Je n'ai jamais été une grande adepte de fantasy pourtant j'ai été totalement séduite par Six of Crows de Leigh Bardugo. J'aime énormément la littérature de l'imaginaire mais je me suis toujours cantonnée au fantastique et à la science-fiction. Pouquoi? J'imagine que j'avais peur de ne pas avoir les bonnes clés pour aimer la fantasy : de nombreux personnages, des univers complexes et déjà quelques expériences peu concluantes (vous vous souvenez de ma déception pour Red Rising ?). Pourtant, Leigh Bardugo a réussi à me faire voyager et à me faire apprécier son univers et son histoire.

Je dois reconnaître que le début (je dirais les 100 premières pages) a été assez rude et il a vraiment fallu que je m'accroche pour réussir à cerner toute la complexité de l'univers. Puis l'intrigue a démarré et je me suis retrouvée embarquée dans une aventure des plus excitantes. Le fil rouge qui conduit le récit est haletant mais ce que j'ai particulièrement aimé, ce sont toutes les intrigues secondaires que l'on trouve à côté comme les flashbacks sur le passé des personnages et les différentes alliances qui se font et se défont au cours du récit. Finalement, même si le début peut être dur à suivre, la suite en vaut tellement la peine ! D'autant plus que plus les pages se tournent, plus cette histoire devient addictive.

Le deuxième point fort que je tiens à souligner concerne les personnages et les descriptions. J'ai adoré absolument tous les personnages de cette histoire, les héros comme les vilains et j'ai aimé suivre ces personnalités hors du commun, loins des clichés. Leur passé, leur présent, leur personnalité imparfaite les rendent pourtant parfait à mes yeux. De plus, l'auteur a un talent incroyable pour les descriptions ! Que ce soit les descriptions physiques des personnages ou encore des lieux, tout est détaillé, sans être lourd, pour complètement nous immerger dans Ketterdam.

Je recommande fortement ce roman. C'est un excellent livre de fantasy (même si je n'en ai pas lu beaucoup) puisqu'il a réussi à me réconcilier avec le genre et à me faire vivre une aventure livresque inédite. L'univers est extrêmement riche et mérite vraiment d'être découvert. En somme, ce livre a priori complexe se révèle progressivement palpitant et nous annonce une suite encore plus excitante.

J'avais vécu un très bon moment en lisant le premier tome et j'avais hâte de lire la suite. Cette duologie m'a permis de vivre une très bonne initiation à la dark romance et je la conseille à tous les curieux du genre qui nont pas encore sauté le pas. J'ai trouvé ce second tome plus sombre que le premier mais tout aussi addictif. Malgré les problématiques qui entourent la relation des deux personnages, on est à la fois triste pour eux mais aussi rempli d'espoir, on leur souhaite réellement une fin heureuse, surtout après toute les épreuves qu'ils ont traversées. Cette duologie possède des personnages très forts que l'on adore mais aussi que l'on déteste - certains sont tellement horribles envers Katie et Will qu'on a vraiment envie de leur mettre des claques.

Dans ce second tome, les rebondissements sont présents et je trouve la fin assez tirée par les cheveux mais finalement logique donc ça ne m'a pas tant dérangée. Le seul défaut que j'avais trouvé dans le premier tome et qui se maintient ici est le côté très répétitif des pensées des personnages. Finalement, mon avis sur ce second tome est très proche de celui sur le premier tome. Il apporte seulement une résolution des problèmes entre Katie et Ethan et quelques rebondissements qui permettent de conclure cette duologie belle, addictive, sombre et profonde.

Comme je ne souhaite pas vous spoiler, je ne vous donnerai qu'un conseil : foncez. Je ne regrette pas du tout de m'être initiée à la dark romance avec cette duologie car même si on comprend progressivement son classement dans ce genre littéraire, elle demeurt une très belle histoire d'amour. Monica Murphy a une plume très accessible, propose une évolution des personnages - on les voit grandir au fil des pages - et elle joue très facilement avec nos émotions. Sans être un coup de coeur, cette duologie restera un très bon souvenir de lectrice car elle m'a fait vibrer, m'a énervée, m'a poussée à bout mais m'a également fait sourire et peut-être fait accepter que l'amour peut naître et être beau sous toutes ces formes.

En définitive, soyez curieux et initiez-vous à la dark romance. Les deux romans de Monica Murphy permettent vraiment d'entrer dans le genre sans être trop choqué ou sans présenter de situations trop insupportables, De plus, cela vous permettra d'être le témoin d'une belle histoire d'amour.

