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Zelda, 21 ans, n'est pas tout à fait comme les jeunes femmes de son âge, parce que sa mère buvait trop quand elle était enceinte. Qu'à cela ne tienne, elle mènera sa vie comme elle l'entend ! Zelda aime son grand frère Gert, son amoureux Marxy, son nouveau travail à la bibliothèque, faire des listes et, surtout, elle voue un culte immodéré aux vikings.
Mais, alors qu'elle rêve de combats à l'épée et de Valkyries, elle découvre que Gert s'est lié à de dangereux dealers pour payer les factures. Le moment est venu pour Zelda de montrer sa bravoure et de se lancer à sa rescousse !
Avec je suis une Viking, Andrew David MacDonald signe un premier roman tendre et universel et nous entraîne dans les aventures d'une héroïne étonnante qui entrera dans la légende.
Je suis une viking est une lecture pleine d’empouvoirement qui fait chaud au cœur !
Zelda est un personnage particulièrement touchant et attachant. A travers ses aventures, on la voit grandir intérieurement, chuter, apprendre, se remettre en question.
Atteinte du syndrome de l’alcoolisation fœtale, elle s’exprime avec une candeur qui peut paraître enfantine, même si à 21 ans, elle exprime des besoins de jeune adulte : gagner son indépendance, avoir une sexualité… Bref, écrire sa propre légende, comme une vraie guerrière viking ! Car sa passion immodérée pour les vikings l’aide à appréhender le monde à sa façon par ce prisme, à traduire ce pour quoi elle ne trouve pas toujours les mots.
Contrairement à certains romans où seul le personnage principal a un développement digne de ce nom, les personnages secondaires, Gert et Kalash en tête, sont également attachants et pleins de nuances. Leur relation avec Zelda est touchante, on sent leur alchimie à tous les trois.
Gert est un personnage ambigu, voyou au grand cœur qui ferait tout pour protéger sa sœur, quitte à faire de très mauvais choix. S’il aide sa cadette à avancer, il lutte lui-même contre ses propres failles, la vie qui lui a distribué des cartes pourries, et peine à s’apercevoir que c’est Zelda qui, parfois, le tire vers le haut plutôt que l’inverse.
Alors que Kalash se pose en mentor de la féminité et du féminisme naissants de Zelda, on devine en filigrane que derrière ses allures de femme forte et badass, elle a son propre combat à mener.
J’ai écouté le roman en audiobook, et si j’ai d’ordinaire du mal à apprécier pleinement les romans quand je les découvre en audio, ça n’a pas du tout été le cas ici. La lectrice, Maud Rudigoz, a parfaitement su interpréter la fraîcheur et la naïveté de Zelda, sans la rendre niaise. De plus, comme la narration se fait à la première personne, on a vraiment l’impression d’écouter l’héroïne raconter ses aventures, comme une amie qui se confie.
L’écriture est simple pour s’adapter à sa narratrice et l’histoire apporte peu de suspens mais Zelda transforme chaque pas de son quotidien en aventure, ce qui fait qu’on ne s’ennuie jamais.
C’est une lecture qui aborde beaucoup de faits de société. Le syndrome d’alcoolisation fœtale, le handicap mental et la différence en général, le féminisme, les préjugés, les inégalités sociales… Elle pousse à avancer avec beaucoup de tendresse et de bienveillance, sans verser dans le bon sentiment mielleux (même s’il n’est pas impossible que j’aie lâché une larmichette ou deux).
Je m'attendais à un coup de cœur. Mais non ! ^^' Dommage.
Pourtant Zelda est attachante, débrouillarde, viking dans l'âme. Toutefois même si le résumé le laissait entendre : je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit confrontée à tant de noirceur et de...glauque. Sa "naïveté" la protège en partie mais aoutch !
C'est violent, dur et réaliste. Oo (Un peu nauséeuse pendant certaines scènes.)
Gert bien que protecteur envers sa sœur, ne peut lutter contre son propre tempérament auto-destructeur. (Guérira-t-il un jour de lui même ?) Kalash est géniale, et j'ai eu envie de hurler. Le Docteur Laird est celui que je souhaite à tous ceux qui ont besoin d'une béquille mentale. La plume elle-même rend le tout abordable, mais fait du dégât à l'âme.
