Berlioz, Tome 1 : Giulia

C'est un vrai coup de cœur autant pour l'histoire que la plume, je suis passée par mille et une émotions, du rire aux larmes et inversement.

C'est un livre qui aborde des sujets difficiles, ce n'est pas une lecture légère, c'est une lecture qui vous transporte dans les manipulations d'un état et les effets de la guerre, donc lisez bien les avertissements.

Si vous êtes prêts à vous lancer, préparez-vous au duo humoristique Sébastien/Antonio, au langage cru et grossier de Lyam (et des 2 autres aussi 😆), à l'intelligence d'Elise, à la douceur de Giulia et aux jours de pluie...

❤️‍🔥 On commence par un prologue avec une Giulia, qui se retourne face à un enfant sans vie un trou béant en plein poumon, elle refuse de faire comme de rien n’était et de passer son chemin elle s’accroupit, prend l’enfant ensanglanté dans les bras, le serre fort, ses larmes attirent mais personnes ne tend la main. Seul un photographe sourit en prenant le cliché qui fera vendre, le cliché parfait qui changera à jamais la vie de cette jeune femme ordinaire, douce, au visage d’ange, qui n’aspire qu’à une vie simple, voir effacée mais par cette journée où l’infini ciel bleu vient de prendre une teinte sombre, cette journée n’a plus le droit d’être belle, n’a plus le droit d’être parfaite.

🔥 On découvre alors Lyam au langage cru, il est brut de décoffrage, au corps tatoué, la cigarette au bec, il jure comme un chartier, pas de sentiment c’est un perte de temps qui rend faible, il est froid, violent, avec un regard acier qui vous fait changer de trottoir à 10 km tant ce qu’il dégage est dangereux, son arme n’est jamais loin, il a la gâchette facile surtout si vous êtes une cible, pas de pitié pour cet ancien militaire. Alors, lorsqu’il tombe sur un torchon avec la photo d’un ange tenant un enfant dans les bras, il aurait pu être touché sauf que le titre le fait exploser, son organisation est ciblée par cet article qui l’accuse d’avoir tué un enfant. Il ne le tolère pas, cette photo est une mise en scène pour le faire tomber LUI, le gouvernement qui veut sa tête pour les secrets qu’il détient, il est trop dangereux. L’ange devient alors la cible du diable.

❤️‍🔥 Giulia se retrouve sans comprendre dans une cave, kidnappée, torturée, elle est l’ennemi à abattre. Lyam ne se laissera pas berner par ce visage d’ange, il la fera craquer et la tuera sans une once de culpabilité. Sauf que tout est trop simple, cette femme semble si fragile mais les agents sont entrainés, elle pourrait très bien simuler, quelque chose vient s’immiscer dans sa tête, le doute n’est pas permis et pourtant. Et si cette photo cachait autre chose et si les enjeux étaient différents et si tout ça était prémédité, et non dû au hasard, il doit savoir, il ne peut en être autrement.

🔥 Au fil des pages on découvre une organisation dont le but peut être assimilé à Robin des bois, on découvre derrière la facette acide et violente, celle d’un Lyam brisé, désabusé par la folie des hommes de pouvoir, qui a vu ses rêvés anéantis par la vanité de l’homme qui veut toujours plus, quitte à mettre en danger, quitte à dissimuler la vérité pour atteindre un objectif, on comprend, on apprend à aimer celui qui tente d’effacer les jours de pluie, qui tente de rendre la vie meilleure en oubliant de vivre pour lui, qui donnerait sa vie pour la nation mais que la nation a oublié.

❤️‍🔥 Sa rédemption c’est Berlioz, il dénonce et se bat pour la justice, entouré de sa famille de cœur, ses frères d’armes, Antonio, Sebastian, Élise, ils sont comme les quatre mousquetaires tous pour un et un pour tous. Giulia, de captive dans une cave devient prisonnière dans une luxueuse villa, jusqu’à être des leurs, elle a un rôle à jouer dans cette affaire, elle va s’immiscer dans cette famille, ils vont se dévoiler, s’apprivoiser, s’apprécier, elle ira jusqu’à avoir une place particulière dans le cœur de Lyam ❤️ ils s’attirent doucement en baissant les armes pour laisser entrer la lumière, jusqu’à devenir indispensable à leur bien-être, leur relation devient électrique et belle, le lien est créé.