Vous pouvez aussi retrouver ma chronique sur mon blog : http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2017/01/les-fiances-de-lhiver-christelle-dabos.html

Il est difficile de trouver les mots pour décrire ce roman avec justesse. Les premières pages du livre nous plongent dans un univers de fantasy unique extrêmement bien dépeint grâce à une plume originale. Certes, c’est une histoire où l’action peine à démarrer car l’auteur a fait le choix de décrire avec finesse le monde dans lequel évoluent ses personnages et a réussi le pari de rendre la lenteur de la progression narrative agréable, voire nécessaire. J’ai particulièrement apprécié la plume très mature de Christelle Dabos avec des phrases parfois complexes qui sont à l’image du monde qu’elle imagine. Finalement, le lecteur entre progressivement dans un univers magique et fascinant où chaque lieu a sa propre personnalité comme en témoigne le voyage d’Ophélie d’Anima vers le Pôle qui permet de mettre en exergue un contraste marqué entre ces deux mondes. L’action principale se déroule au Pôle et plus particulièrement dans la Citacielle. C’est un lieu très surprenant et absolument unique en littérature où les illusions triomphent avec un danger qui se terre à chaque coin de rue. Les personnages sont excentriques, loufoques et correspondent parfaitement à la complexité de cet univers (ils m’ont, d’une certaine manière, fait penser aux habitants du Capitole dans Hunger Games à travers leur comportement très superficiel où la couleur cache en réalité une société terne et brisée).

Vous l’aurez sans doute compris, la principale force de ce roman est son univers absolument unique et fascinant. Mais le coup de cœur s’est également produit en grande partie grâce aux personnages. J’ai été particulièrement sensible au personnage d’Ophélie auquel je me suis beaucoup identifiée. C’est une jeune femme qui n’accepte pas sa situation et qui refuse de devenir l’épouse de Thorn mais qui malgré tout se plie aux règles et adopte le meilleur comportement possible pour éviter le conflit. Elle représente également une certaine forme d’innocence, de sensibilité et parfois même de fragilité dans un monde de crocodiles prêt à ne faire qu’une bouchée d’elle. De plus, j’ai compris chacun des choix qu’elle a effectué tout au long du roman et je suis presque sûre que mes réactions auraient été les mêmes si je me trouvais dans sa situation (avec peut-être un peu moins de courage). C’est une héroïne qui peine à s’affirmer dans une société brutale aux antipodes de ses valeurs mais elle affronte sa condition avec beaucoup de courage sans jamais se laisser démonter malgré les épreuves et les trahisons. Même si je ne me suis pas réellement attachée aux autres personnages et que j’ai beaucoup de mal à me positionner par rapport à Thorn - j'ai d'abord été intriguée, puis attachée et dégoutée par ce personnage qui j'espère va de nouveau me séduire dans le second tome - je les ai tous trouvés sublime. Chacun avec sa propre personnalité et on est bien loin des clichés littéraires puisqu’ils ont tous une part de noirceur et de lumière même si certains sont bien plus terribles que d’autres (je pense notamment au Chevalier, un enfant capable des pires trahisons et décisions, une véritable tête-à-claques).

Ce monde nous permet de voyager dans les coulisses d’une société complexe et brisée où les rebondissements et les retournements de situation deviennent courants. D’un scandale à l’autre, les manigances et les choix d’Ophélie conduisent à la découverte progressive de la noirceur de la Citacielle et du Clairedelune ainsi que de leurs habitants tout en plongeant la jeune fille au cœur d’un coup monté et d’un complot qui pourrait lui coûter la vie. Les dernières pages du roman sont particulièrement addictives et nos émotions sont aussi intenses que contradictoires nous laissant bouche bée et sans voix.

Ce roman est une pépite et j’invite tous les lecteurs à ne pas s’arrêter dès les premières pages à cause du manque d’action. Je ne saurais que trop vous conseiller de plonger tête la première dans ce monde et dans la vie d’Ophélie pour vivre une aventure livresque exceptionnelle et vous verrez qu’une fois la dernière page tournée, vous en redemanderez.

c'est un résumé prometteur et une idée originelle plutôt intéressante, avec énormément de potentiel. Malheureusement, je n'ai pas apprécié le traitement que nous propose l'auteur et finalement, j'ai trouvé que l'intrigue n'était pas si riche pour un roman de presque 500 pages. Les personnages m'ont laissée de marbre et les scènes de description trop crues ont parfois rendu ma lecture fastidieuse et désagréable. Néanmoins, j'ai pu constater que certains lecteurs avaient adoré ce roman mais après réflexion, je pense qu'il faut vraiment être amateur du genre "épouvante gore" pour apprécier cette histoire.


