Les Filles de la Villa aux étoffes

L’histoire de la villa aux étoffes est vraiment très agréable et addictive.

on retrouve la villa habitée par les femmes et Mr Melzer car c'est la première guerre mondiale.

Le 1er tome se termine à la veille de la déclaration de guerre, à laquelle d'ailleurs personne ne croit.

Dans celui-ci nous sommes plongés surtout dans ses 2 dernières années de 1916 à 1919.

L'auteure sait parfaitement nous immerger dans cette ambiance oppressante de la guerre. Nous sommes, bien sûr, toujours du côté allemand et cela nous donne une autre version et nous fait découvrir, si besoin, que dans ce pays ce fut également très compliqué de survivre

Anne Jacobs va très bien nous montrer dans son récit que quelque soit la position sociale la vie au quotidien ne fut pas facile.

C'est un tome qui va mettre en avant le rôle joué par les femmes pendant cette période puisqu'il a bien fallu remplacer les hommes partis au front.

Mais on découvre aussi petit à petit une certaine émancipation, que ce soit du côté des jeunes femmes qui s'affranchissent, ou du personnel de maison. Et si quelques uns sont attachés à leur poste et aux traditions, d'autres ont bien compris que le temps et l'économie allaient tout changer.

Une belle chronique familiale aussi riche que diversifiée et dynamique où j'ai pris plaisir à voir l'évolution d'Élisabeth qui va prendre son rôle d'infirmière bénévole très au sérieux. J'ai surtout aimé sa force de caractère qui se développe en fin de récit.

Un final qui donne envie de découvrir la suite avec "L'héritage de la villa aux étoffes".

J’ai adoré le Tome 1 et je me faisais une joie de lire le Tome 2. Cependant j’ai été très déçue. Je n’ai pas retrouvé la même additivité et attachement envers les personnages que le tome 1. J’ai trouvé les histoires brouillons et non approfondie. Une fin bâclée. La présence de Marie est si peu mise en avant, tout comme ses exploits. Bref .. je ne sais pas si je vais avoir envie de continuer cette saga …

C'est avec plaisir que je me suis plongée dans ce deuxième tome de La villa aux étoffes que j'ai d'ailleurs trouvé meilleur que le premier.

L'histoire de la famille Melzer et de ses domestiques se poursuit durant la Première Guerre mondiale et on peut y voir les conséquences de cette guerre sur les populations civiles, en particulier les femmes.

La similitude avec Downton Abbey est toujours autant présente mais ça ne me dérange pas. Comme pour le premier tome, j'ai trouvé intéressant d'avoir le point de vue allemand sur cette période.

J'ai adoré replonger dans les histoires des Melzer et de leurs domestiques.

La guerre est là et on tremble pour les personnages

On est en général du côté anglais ou Français et cela m'a fait bizarre de vivre cette guerre du côté allemand.

Je lirai rapidement la suite de cette saga

Depuis le temps que je voulais découvrir la suite voilà qui est fait, j'ai peiné à accroché au début mais plus j'avançais plus j'étais à fond dans l'histoire, hâte de lire la suite.

Les faits se déroulent trois ans après que Marie débarque à la Villa aux Etoffes et tout à changer depuis. Elle à épousé Paul, la maison sert d'hôpital militaire vu que la guerre fait rage, les hommes sont sur le front quant aux femmes elles sont auprès des blessés nuits et jours. L'usine est dans une situation critique.

Vous aimez les saga familiales, les romances historiques, la série Dowtown Abbey je ne peux que vous recommander ce livre.

Un second tome assez sombre.

J'avais adoré le premier tome mais celui-là est clairement un cran au-dessus. En plus de continuer à suivre des personnages auxquels je me suis fortement attachée, on suit aussi la Première Guerre Mondiale du point de vue allemand et j'ai trouvé ça très intéressant

Dans le second tome de la Villa aux étoffes, toute la maisonnée est confrontée à la seconde guerre mondiale.

Qu'ils soient maitres ou domestiques, les hommes en âge de se battre sont envoyés au front et les femmes font face à leur absence de leur mieux. D'un chapitre à l'autre, Anne Jacobs alterne entre le sort réservé aux uns et aux autres de sa plume à la fois fluide et immersive.

Si les jours ne se ressemblent pas durant la guerre, le temps est long, l'attente et l'absence aussi. Tout comme dans le premier tome, le rythme est parfois un peu lent mais le récit n'en reste pas moins passionnant, tout comme la manière dont le contexte historique est abordé. J'avais hâte de découvrir le côté allemand de cette période de l'histoire et je n'ai pas été déçue, c'est vraiment très intéressant.

Comme l'indique son titre, ce livre célèbre les femmes et leur rôle durant l'effort de guerre.

Peu importe leur camp, elles ont pris le destin de leur famille en main avec bravoure et détermination.

J'ai particulièrement apprécié l'évolution du personnage d'Elisabeth qui se révèle forte et indépendante, bien loin de cette envieuse manipulatrice que l'on avait découvert dans le premier tome.

J'ai maintenant hâte de découvrir le troisième et les changements d'après guerre. Que ce soit du point de vue de l'évolution de la femme et des classes sociales, des opportunités que la fin de la guerre a offertes à chacun des habitants de la villa ou des conséquences de la défaite de l'Allemagne sur le pays tout entier.