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Ce qu'il nous faut, c'est un mort



Description ajoutée par x-Key 2016-02-24T19:32:24+01:00

Résumé

Trois garçons pleins d'avenir roulent à flanc de falaise.

C'est la nuit du 12 juillet 1998, celle d'I will survive. Ce que la chanson ne dit pas, c'est à quel prix.

Les Ateliers Cybelle emploient la quasi-totalité des femmes de Vrainville, Normandie. Ils sont le poumon économique de la région depuis presque cent ans, l'excellence en matière de sous-vêtements féminins, une légende – et surtout, une famille. Mais le temps du rachat par un fonds d'investissement est venu, effaçant les idéaux de Gaston Lecourt, un bâtisseur aux idées larges et au coeur pur dont la deuxième génération d'héritiers s'apprête à faire un lointain souvenir. La vente de l'usine aura lieu dans l'indifférence générale.

Tout le monde s'en fout. Alors ce qu'il faudrait, c'est un mort.

De la corniche aux heures funestes de Vrainville, vingt ans se sont écoulés. Le temps d'un pacte, d'un amour, des illusions, ou le temps de fixer les destinées auxquelles personne n'échappe.

(Source : Fleuve Éditions)

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Classement en biblio - 35 lecteurs

extrait

Ce jeune homme est avocat spécialisé dans le droit du travail et s’est donné pour mission de purifier les entreprises qui le mandatent.

— Toujours dans la légalité, précise-t-il.

Le plus souvent, dans ses limites les plus obscures.

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Commentaires récents

Diamant

J’ai adoré !

J’ai trouvé un subtil équilibre entre la fluidité et l’intelligence du texte, c’est subtil mais pas simpliste.

J’ai trouvé de nombreuses idées de narration qui mélange les lieux ou les temps, le premier chapitre prédicateur, brillantes.

J’ai trouvé les descriptions intéressantes, jamais lassantes, elles coulent avec brio pour nous mettre dans l’ambiance.

J’ai trouvé l’histoire super prenante, je me suis attaché à tous les personnages (sauf peut-être l’avocat) et les ai suivis avec plaisir.

J’ai trouvé que l’auteur n’hésitait pas à pousser ses personnages dans de terribles retranchements sans pour autant y aller dans la gratuité ou en faire trop.

J’ai trouvé cette fable sociale tellement réaliste (et pour cause…), mettant le doigt sur une humanité disparue au profit d’un capitalisme dévorant…

Bref, j’ai adoré ce livre.

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Lu aussi

Le 12 juillet 1998, lors de la victoire de la France à la coupe du monde de football, six protagonistes vont voir leur vie changer, prendre une nouvelle trajectoire. Vingt ans plus tard, ils se retrouvent à Vrainville, berceau de l’usine de lingerie, Cybèle, qui fait vivre la communauté. Mais face à la récession économique, les ouvrières vont devoir se battre pour maintenir l’usine ouverte.

Je suis déçue …. Je m’attendais à un thriller sur fond social et je lis un roman sur fond social mais dont l’enquête est en arrière-plan. Une fresque sur l’histoire des protagonistes, sur la vie des gens d’un village. Pourtant, cela partait bien. J’ai aimé la façon dont étaient présentés les personnages principaux. Par contre, dès la seconde partie, retraçant l’histoire de l’usine Cybèle depuis sa création, j’ai senti que ce que j’attendais n’allait pas se réaliser. Pourquoi alors ai-je continué ma lecture ? Parce que je me suis attachée à certains personnages, que j’avais envie de mettre au pilori cet avocat et surtout à cause du style m’a plu.

Une lecture en demi-teinte.

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Diamant

Comment dévorer un roman tout en dégustant chacune de ses phrases, tout en mastiquant avec plaisir chacun de ses mots ? Et bien, ce roman est un bel exemple…

Je l'ai dévoré mais je ne l'ai pas bâfré. Chaque phrases, chaque mot, chaque personnage a été lentement mâché, savouré, avalé, digéré.