Retrouvez ma chronique complète par ici : https://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2017/03/le-monstrologue-rick-yancey.html

CHRONIQUE - http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2017/03/je-suis-ton-soleil-marie-pavlenko.html

Avant toute chose, je tiens à remercier les éditions Flammarion Jeunesse pour l'envoi de ce roman suite à ma sélection lors de la masse critique Babelio. ♡

Cette lecture n'a pas été un coup de cœur mais je vous assure que c'est vraiment passé tout prêt ! J'ai adoré cette première expérience aux côtés de la plume de Marie Pavlenko qui nous propose un très bon roman jeunesse sur l'adolescence. Au cours du roman, nous découvrons le personnage de Déborah, une adolescente parisienne qui entre en terminale et dont l'année scolaire va être semée d'embûches tant sur le plan personnel que scolaire (même si cet aspect est moins représenté, il est bien présent). J'ai trouvé le personnage de Déborah absolument fantastique : elle est drôle, elle est sympa et elle affronte toutes les difficultés qui lui tombent dessus en faisant face. C'est vraiment un personnage qui m'a touchée tant par son humour que par sa sincérité d'autant plus que l'auteur en fait une adolescente très réaliste.

Ce récit est bien loin des récits fleur bleu que l'on peut trouver sur l'adolescence. Ici, l'héroïne regarde sa famille exploser progressivement, sa meilleure amie l'abandonner et rencontre de nouvelles personnes qu'elle n'aurait jamais songé à aborder. Parmi ce déluge de catastrophes et de difficultés quelques temps avant le bac, elle garde la tête haute. Tout est plaisant dans ce roman qui est très simple puisqu'il raconte les aventures d'une adolescente tout ce qu'il y a de plus normale. Pourtant, j'ai trouvé que l'auteur avait ajouté une réelle profondeur d'abord psychologique avec une réelle réflexion sur l'adolescence et ses enjeux mais aussi dans son travail d'écriture. La plume de Marie Pavlenko est fluide, les mots utilisés sont simples mais incisifs, le franc-parler des personnages est très appréciable et surtout, je trouve que l'utilisation d'un vocabulaire actuel mais non vulgaire ajoute vraiment un plus à cette histoire.

Ce récit est un rayon de soleil car il ne tombe jamais dans un mauvais pathétique bien au contraire. L'héroïne et bien sûr les personnages secondaires sont tous très attachants et l'auteur ne présente rien de façon manichéenne : pas d'héroïne idéalisée et pas de méchant suprême, tous les personnages sont travaillés et leurs comportements modérés pour montrer la complexité des hommes et de nos sentiments les plus simples.

Finalement, c'est un roman jeunesse plutôt savant dans l'attention portée aux détails et la façon de présenter les choses. Sous couvert de littérature pour adolescents, Marie Pavlenko initie de manière ludique et amusante les lecteurs à nos grands classiques français comme en témoigne l'amour de Déborah pour Victor Hugo. En outre, chaque titre de chapitre correspond à des citations de romans ou de chansons et c'est une initiative absolument géniale qui propose une ouverture d'esprit à la culture.

En bref, je pense que Je suis ton soleil est un roman à mettre entre toutes les mains. Il réhabilite la littérature jeunesse en permettant une véritable réflexion démontrant ainsi qu'il existe bel et bien des richesses dans la littérature pour adolescents. Vous aussi, venez découvrir la petite vie de Déborah à travers un récit drôle et saisissant et je vous assure que vous refermerez ce roman avec un pincement au cœur mais le sourire aux lèvres car Déborah est finalement un soleil pour nous aussi. Sur ce, je vous laisse, je vais aller me préparer des coquillettes !

Chronique aussi disponible sur mon blog : http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2017/02/le-jeu-du-maitre-james-dashner.html


Ma première expérience avec James Dashner avait été plutôt concluante puisque j’avais adoré le tome 1 de sa saga l’Epreuve néanmoins je n’ai jamais trouvé l’envie et la motivation pour lire la suite. J’ai craqué pour Le Jeu du maître au salon du livre de Paris 2016 puisque l’auteur était présent et que c’était une bonne occasion de donner une nouvelle chance à sa plume.

Ce roman nous plonge dans un monde virtuel où évoluent Michael et ses amis. Comment ça un monde virtuel ? L’histoire se déroule bien après notre époque et la technologie a tellement évolué qu’elle permet de rendre l’expérience de jeu particulièrement réaliste : les joueurs sont allongés dans le cercueil où ils sont reliés à des tas de fils pour vivre les émotions et les expériences du jeu (exemple : un coup de poing dans le jeu est ressenti comme un coup de poing réel grâce à ces sondes).Ce monde virtuel se nomme le Virtnet et au moment où débute l’histoire, de drôles de choses se produisent : des personnes se suicident à l’intérieur du VirtNet mais meurt également dans la vraie vie. Le danger semble planer autour d’un seul nom : Kaine. Face à ces évènements, Michael et ses amis sont entraînés dans une enquête virtuelle aux conséquences réelles afin de découvrir quels dangers menacent tous les joueurs et surtout, comment ces dangers parviennent-ils à toucher le monde réel.

