé son attitude lors de sa rencontre avec Thomas, qui ne voulait pourtant que son bien. Mais au-delà de ça, Cas est un brave gars, qui s'est débrouillé seul toute sa vie et qui a dû reprendre un flambeau familial bien trop lourd très jeune. C'est un battant et j'adore ce genre de protagoniste. Carmel est géniale, cette fille est un paradoxe à elle seule : la fille super populaire, magnifique et pourtant pleine de bon sens et très humaine. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences. Thomas, l'apprenti-sorcier, c'est le meilleur ami dont tout le monde rêve, il a le cœur sur la main et son côté pataud est attendrissant. Quant à Anna, la déesse mortuaire ; Anna à la robe de sang, c'est un personnage surprenant. Elle est à la fois si terrible et si fragile : on ne peut qu'être heurté par son tragique destin tout en étant horrifié par tous les meurtres qu'elle a commis. La romance qui survient vers la fin est un peu tirée par les cheveux mais passons... Ça rajoute un petit côté original à cette histoire ! Il y a bien eu tout un tas de romances humain/vampires, humain/sorcier, etc... Alors une histoire d'amour entre un humain et un fantôme, pourquoi pas ! Ça a le mérite d'être innovant. J'attends de voir ce que ça donne dans le tome 2 pour me faire vraiment une idée à ce sujet.
Ce roman a tous les bons côtés d'un bon thriller fantastique : aucun détail sanglant n'est épargné. Bien que l'intrigue en elle-même soit centrée sur une petite bande de jeunes et leurs petits soucis d'adolescents, les aspects angoissants propres à une traque aux démons sont aussi bien présents. Je trouve que le roman est bien équilibré, il est rendu léger par l'âge de ses héros et sombre par l'univers qu'il expose. Pour cette raison, je pense qu'il peut s'adresser aussi bien à un public jeunesse (attention aux âmes sensibles malgré tout) qu'à un public Young adult.
Pour conclure, moi qui suis une grande amatrice de chasses aux fantômes, j'ai beaucoup apprécié ce premier tome de "Fille des cauchemars" et je pourrais presque le classifier dans mes coups de cœur.

Mon dernier coup de coeur !! J'ai tout aimé de ce livre : je suis étonnée qu'il n'ait pas plus fait parler de lui !
Quel est le plus gros avantage pour moi de ce roman ? L'île ! Depuis toute petite j'ai un faible pour les récits à la Robinson Crusoé et il en existe bien trop peu à mon goût. Alors, quand j'ai vu la couverture bleue de Nil, ça m'a tout de suite intriguée et la petite phrase d'accroche en haut à droite de la couverture a encore plus amplifié cet effet. Bref, tout ça pour dire que cette saga était à priori faite pour me plaire.
J'ai littéralement craqué sur le couple Thad/Charley ! Adorable c'est le mot. Si j'ai eu un petit blocage avec Charley, prise individuellement, j'ai tellement aimé Thad, son tempérament de Leader, son charisme, que ça a largement compensé ma retenue envers Charley. Je ne suis pourtant pas une grande amatrice des romances trop évidentes, trop rapides mais j'ai fait une exception pour celle-ci. Et puis ces deux-là n'avaient d'ailleurs pas vraiment une destinée toute tracée...
Tout ça étant dit, j'aimerais juste aborder un point brièvement : on en parle de la perfection d'absolument tous les personnages ? Ils sont tous beaux comme des dieux et même si on ne peut que se les imaginer, on complexerait presque ! C'est le petit côté négatif que je reproche à un certain nombre de séries Young adult/New Adult, soit les personnages sont surréalistes soit ils sont trop banals... Il serait appréciable d'avoir un juste milieu parfois !
Pour en revenir à Nil, j'ai vraiment tout aimé : l'ambiance de survie avec cette angoisse omniprésente due à l'insécurité de l'île, l'organisation de la Cité, absolument tous les personnages sont intéressants (Rives, Natalie, Tella, Jason, Dex... Même Bart !), cet aspect paradoxal de l'île constamment située entre enfer et paradis, et j'en passe.
Là encore je vais faire ma rabat-joie mais j'ai remarquée quelques détails complètement incongrus et inimaginables : les personnages arrivent et repartent nus, ils sont à moitié déshabillés les trois quarts de l'intrigue et... pourquoi les filles sont-elles obligées de porter des ultra-minijupes sans culotte ?! Je trouve qu'il y a un côté hyper-sexualisé dans Nil qui n'est pas forcément dérangeant mais peut-être un peu trop présent par moment. Ça ne reste cependant que mon point de vue et je pense que certains auront lu le livre sans même se poser de questions !
L'autre point que j'ai adoré et dont je souhaite absolument parler, c'est cette histoire de décompte : 365 jours pour s'en sortir ou mourir. J'ai adoré que chaque personnage ait son décompte associé à son identité, j'ai trouvé ça original et super intéressant. De plus, j'ai trouvé sympathique l'idée de ces portes entrantes et sortantes et de ce système de tempête de portes suivant le parcours d'une sorte de labyrinthe. Complexe mais captivant (même si j'avoue qu'en refermant le premier tome, je ne suis pas sûre d'avoir exactement compris le principe).
Pour finir, ce premier tome comporte pour moi tous les éléments pour engendrer une grande trilogie young adult : une romance touchante, de bons personnages charismatiques, un décor exotique et tumultueux, etc...
J'ai été soulagée par l'aboutissement de l'intrigue de ce tome. J'ai eu très peur pour Thad dans les derniers moments et je n'ai pu respirer correctement que lorsque j'ai eu fini la toute dernière page.
Une dernière remarque : si certains ont pu s'en tirer sans dommage, l'île est toujours là à la fin... et le grizzly et le tigre également. Que vont-devenir les derniers rescapés ?!

En bref, foncez si vous avez soif d'aventures et de récits trépidants !