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Une singulière histoire d'amour



Description ajoutée par lamiss59283 2012-02-22T10:56:35+01:00

Résumé

Résumé

1962, Washington, aile ouest de la Maison-Blanche. Mimi, une jeune étudiante de 19 ans, entre au service de presse de Kennedy. Jeune fille naïve, de bonne famille, elle est issue du même milieu et de la même école que Jackie. Elle rencontre JFK qui l'invite très vite en privé.

Guidée par les plus proches collaborateurs du Président, complices, elle obéit, ne sachant plus très bien où s'arrêtent les convenances et où commence la complaisance. Séduite par le Président, elle partagera une intimité tumultueuse pendant deux ans.

Mimi Alford a conservé le secret sur cette liaison pendant près de quarante ans. Ce secret a détruit sa vie ; ce secret l'a fait aujourd’hui renaître.

Révélée par un article qui a fait scandale aux États-Unis en 2003, Mimi parle enfin de cette relation passionnée et nous invite à la rencontre du plus mythique des présidents des États-Unis, dans les coulisses de la Maison-Blanche, de la crise des missiles de Cuba jusqu' à l'assassinat à Dallas.

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Classement en biblio - 7 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-22T10:56:49+01:00

Nous avons tous un secret. Voici le mien.

L'été 1962, j'avais dix-neuf ans et j'étais stagiaire au service de presse de la Maison-Blanche. J'y ai eu une liaison avec le président John Kennedy, qui a duré jusqu'à sa fin tragique au mois de novembre de l'année suivante.

J'ai jeté un voile sur cette histoire pendant plus de quarante ans. Les personnes à qui j'en ai parlé se comptent sur les doigts d'une main. Je n'en ai jamais rien dit ni à mes parents ni à mes enfants. Dans mon esprit, c'était voué à rester caché jusqu'à ma mort.

Ce ne fut pas le cas.

En mai 2003, Robert Dallek, un historien américain, a publié une biographie de John Fitzgerald Kennedy : An Unfinished Life : John F. Kennedy, 1917-1963¹. À la page 476, on pouvait lire l'extrait d'un témoignage recueilli en 1964 par Barbara Gamarekian, une ancienne conseillère à la Maison-Blanche. Ce court texte venait d'être publié, au même titre que d'autres documents archivés à la bibliothèque John-Kennedy de Boston et restés longtemps secrets. Dallek avait choisi un passage édifiant : « Kennedy s'est toujours amusé à courir les jupons, mais ça lui permettait aussi d'échapper au stress invraisemblable auquel il était soumis. Il a multiplié les aventures féminines, notamment avec Pamela Tumure, la porte-parole de Jackie ; avec Mary Pinchot Meyer, la belle-sœur de Ben Bradlee² ; avec deux secrétaires de la Maison-Blanche, des amies inséparables surnommées Fiddle et Faddle ; avec Judith Campbell Exner, qui entretenait des relations avec des membres notoires de la Mafia tels que Sam Giancana, ce qui lui valut d'attirer l'attention du FBI ; et enfin avec une grande et ravissante étudiante de dix-neuf ans, qui a effectué pendant deux étés un stage au service de presse de la Maison-Blanche. Elle était "incompétente", au dire d'un membre de l'équipe, "elle ne savait pas taper à la machine". »

Au moment de sa parution, je n'y ai pas prêté attention. Les biographies de JFK sont évidemment un créneau porteur dans l'édition, il sort tous les ans un ou deux nouveaux livres qui font sensation un moment. Je m'efforçais de ne pas m'y intéresser. Je mettais même un point d'honneur à n'en lire aucun, ce qui ne m'empêchait pourtant pas d'aller faire un tour dans les librairies de Manhattan, où j'habitais, pour jeter un œil aux passages consacrés aux années pendant lesquelles j'avais travaillé à la Maison-Blanche. J'étais partagée entre la fascination de m'être trouvée alors sur place, avec le plaisir de me replonger dans cette époque de mon existence, et l'envie de savoir si mon secret n'avait pas été éventé.

Si la publication de ce livre m'avait échappé, c'était loin d'être le cas des médias. En effet, cinq ans plus tôt, en 1998, le scandale Monica Lewinsky avait failli provoquer la chute de l'administration Clinton en suscitant dans le grand public un intérêt renouvelé pour la vie sexuelle de nos dirigeants. Le fait que Dallek évoque une « stagiaire » anonyme à la Maison-Blanche causa un vif émoi au Daily News de New York. Il faut dire que c'était une affaire juteuse... Le quotidien constitua rapidement une équipe de journalistes chargés d'identifier et de localiser cette mystérieuse stagiaire.