🔥 Dès les premières lignes l’auteure vous aspire dans l’histoire de Berlioz, cette organisation qui lutte contre la corruption au sein même de l’Etat français, ce qui a déclenché sa création, les indices nous sont distillés au fil des pages par coup de flashbacks sur un passé loin d’être joli, loin de la beauté des arcs-en-ciel, tout y est sombre comme un jour de pluie. Vous l’aurez compris on est loin des bisounours, on est dans une dark romance orientée politico / militaire avec des complots, des vengeances où les membres du gouvernement, de la DGSE, de l’armée plus précisément les commandos d’élites jouent un rôle, ils ne sont pas là pour jouer à la dinette 🔥.

❤️‍🔥 Ce roman est une pépite, un chef d’œuvre, un slow burn intense qui prend son temps, sombre et beau à la fois, qui vous captive jusqu’à la dernière phrase. La plume de l’auteure est addictive, comme une symphonie elle vous capte, tout est bien orchestré et à sa place. Pas de temps de se poser des questions, pas de temps mort, tout va vite, très vite, ne jamais crier victoire avant la ligne d’arrivée car tout peut basculer dans le chaos en une fraction de seconde. Et cette fin OMG ❤️‍🔥❤️‍🔥❤️‍🔥 pour le lecteur c’est comme un jour de pluie et on attend la suite de cette duologie.

🔥❤️‍🔥 Citations :

«  Giulia

Lyam est une de ces symphonies complexes et infinie. …

Derrière toute cette violence exacerbée, j’ai trouvé la douceur d’un homme brisé, bien loin des clichés stéréotypés d’un badboy dominant et shooté à la testostérone.

J’ai lu son corps comme une histoire. Lyam est ce chef d’orchestre qui fait chanter Berlioz invitant tous les Français à faire les chœurs pour faire entendre leurs voix.

Lyam

Cette emprise qu’elle a sur mon cerveau, me terrorise, autant qu’elle me fascine.

Il fait beau quand je suis avec toi.

Je sacrifie cet amour qui m’a transporté pendant si peu de temps pour sa vie, dis-leur que je l’aime et que je la sauve.

C’est un jour de pluie. »

C’est une dark romance politico-militaire violente qui se passe en France à notre époque, attention aux Triggers Warnings qui sont nombreuses, destinés pour un public averti.

Giulia a une vie tout à fait banale et surtout sans histoire jusqu’au jour où elle découvre un enfant mort en pleine rue, touchée elle va le prendre et le serrer dans ses bras et ses larmes vont s’inviter à cette scène touchante, mais si tout ça était préméditée ?

Une photo va changer son destin, celle qu’on surnomme l’ange va tomber dans les mains du diable et il ne compte pas la laisser partir tant qu’il n’aura pas eu ses réponses.

Elle va être kidnappée, torturée et devenir malgré elle l’ennemie de Lyam, chef d’une importante organisation criminelle qui se nomme Berlioz. C’est un homme froid, insensible et violent, mais c’est aussi un homme brisé avec un passé très sombre, un homme qu’on ne peux que détester, mais au fil des pages ça devient un homme qu’on apprend à aimer et on ferait tout pour éloigner les jours de pluie.

On va rencontrer une famille qui n’est pas parfaite, avec des membres très différents, mais pourtant, cette famille dysfonctionnelle ferait tous les uns pour les autres.

On ne peut que se questionner tout le long de cette lecture, car les infos n'arrivent qu'au compte-gouttes. On en apprend de plus en plus sur cette organisation qui a été créé pour lutter contre la corruption en France, et à des moments l’intrigue était tellement bien menée les personnages tellement réels que j’avais l’impression de voir ce roman se dérouler devant mes yeux.

Et si elle était un encore plus importante qu’il ne le pensait ? Et si pour accomplir sa vengeance, il a besoin d’elle ? Et si leur rencontre n’était pas un hasard ?

Tout n’est pas noir ou blanc et il faudra voir au-delà des apparences, j’ai été surprise par cette lecture qui m’a prise littéralement aux tripes même maintenant en écrivant ma chronique, j’ai cette boule au ventre qui ne me quitte pas, car un retournement de situation que je ne m'attendais pas m’a laissé sans voix…

Un ennemies to lovers mener d’une main de maître, un slow burn intense, sombre et captivant, des secrets, la vengeance, un combat et surtout Berlioz, ses membres qui ont un humour et des caractères bien particulier, mais ensembles, ils sont une force qu’il ne faut pas sous-estimer.

