Son odeur après la pluie

L'idée est touchante, et je pense que si l'écriture avait été différente, j'aurai apprécié le livre. Mais j'ai trouvé le style d'écriture très difficile à lire, des phrases très longue, un style un peu poétique, j'ai vite décroché et je ne l'ai pas terminé

Ce livre raconte la relation incroyable entre l’auteur et Ubac, un bouvier bernois, adopté à l’âge de deux mois. Il exprime la profondeur des liens qu’ils ont tissés et qui les unissent, dans la joie comme dans la peine.

L’auteur a une plume magnifique, sensible et profonde. Ce roman est captivant et bouleversant.

Je n’ai pas pu m’empêcher de m’identifier à cette histoire, tant la relation que j’ai avec mon chien est intense. Elle est une compagne de vie, celle qui ne me trahira jamais. Elle perçoit mes émotions et adopte toujours le comportement juste. Je pense que c’est le cas de tous les animaux quand ils se sentent aimés et en sécurité.

J’ai adoré cette lecture. C’est un énorme coup de cœur !

Comment classer cette tranche de vie, d’une dizaine d’années, partagée entre Cédric Sapin-Defour et Ubac, son bouvier bernois et racontée dans le livre « Son odeur après la pluie » ? Une réflexion philosophique, un essai, un témoignage ?

L’auteur nous raconte comment son animal a magnifié son existence. Une passion chronophage, à tel point que parfois la femme qui partage sa vie, Mathilde, passe au second plan. Heureusement, elle-même, est très attachée à la bête et, à vrai dire, choisie un peu pour cela. Questionnements, sur le rapport homme-animal, leurs différences de perception, de la vie, du temps qui passe, mais c’est surtout l’évocation d’une grande histoire d’amour, d’une belle osmose entre Ubac et Cédric, qui attendrit le lecteur.

Entré dans sa vie, par hasard, suite à la lecture d’une petite annonce dans un journal. Ubac ne la quittera plus de son vivant, et même après. Nature cruelle, qui fait vieillir les bêtes plus rapidement que les humains. Il est à tour de rôle, le fils, le frère puis le père de Cédric et même, après le jour du drame de la séparation, sa présence reste palpable dans les lieux familiers de ce passé heureux.

On suit, avec plaisir, cette tendresse partagée à la faveur de regards croisés, de dialogues improvisés (chacun dans sa langue), de doux câlins, de jeux, l’évocation des magnifiques randonnées dans les Alpes proches du lieu de résidence. On tremble à chaque visite chez le vétérinaire qui use les nerfs de notre narrateur et vide son compte en banque.

Ce livre m’a remémoré de tendres souvenirs, de mon caprice ou plutôt de « ma Caprice », baptisée ainsi suite à mon insistance boudeuse auprès de mes parents, un jour de marché, de l’acquérir. Je me souviens de son cœur tendre pour me consoler de mes chagrins à renfort de grands coups de langue, de la tendresse témoignée pendant mes absences, durant lesquelles elle emmenait ma pantoufle avec elle dans son panier.

Un petit bémol, le style pompeux du premier tiers du récit (cela s’améliore par la suite), qui a nui à la fluidité de la lecture, mais que ne peut-on pas pardonner à un amoureux des bêtes ? A noter la très jolie préface de Jean-Paul Dubois, sur l’attachement à son chien qui vient de le quitter.

Livre lu dans le cadre du Prix des Lecteurs du Livre de Poche, que je remercie pour cette belle aventure

L'amoureuse des chiens et que animaux en général que je suis, n'a pu que comprendre les sentiments très forts qui unissent un chien et son humain. Durant ma lecture, je me suis souvent dit "mais oui". En bref, je me suis retrouvée dans certaines situations. Les sentiments passent mais toujours avec pudeur.

Une très belle déclaration d'amour

Je n'ai pas été sensible à cette histoire qui bien que l'écriture soit fluide ne m'a pas intéressée.

Les derniers chapitres sont pour moi le seul intérêt de ce roman et la seule chose à retenir.

Je rejoins les autres commentaires, l'histoire est belle mais je n'ai pas aimé le style d'écriture.

Très belle histoire d’amour de l’auteur avec Ubac, son chien. Dès que l’on parle d’animaux vous pouvez être sûr que cela me touche ! Et cela n’a pas manqué !

Il est vrai cependant je comprends les critiques portant sur le style d’écriture de l’auteur. J’ai souvent eu du mal à suivre l’histoire a cause de ses phrases complexes.

Un histoire émouvante.

Un tourbillon d’amour et de bonheur que peut susciter la présence d’un chien dans la vie de l’homme.

Un récit sans fioritures .

Malgré l’écriture pesante aux phrases complexes, l’auteur raconte avec sensibilité et détachement comment un chien peut changer une vie, changer le regard sur ce qui nous entoure, de profiter de l’instant, créer des liens avec autrui.

Le cœur se serre à la lecture de certains passages, les larmes montent. Vivant avec deux boules de poils, je fus saisi par ce récit malgré un style d’écriture soutenu.

Ce livre est pour moi une grande déception, car j'espérais réellement en tomber amoureux. L'histoire d'un homme et de son chien raconte la rencontre d'un amour indéfectible qui se développe entre un être humain et son compagnon canin, car le chien est véritablement une source inépuisable d'affection. Cela aurait dû être un véritable coup de cœur et me toucher profondément, car on suit toute l'existence de ce chien, de son commencement jusqu'à sa fin. Malheureusement, ma lecture a été altérée par une écriture trop pesante, avec des phrases complexes, ce qui a eu pour conséquence que les émotions n'ont pas réussi à transparaître.

Alors que dire... que dire si ce n'est grosse déception.

Etait-ce vraiment nécessaire au bienfait du déroulement de l'histoire que d'utiliser une plume si complexe ? Je ne pense pas, cela à à mon sens tout gâché au récit.

Ce livre aurait vraiment pu être intéressant si j'en avais compris ne serait-ce que le quart mais non....

Je ne le conseillerai pas, malheureusement