Zelda est exemplaire. Je lui souhaite de nouvelles aventures formidables...plus réjouissantes que celles auxquelles on assiste ici. (Une rencontre avec le Docteur Kepple et plein de discussion en norrois seraient, par exemple, de bon aloi ! :D )
J'ai été déstabilisée au début de ma lecture, ne m'attendant pas du tout à ce type d'héroïne. Au final j'ai adoré Zelda qui fait de sa différence une force. Son innocence et son franc parlé ne peuvent que la rendre attachante.
Un livre très touchant. L'héroïne, Zelda, est handicapée et nous entraîne dans sa vie de jeune adulte dans un milieu défavorisé, qu'elle voit comme une véritable épopée viking. Elle fait preuve de beaucoup de courage et de force et jamais on ne s'apitoie sur son sort. La narration, de son point de vue, m'a au départ un peu déroutée par son aspect répétitif, mais j'ai vite été emportée par la voix de Zelda.
Un drôle de ressenti. Je n'avais pas lu la quatrième de couverture et du coup, je ne m'attendais pas à cette histoire. Lorsque j'ai tourné la dernière page, je me suis dit que ce livre se lisait facilement, une histoire légère et agréable. Finalement oui et non... à la fin de cette lecture, avec une amie, nous avons discuté, débattu. Ce roman nous a finalement surpris par sa richesse.
Très belle lecture. L'auteur aborde la déficience mentale de Zelda, notre Viking, avec beaucoup d'adresse. Impossible d'avoir pitié de Zelda - au contraire, on ne peut que l'admirer. Elle fait preuve de tant de force, de courage et d'honnêteté.
J'ai personnellement eu un peu de mal à entrer dans l'histoire à cause du style d'écriture, mais une fois dedans j'étais accro.
Je suis une Viking est un livre sur le dépassement de soi malgré l'handicap ainsi que la vision de la société face à des personnes avec des problèmes cognitifs.
Zelda est extrêmement courageuse, elle est passionnée des Vikings et grâce à eux, ça lui permet d'affronter les difficultés qu'elle rencontre, et ne sont pas de moindres.
L'intrigue est intense, original et très dynamique. Ecrit à la première personne nous découvrons dans ce récit son point de vue, ses penses et ses difficultés pour se faire une place dans notre société. L'écriture est dynamique et reflète très bien le raisonnement à part de Zelda, par contre ça peu être un peu répétitif, devenant par moment une lecture lente et lourde.
Une lecture qui frôle vraiment le coup de cœur ! Je me suis tellement attachée au personnage de Zelda, à sa sincérité, à ses failles, à son courage qui la rendent digne des plus grands Vikings. L'histoire est hyper décalée, écrite dans un style très brut qui m'a énormément plu. Il y a une vraie spontanéité qui nous plonge directement dans le roman, à la fois drôle et touchant. Une réussite !
L'histoire de Zelda, souffrant d'une déficience mentale dûe l'alcoolisme de sa mère pendant sa grossesse, est racontée de manière originale, par le prisme de la compréhension parfois limitée de son personnage principale. Aucune trace de misérabilisme ou de pitié ne transparait dans l'écriture, on entre en empathie avec Zelda, riant avec elle mais jamais d'elle. Néanmoins, la rude réalité de son handicap n'est jamais cachée et s'ajoute à la précarité dans laquelle Zelda et son frère vivent, c'est un roman sur la résilience et la force de caractère. Aucun obstacle (ou presque) n'arrête notre Viking. Certains scènes sont dures mais elles servent toujours à faire avancer le récit qui soulève notamment la question de la prise en charge des personnes souffrant de troubles comme Zelda.
Je vous annonce que j’ai rejoint la liste des lecteurs conquis par ce livre !
Dans Je suis une viking, on rencontre Zelda, une jeune femme qui est atteinte du syndrome d’alcoolisation fœtale. Malgré son handicap, Zelda est une jeune femme forte et courageuse, droite dans ses bottes et prête à tout pour les gens qu’elle aime. Tout le monde la prend pour une petite chose fragile, pourtant, elle, elle est très lin de se voir ainsi. J’ai été très touchée par ce personnage. Son frère Gert utilise une très belle métaphore pour parler d’elle : dans le jeu de poker qu’est la vie, Zelda a eu des mauvaises cartes dès sa naissance. Pourtant, elle refuse de se coucher : elle choisit de se battre et de vivre une vie inoubliable, une vie digne d’un guerrier viking. Zelda n’est pas un personnage comme on n’a l’habitude d’en rencontrer dans les œuvres de fiction. Elle m’a vraiment marquée par son unicité.
