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En 1845, Henry David Thoreau part vivre dans une cabane construite de ses propres mains, au bord de l’étang de Walden, dans le Massachusetts. Là, au fond des bois, il mène pendant deux ans une vie frugale et autarcique, qui lui laisse tout le loisir de méditer sur le sens de l’existence, la société et le rapport des êtres humains à la Nature. Une réflexion sereine qui montre qu’il faut s’abstraire du monde et de ses désirs pour devenir réellement soi-même.
Je gagnai les bois parce que je voulais vivre suivant mûre réflexion, n'affronter que les actes essentiels de la vie, et voir si je pourrais apprendre ce qu'elle avait à enseigner, non pas, quand je viendrais à mourir, découvrir que je n'avais pas vécu.
Il y a près de 170 ans, Henry David Thoreau écrivait un texte extrêmement actuel. En pleine révolution industrielle, il définit l’ensemble des conséquences pour la nature et pour l’homme, du développement économique. Désormais d’une cruelle actualité, Thoreau sublime ses descriptions avec des pages d’une grande poésie. Malheureusement, elles sont parfois perdues dans de longs passages, certes intéressants au niveau anthropologique, mais aussi pour moi rébarbatifs. Quoi qu’il en soit, Thoreau célèbre la beauté de notre monde grâce à sa belle plume.
Henry David Thoreau décide de vivre pendant deux au bord d’étang de Walden. On est en 1845, et il va vivre dans une cabane qu’il construit de ses propres mains et va se nourrir de ce que son jardin, l’étang et la forêt lui fournissent. Cette vie quasi solitaire, lui permet de réfléchir sur le monde qu’il l’entoure en mode contemplatif, mais aussi de philosopher sur la société en pleine mutation. Il aborde de nombreux sujets pour lesquels il prône un rapport à la nature équilibré, base d’une vie saine.
Malgré, comme dit précédemment, de très belles pages, je n’ai pas retrouvé le plaisir de lecture Des Forêts du Maine. Un discours actuel, certes, même si je n’adhère pas à tout, mais Thoreau a le don de nous faire redécouvrir ce qu’il est essentiel de voir et de protéger avant tout. Peu matérialiste comme Thoreau, j’aime chiner, recycler et entre autres trouver du plaisir dans la découverte d’un livre d’occasion sur vide-greniers. L’urgence de la nouveauté, de l’accumulation est un des fléaux de l’humanité. Ce livre reste un élément important de littérature mondiale.
Thoreau nous offre un essai essentiel et toujours actuel. Son témoignage et sa réflexion autour de son mode de vie sont très instructifs et amènent à questionner ce qui est vraiment important pour notre existence.
Excellent, l'escapade de 2 ans dans les bois de Walden sont teintés d'une telle poésie et sagesse !
Bien que la fin s'essouffle un peu, j'ai trouvé pleins d'images frappantes et je ne regrette pas ma lecture, motivée par le fait que Thoreau est très apprécié de Gandhi et du héros de "Into the Wild"- livre non lu mais film vu et tout aussi magnifique.
Très intéressant sur ces analyses de la société, un peu moins quand il parle de sa propre expérience dans la nature car les explications finissent par etre répétitifs. Une plume complexe mais très belle.
Certains passages sont particulièrement inspirants! Extrêmement visionnaire : on comprend que tout un courant écologiste se revendique de H. D. Thoreau. « Dieu merci, ils ne pourront jamais abattre les nuages! ». S’il savait...
Il partit vivre dans les bois pour vivre intensément et livrer plus tard ce livre plein de belles vérités sur ce monde et sa manière de vivre qui différait déjà de ceux de son temps.
Si certains parties sont un peu longues, trop descriptives et portent sur des sujets pas forcément intéressants, elles démontrent quand même que l'auteur porte un regard sacrément précis sur ses activités.
Entre ça et le regard qu'il porte sur les gens qui l'entourent, on a une sacrée leçon de vie qui parlera plus à certains que d'autre mais où chacun pourra trouver un quelque chose qui ne parlera qu'à lui.
Classique de la littérature américaine du 19ème siècle, Walden n'est pas à mettre entre toutes les mains ! Il faut de la curiosité et du désir pour venir à bout de cette autobiographie qui oscille entre témoignage, pensées, observations, longues descriptions et guide de survie.
Le vocabulaire de l'époque et les syntaxes lourdes de l'auteur ne facilitent pas la lecture. Beaucoup de chapitres ne représentent que peu d'intérêt car trop descriptifs ou explicatifs (même si certains passages restent dignes d'intérêt), et l'intérêt du lecteur décline progressivement. Par exemple, le côté guide de survie, le sarclage des haricots et l'ensemble des rencontres animales risquent de ne pas intéresser tout le monde.
Heureusement, cet intérêt est régulièrement relancé par les quelques formidables leçons de vie que Thoreau partage par moment. C'est lorsque Thoreau s'attache à philosopher que ses écrits impactent réellement, car sa pensée, bienfaisante et complètement pure, semble pouvoir nous profiter. Et ce qui frappe, plus que n'importe quel auteur issu du "nature writing", c'est l'incroyable sagesse qui émane de ses écrits, sagesse qui prend appui sur le courant transcendantaliste américain dont Thoreau est une grande figure.
La conclusion finale de l'ouvrage vaut à elle seule la lecture entière de Walden, et l'on se surprend même à finir par s'attacher à cet étang que Thoreau ne cesse de décrire, à travers les saisons ou au fil des rencontres qu'il y fait.
« La richesse superflue ne peut acheter que des superfluités. L’argent n’est point requis pour acheter un simple nécessaire de l’âme. »
J'avoue, je me suis penché sur ce roman après en avoir entendu parler dans le récit de Jon Krakauer, sur l'histoire de Christopher McCandless.
Etant complètement fasciné par l'homme qu'a été Chris, j'ai eu envie de comprend pourquoi il vouait un tel culte à Thoreau, et maintenant je comprend.
Alors oui, ce n'est pas un récit facile à lire, les descriptions y sont longue et les réflexions encore plus, mais je pense que ce bouquin peu permettre ( en tout cas pour moi ) d'aborder la vie d'une autre manière.
Résumé
En 1845, Henry David Thoreau part vivre dans une cabane construite de ses propres mains, au bord de l’étang de Walden, dans le Massachusetts. Là, au fond des bois, il mène pendant deux ans une vie frugale et autarcique, qui lui laisse tout le loisir de méditer sur le sens de l’existence, la société et le rapport des êtres humains à la Nature. Une réflexion sereine qui montre qu’il faut s’abstraire du monde et de ses désirs pour devenir réellement soi-même.
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