Sans vous mentir, ce qui m’a tout de suite attirée dans ce roman, c’est son intrigue qui permet de nous interroger sur le rôle de la technologie dans nos vies et sur la progression de l’intelligence artificielle. C’est assez effrayant d’imaginer que l’on pourrait un jour se retrouver dans le monde de Michael et ses amis où les vies humaines sont simplement branchées à ce monde virtuel comme si rien d’autres ne comptait. Cette histoire nous plonge donc dans un univers de codage où des hackers font rages et où les dangers sont bien réels. J’ai trouvé cette histoire très originale, fidèle aux univers que James Dashner est capable d’imaginer c’est-à-dire aussi terrifiant qu’intéressant. J’ai été agréablement surprise par le personnage de Michael qui est très réaliste avec des choix compréhensibles malgré les décisions souvent difficile qu’il doit prendre. Je me suis énormément attachée à ce personnage qui mène l’enquête en affrontant tous les dangers qu’il rencontre sans avoir peur d’évoquer ses faiblesses et ses craintes. De plus, l’histoire en elle-même est très rythmée et se lit plutôt rapidement avec des rebondissements qui viennent dynamiser considérablement le récit. Enfin, la fin est une agréable surprise et si je doutais d’attacher avec cet univers, j’ai été heureuse de constater que j’avais très envie de lire la suite.

Néanmoins ce roman n’a pas été un coup de cœur, même si c’était une très bonne lecture, car j’ai noté quelques petits défauts. Le premier, c’est que je trouve dommage que le seul personnage réellement développé dans ce roman soit Michael, le protagoniste. Les personnages secondaires sont vraiment très secondaires et même s’ils se montrent parfois utiles dans la progression de l’intrigue, j’ai trouvé qu’ils n’apportaient pas spécialement grand-chose à l’histoire. De plus, j’ai trouvé l’univers de James Dashner très complexe et assez abstrait, certes c’est virtuel mais selon moi, le roman aurait été plus puissant avec des descriptions plus détaillées ou des renseignements plus construits sur le Virtnet et son fonctionnement. L’auteur utilise beaucoup de mot de vocabulaire pour parler de son univers et les confusions sont rapidement possibles ce qui est dommage.

Dans l’ensemble, je garde un très bon souvenir de cette lecture qui malgré ses petits défauts nous plonge dans un univers certes complexe mais très original avec des rebondissements et des surprises au détour de chaque page. Je recommande cette histoire à tous les amateurs de science-fiction qui s’intéressent au monde geek et aux intelligences artificielles.

Je me suis plongée dans ce livre fin Janvier, remplie d'espoir car j'avais entendu beaucoup (BEAUCOUP) de bien à propos de cette trilogie. Malheureusement, il semblerait que le charme n'ait pas opéré sur moi et je suis ressortie plutôt déçue de ma lecture.

Pourtant, les premières pages ne laissaient pas présager une future déception. J'ai trouvé toute la première partie de l'histoire passionnante alors qu'on découvre Darrow au plus mal : il mène une vie de rouge où font rage l’oppression et la douleur et où l'injustice triomphe. Pourtant, on découvre un personnage assez naïf mais très impliqué dans son travail et surtout, un battant qui souhaite offrir le meilleur à ses proches. Les premières pages nous plongent dans les profondeurs de cette société martienne en nous offrant un aperçu de la dure vie de rouge. J'ai complètement adhéré à l'univers proposé par l'auteur : une société postérieure à notre siècle, un système de castes, une population oppressée qui souhaite se révolter, un anti-héros, tous les ingrédients semblaient réunis pour une bonne dystopie.

Ensuite, j'ai été obligée de réaliser une pause de deux semaines dans ma lecture (études obligent) et je pense que c'est en partie à cause de cette rupture que j'ai eu du mal à adhérer à cette histoire. Quand j'ai rejoint Darrow au début de la seconde partie, j'avais toujours en tête son histoire mais il m'apparaissait plus fade, moins battant, moins vivant - simplement paumé en fait. Par la suite, j'ai trouvé tout le passage où Darrow devient Or et passe les examens pour entrer à l'Institut particulièrement long (vraiment très long) avec peu d'action et finalement peu d'intérêt. Enfin, arrive le cœur de l'intrigue : l'évolution de Darrow à l'Institut, dans un terrain d'entraînement grandeur nature comme nous le dit si bien le résumé. Première remarque : la comparaison avec les arènes d'Hunger Games est inévitable : on s’entre-tue, on reçoit de l'aide, l'évolution de la partie est plus ou moins manipulée.. J'ai trouvé que ça manquait d'originalité ou en tout cas, j'ai eu une impression de déjà vu. Pour la suite, il ne se passe rien d'exceptionnel, à mon goût dans l'Institut : on retrouve des hommes qui mènent une guerre, un Darrow qui a déjà oublié d'où il venait et un système de "je t'attaque, soyons alliés, en fait non, aya". Alors oui, il y a quelques retournements de situation et quelques surprises je dois l'avouer mais malheureusement, le passage dans l'arène ne m'a intéressée que dans les dernières pages où il y avait une réelle tension.

