Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 908
Membres
1 014 229

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Exil, Tome 4 : Le dragon dépassé



Description ajoutée par Mimi8 2017-01-08T11:47:09+01:00

Résumé

Spoiler(cliquez pour révéler)La guerre entre Lucifer et Exil étant bien entamée, Fergus Ferguson a de quoi faire : Svenn s'est volatilisé, Rika est morte, Silke a mit les voiles, sa sœur est avec un crétin d'ange, l'autre avec un démon.... Pourtant, ce ne sont pas là les plus gros soucis du dragon. Car il découvre une chose tout à fait improbable dans le coffre-fort du Déchu... Une chose qui va le faire en tourner en bourrique comme personne.

Afficher en entier

Classement en biblio - 44 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par poche 2018-01-10T22:10:33+01:00

Prologue

​La pointe acérée d'une lance effleura son flanc, déchirant son t-shirt au passage. Fergus saisit le poignet de son adversaire, pour le briser net. Le démon aurait certainement hurlé, s'il ne l'avait pas empoigné par la gorge pour lui couper le sifflet. Puis le dragon fit glisser le corps jusqu'au sol, tout en s'assurant qu'il était ni capable d’appeler à l'aide, ni de ramper en un lieu plus exposé. ​Sa mission était des plus dangereuses, aussi ne pouvait-il pas se permettre de laisser quoi que ce soit au hasard. Il avait été contraint de venir seul, pour plus de discrétion. Or, il se trouvait au beau milieu de l'une des forteresses de Lucifer. Celle qui avait servi à torturer Svenn des mois plus tôt, afin d'extraire du jus de Pomme d'Or de ses veines. ​Creusée au flanc d'une falaise, elle était quasiment imprenable. Ils avaient fait des gros dégâts lors de leur attaque, un mois plus tôt, mais désormais, les bâtiments étaient comme neufs. ​Fergus descendit les marches d’un escalier étroit, sur le qui-vive. Voilà une semaine de cela, une cargaison était arrivée ici. Un véritable bataillon encerclait le convoi, réagissant à la première provocation, imaginaire ou réelle. Une telle équipée n'était pas passée inaperçue, aussi la nouvelle était-elle remontée jusqu'aux oreilles d'Exil. ​Le Bourreau avait été clair : il fallait découvrir de quoi il s'agissait. Lucifer planifiait de monter sur le trône des Enfers, aussi était-il capable de tout. Surtout depuis sa défaite, un mois plus tôt, aux portes d'Exil. Il avait non seulement loupé sa chance de détruire le village, mais en plus il avait perdu l'épée de Sainte, la seule à pouvoir lui assurer une victoire facile sur Belzébuth, le souverain démoniaque actuel. ​En s'enfonçant dans les profondeurs de la falaise, Fergus suivit son instinct. Bien lui en prit : il tomba sur une porte des plus impressionnantes. Blindée, elle semblait sortie tout droit du monde des humains. Plus précisément de leurs banques. Devant, quatre gardes faisaient de leur mieux pour ne pas s'endormir. En fait, ils semblaient... Tendus. Effrayés. ​Le métamorphe plissa les paupières, à la recherche d'une explication. Caché derrière l'angle d'un couloir, il n’avait pas encore été repéré. Alors quoi ? Était-ce la peur du courroux de Lucifer qui les mettait dans un tel état ? ​-On... On devrait être plus nombreux, non ? fit l'un d'eux, à voix basse. ​-Quatre, ça devrait être suffisant... je crois. ​Son collègue ne semblait pas plus assuré. Un autre se dandina d'un pied sur l'autre. Ils étaient tout en muscles, crocs et griffes. Certainement l'élite de l'armée de Lucifer. Ce qui se cachait derrière cette porte devait être très important. ​Il n'avait pas le temps de tergiverser. D'une seconde à l'autre, quelqu'un pouvait surgir à l'autre bout du couloir où il se tenait. Alors, adieu l’élément de surprise. ​Sans hésitation, il sortit de sa cachette, faisant face aux quatre gardes. Ces derniers se mirent aussitôt en position de combat, leur anxiété envolée... Mais ils ne purent éviter les couteaux de lancées. Deux d’être eux s'écroulèrent, l'un des projectiles logés dans leur crâne. Les derniers se jetèrent sur lui, avec des rugissements féroces. Mince... Ça, c'était mauvais pour lui. Ils allaient alerter toute la forteresse, ces imbéciles ! ​Il dévia l'une de leurs épées de sa dague, para un autre coup avec son avant-bras, recouvert d'un brassard en acier. Son pied faucha la cheville de l'un, libérant sa main armée. Il trancha la gorge de l’autre, avant d'en faire de même pour celui à terre. ​L'odeur du sang envahit ses narines, écœurante. Il ne faudrait pas longtemps pour que les cadavres soient découverts. Il allait devoir faire vite. ​ La porte, découvrit-il, était close. Rien d'étonnant à cela. En revanche... Il fut stupéfait d'en découvrir la clé, pendue à un crochet juste à côté. C'était de plus en plus étrange. Peut-être était-il tombé dans un piège ? Néanmoins, à ce stade, il ne pouvait plus reculer. ​La clé tourna dans la serrure sans résistance, déclenchant les différents verrous. Ils claquèrent sourdement en se défaisant les uns après les autres. Vingt-quatre, compta Fergus, abasourdit. Vingt-quatre verrous pour une porte. Que se cachait-il donc à l’intérieur ? Le battant pivota sur lui-même, dévoilant l’intérieur. Une vive fragrance balaya celle du sang, un nuage de vapeur l'enveloppa instantanément. Les yeux écarquillés, il entra dans la pièce... Pour y découvrir des centaines de bâtonnets d'encens, piqué au sol, se consumant lentement. Des bougies se trouvaient au milieu, diffusant une faible lumière sur une chaise, rivée à même le sol. Et sur cette chaise, bâillonnée, nue et ligotée se trouvait… La plus puissante des invocatrices. Rika la Némésis.