Coupe du monde 98, je m'en souviens et à la fin, les « Et 1, et 2, et 3 zéro ! » balancés à tout bout de champ m'avaient soulé !

Rassurez-vous, l'auteur ne vous rabattra pas les oreilles avec cette Coupe du Monde, même si les faits qui auront cours durant cette nuit de folie auront des conséquences dans le futur et que nous retrouverons tous les personnages de cette folle nuit-là

Ce roman nous présente des destinées, des vies qui basculent dans l'horreur, dans le bonheur, des vies qui commencent, qui se terminent, qui seront marquées à jamais…

Il nous parle aussi de l'histoire d'un homme, Gaston Lecourt, créateur des Ateliers Cybelle, qui, au sortir de la Grande Guerre, eu l'idée de fabriquer des sous-vêtements féminins accessibles à toutes.

De son entreprise qu'il fit prospérer, des emplois qu'il fournit à la quasi-totalité du village de Vrainville (tout près de Dieppe) et dont ses héritiers vont tout foutre en l'air.

Un grand-père qui l'a crée, un fils qui l'a faite tourner et un petit-fils qui veut la liquider à un fonds de pension amerloque… Comme d'habitude…

Ici, nous sommes face à des personnages forts et bien travaillés, attachants, qui évoluent, qui ne sont ni tout noir, ni tout blanc et dont nous n'avons pas encore idée de comment ils vont arriver à se retrouver 18 ans plus tard, mais je vous rassure de suite, l'auteur savait ce qu'il faisait et le tout est bien amené.

D'ailleurs, ses personnages, on pourrait presque les toucher tant ils sont crédibles. Ou les embrasser, tant on va les aimer, ou avoir envie de les baffer, pour certains…

Ce que j'ai ressenti, c'est de l'émotion, en vrac. Des émotions fortes, des plus tristes, des agréables, de la tension, des moments plus tendres, du rire, du chagrin et une horrible sensation de déjà-vu avec la fermeture programmée d'une usine et sa probable future délocalisation dans un pays où la main-d'oeuvre est ultra bon-marché.

Est-ce un roman noir ? En tout cas, il est social avec cette fermeture d'entreprise et tout un village qui risque de plonger dans le chômage, la misère, les ceintures qui vont devoir se serrer et le fait que personne n'en parle dans les médias vu que les entreprises, elles se ferment à la pelle et que tout le monde s'en fout tant qu'il n'est pas concerné directement.

L'auteur nous conte ici une formidable histoire, une histoire qui a débuté après la Première Guerre Mondiale, une histoire de société sur un siècle, une histoire qu prends aux tripes, une histoire qui nous emporte, une histoire qui nous marque, une histoire qu'on dévore tout en la savourant.

Une histoire contemporaine, une histoire qui parle de la vie des gens, des combats qu'ils peuvent mener pour sauver leur gagne-pain, prêts à tout s'il le faut, ou prêt à courber l'échine ainsi que ceux qui aiment diviser pour mieux régner, à la limite de la légalité, mais légalement quand même.

Une plume qui sait si bien retranscrire les sentiments et les défauts humains, sans pour autant faire de manichéisme ou tomber dans la facilité. Une plume qui gratte là où ça fait mal, une plume sans concession, une plume qui ne fait que nous débiter des vérités qu'on a un peu trop tendance à oublier…

Je pense que moi aussi je vais embrasser Hervé Commère si je le croise et le remercier pour ce putain de bon roman qui, du fait qu'il était choral, nous a donné un aperçu des pensées et des blessures de chacun.

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Or

Hervé Commère est devenu un de mes auteurs chouchous. C'est le troisième livre que je lis et j'ai encore passé un excellent moment de lecture!

C'est un roman noir passionnant, une belle histoire de destin , de choix de vie dans ce petit village de Normandie où quasiment tous les habitants travaillent dans une usine de lingerie " Cybelle" .

