Les Contes interdits : Baba Yaga

Découverte de Dominic Bellavance avec ce livre et des découvertes comme ça, je veux bien en faire plus souvent !

J'avais lu tout et son contraire sur ce livre alors je partais avec un gros à priori. Et bien, il n'en est rien !

On démarre avec une histoire qui se met en place tranquillement. On pourrait dire presque trop tranquillement pour un conte interdit, mais au début uniquement. Car ensuite l'auteur nous entraîne dans un univers où la mort se monnaie comme une vulgaire marchandise sur le marché noir, dans le monde des snuff-movies.

L'intrigue se révèle finalement être assez complexe et très prenante.

On est donc sur une histoire très glauque et cette déviance, cette quasi-dépendance, du protagoniste pour les snuff-movie nous met presque mal à l'aise par moment. Comme tout conte interdit qui se respecte, il y a bien sûr des passages très trash et particulièrement bien écrits.

[...]

Si je dois émettre un seul bémol sur ce livre, c'est que j'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur les origines de Baba Yaga. La aussi, c'est un personnage tellement intrigant qu'il mériterait presque un livre pour lui tout seul.

Sinon, à part ce point, c'est vraiment un excellent conte interdit que je recommande !

Retrouvez la chronique complète sur mon blog : https://thrilleraddict.com/2024/05/09/baba-yaga-de-dominic-bellavance/

C'est un livre bien sans plus.Pas vraiment de scène gore.Je suis resté un peu sur ma faim avec ce livre.J'aurais aim" qu'on développe plus l'académie.J'espére que la suite sur Red sera mieux.Spoiler(cliquez pour révéler)Par contre super la scéne de l'accident dans le premier chapitre.On est vraiment sous le choc quand on le lit.

Ce livre est une vrai pépite, la première partie est lente et ne fais pas vraiment penser aux contes interdits, et sur la 2eme partie il y a une telle montée d'en l'horreur que j'en ai eu un haut le coeur. Je crois que la scène avec Red me restera en tête à vie.

La fin est géniale, j'adore ce genre de finalité pour un livre.

Les personnages sont géniaux on aime autant les adorer, les prendre en pitié puis les détester la seconde d'après.

À lire absolument, mais attention, certains passages vous marquent à vie.

Ce tome entre dans mon Top 5 des Contes Interdits!

J'ai lu plus de 30 Contes, et celui-ci fait partie des bons. Déjà, mentionnons l'excellente idée de l'auteur de nous offrir un lien Web où il nous narre lui-même le conte original. Pour ceux, comme moi, qui ne le connaissait pas, j'ai trouvé que c'est du génie. J'ai ensuite pu apprécier davantage l'adaptation qu'en a fait Dominic, que j'ai trouvé excellente, soit dit en passant.

La première moitié du roman n'est pas si dark par rapport aux autres Contes. J'ai vraiment aimé les concepts apportés par l'auteur, sortis directement de notre univers québécois. Une fois dans le roman, c'est TRÈS difficile de le lâcher. Et, pour la première fois je crois dans cette collection, on a droit à une scène de sexe normale! :O C'est assez rare pour le mentionner.

La seconde moitié vient nous rappeler qu'il s'agit bel et bien d'un Conte Interdit... On a droit à des scènes franchement écœurantes, dont je me souviendrai longtemps. Le petit revirement à la fin est également la bienvenue, et vient bien clore l'histoire, selon moi.

Seul petit bémol pour moi, il reste des questions sans réponses, même si elles ne sont pas très importantes. À quoi sert la précision sur la santé mentale de Yana? Pourquoi veut-elle toujours du poulet frit? (référence aux pattes de poule de la maison du conte original?)

Bref, une belle pépite dans les Contes Interdits, je vous le recommande chaudement (aux adultes avertis par contre).

J'avoue avoir été très curieuse d'un conte interdit sur la légende de Baba Yaga dont je connais, finalement, peu de choses.

Aloors, mon bon Vassily, ne joue surtout pas au loto ! J'alternais entre pitié et colère envers ce personnage que l'on suit, sans jamais réussir à compatir vraiment.

Je crois n'avoir jamais été autant dégoutée, depuis Hansel et Gretel de la même série, avec le passage dans la fameuse Académie et Red, un des Cavaliers. Autant d'horreur et de gore en si peu de temps, ça m'a mis un haut de coeur carrément (j'aurais bien aimé être dans la tête de l'auteur à ce moment-là de l'écriture).