Outre le fait que ce livre nous sensibilise à un handicap, il nous sensibilise également aux disparités qui existent entre les classes sociales. Gert et Zelda sont loin de venir d’une famille aisée. Orphelins, ils ont été envoyés vivre chez leur oncle quelque peu vicelard… Pour les sortir de ce domicile toxique et protéger Zelda, Gert a dû faire appel à des personnes dangereuses, qui le tiennent désormais sous leur coupe.
Si je devais décrire ce livre en trois mots, je le qualifierais de poignant, addictif, immersif. L’auteure a un don pour capter l’attention de son lecteur. Quelques mots suffisent à nous plonger dans l’histoire de Zelda et de Gert. Mon cœur s’est serré plus d’une fois, il s’est aussi mis à battre plus vite. La tension dramatique est très bien maitrisée, on ne cesse d’osciller entre émotion et halètement, surtout sur la fin.
Si j'ai craqué pour ce livre, c'est uniquement pour la relation frère/sœur qui y est contextualisée. Je ne le répéterais jamais assez, mais j'ai un faible pour les romans qui relatent un lien fraternel entre un frère et une sœur. Finalement, cette histoire s'est avérée être bien plus que cela. Elle est particulière sous différents aspects.
On a affaire à un récit contemporain attendrissant, entraînant et parfois perturbant. C'est un roman initiatique qui m'a emmené là où je m'y attendais le moins.
Certains passages m'ont amusé, d'autres peiné et émue. Mais j'ai aussi été mal à l'aise et interpellé.
Les 1ères pages ont été une explosion de tendresse. C'est ce que j'ai ressenti face aux personnages principaux et l'amour qu'ils ont les uns pour les autres. Malheureusement, à l'instar de Zelda, j'ai également bien failli me faire avoir par un personnage qui nous a bien manipulé pour arriver à ses fins.
J’ai aimé la façon dont les difficultés liées au syndrome de Zelda sont expliquées. Que Andrew D. MacDonald ait écrit sous le point de vu de celle-ci, donne une toute autre dimension à l'histoire. On y retrouve ses points de repères et sa vision des choses, en toute simplicité. Ça donne quelque chose d'encore plus touchant et réel!
J’ai éprouvé beaucoup de compassion pour son frère, Gert, même s’il prenait de mauvaises décisions, qui semblaient provoquer l'effet boule de neige. C'est un homme qui a du porter tellement sur ses épaules pour protéger sa sœur. Il a toujours fait tout ce qui était en son pouvoir pour le bien de cette dernière et pour un meilleur avenir.
A travers la passion de Zelda pour les vikings, l'auteur nous partage un tas d'information sur la culture.
De plus, via ce biais-là (mais pas que), A. D. MacDonald valorise la femme. Et j'ai apprécié cet aspect qui est mis en place tout au long du livre.
La seule chose qui m'a frustré, concerne une scène très grave (en plein dénouement final), qui m'a chamboulé et dont on aborde pas une seule fois le sujet...
Outre cela, j'ai refermé ce livre les yeux brillants de larmes. La dernière phrase est tellement significative!
Résumé
Zelda, 21 ans, n'est pas tout à fait comme les jeunes femmes de son âge, parce que sa mère buvait trop quand elle était enceinte. Qu'à cela ne tienne, elle mènera sa vie comme elle l'entend ! Zelda aime son grand frère Gert, son amoureux Marxy, son nouveau travail à la bibliothèque, faire des listes et, surtout, elle voue un culte immodéré aux vikings.
Mais, alors qu'elle rêve de combats à l'épée et de Valkyries, elle découvre que Gert s'est lié à de dangereux dealers pour payer les factures. Le moment est venu pour Zelda de montrer sa bravoure et de se lancer à sa rescousse !
Avec je suis une Viking, Andrew David MacDonald signe un premier roman tendre et universel et nous entraîne dans les aventures d'une héroïne étonnante qui entrera dans la légende.
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