L'intrigue est très bien construite et menée sur plusieurs décennies.

Les personnages et leur psychologie sont très bien décrits et travaillés.

J'ai littéralement dévoré ce livre et je vous le conseille ! Mais si vous le commencez , ne prévoyez rien d'autre à faire ! ;)

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Or

Je me suis assise, fermée les yeux et j'ai écouté la voix d'Hervé Commère me raconter, comme une confidence, ce que lui inspire le monde ..Une sorte de Stephan Eicher nouvelle génération ..Il m'a susurré à l'oreille des mots forts, des mots doux, des mots d'espoirs et de regrets, des mots du présent et d'antan, des mots qui m'ont transporté en Normandie mais dans toutes les régions du monde.

Il m'a confié l'injustice du monde. Le combat des ouvriers pour garder un emploi. Le petitesse d'un patron qui souhaite vendre pour commencer à vivre. Les vies qui se brisent en quelques secondes pendant que d'autres se subliment. J'ai pris tout cela de plein fouet, presque à bout de souffle !

Ce roman nous parle de trois générations et est pourtant très actuel. Il nous parle d'une nuit où tout commence et tout fini.

1998, victoire des bleus. C'est la fête ! Malgré tout 4 événements vont avoir une incidence sur notre histoire. Une naissance, un viol, un accident de voiture et une rencontre. Quatre moments pour divers personnes dans divers lieux. Et pourtant, tous vont se rejoindre quelques années plus tard dans un petit village Normand. Autour des Ateliers Cybelle où les femmes commencent à douter de leurs futurs.

Je veux dire que les gens sont petits, explique-t-il en posant ses couverts à son tour. On les prend tellement pour des cons qu'ils finissent par le devenir. Il se font tout petits. On les rend petits. Il se replient sur eux-mêmes, sur ce qu'ils connaissent.

Hervé Commère ne signe pas un thriller ou un policier mais un livre noir très contemporain avec une grand part de sociologie et très humain . On se retrouve tous dans un personnage de l'histoire. On va s'émouvoir avec eux. L'auteur va nous immerger dans la vie de cette petite ville, nous allons nous aussi faire partie de ces hommes et ces femmes. Vivre l'après guerre, puis les deux générations suivantes. Etre fière et se retrouver démuni.

Etre une petite main afin d'embellir les femmes et se sentir bien.

L'histoire vous happe ! A tel point que j'ai cherché s'il n'y avait pas une part de vérité. Si Gaston Lecourt n'avait pas vraiment existé. J'y ai cru, tellement cru à votre roman Monsieur Commère !

http://lesciblesdunelectriceavisee.blogspot.com/2016/04/ce-quil-nous-faut-cest-un-mort-herve.html

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Or

Oh mon dieu, je n'ai jamais suivi de recette de ce pâtissier ! Vais je assurer ? Of course, voyons, je suis une reine du fouet et de la spatule !

Alors tout d'abord, j'ai fait mes courses en fonction des ingrédients :

un titre accrocheur ...il faut avoir l'envie visuelle au début ;-) des évènements survenus 18 ans plus tôt dans des villes différentes sur des personnes différentes un lieu : une ville qui vit grâce à l'audace de Gaston Lecourt et à ses soutiens-gorge et ses petites culottes.

une intrigue policière à résoudre une photo de ce monde industriel impitoyable..toujours plus de profits à bas prix des petites mains adorables un village solidaire de la révolte mais aussi des sentiments humains : amour, destruction, culpabilité, vengeance, manipulation , espoir.

Je relis bien ma liste d'ingrédients et je ne pense pas avoir oublié quelque chose.

400 pages plus loin, le résultat est étonnant ! Je le savoure car il est beau.

C'est fait du bien. C'était ce qu'il fallait à la tordue que je suis.

