Inspecteur Lynley, Tome 11 : Mémoire infidèle

un talentueux violoniste, une femme sa mère est écrasée dans une rue la nuit. Ce violoniste ne peut plus jouer du violon car il ne sait plus en jouer alors il fait une psychanalyse pour retrouver ce qui a pu le bloquer et sa mémoire revient petit à petit...Lynley mène l'enquête aidé de Nkata officiellement et de Havers officieusement.

Une brique que j'ai lu tellement lentement... l'intrigue n'était pas très captivante à mon goût. Prendre plus d'un mois pour lire un livre c'est un signe et j'ai l'impression qu'il ne se termine pas. La fin ne conclue pas l'histoire. Sans doute le pire tome pour le moment selon moi.

Trop de suspects un sac de nœud chronologique et tout s’éclaire sur la fin...

Malgré qu'il soit dur à suivre c'est un bon roman

C'est le 1er livre de cet auteur que je lis. Un gros pavé, il ne faut pas perdre le fil de l'histoire. Je pensais bien que Gidéon avait une implication, car j'ai trouvé qu'une bonne partie du livre lui était consacré, et je me suis dis ce n'est pas pour rien......................

Pas mécontente d'en avoir fini avec cette lecture. Qu'elle m'a semblé longue cette enquête ! C'est mon 2ème essai avec cette auteure et jusqu'ici je n'ai pas eu de coup de cœur. Peut être est ce du au fait que cette histoire fait partie d'une série de 20 livres et que je les lis dans le désordre. Pourtant j'aime beaucoup le personnage de Linley et son charme so british, mais ça s'arrête là. A chaque tome, je trouve qu'il y a trop de pages et que ça manque d'ambiance et de rythme. Les chapitres des conversations entre Gidéon et sa psy cassent complètement l'enquête. L'auteure alterne les 2, mais à mon avis elle aurait du faire un choix, soit concentrer l'histoire sur l'enquête ou sur les souvenirs de Gidéon et la recherche de son passé. Je trouve aussi que le racisme et l'homosexualité sont des thèmes qu'elle a déjà utilisé.

J'ai appréciée retrouver les personnages principaux : le riche gentleman/inspecteur Linley et ses subordonnés Havers et Nkata.

Plusieurs intrigues secondaires se mêlent à la principale et malheureusement viennent avec elles quelques longueurs qui m'ont fait sauter quelques passages.

La plume de l'autrice reste malgré tout agréable, fluide et bien travaillée.

J'adore parcourir les rues de Londres en compagnie de Linley et Havers qui ont des avis souvent radicalement opposés.

Petit bémol sur la fin qui ne m'a pas convaincue...

En bref, J'ai passé plutôt un bon moment avec ce livre même si certains passages pour moi auraient méritaient d'être raccourcis voir carrément supprimer.

Bien que j’ai aimé le style d’écriture qui est agréable à lire je n’ai pas accroché à l’histoire qui est trop longue à se mettre en place à mon goût

Ce livre mélange les genres: enquête policière entrecoupée de différentes scéances de psychanalyse qui cherchent à reconstituer la mémoire perdue de l'acteur principal, tout en aidant le lecteur à perdre le fil du roman. L'auteur brode sur une galerie de portraits pas toujours nécessaire pour la trame du récit. Les différents secrets de famille et autres drames familiaux cachés s'entrecroisent. Peut mieux faire !

L'auteur alterne le journal de Gidéon et la narration de l'enquête.

Elle sait comme personne décrire la profondeur psychologique de chaque personnage et tisser une intrigue passionnante.

Nous ne connaissons le coupable que vers la fin du livre.

Malgré les 971 pages (version poche), je ne me suis pas du tout ennuyée. Elizabeth George a réussi à me tenir en haleine jusqu'à la fin.

Les livres de cette auteure sont soient passionnants (c'est pour ça que je continue d'en lire) soient interminablement lourds. Celui ci fait partie de la deuxième catégorie pour moi. Je n'ai pas du tout aimé les chapitres Gideon, j'ai trouvé que ca coupait le récit, j'ai assez vite deviné le meurtrier, et je ne me suis pas du tout attachée aux personnages secondaires. Bref, celui ci je vais surtout me rappeler que j'ai mis un temps infini à le finir.