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Paul Eluard publie "Capitale de la douleur", un recueil poétique en vers et en prose traitant les thèmes de l’amour, du rêve ou encore de la peinture. Il y assemble de poèmes antérieurs mais aussi des nouveautés. Le recueil est écrit pour Gala, épouse du poète qui l’abandonna pour Salvador Dalí.
J'ai plutôt apprécié ma découverte d'Éluard et de ce recueil célébrissime que je n'avais encore jamais eu l'occasion de croiser mais dans lequel j'ai décidé de me lancer à l'occasion du Challenge Fais vriller ta PAL 2023.
—Une bonne douleur—
Si j'ai vraiment peiné à comprendre la signification de certains poèmes et ce que l'auteur avait voulu exprimer car je trouvais ses vers très (trop ?) abstraits, d'autres m'ont beaucoup touchée et ont su me marquer. La taille des poèmes, courts voire très courts, m'a d'autant plus charmée étant donné que c'est mon format de prédilection - qui permet, je trouve, une concentration des idées et des sentiments exprimés, et donc une réception plus intense de la part du lecteur. D'autant plus avec ces thématiques de l'amour, du désir et de douleur de la séparation qui sont universelles mais joliment traitées par Éluard et qui s'adaptent parfaitement à cette brièveté.
J'ai également été surprise de découvrir que certains poèmes en prose avaient trouvé leur place entre les pages de *Capitale de la douleur* : Si j'avoue ne pas avoir été très réceptive à ces derniers, je retiendrai leur originalité et leur présence en elle-même qui permet de bousculer un peu les présupposés de la poésie "classique".
—En bref—
En bref, je suis contente d'avoir découvert ce classique de la poésie - bien que j'aie pu regretter le côté trop abstrait de certains vers qui rendaient la compréhension difficile pour le lecteur. D'autres poèmes m'ont en revanche beaucoup plus plu et touchée, tout comme le format court des écrits de l'auteur. Je retiendrai également ma surprise de trouver des poèmes en prose au milieu de tous ces vers, bien que je les aie encore une fois trouvés trop abscons.
Je n’ai pas l’habitude de lire de la poésie (depuis la fin de mes années d’université). Et je ne sais pas comment commenter de la poésie pour être honnête. À chaque fois dans un recueil, il n’y a seulement qu’un ou deux poèmes qui me touchent, d’autant que le surréalisme me semble toujours exagéré et faux. Alors, je vais commenter un qui m’a plu. Un de mes vers préférés est « La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur », je me souviens que j’ai dû l’analyser lors d’un cours, en lien avec le dernier vers du même poème « Et tout mon sang coule dans leurs regards » - je ne me souviens plus de la figure de style, et franchement, tant pis, tant je l’adore et elle me transporte, y’a-t-il meilleure phrase pour parler de la dépendance physique d’un cœur amoureux envers celui/celle qu’il aime. Sur une autre note, sa poésie m’a aussi fait sourire. Une des meilleures fois était quand il décrit des combattants se préparant à livrer bataille, très braves et ils se mettent en ligne devant des arbres « qui, sans en avoir l’air, tiennent encore à leur feuillage » - je ne m’y attendais tellement pas, l’image m’a fait rire.
Pour comprendre la poésie d'Eluard jeune poète, et pour tâtonner moins dans le cadre d'une préparation de concours, commentaires bien organisés, pas jargonnants, accessibles et permettant un travail préparatoire...mais je reproche une approche trop scolaire.
Livre souvent demandé au lycée. D'un abord un peu difficile, surtout quand les classiques littéraires et, notamment, la poésie, ne font pas partie des lectures quotidiennes. Nécessite, à mon avis, l'aide d'un adulte au début, afin que le jeune comprenne la subtilité de ces textes. Très belle poésie.
J'avais eu à étudier pour le bac français il y a quelques années; le poème "la terre est bleue comme une orange", et déjà je l'avais trouvé magnifique. A présent que le temps à passer et que j'ai gagné en maturité j'ai voulu en découvrir plus. La lecture du recueil a été un moment formidable, même si le style est parfois complexe la beauté transparait...
Dans Capitale de la douleur, Paul Eluard écrit sa souffrance après que sa muse et son épouse, Gala l'ait quitté pour Salvador Dali. C'est dans ce recueil que l'on trouve aussi le poème surréaliste La courbe de tes yeux. J'ai beacoup aimé l'ensemble des poèmes tant pour les thèmes abordés (l'amour, le désir et la douleur) que pour l'écriture d'Eluard, un adepte de l'écriture automatique surréaliste.
N'étant pas très sensible à la poésie à la base, je n'ai pas grand-chose à dire sur ce recueil. Les poèmes sont courts, agréables à lire mais sans plus.
Une surprise des plus agréables : l'esthétique du recueil m'a touché comme très peu de recueils m'ont touché. La poésie d'Eluard est une poésie forte, puissante, presque violente, mais qui reste toujours douce et souple, fugitive, amoureuse.
Résumé
Paul Eluard publie "Capitale de la douleur", un recueil poétique en vers et en prose traitant les thèmes de l’amour, du rêve ou encore de la peinture. Il y assemble de poèmes antérieurs mais aussi des nouveautés. Le recueil est écrit pour Gala, épouse du poète qui l’abandonna pour Salvador Dalí.