Commentaires de livres faits par Ex-libris
Extraits de livres par Ex-libris
Commentaires de livres appréciés par Ex-libris
Extraits de livres appréciés par Ex-libris
C'est une histoire tellement poignante qu'on a l'impression de l'avoir vécue.
Sans grande surprise du côté de l’histoire : elle est classique ; Le personnage principal, Cassia, est, grace à son grand-père et au garçon qu’elle aime, amenée à se poser des questions sur la société dans laquelle elle vit. Néanmoins, l’idée de dystopie est bien développée, l’auteure nous explique en détails le fonctionnement de la société. L’histoire n’avance pas trop vite, conserve un rythme homogène, agréable. Alors oui, il n’y a pas vraiment d’action : l’histoire retrace simplement le quotidien de Cassia. Certains passages peuvent paraître un peu ennyeux.
Les personnages, quant à eux, manquent d’originalité. Leur caractère, leurs réactions, sont prévisibles.
La fin laisse une belle ouverture pour le tome suivant.
C'est un livre touchant, désarmant de sincérité.
Elisabeth Gaskell ponctue ses chapitres d'extraits de poèmes ou de romans, toujours en accord avec l'histoire, et qui ajoutent une note poétique à son œuvre.
Enfin, un roman à lire pour tous les amoureux de l'époque victorienne.
Au tout début du roman, je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire. Les deux premiers chapitres me semblaient incohérants, je n'arrivais pas à me situer dans le temps. Cependant, en continuant ma lecture, j'ai fini par me recaler et c'est à partir de ce moment là que je me suis vraiment laissée emporter.
On pourrait croire que la vie des personnages sur les routes aurait quelque chose de lassant... eh bien, ce n'est pas du tout le cas. L'auteure met tout en oeuvre pour nous familiariser avec l'univers des personnages. La création des camps, le rôle du gouvernement, de la ligue des enfants, tout celà est très bien expliqué! Si je dois noter un seul défaut dans l'univers qu'elle nous dépeint, ce serait le fait qu'elle ne mentionne jamais où se trouve le reste de la population. La plupart des villes sont désertes et les personnages ne croisent presque que des FSP ou d'autre jeunes; jamais de citoyens "normaux".
Néanmoins, cela n'altère pas du tout mon sentiment sur ce livre. Je le recommande vraiment.
Néanmoins, on retrouve l'élégance stylistique de Zweig, qui permet une lecture fluide. Peut-être son écriture convient-elle mieux aux romans courts et aux nouvelles. Le thème de la pitié dangereuse, en tout cas, ne nécessitait pas 500 pages.
J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce roman ; il faut reconnaître à Daphné du Maurier un véritable talent de conteuse pour installer un mystère malgré une histoire qui, au premier abord, pourrait sembler banale. Elle mène le lecteur lentement mais sûrement vers un dénouement inattendu, et nous tient en haleine du début à la fin.
Autre particularité : les personnages ne sont pas faits pour être appréciés, au contraire. Certains suscitent parfois une certaine aversion. Cohen dénonce l'hypocrisie des mœurs, et cela transparaît notamment au travers des réflexions de ses personnages et de leur comportement.
Si ce livre peut choquer aujourd'hui, c'est dans la mesure où il reflète la misogynie de l'auteur, et défend les tendances masochistes des personnages. Il est impératif de garder une certaine distance et d'accompagner sa lecture d'un second degré bien aiguisé. Pour autant, on ne peut nier le brio stylistique de Cohen (qu'il semble d'ailleurs clamer haut et fort avec ses chapitres sans ponctuation de plus de 30 pages !)
Si vous aimez l'humour noir et ne craignez pas les chapitres à rallonge qui vous font parfois perdre le fil, vous aimerez probablement Belle du Seigneur.
J’ai beaucoup aimé le principe. Violet qui doit prendre la place du personnage principal de son livre préféré. Mais je me suis un peu ennuyée. Les moments d’action n’étaient pas très prenants. Certains passages m’ont semblés longs, d’autres un peu courts… le rythme est assez hétérogène. Le caractère du personnage n’étant pas très développé, j’ai eu du mal à me faire une idée la concernant.
La fin manque d’originalité, en revanche.
Un second tome sortira mais je ne suis pas sûre de le lire…
Le château des brumes est une lecture vraiment agréable. L’histoire est assez simple, je m’y attendais, il s’agit d’un one shot. Mais elle est prenante, avec des personnages attachants. Un léger mystère plane entre les lignes.
Kersting Gier possède un bon sens du détail, les descriptions qu’elle nous fait du « château des brumes » (en fait un hôtel au style ancien) nous font envie.
C’est un roman sympathique. Je le recommande.
Néanmoins, l'intrigue est prévisible, je n'ai jamais été surprise. Ce livre ne se démarque en rien des autres dystopies.
La relation entre les personnages évolue aussi. On découvre de nouvelles facettes de leur personnalité.