J'ai pu remarquer que cette saga a reçu de très nombreux avis positifs. J'ai donc essayé comprendre ce qui a bloqué chez la lectrice que je suis pour que je n'adhère pas vraiment à cette histoire. D'abord, je pense que l'absence d'un héros féminin ou d'une figure féminine forte m'a manqué. En effet, on entre dans un monde d'hommes et de bruts où l'essentiel est de gagner. J'ai eu beaucoup de mal à me remettre dans l'histoire après ma pause et ça a sans doute contribué au fait que je me suis ennuyée une bonne partie du livre : j'avais décroché. Ensuite, je pense que ce n'étais peut-être pas le bon moment pour lire de la SF/dystopie car je suis dans une période où j'ai envie de romance mais comme j'avais commencé ce livre, je ne voulais pas le laisser de côté.

Mon avis sur cette lecture est donc très mitigée mais probablement à cause de facteurs externes à l'oeuvre en elle-même. En outre, j'ai trouvé que l'univers de Pierce Brown a beaucoup de potentiel : il a su créer une société entière et un imaginaire captivant. Finalement, j'ai surtout été dérangée par le passage dans l'Institut et j'aurais aimé voir dans cette histoire plus d'enjeux quant au devenir de cette société gérée par les Ors et c'est d'ailleurs ce que la fin du tome 1 semble annoncer. Ainsi, même si j'ai été déçue par ce premier tome, je pense me lancer un jour dans la suite pour voir comment évolue Darrow en dehors de l'Institut et pour vraiment prendre connaissance des enjeux politiques et de la croissance de la révolte. Je pense que c'est une lecture qui peut plaire aux amateurs de science-fiction/dystopie qui aime les récits d'aventures et de guerres.


RDV en ligne : http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2017/02/red-rising-pierce-brown.html#more :D

Une lecture qui m'a fait passé un excellent moment ! Chris Colfer nous fait revisiter les contes les plus célèbres de façon originale avec des personnages hauts en couleur mais terriblement attachants. Même si je n'ai pas eu un coup de coeur pour ce roman, il reste un bon moyen de s'évader et de retomber en enfance le temps d'une lecture.

J'ai terminé ce tome hier soir et je voulais avoir le temps de me remettre de mes émotions avant de partager mes impressions sur cet ultime opus. J'ai commencé l'aventure Phobos au début de l'année 2016 et je suis plus que ravie d'avoir suivi le programme Genesis tout au long de cette année. Merci Victor Dixen de m'avoir permis de vivre cette aventure aux côtés des pionniers.

Ce tome est, à mon goût, encore meilleur que les premiers. L'intrigue progresse, l'auteur apporte des réponses à nos questions et les rebondissements sont magistraux. Trois tomes plus tard, l'auteur parvient encore à nous surprendre en allant toujours plus loin dans l'horreur

Spoiler(cliquez pour révéler)

(Serena McBee qui parvient au sommet alors même qu'elle est à l'origine des manipulations sadiques, d'attentats et de tentative de clonage)[/spoiler] mais aussi dans la beauté ([spoiler]la scène de la mort de Marcus est émouvante au plus haute point alors même qu'elle est très rapide[/spoiler]). J'ai aimé la manière donc Victor Dixen détruit nos espoirs et nos attentes en apportant des éléments de réponses et de suspense pertinents et efficaces. Ce roman de 620 pages se lit à une vitesse folle tant l'écriture est entraînante et le rythme soutenu. Les 100 dernières pages le sont encore davantage et le lecteur est maintenu en haleine jusqu'au dernier mot du roman.

Je ne sais pas quoi penser de la fin. Oui c'est une fin ouverte, oui c'est une fin qui laisse des questions en suspens et qui ouvre de nouvelles perspectives... Hier soir j'étais sceptique mais avec le recul, je suis heureuse de pouvoir imaginer moi-même les difficultés qui attendent nos pionniers. Les barrières tombent, la vérité éclate et ce qui devait arriver arriva. Je suis triste de quitter ces héros de l'espace[spoiler], triste que certains n'aient pas survécu (Marcus, Alexeï, Kenji..) mais je suis heureuse d'avoir vécu tout ça. J'apprécie la fin que propose l'auteur pour cette saga et je le remercie de m'avoir permis de tomber amoureuse de son histoire une dernière fois.

Phobos, c'est également une saga qui pointe des problèmes d'actualité : la montée des extrêmes, l'interdépendance des pays, l'ultra-connexion du monde, la naïveté des hommes, la manipulation et la propagande des Etats etc. N’oublions pas que dans la science-fiction, la vérité n’est jamais très loin.