Je crierais sur tout les toit à qui veux l’entendre de lire ce livre et que c’est une pépite. J’ai découvert cette histoire sur wattpad et j’en suis tomber amoureuse. Les sujet abordés sont tellement bien amenés, les mots si bien choisis..

De plus, la relation entre les personnages principaux m’a tellement touché.

Je ne serais que dire de plus à part « lisez ce livre, je suis certaine que vous ne serez pas deçu ».

PS : j’attend de pied ferme le tome sur élise 🤞🏻

Beaucoup aimé l'écriture, très douce et joliment écrit. Malgré le vocabulaire cru qui ne dérange absolument pas d'ailleurs puisque entièrement lié à l'histoire. Une vrai " poésie " intérieure... " après la pluie vient le beau temps..." J'attendrais donc la suite du Roman. Qui est d'ailleurs le seul bémol, d'habitude je ne lue jamais de roman dont les tomes ne soient partis. Une jolie exception... Bx

ɢɪᴜʟɪᴀ - ʙᴇʀʟɪᴏᴢ ᴛᴏᴍᴇ 1

ɴᴏᴛᴇ:  ⭐⭐⭐⭐.5 /5

« ɪʟ ꜱ'ᴀᴘᴘʀêᴛᴇ à ᴘʀᴇɴᴅʀᴇ ʟᴇ ᴄʟɪᴄʜé ᴘᴀʀꜰᴀɪᴛ. ᴄᴇʟᴜɪ Qᴜ'ɪʟꜱ ᴏɴᴛ ᴅᴇᴍᴀɴᴅé. ᴄᴇʟᴜɪ Qᴜɪ ᴄʜᴀɴɢᴇʀᴀ ᴍᴀ ᴠɪᴇ à ᴛᴏᴜᴛ ᴊᴀᴍᴀɪꜱ.»

Hello,

Aujourd’hui, on parle politique, dark romance, complot et organisation. Aujourd’hui, je vous parle de Giulia -Tome 1 écrit par la merveilleuse @Tymlor que j’ai eu la chance de bêta lire avant son auto-édition !

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Attention Giulia est une dark romance avec des Triggers Warnings importants ! L’histoire n’est pas à mettre entre les mains de tout le monde ! Pourtant, elle est une leçon et une prise de conscience qui vous met une belle claque.

«ʟ'ʜᴏᴍᴍᴇ ᴇꜱᴛ éɢᴏïꜱᴛᴇ ɢɪᴜʟɪᴀ, ꜱɪ ᴛᴜ ɴ'ᴇɴ ᴘʀᴇɴᴅꜱ ᴘᴀꜱ ᴠɪᴛᴇ ᴄᴏɴꜱᴄɪᴇɴᴄᴇ ᴄᴇ ꜱᴇʀᴀ ᴛᴏɪ ʟᴇ ᴄᴀᴅᴀᴠʀᴇ Qᴜᴇ ᴘᴇʀꜱᴏɴɴᴇ ɴᴇ ᴘʀᴇɴᴅʀᴀ ᴅᴀɴꜱ ꜱᴇꜱ ʙʀᴀꜱ. »

Cet avis sera un peu différent car l’histoire comportement une intrigue vraiment complète etc.; Je ne veux absolument pas vous spoil le moindre détail. Mais Giulia de quoi ça parle ?

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Eh bien, de Giulia qui un jour tombe nez à nez avec le corps sans vie d’un enfant, animée d’une haine envers ceux qui ont commis ce crime atroce, elle est, sans son consentement, prise en photo. Se retrouvant à la une des journaux, elle devient alors sans le savoir, l’ennemie de Lyam, le leader de Belioz, une organisation criminelle connue des services.

Mais lorsque Lyam décide de faire de Giulia une captive pour retirer la moindre information qu’elle pourrait détenir, il va se rendre compte que les apparences ne sont pas forcément ce qu’elles paraissent.

« ᴄᴇᴛᴛᴇ ᴇᴍᴘʀɪꜱᴇ Qᴜ'ᴇʟʟᴇ ᴀ ꜱᴜʀ ᴍᴏɴ ᴄᴇʀᴠᴇᴀᴜ ᴍᴇ ᴛᴇʀʀᴏʀɪꜱᴇ ᴀᴜᴛᴀɴᴛ Qᴜ'ᴇʟʟᴇ ᴍᴇ ꜰᴀꜱᴄɪɴᴇ.»

