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Est-on toujours tourmentée quand on est amoureuse? Amoureuse? Il vaudrait mieux dire possédée envahie, décolorée, recolorée à ses couleurs à lui. La quête d'un mot exact l'apaise. Elle goûte sur ses lèvres la trace de leur dernier baiser et se rassure. On ne mime pas le désir, le désir d'un homme qui se pose sur une femme et la rend belle. De ce désir-là, elle se sent parée. La façon qu'il a de refermer ses bras sur elle quand ils sont étendus dans le lit... Il l'étreint, l'ajuste contre lui et tout semble simple. Un baiser et les questions s'effacent, gommées par une évidence qui s'impose, embrasse-moi, embrasse moi encore. La volupté peut se révéler une science exacte, même si elle ne l'est que l'espace d'une heure, d'une nuit. Il est des confidences que seuls les corps échangent. Un accord secret signé d'une peau sur l'autre.
J'ai lu cette saga alors que j'avais environ 10 ans. La couverture des romans était enfantine, le résumé ne dévoilait pas grand chose et dans le magasin où je l'ai acheté, le classement entre la jeunesse et les romans pour adultes était assez flou. Rien ne me préparait à ce que j'ai pu découvrir. Je n'avais encore jamais lu de romans avec de l'érotisme Spoiler(cliquez pour révéler)et encore moins de la pédophilie dedans et à la lecture de ces trois tomes, j'ai été complètement choquée et traumatisée pendant de longues années. J'aurais pu m'arrêter au 1, mais j'avais dépensé toutes mes économies pour acheter ces trois volumes et je me suis forcée à continuer. Bien mal m'en a pris.
J'ai à présent une haine viscérale vis à vis de Muchachas pour les dégâts psychologiques qu'il m'a causé. Je ne remets pas sa qualité en question (j'ai même adoré le personnage de Stella), mais je sais qu'en le relisant, même des années plus tard, je ne pourrais jamais l'aimer.
Très bon moment lecture même si à certains moments je décrochais un peu (le passage on on passe de Stella et Joséphine pour revenir à Stella notamment)
Le début du roman m'est apparu un peu brouillon, ennuyeux, « sans queue ni tête » en quelque sorte. Sans donner de suite logique à son récit, la romancière dresse, successivement, les portraits de plusieurs couples, sans aucun lien entre eux. Je suis parvenue péniblement à la moitié du livre et c'est seulement à partir de la page 191 que j'ai réellement commencé à m'intéresser au récit jusqu'à ne plus pouvoir le lâcher jusqu'à l'épilogue :
Il existe des secrets de familles monstrueux et inavouables que l'on pense enfouis à jamais… jusqu'au jour où la vérité éclate. Alors, il arrive que les ressentiments jusque-là étouffés, ressurgissent du passé et se rappellent à nous, se transformant en haine et en soif de vengeance. Pris au coeur de cette tourmente infernale, des couples tenteront de soigner les blessures psychologiques et physiques qui leur ont été infligées. Cependant, le parcours de soins jusqu'à la guérison reste semé d'embûches et si les remèdes peuvent se montrer quelquefois efficaces, les cicatrices, elles, sont bien plus longues à se refermer… au risque de ne jamais y parvenir !
Mépris de classe, humiliations, haine et vengeance, ces quatre mots sont synonymes de violence et de maltraitance, ils sont à l'origine du mal qui peut s'abattre sur autrui, à tout moment et sans crier gare, par l'accomplissement d'actes délictueux, irréfléchis et odieux, pouvant conduire au pire. Dans cette fiction, Jules, André, Raymond et les autres, représentent toute l'abjection d'une gent masculine ayant définitivement basculé dans une immoralité bestiale. Et puis, il y a Stella, Léonie et Suzon, ces femmes maltraitées, outragées, brisées, auxquelles la romancière cède la parole, n'hésitant pas à plaquer les véritables mots sur les maux trop souvent indicibles de toutes les victimes de violences intrafamiliales, de viols et d'incestes qui taisent leur souffrance, par honte ou par peur, en se murant dans le silence.
A la faveur d'un récit fort, direct et sans tabou, Katherine Pancol a réussi à m'emporter dans la dramaturgie de cette histoire de famille. Une fiction qui s'est imposée à elle et qu'elle a choisie d'écrire suite à un fait réel de violence conjugale dont elle fut le témoin quelques années auparavant à la terrasse d'un café. J'ai beaucoup apprécié son choix d'apporter quelques halos lumineux dans la noirceur des ténèbres de cette tragédie familiale. le romantisme et l'amour rajoutent un petit supplément d'âme au roman dans l'espérance de jours meilleurs… et il y en a vraiment besoin !