Le soir du 12 mai 2003, en passant devant le kiosque à journaux de mon quartier, j'avais bien remarqué une photo du président Kennedy barrant la première page du Daily News. Mais, en retard à mon cours de yoga, je n'avais pas vraiment prêté attention au gros titre, qui de toute façon était en partie dissimulé par une pile de journaux. Peut-être aussi n'avais-je pas envie de le voir... Le Daily News est un de ces tabloïds qui tirent profit de tout ce qui concerne la vie privée de JFK et qui est susceptible de choquer. Ces articles m'ont toujours mise mal à l'aise. Ils me rappelaient que je n'avais été que l'une des femmes de Kennedy. Il y en avait toujours eu d'autres... J'avais donc passé mon chemin, en m'efforçant d'oublier cette photo. Garder un secret quarante ans implique de savoir occulter certains aspects de sa vie. Il faut surtout parvenir à circonscrire ce qui est douloureux pour le mettre en quarantaine. J'étais devenue experte en la matière.

Ce qui m'avait échappé tandis que je me dépêchais pour être à l'heure à mon cours de yoga, et que je n'ai découvert que le lendemain, c'était la manchette qui servait de légende à la photo : « JFK avait une Monica, un historien affirme qu'il fréquentait une jeune fille de dix-neuf ans, stagiaire à la Maison-Blanche. » À l'intérieur du journal figurait un article qui faisait état du livre de Dallek et renvoyait à une nouvelle interview de Barbara Gamarekian réalisée par les journalistes du même organe de presse. Elle y déclarait ne se souvenir que du prénom de cette mystérieuse stagiaire de dix-neuf ans, qu'elle refusait par ailleurs de communiquer. Ce qui incita bien entendu le Daily News à poursuivre son enquête.

Le lendemain matin, ne me doutant toujours de rien, j'arrivai comme d'habitude à 9 heures au bureau, dans l'église presbytérienne de la Cinquième Avenue. Une fois ma veste accrochée au portemanteau, j'ai enfin pu boire mon café acheté à la sortie du métro en relevant mes courriels. Un ami m'avait adressé un message avec un lien vers un article du Daily News. Je cliquai dessus, sans savoir de quoi il retournait. C'est alors que s'afficha un article intitulé : « Batifolages avec Mimi à la Maison-Blanche. » Il expliquait me l'avoir envoyé parce que nous avions le même surnom et que la coïncidence l'avait amusé...

Pour la première fois de ma vie j'ai été, au sens propre du terme, estomaquée. Ça m'a glacé le sang. J'ai couru fermer la porte, puis j'ai lu attentivement cet article. Même si l'on n'indiquait que mon nom de jeune fille, j'ai eu des sueurs froides et l'impression que tout allait basculer. Cet instant que je redoutais depuis quarante ans était arrivé.

J'ai essayé de ne pas paniquer. J'ai recensé tout ce qui ne figurait pas dans l'article. Les journalistes du Daily News ne savaient pas où j'habitais. Ils n'avaient contacté aucun de mes amis. Ils n'avaient pas essayé de joindre ceux qui avaient travaillé à la Maison-Blanche à l'époque. Ils n'avaient pas de photo de moi. Si ces journalistes avaient disposé de plus de renseignements à mon sujet, ils en auraient assurément fait part dans leur article et se seraient débrouillés pour venir me harceler de questions. Du moins, c'est ce que je croyais.

Il n'en était rien.

Le danger m'avait déjà frôlée. Un an plus tôt, en 2002, Sally Bedell Smith, auteur de plusieurs ouvrages, m'avait appelée chez moi. Elle prétendait écrire un livre sur la façon dont on traitait les femmes à Washington dans les années 1960. C'était apparemment un sujet anodin, pourtant cela avait suffi à me mettre la puce à l'oreille et je me suis dit que cela devait cacher quelque chose. À cette époque, je n'étais pas encore prête à révéler mon secret, a fortiori devant une femme que je n'avais jamais vue. J'avais refusé de lui répondre, et je lui avais gentiment demandé de ne plus me rappeler. Elle ne m'avait pas recontactée. Mon secret était préservé.

Mais cet article du Daily News n'avait pas l'air d'être du même ordre.

Le lendemain, quand je suis arrivée au travail, une femme m'attendait devant mon bureau. C'était une journaliste du Daily News, Celeste Katz. Elle voulait la confirmation que j'étais bien la Mimi dont on parlait dans l'article de la veille.

Je n'avais nulle part où me cacher ni aucun moyen de nier.

— Oui, c'est moi, lui répondis-je.

« Mimi sort de son silence » fut le gros titre du lendemain matin.