J'ai également particulièrement apprécié le lien qui existe entre les différents tomes : de nombreux clin d’œil sont faits, des rappels furtifs et l'introduction de Phobos Origines dans le programme Genesis est une idée tout simplement géniale. Les illustrations qui nous accompagnent sont également une excellente idée et c’est un coup de maître de l’auteur de réussir à nous faire sentir comme les millions de spectateurs qui regarde la chaîne Genesis, inconscients et innocents, impuissants et ignorants.

Cette saga est vraiment innovante, unique, addictive et parfaite avec ses imperfections. Je vous la conseille infiniment et encore une fois, je remercie l'auteur de m'avoir emmené dans les étoiles car c’était sans aucun doute ma plus belle aventure de cette année 2016.

Extrait de ma chronique :
http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2016/11/the-deal-elle-kennedy.html#more


The Deal, c'est l'histoire d'Hannah, une jeune adolescente qui suite à un traumatisme qu'elle a vécu au lycée ne s'intéresse plus vraiment aux garçons jusqu'à ce qu'elle croise la route de Justin, un des sportifs les plus populaires de son université qui ignore même son existence. Je sais ce que vous allez me dire : encore une romance où l'héroïne s'entiche d'un mec parfait ! C'est aussi la première réflexion que je me suis faite mais cette romance présente en réalité certaines originalités.

Je n'avais jamais lu de romans de cette auteur et pour tout vous dire, cette lecture a été une magnifique découverte ! La plume de l'auteur est très fluide et elle nous importe avec facilité dans son histoire. J'ai été emportée dans cette romance du début à la fin sans jamais m'ennuyer.

Ce roman est une histoire d'amour fraîche, mignonne et pleine d'humour ! J'ai adoré rire avec les personnages qui sont dans l'ensemble tous drôles et attachants. Bien évidemment, les personnages qui m'ont le plus fait rire sont Garrett et Hannah qui ont tous les deux un caractère bien trempé et des répliques souvent à mourir de rire.

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Un hors-série agréable à lire qui nous permet d'en apprendre plus sur le personnage de Quatre. Il n'apporte rien de nouveau à la saga Divergent néanmoins, il nous permet de prolonger le plaisir d'être dans cet univers et de mieux cerner ce personnage si mystérieux. Je vous le recommande si vous avez apprécié le personnage de Quatre/Tobias et si vous être désireux d'en savoir plus à son propos.

Une bonne lecture dans l'ensemble avec des personnages intéressants et une intrigue originale. J'ai également apprécié la structure du roman qui oscille entre le présent et les souvenirs de chaque personnage. Cependant, ce premier tome n'a pas été un coup de cœur car j'ai trouvé qu'il y avait peur de rebondissements et que l'intrigue progressait très lentement. Je pense que j'en attendais trop de ce roman et que je n'ai pas réussi à me détacher dans la série télévisé que j'affectionne beaucoup. Je ne pense pas que je lirai la suite mais je conseille ce roman jeunesse à ceux qui n'ont pas vu la série et qui sont curieux de découvrir cette histoire

Le premier tome de cette saga a été un véritable coup de cœur mais je n'ai pas été aussi emballée par ce second tome. Dans l'ensemble, j'ai apprécié ma lecture néanmoins, le côté "je t'aime, moi non plus" du roman m'a plus dérangé que dans le premier tome. De plus, j'ai trouvé qu'il y avait certaines longueurs dans le roman qui nuisent à la fluidité de la lecture (j'ai mis quelque chose comme 2 semaines à lire contre 2 jours pour le premier tome). Un dernier élément négatif à signaler, en lien avec ce que je viens de mentionner, est la lente évolution de la relation entre Hardin et Tessa alors que le roman fait 700 pages ! Malgré tout, je trouve que Tessa et Hardin sont toujours des personnages agréables à fréquenter et leur histoire d'amour reste touchante bien qu'explosive. Le tome 3 m'attend déjà dans ma pile à lire et j'espère qu'il me permettra de retrouver les sensations du premier tome.

Même si The Mistake n'a pas détrôné The Deal dans mon palmarès des romances, ça n'en reste pas moins une excellente lecture.
J'ai adoré me laisser aller au fil des pages, guidée par la plume fluide d'Elle Kennedy qui nous propose une romance aussi sexy que douce, à la croisée des chemins entre bonheur et tristesse. De la même manière que pour The Deal, j'ai trouvé que la grande force de cette romance est ses personnages si attachants. Grace est une fille toute mignonne qui prend du caractère et du mordant au fil des pages alors que Logan, hockeyeur populaire et coureur de jupon, apprend progressivement à aimer et à ouvrir son cœur. C'est vraiment un plaisir d'être le témoin de l'évolution des personnages principaux mais également de retrouver Garrett et Hannah ainsi que Dean.
La seule chose qui a fait que ce livre n'est pas un coup de cœur est que j'ai eu une sensation de "trop rapide" avec un fin qui arrive sans qu'on s'y attende (sérieusement, je pensais qu'il y aurait un ou deux chapitres supplémentaires..) et des enchaînements de chapitres parfois incongrus où l'on passe d'une situation à l'autre très rapidement.
Mais cela n'est qu'un détail car Elle Kennedy a réussi à e conquérir une nouvelle fois et j'ai vraiment hâte de me plonger dans le troisième de cette saga.