Ne connaissant pas l'histoire originelle de Baba Yaga, la vidéo de l'auteur (lien au début du livre) est très utile même si non nécessaire à la compréhension de l'histoire.

Pour ce qui est du conte interdit en soit, excellent ! Première histoire d'horreur qui me donne vraiment des sensations, du gore, des scènes vraiments dérangeantes, des personnages certes peut profond mais intéressants tout de même pour une présentation sur un roman aussi court.

Je recommande mais âmes sensibles s'abstenir !

En tout cas, c'est sûr que Vassily est vraiment pas chanceux dans ce bouquin.

Voilà encore un conte de plus derrière moi, pfiou pfiou pfiou alors celui-ci les amis il vont son pesant d'or comme on dit...

Mais quelle histoire de dingue, sérieusement, je me suis imaginé des trucs au fil des pages, mais pas du tout cela...

On j'ai peut-être une critique a faire, un poile long a démarré, et au milieu une partie pour moi qui n'a pas été assez exploitée, se que je trouve dommage....

Me cela n'enlève en rien a la superbe qualité de se conte interdit...

Oui oui il y a des contes qui méritent d'être continuer, voir même un second volet....

Je dit ça je dit rien...

🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩

Un conte interdit tout simplement PARFAIT.

J'ai vraiment adoré ❤️❤️

Lecture fluide et addictif ❤️

J'ai reçu ce livre en cadeau d'un éditeur mais je pensais qu’il donnait une autre vision de ces contes russes dans lesquels participait la sorcière Baba Yaga. Je ne connaissais pas l’auteur qui est assez jeune et canadien. En recevant l’ouvrage, je me suis aperçue que ce livre fait partie des contes interdits et qu’il est destiné à un public averti. Difficile dans ce cas de le lire à mes petites filles. Les éditions Contre-dires, que je remercie au passage pour l’envoi de ce livre, ont édité beaucoup d’autres histoires dérivées des contes pour enfants : Blanche-Neige, la Belle au bois dormant, le Petit Chaperon rouge… Je précise tout de suite que c’est le premier conte interdit que je lis pour ma part et désolée, pas sûre d’être tentée d’en lire un autre.

L’histoire est cependant addictive. Ce n’est pas le premier livre que je lis où le héros ressort vivant d’un terrible accident de voiture où son meilleur ami a trouvé la mort. Au départ, le personnage principal est tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Il est en couple avec un petit enfant. Il travaille dans un restaurant. Le choc de l’accident et de la perte de son ami a été certainement l’élément déclencheur de tout ce qui a suivi. Pour l’instant, rien que de très normal sauf que cela dérive vite. Et on s’aperçoit que notre héros n’est pas aussi pur que cela. Cela tourne au sado-masochisme très vite. Vassili Lebel (en cela, l’auteur a fait une similitude avec Vassilissa la belle d’Alexandre Afanassiev) développe une attirance vers les snuff movies sur le Dark Web et cela le détruit peu à peu. Avait-il cette attirance avant le décès de son ami, c’est très possible mais je n’ai pas envie de refeuilleter le début pour m’en assurer.

Son patron, Joe, l’envoie à une émission télévisée Dans l’œil du sorcier pour qu’il réussisse à collecter des fonds pour la création d’une chaîne de bistrots, les Tovarisch Kafe, exclusivement consacrés à la gastronomie russe. Il y rencontre la belle et sulfureuse, Yana Babakova, un membre du jury. Et de là, tout s’enchaîne ! Notre héros tombe bien mal et accumule toutes sortes d’erreurs jusqu’à l’apothéose finale.

Ce livre est un « turn-over » car j’ai tourné les pages ayant envie d’en savoir plus sur Vassily et la fin ne m’a pas surprise. C’est un ange déchu. Tout ce qu’il entreprend ne lui réussit pas. Evidemment, sa consommation effrénée d’alcool fort n’aide en rien à sa lucidité ni à son jugement.

S’il y a un enfer, il y court tout droit.

Même si ce livre m’a donné la chair de poule, je l’ai aimé car l’écriture en est fluide et agréable. Je ne me suis pas ennuyée une seconde.