En 2003, juste avant ce coup de tonnerre, pour la première fois depuis longtemps, j'éprouvais une certaine sérénité. J'avais soixante ans, j'étais divorcée, je vivais seule, paisiblement, dans un appartement de l'Upper East Side, non loin de Central Park. Trente ans après avoir arrêté mes études, je m'étais réinscrite à la fac au début des années 1990, et j'avais décroché une licence à cinquante et un ans. Sportive depuis toujours, je pratiquais assidûment la course de fond. Combien d'heures ai-je pu passer, avant le lever du jour, à faire le tour du Réservoir, le plus grand lac artificiel de Central Park, savourant ma solitude ! Mon premier mari est mort en 1993 ; auparavant, notre divorce avait été mouvementé. Mes deux filles étaient désormais adultes, mariées, et elles avaient à leur tour des enfants.

Pour parvenir à cette nouvelle quiétude, j'avais suivi une psychothérapie pour essayer de me connaître. Après avoir été une mère de famille très casanière, j'en étais venue à prendre à cœur mon métier à l'église. Cela faisait cinq ans que j'y travaillais. J'avais d'abord été coordinatrice du ministère audio (j'enregistrais puis éditais les remarquables sermons de Thomas K. Tewell, notre recteur), avant de gérer le site Web de la paroisse. La vente des bandes magnétiques avait fini par représenter des rentrées d'argent importantes pour l'église. Ce travail n'était pas uniquement alimentaire, j'aimais beaucoup ce que je faisais alors. Cela m'apportait stabilité et réconfort. Sans être une fervente croyante, je m'intéressais à la spiritualité. Tout comme j'appréciais que personne ne vienne me déranger.

Quand la nouvelle a explosé, son impact ne s'est pas limité à New York. Elle s'est répandue comme une traînée de poudre à travers les États-Unis jusqu'en Europe. C'est donc hélas ! ainsi que j'ai eu droit à mon quart d'heure de célébrité. Les journaux s'en sont donné à cœur joie, multipliant les manchettes, de la plus prévisible à la plus idiote : « De Monica à Mimi », « Mimi : Dieu seul sait ce qu'il y a au fond des cœurs », « JFK et la dévote ! »... L'un de mes auteurs préférés, Nora Ephron, m'a brocardée dans le New York Times. Je me suis retrouvée assaillie de demandes d'interviews, que ce soit de la part de Katie Couric, de Larry King ou de Diane Sawyer³, ou même d'un journaliste du National Enquirer, qui a glissé sous ma porte une enveloppe de billets de vingt dollars (je les ai remis à l'église). Les hebdomadaires m'ont, eux aussi, inondée de lettres, toutes rédigées sur le même modèle : « Chère madame Fahnestock, je m'excuse de vous déranger. Je sais que vous traversez une phase délicate... », après quoi ils en venaient à l'essentiel. Un producteur d'Hollywood m'a envoyé des fleurs, avant de me proposer d'acheter les droits qui lui permettraient d'adapter mon histoire au cinéma ; il a été jusqu'à me proposer de me verser un million de dollars, en guise de préambule à une rencontre. Des agents littéraires m'ont offert leurs services. Edward Klein, qui venait de publier non pas un mais deux ouvrages sur les Kennedy, m'a expliqué au téléphone que si je le laissais me servir de nègre, ma fortune était assurée et que je pourrais alors « me la couler douce ». J'ai reçu des courriels d'amis, de sympathisants, d'illuminés, et bien sûr de détracteurs. Une femme que j'avais connue à l'université a tenu à me réconforter : « N'oublie pas que c'est ce qui défraie la chronique cette semaine, voilà tout, m'a-t-elle écrit. Ça ne va pas durer. Il se passe avec JFK la même chose qu'avec Elvis. On croit tous le connaître, et on a tous envie d'en apprendre davantage... »

J'ai rejeté les demandes des médias. J'ai remercié mes admirateurs, n'ai pas tenu compte des critiques que l'on pouvait par ailleurs m'adresser, estimant qu'il était impossible de faire entendre raison à des gens persuadés que je bafouais intentionnellement la mémoire de Kennedy, ou bien que j'affabulais. Je me suis dit que ce n'était pas moi qui avais eu l'idée de tout révéler, mais qu'on m'avait placée devant le fait accompli.

Pendant quarante années, j'avais redouté qu'on se lance à ma recherche, qu'on me retrouve, qu'on me démasque. Cette fois, c'était fait.

Contre toute attente, ce fut une libération. Lorsque l'affaire a éclaté, loin d'en faire une maladie, je me suis aperçue que je pouvais très bien gérer et que je n'avais pas de raison d'avoir honte. Désormais, je n'avais plus besoin de me cacher.