Encore une fois, Sophie Jomain m'a ému aux larmes et m'a fait adoré son univers. Je ressens une pointe de tristesse à l'idée de quitter Leith et Hannah mais je suis ravie d'avoir passé d'aussi bons moments avec eux. Ce dernier tome est à la hauteur des précédents et clôture à la perfection cette saga palpitante.

Nouveau tome et nouveau coup de cœur pour cette saga. Sophie Jomain est une nouvelle fois parvenue à me captiver et à me transporter dans son univers. Ces personnages sont toujours aussi formidables : Darius, Leith, Grigore... Je ne sais plus quelle équipe choisir tant ils sont tous géniaux ! Et le cliffhanger final est insupportable ! J'ai vraiment hâte de lire la suite même si j'appréhende de terminer cette saga et de devoir me séparer des personnages.

The Air He Breathes c'est l'histoire d'Elizabeth, maman de la petite Emma, dont le mari est décédé et qui, faute de pouvoir affronter son ancienne vie, retourne vivre chez sa mère. Néanmoins, les relations avec sa mère, une femme assez volage, deviennent rapidement conflictuelles et une chose en entraînant une autre, elle décide de retourner vivre dans son ancienne ville où elle trouve un petit boulot de serveuse. Mais elle retrouve aussi Faye, sa meilleure amie et Tanner, le meilleur ami de son défunt mari et témoin de son mariage. En choisissant de reprendre son ancienne vie, Liz espère réussir à surmonter la douleur de l'accident et à réapprendre à vivre. Mais ce à quoi elle ne s'attend pas, c'est de voir sa vie chamboulée par son nouveau voisin, Tristan, un homme mystérieux et torturé vivant en retrait du reste de la ville. Cet homme, tout comme Liz est en miettes et c'est ensemble qu'ils vont essayer de retrouver goût à la vie.

Voilà tout ce que vous avez besoin de savoir pour comprendre l'intrigue de l'histoire. Comme je le disais plus haut, on pourrait s'attendre à retrouver le schéma classique des romances qui aujourd'hui se vendent comme des petits pains. Mais je tiens tout de même à préciser que même si ce schéma est classique, l'exploitation qu'en fait Brittainy C. Cherry est tout simplement fabuleuse.

Sincèrement, commencer cette lecture, c'est acceptez de vous prendre un raz-de-marée d'émotions en pleine face. Nous voilà à ce qui fait l'unicité de ce roman : les émotions qu'il nous procure. Dans les premières pages, on se sent aussi brisé que les deux protagonistes et leur rapprochement qui va de paire avec la découverte de leur passé ne fait qu'accentuer cette douleur. Très rapidement, nous sommes bouleversés par les épreuves qu'ils ont vécu mais aussi par la sincérité de leurs sentiments. [...]

Découvrez mon avis en intégralité en suivant ce lien :
http://voyageauboutdespages.blogspot.fr/2016/10/the-air-he-breathes-brittainy-c-cherry.html

Un livre que j'attendais avec grande impatience mais qui finalement ne m'a entièrement pas convaincu. L'histoire est originale et l'intrigue vraiment bien trouvée (j'ai apprécié la variante du mythe des sirènes et la vision de l'océan que nous propose Kiera Cass) néanmoins, j'ai eu du mal à vraiment m'immerger dans l'histoire. Il faut reconnaître que Kahlen, Akinli et l'Océan sont des personnages avec une réelle personnalité mais auxquels j'ai peiné à m'attacher (et ce, malgré la tonalité dramatique de l'histoire). Kiera Cass a une écriture très simple qui correspond parfaitement à un lectorat pré-ado. Le reproche que je pourrais faire à ce roman est son rythme et la progression de son intrigue qui oscille entre longueurs et scènes peu approfondies (je pense notamment aux scènes avec Kahlen et Alkinli ou encore au dénouement de l'histoire qui est bien trop rapide).

Cette lecture ne fut pas désagréable mais malheureusement, la fin ne m'a pas convaincu car j'aurais souhaité qu'elle soit plus développée et aboutie.

Premier roman que je lis de cet auteur et je suis un peu déçue. Je m'attendais à être témoin de la reconstruction d'un homme grâce son métier de dogwalker et j'ai été triste de constater que finalement, ce métier ne joue qu'un rôle mineur dans la vie de Paul Sneijder. Un roman intéressant pour une réflexion sur les ascenseurs et bourré d'humour mais malheureusement, pas ce à quoi je m'attendais.