L’histoire se passe en France, de base, je déteste ça, mais la dimension avec laquelle l’autrice aborde l’histoire est différente. Et j’ai totalement plongé tête la première dans ce mélange de tension, de chaos et de violence que représentent Lyam et son vocabulaire plus que grossier.

Giulia c,’est avant tout un combat et une mise en avant de la politique, Berlioz avant d’être catégorisé d’organisation criminelle, dénonce et met le doigt sur les sujets qui ne plaisent pas.

« ɪʟ ꜰᴀɪᴛ ʙᴇᴀᴜ, Qᴜᴀɴᴅ ᴊᴇ ꜱᴜɪꜱ ᴀᴠᴇᴄ ᴛᴏɪ.»

Au-delà de la fluidité du texte et de l’humour décalé dont il est rempli, les protagonistes ont une psychologie de dingue, qui est travaillée de A à Z. Chaque personnage, que ce soit Lyam, Giulia, Sebastian, Elise etc… a une évolution en termes de mental qui est vraiment prenante.

Sans parler des révélations qui se font au fil des pages ! Du passé de certains, de la vengeance des autres. Giulia est une duologie qui vous prend aux tripes et qui malgré certains jours de pluie aborde je l’espère bientôt le retour d’un soleil radieux. 🤎​

« ᴄ'ᴇꜱᴛ ᴜɴ ᴊᴏᴜʀ ᴅᴇ ᴘʟᴜɪᴇ.»

Je rappelle que ceci ne reste que mon avis. J'espère cependant que si vous avez l’âge et que vous faites attention aux TW, vous vous laisserez tenter par cette Dark Romance à l’humour parfois beauf, à la romance qui partait, on peut se le dire, très mal, à la force mentale de Giulia et la détermination de Lyam. Attention toute fois aux scènes de violence !

Bonne Lecture.

On est à deux doigts d’un coup de cœur ! J’ai dévoré le livre tellement il était addictif. La plume est fluide avec beaucoup d’humour (tout ce que j’aime) et surtout, on est plongé directement dans le cœur de l’histoire qui a su garder son rythme entre action, révélation et quelques moments de tendresse.

Le gros point fort de ce livre, selon moi, c’est sa proximité avec le lecteur. L’histoire se déroule en France et surtout, elle dénonce à travers Berlioz ! Et c’est ce qui m’a le plus plu au-delà de l’aspect romance.

Je me suis attaché aux personnages dès les premières lignes, même pour Lyam avec un y. Il m’a fait mourir de rire, comme il m’a bouleversé au fur et à mesure qu’on en découvrait plus sur lui.

Les protagonistes secondaires sont tout aussi attachants, même si je l’avoue, j’avais un peu de mal avec Elise au début.

Giulia m’a particulièrement touchée, d’une part par sa force mentale, mais aussi parce qu’elle a su rester elle-même malgré ce qu’elle a vécu.

La psychologie des différents protagonistes est très bien développée, parfois, c’est même un peu trop réaliste. Pas de manière négative, mais une partie du passif de Lyam m’a tellement surprise que j’ai eu l’impression que c’était réel. Je me suis surprise à penser « Et si ce type d’organisation existait vraiment ?, Et si cette histoire n’était pas simplement une fiction ? ».

Et la fin ? Rien que la dernière phrase m’a brisé le cœur. J’espère que vous la suite, Berlioz retrouvera un temps plus ensoleillé.

Si vous aimez lire de la dark, que vous avez + 16 ans, même si personnellement, je classerais ça + 18, je vous conseille ce roman qui dénonce, qui vous fera rire, mais surtout qui va vous surprendre, je l’espère comme il m’a surprise.

Puis-je vous dire à quel point j’ai aimé ce premier tome de Berlioz ?

Un enfant mort dans une rue déserte, une femme qui passe par là, qui le prend dans ses bras en pleurant, ce moment immortalisée par la photo d’un journaliste.

Ça aurait pu être une journée comme une autre pour Giulia, jeune professeur des écoles à la vie sans histoire… C’est le jour qui a tout changé. La voilà au mauvais endroit au mauvais moment, prise dans un complot qui la dépasse, kidnappée par une importante organisation criminelle, torturee par son chef qui veut lui faire avouer ce qu’elle ne sait pas elle même.