Je le coupe en plusieurs tranches : une tranche de vie pour Marie, une tranche pour ces 3 garçons plein d'avenir, une tranche pour toutes ses ouvrières qui luttent pour la survie de leur entreprise et de leur savoir-faire, une tranche pour cet avocat qui ne voit que sa commission et qui est prêt à tout, une tranche pour William qui se sent habité par cette ville, une tranche pour Fanny qui veut savoir, une tranche de vie d'une ville qui ne vit que parce que les ateliers Cybelle vivent !

Alors toi aussi prends une bonne tranche de ce gâteau au coeur humain.

La gourmandise c'est bon pour le moral !

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Lu aussi

Je n'aime pas du tout être dans cette position. La position où je suis très déçue de ma lecture. J'y ai cru, j'ai pensé lire un thriller et finalement ce n'est pas un thriller du tout. Je classe ce livre dans le genre contemporain. Attention, j'aime lire des contemporains mais là où je dis non c'est quand je pense lire un thriller alors que ce n'en est pas un du tout.

Vous me direz "eh alors, c'est pas bien grave"! Là, je vous répondrais que non ce n'est pas bien grave si au moins j'avais aimé l'histoire. Mais j'avoue que je me suis ennuyée tout au long du livre, j'ai trouvé ça long et ennuyeux au possible. Je déteste ça, je déteste dire que je n'ai pas aimé un livre. Je ne dis pas que le livre est mauvais ou que l'écriture est difficile mais je n'ai pas aimé. On va passer des pages et des pages et des pages à parler de cette usine de sous-vêtements, de l'historique de celle-ci, ça va tourner encore et encore autour d'elle. Aucun personnage n'a relevé le niveau pour que je puisse y trouver de l'intérêt. Si cette lecture n'aurait pas été un service presse, j'aurai abandonné celle-ci depuis longtemps.

L'histoire pourrait vous plaire, je sais que je suis très difficile même dans le genre Contemporain. Donc même si c'est une très grosse déception pour moi, faites-vous votre propre avis car vous la trouverez peut-être à votre goût.

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Bronze

Je n'avais jamais lu de livre d'Hervé Commère et pour cause, je ne suis pas spécialement une adepte des thrillers/polars. Cependant, en lisant la quatrième de couverture, je me suis laissée séduire et je ne regrette absolument pas. Bien que cette première lecture ne soit pas un coup de cœur, c'est une très belle découverte et je pense très prochaine acquérir ses autres romans.

Dès les premières pages du roman, on est plongé dans cette histoire assez terrible, entre entre les viols et l’accident de voiture, et c'est à peine si on a le temps de reprendre notre souffle. L'intrigue est parfaitement bien menée tout le long de l'histoire, malgré, parfois, quelques petites longueurs. Les événements s'enchaînent à la perfection. Toutefois, j'ai été un peu déçue, mais aussi surprise, par la tournure que le suspens a pu prendre. Il faut dire que je ne m'attendais pas spécialement à ça.

Concernant les personnages, je n'ai pas eu de coup de cœur, ni d'attache particulière, mais on pourrait noter qu'Hervé Commère à réussit à les rendre très réalistes. Ils mènent une vie comme n'importe qui pourrait la mener. On sent les personnages assez proches de nous, peut-être même trop proche. C'est à la fois déstabilisant et remarquable.

L'auteur à une plume très fluide et agréable à lire. La narration de ''Ce qu'il nous faut c'est un mort'' est assez particulière. J'avais l'impression d'être dans un reportage, avec une sorte de voix off pour m'expliquer chaques détails. Le fait que le narrateur soit omniprésent est sans doute ce qui m'a le plus séduite.

Pour conclure je dirais que ce roman est un très bon polar et que je peux que conseiller à tous les amateurs de ce genre !

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Dates de sortie

Ce qu'il nous faut, c'est un mort

  • France : 2016-03-10 (Français)
  • France : 2017-06-08 - Poche (Français)

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