J'ai une nouvelle fois été foudroyée en plein cœur par le talent de Colleen Hoover. C'est une histoire d'amour entre deux adolescents qui pourrait sembler banale mais qui est en réalité bien plus complexe. Plus on progresse dans le roman, plus on se prend des claques monumentales tant il y a de rebondissements surprenants et inattendus qui rendent cette histoire d'amour encore plus touchante. Sans trop vous en dire, cette histoire dépasse la simple romance et le lecteur est progressivement plongé dans les profondeurs des personnages et dans leur terrible passé.

J'ai été touchée et bouleversée par cette lecture qui une fois terminée m'a laissé avec le ventre noué et les larmes aux yeux. C'est une histoire hors du commun qui mérité d'être lue.

Un magnifique coup de cœur.

J'avais adoré le premier tome de cette saga et j'ai également beaucoup apprécié ce second tome. Je trouve l'intrigue de cette saga très originale et, en tant que fan de princesse, passionnante dans la mesure où elle nous plonge au cœur de la vie royale et de ses enjeux politiques. America est un personnage que j'aime beaucoup car je la trouve très humaine et attachante (même si j'ai parfois été agacée par son yoyo Aspen/Maxon). J'apprécie également le fait de trouver des rebondissements de diverses natures : tantôt dans la romance, tantôt dans la compétition et même dans la situation politique du pays. Ce roman soulève de nouvelles questions (notamment à propos des renégats) et m'a vraiment donné envie de découvrir la suite de la saga d'autant plus que l'écriture de Kiera Cass est simple mais addictive.

Guillaume Musso fait parti de ces auteurs qui m'ont aidé à développer ma passion pour la lecture. J'affectionne beaucoup son travail et chaque fois, il me fait passer un excellent moment de lecture. Même si pour être honnête, j'ai un peu moins aimé l'Instant présent que le reste de ses romans. Dans la mesure où tout se passe très vite, je n'ai pas réussi à vraiment m'attacher aux personnages et j'ai eu du mal avec le rythme de l'histoire (qui est aussi original que particulier). L’intrigue nous tient bien en haleine jusqu'à la fin mais finalement, j'ai été un peu déçue par le dénouement de ce roman et je reste perplexe devant autant de fantastique. En résumé, j'ai aimé ma lecture dans l'ensemble mais sans plus, monsieur Musso m'a habitué à bien meilleur.

Sans trop de surprises, ce cinquième volet d'Harry Potter a été un véritablement coup de cœur. Dans ce tome, nous retrouvons des personnages plus matures confrontés à des situations toujours plus périlleuses et inquiétantes. Même si parfois j'avais envie de mettre des claques à Harry, ce tome m'a permis de répondre aux nombreuses questions que je m'étais posée devant le film (je ne parlerai pas de l'adaptation qui selon moi ne rend pas justice à ce roman) et m'a permis d'en soulever d'autres. J'apprécie toutes ces petites longueurs où J. K. Rowling prend le temps de nous présenter les choses avec précision tout en nous apportant des éléments clés passionnants sur le passé des personnages. Ce tome permet de faire office de pont entre les précédents volets plus enfantins et les volets suivants car il marque le début d'une véritable guerre avec des enjeux politiques, des systèmes d'alliances et de trahisons et un lien toujours plus profond et mystérieux qui lie Harry à Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.

Pour rappel, la Dernière Etoile est le troisième et dernier tome de la sage La 5ème Vague écrite par Rick Yancey (ma chronique du second tome, La Mer Infinie, est en ligne sur le blog si cela vous intéresse). Une nouvelle fois, je suis sortie de ma lecture avec un avis assez mitigé. Bien que ce tome soit meilleur que le second, je ne l'ai pas trouvé à la hauteur du premier qui avait frôlé le coup de cœur. Même si ce tome remplit son rôle et clôture la saga de manière cohérente et justifiée en nous offrant de l'action et des rebondissements, j'ai parfois eu du mal à m'attacher aux personnages alors même qu'on avait accès à leurs pensées. Selon moi, ce roman gagnerait également à être plus clair car j'ai en effet trouvé que le lecteur pouvait facilement se perdre dans la masse d'informations sans comprendre précisément le fin mot de cette histoire. Néanmoins, j'ai pris plaisir à lire ce dernier tome qui boucle la boucle d'une saga jeunesse avec beaucoup de potentiel (j'ai par ailleurs hâte de découvrir les prochaines adaptations cinématographiques).

Un roman épistolaire que j'ai trouvé long à démarrer mais qui finalement se révèle captivant. Les deux protagonistes sont très touchants et le mystère qui les entoure nous tient en haleine au fil des lettres. Une lecture légère et agréable parfaite pour l'été même si j'ai parfois eu du mal avec le style de l'auteur.