Je pourrais vous dire que j’ai aimé Lyam dès le départ. C’est faux. Cet ancien militaire devenu chef anonyme de Berlioz, cet homme froid, insensible, violent, j’ai mis du temps à lire en lui. A le comprendre. Mais lorsqu’on sait, enfin, toutes les horreurs qu’il a vécues là-bas, au Mali, en tant que militaire, les choix qu’il a dû faire pour survivre, pour sauver ses hommes, on accepte cette part sombre de lui, ses jours de pluie. On apprend à l’aimer, cette âme brisée.

Il est entouré d’une famille, sa famille de coeur, ses frères et sœurs d’armes, Antonio, Sebastian, Élise, ses amis fidèles qui iraient au front pour lui les yeux fermés.

Et voilà que Giulia apparaît dans le paysage. Un ange tombe du ciel serrant dans ses bras un enfant mort. Berlioz est accusé. Lyam voit rouge.

Le hasard ? Il n’y croit pas.

Giulia ? Il la déteste au premier regard. Sa pureté apparente, sa soit disant innocence.

C’est forcément un complot du gouvernement pour le faire tomber. Il connaît les secrets d’Etat. Il peut faire tomber les plus grands de ce monde.

Après la torture, les doutes.

Va se jouer entre eux un jeu du chat et de la souris, une haine viscérale qui va se transformer doucement.

Le slow burn est divinement amené, en douceur, par esquisses. A chaque voile que Lyam lève sur son passé, le cœur de Giulia fond un peu plus. Et le nôtre avec.

Si j’ai aimé Giulia, sa résilience, ses larmes qui ne sont pas un aveu de faiblesse, sa force intérieure, j’ai craqué pour Lyam. Pour l’enfant orphelin, pour le militaire qui a laissé son âme la-bas, au Mali, Pour celui, enfin, qui a fondé Berlioz et qui veut faire brûler le monde.

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J’ai eu un coup de cœur pour la plume de l’auteure, cette plume poétique qui raconte la violence et les horreurs, les arcs en ciel et les jours de pluie. Attendre la suite va être terriblement difficile.

Ce premier tome de la duologie Berlioz m’a totalement convaincue. Je suis passé par toutes les émotions possible que ce soit la tristesse, la joie, la colère, l’incompréhension,...

J’ai beaucoup aimé l’univers dans lequel nous embarque l’auteure. Il est tellement bien pensé et construit que l’on est directement transporter dans l’histoire et ça sans chichi. Le petit plus est le fait que l’on se trouve en France et notamment à Paris ce qui nous permet de nous projeter beaucoup plus facilement dans l’histoire et de s’imaginer l’environnement dans lequel évolue les protagonistes.

Les 2 protagonistes sont aux antipodes l’un de l’autre. On a Giulia qui est toute douce, toute mignonne et qui vit une vie “typique” et à l’inverse on retrouve Lyam (Attention : Lyam avec un y, il pourrait facilement s’énerver si vous mettez un i à son prénom). Lyam est quelqu’un de froid, violent, sans pitié avec un passé compliqué et tumultueux. Leur rencontre est totalement imprévu et assez compliqué (même totalement). Comme on dit, mauvais endroit au mauvais moment.

La relation entre eux commence mal, Lyam fait de Giulia sa captive. Puis au fil des pages leur relation évolue petit à petit (vraiment, vive ce slow burn de qualité) et on apprend à les connaître l’un l’autre. On apprend à connaître également les compagnons de Lyam (petit coup de cœur pour Antonio) qui sont tous différents les uns et les autres avec des caractères que je dirais complémentaire.

L’auteure a une plume très agréable et prenante. Les chapitres sont de taille idéale ce qui rend la lecture plus fluide. J’ai été happé par ce premier tome, je l’ai dévoré. Plus on avançait dans l’histoire, plus on en apprenait sur l’organisation et sur ceux qui en font partie.

Jusqu’aux dernières pages, on a des doutes, on se pose des questions, on émet des hypothèses mais.. et si tout ce qui se passait depuis le début n’était pas seulement un simple hasard ?

Une phrase de fin ? Vive le sadisme de l’auteure. Hâte d’avoir le tome 2 pour découvrir la suite de leur aventure.

Darkromance, destiné à un public averti.

Je vous recommande à 100% ce livre ! Attention tout de même aux TW qui sont importants. A partir de 16/17 ans.