J’ai eu de la difficulté à entrer dans ce livre, et j’ai réalisé que les 2 premières « histoires » sont en lien avec des livres précédents de la même auteure, livres que je n’ai pas lu. Je ne comprenais pas les liens entre les personnages, où tout cela me menait. C’est près de la moitié du livre, quand on tombe sur le chapitre de Stella qu’on se retrouve dans l’histoire principale, le vif du sujet. Et là, j’ai vraiment commencé a apprécier le livre! On ne comprend qu’à la fin pourquoi on nous parle d’autres personnages au début, et encore là, sans avoir lu les autres livres, je considère que ces sections ne m’étaient pas indispensables. La plume est saccadée, et les doubles conversation avec soi-même étaient une première pour moi. C’est un peu déstabilisant au début, mais on s’y habitue. Je vais me lancer dans Les yeux jaunes des crocodiles et sa suite avant d’entamer le tome 2, histoire de comprendre un peu qui est qui. Je place donc ce livre argent pour ces raisons, et le fait qu’il devrait peut-être être classé comme suite, ou "en lien avec" et non série à part entière, sous risque de ne pas tout comprendre, ou d'avoir l'impression de perdre son temps en personnages superflus.
Les personnages racontés dans ce roman se suffisent à eux-mêmes et je ne vois pas d'intérêt d' essayer à lier ces vies, ou alors je n'ai rien compris sur la démarche de l'auteur. Je me pose vraiment la question concernant la motivation commerciale...
Je note Bronze car en dehors du premier et dernier chapitre qui veulent se rapprocher de la famille des crocodiles, et qui pour moi n'a aucun intérêt ni valeur ajoutée dans l'histoire de Stella, j'ai lu les autres chapitres avec plaisir. Je ne lirai pas les suites.
J'ai bien aimé ce livre même si je m'attendais pas du tout a ça, je penser que ce livre serait plus léger mais pas du tout. Il est sombre et complexe mais j'aime beaucoup le thème et j'ai hâte de lire la suite.
Livre lu pendant mes vacances. E d'habitude, Katherine Pancol m'emmene dans son univers. J'ai lu les trois tomes pendant ma semaine de vacances à la plage. Meme si le thème abordé est très dur, il permet de se rendre compte du mécanisme de la violence conjugale et de l'inaction face à ce problème.
Après la première trilogie que j'ai trouvé plutôt pas mal, je commence aujourd'hui la seconde. Et je dois dire que ce premier tome des Muchachas est une sacrée surprise.
Déçue au premier abord car l'histoire commence avec Hortense (elle m'agace énormément...), déçue également parce qu'il faut attendre un peu avant l'apparition de Joséphine, j'ai fini par complètement les oublier tellement j'ai été happée par l'histoire de Stella et Léonie. C'est finalement un total renouveau à la saga que nous offre Katherine Pancol et une sacrée surprise.
Les sujets abordés sont loin d'être gais (violences conjugales, maltraitance, inceste) mais l'intrigue est très prenante. L'autrice entretient un certain mystère quant au lien qui unit la famille Cortès aux nouveaux personnages. Le dénouement est plein de révélations choc. Je n'avais pas du tout imaginé une telle chose...
Beaucoup plus courts que les romans précédents, celui-ci n'en reste pas moins abouti, tant au niveau de l'intrigue que des personnages. L'autrice manie sa plume agréablement, à la fois légère et distinguée.
La seule chose que je regrette finalement, c'est d'y retrouver Joséphine & Co, qui pour moi n'ont pas leur place dans ce roman... À suivre donc... À voir s'ils ne rendront pas les deux prochains tomes trop lourds...
J'avoue quand même que la fin me donne clairement envie d'ouvrir le second tome, ce dénouement détonnant m'a laissée sur ma faim !
J'avais lu avec un certain plaisir « Les yeux jaunes des crocodiles », poursuivi avec intérêt avec « La valse lente des tortues », puis terminé avec « Les écureuils…. » en écrivant à katherine pancol pour lui demander la suite
Résumé
Les filles sont partout dans ce roman.
Elles mènent la danse.
De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami.
Des filles qui inventent, s’enflamment, aiment.
Des filles qui se battent pour la vie.
Et les hommes ?
Ils sont là aussi.
Mais ce sont les muchachas qui dansent, dansent, dansent.
Elles font voler le s destins en éclats.
Et ça n’en finit pas !
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