La Princesse de Clèves

Souvent présenté comme l'un des premiers romans psychologiques, la Princesse de Clèves tient ses promesses et nous plonge dans les atermoiements des personnages. Si leurs déchirements peuvent être difficiles à comprendre pour un esprit moderne, ils donnent un aperçu mordant des contradictions et des injonctions de la cour des Valois, tout en plongeant le lecture dans l'atmosphère de l'époque avec une plume incisive.

Pour ne rien gâcher, l'auteur est une autrice, ce qui n'avait rien d'évident à l'époque.

Je résumerais le livre en tout ça pour ça... Il ne se passe pas grand chose dans cet ouvrage et l'édition bac que je possède rend compte de l'ensemble de l'œuvre en 2 pages à la fin du livre. Résumé qui est plus clair que le récit lui même et à l'avantage d'être concis. Si le récit n'est pas compliqué à lire en soit il est à regretter le manque de partition de l'ouvrage (seulement 4 grandes parties) ce qui "oblige" à faire des coupes de lectures assez hasardeuse ou à attendre d'avoir beaucoup de temps à y consacrer. Bref je n'ai pas aimé cet ouvrage qui a mon sens n'a pas d'intérêt.

La Princesse de Clèves est un classique que je voulais lire depuis longtemps.

Le tout début a été très difficile. La cour et ses nombreux personnages sont présentés et non seulement je ne voyais pas de rapport avec la princesse de Clèves, mais je trouvais le tout assez complexe et laborieux à lire.

Puis la Princesse de Clèves a fait son apparition et la lecture est devenue plus facile.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui nous présente l'histoire de madame de Clèves, mais également de manière générale les intrigues amoureuses à la cour, et même les rapports de force entre les différentes têtes régnantes.

C'est donc un bel aperçu historique, même si le tout est romancé et comporte nécessairement des inexactitudes, vu que l'histoire n'est pas contemporaine de l'autrice : il s'agissait déjà d'un roman historique lors de son écriture.

Les personnages sont assez peu approfondis au fond, mais l'on en sait assez sur les trois personnages principaux pour bien cerner leur caractère. J'admire notamment la vertu de madame de Clèves et son obstination à tenir ses résolutions.

Je suis assez déçue que le résumé dévoile tout de l'intrigue. Je savais qu'il n'y avait pas une fin heureuse (triste pour les personnes qui aiment bien les histoires à l'eau de rose, comme moi), mais je ne savais pas que monsieur de Clèves mourait. Je trouve dommage de l'inclure dans le résumé alors que cela n'arrive que dans le dernier quart du livre.

Madame de La Fayette a un style d'écriture qui se lit très bien une fois qu'on s'y est habitué. Evidemment, ce n'est pas du français contemporain, donc cela peut déstabiliser au début, mais c'est une belle plume.

En bref, c'est un classique assez accessible passé les premières pages et que j'ai bien aimé.

Long pour pas grand chose. Le genre de classique que je n'aime pas.

A la cour du roi Henri II, la princesse de Clèves, jeune mariée, craint d'aimer le duc de Nemours dont elle est aimée. Cruellement déchirée entre son désir et son devoir, elle avoue ses sentiments à son époux, qu'elle met au désespoir. La prince meurt bientôt, rongé par le chagrin. Mme de Clèves lui reste fidèle et s'interdit de jamais céder à sa passion pour le duc.

Je n'ai pas détesté lire ce livre pour mon bac de français. Honnêtement, si on arrive à se plonger dedans il est vraiment sympa. Ça ne plaît pas à tout le monde et personnellement j'ai préféré lire La princesse de Montpensier mais c'était vraiment intéressant de travailler dessus. J'ai eu du mal à me plonger dans l'histoire à cause de la langue qui peut être déroutante. De plus, le scénario est un peu lent mais quand j'ai réussi à me lancer, je l'ai fini en une ou deux semaines.

Difficile d'accrocher avec cette écriture si particulière à laquelle je ne suis pas familière. Outre les descriptions interminables de la Cour, l'histoire ne m'a pas accrochée. Je l'ai lu car acheté il y a trèès longtemps pour mon bac. Je ne trouve personnellement pas de plaisir dans ce genre littéraire, même si j'arrive à voir les qualités narratives et morales qu'on loue à ce livre.

Très bon souvenir de lecture. De magnifiques analyses psychologiques des tourments de l'amoureux.

Mademoiselle de Chartres fait des débuts remarqués à la Cour de la Reine dauphine. Le Prince de Clèves la remarque et la demande en mariage, demande qui va être acceptée. Mais la Princesse de Clèves va rencontrer ensuite le fringant Duc de Nemours et ils vont s'éprendre l'un de l'autre, pourtant la Princesse va résister.

En dehors de cette belle histoire d'amour, ce sont aussi toutes les alliances de la Cour qui sont contées.

C'est un magnifique livre d'Histoire.

Les récits enchâssés rendent le récit trop complexe, il y a trop de personnages. Je n'ai pas du tout aimé