À la foule de journalistes massés devant mon immeuble, j'ai simplement déclaré : « Entre le mois de juin 1962 et le mois de novembre 1963, j'ai eu une liaison avec le président Kennedy. Je n'en ai pas parlé pendant quarante et un ans. Étant donné tout ce que racontent aujourd'hui les médias à ce sujet, j'en ai discuté avec mes enfants et mes proches, qui m'apportent leur soutien.

Je n'en ai pas dit davantage.

Je m'appelle Marion Beardsley Fahnestock Alford. Cette succession de trois noms vous dit tout ce que vous devez savoir de moi et de mon passé. J'ai été une Beardsley pendant les vingt premières années de ma vie, y compris à l'époque où je fréquentais John Kennedy. J'ai ensuite porté le nom de Fahnestock quarante ans durant, car c'est celui de l'homme que j'ai épousé en janvier 1964, deux mois après l'assassinat de Kennedy. C'est donc ce patronyme qui m'a accompagnée le plus longtemps, c'est celui qu'ont reçu mes deux filles à leur naissance.

Aujourd'hui je suis devenue Mme Alford, puisque, en 2005, j'ai épousé Dick, l'amour de ma vie. L'ironie, c'est que nos chemins ne se seraient jamais croisés si je n'avais pas été démasquée deux ans plus tôt.

C'est désormais le seul nom sous lequel on me connaît, et c'est celui qui figure sur la couverture de ce livre.

J'ai fait ce choix car je ne suis plus Mimi Beardsley, cette petite jeune fille de dix-neuf ans élevée dans un cocon et qui s'est lancée dans une aventure avec l'homme le plus puissant du monde, tout comme je ne suis plus Mimi Fahnestock, la femme apeurée, aux émotions refoulées, qui s'est efforcée de remonter la pente au terme de cette relation.

Désormais, je suis Mimi Alford, et je ne regrette pas ce que j'ai fait autrefois. J'étais jeune, je me suis laissé entraîner, voilà tout. Il y a bientôt dix ans que tout le monde connaît ce qui fut mon secret, et j'ai depuis réfléchi à cette aventure et à la façon de dire ce que j'en pense. Je me suis même demandé si c'était nécessaire. Aujourd'hui, il ne subsiste plus aucun doute dans mon esprit. Jusqu'à ce fameux 12 mai 2003, je ressentais un vide en moi, sans savoir comment le combler. Mais depuis, le bonheur que je vis en tant que Mimi Alford m'a libérée et m'a fait comprendre l'importance d'assumer mon histoire et d'en reprendre les commandes.

Lorsque cette liaison a été connue de tous, j'avais commencé à écrire des lettres (sans les envoyer) à la plus âgée de mes petites-filles, afin de « mettre les choses au clair » :

« Ma chère Emma,

Il y a quelque chose que j'ai envie de te raconter, car lorsque tu seras plus grande, tu risques de voir mon nom figurer dans un livre consacré à un président américain. Je veux que tu saches ce qui s'est passé... »

Mais je me suis rendu compte que « mettre les choses au clair » ne se réduisait pas à consigner les événements. Le fait de vivre avec un secret m'avait amenée à me replier sur moi-même, et, en noircissant ces pages, j'essayais seulement d'être lucide, je m'en rends compte maintenant. Pour reprendre complètement le contrôle de ma vie, je devais faire un retour sur moi-même, et ne pas m'en tenir uniquement à l'époque où j'avais travaillé à la Maison-Blanche.

Ce livre relate certes une aventure personnelle, mais elle revêt une dimension publique. Et je n'ai pas envie que l'on réduise cette histoire à un simple fait divers, que l'on me considère comme le jouet d'un Président...

On aura peut-être du mal à admettre qu'une chaste jeune fille puisse coucher avec John Kennedy quatre jours seulement après avoir débuté un stage à la Maison-Blanche. Mais ce n'est pas si simple.

Tout commence dans un train qui roule vers Washington.

1. Une vie inachevée : John F. Kennedy. Ouvrage non traduit en français. (NdT).

2. Célèbre journaliste américain. (NdT).

3. Trois journalistes vedettes de la télévision américaine, travaillant entre autres pour CBS, CNN et ABC. (NdT).

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Mimirelle9 2021-01-02T19:32:06+01:00
Diamant

J'ai adoré ce livre, c'est rare de trouver un tel témoignage.

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Commentaire ajouté par cinou13 2012-09-26T13:39:19+02:00
Or

Il me manque deux chapitres et fini en deux jours

J'adore cette histoire

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Date de sortie

Une singulière histoire d'amour

  • France : 2012-02-09 - Poche (Français)

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