Chapitre 1

Faux Départ ​En reconnaissant la silhouette massive de Fergus Ferguson, Rika se demanda si elle n'avait pas des hallucinations. Après tout, elle respirait des drogues à pleins poumons depuis des semaines. Cela n'aurait rien eu d'étonnant. Mais son expression stupéfaite lui mit la puce à l'oreille : il était vraiment là. ​Génial. ​Avec le sang sur sa lame dégoulinante, son t-shirt en partie lacéré et son regard vif, il était clair qu'il était venu ici de force. Où qu'elle se trouve, d'ailleurs. Elle n'en savait fichtrement rien. D'ailleurs, elle était là depuis combien de temps ? ​Ha... Il la détachait. Il était parvenu à passer la barrière des bâtonnets d'encens et des bougies, sans mettre le feu à son pantalon. Une performance, vraiment. ​-... Rika ? Tu m'entends ? fit-il en lui ôtant le bâillon. ​-J'ai l'air sourde ? cingla-t-elle, heureuse de pouvoir enfin parler. ​-Vu tes yeux vitreux, c'était une possibilité. ​Il ne s'offusqua même pas de son ton, se contentant de trancher ses liens. Elle plissa les paupières. De l'air. Elle avait besoin de respirer autre chose que cet encens. Maladroitement, elle se mit sur pieds... et se serait effondrée si le métamorphe ne l'avait pas retenu. ​-Doucement. Tu es enfermée depuis combien de temps ? ​-Mmh... J'en sais rien. La bataille contre Lucifer, pour l'épée machin chose, c’était quand ? ​Il eut un moment de silence, durant lequel elle se souvint d'une chose : elle était complètement nue. Elle pouvait sentir sa main directement sur la peau de sa taille, brûlante. Inexplicablement, elle se sentit rougir. Elle ! Rougir ! ​Par tous les dieux, où allait le monde ? ​D'ailleurs, cela ne s’arrêta pas là. Non. Une chaleur intense parcourut tout son corps, faisant battre son cœur un peu plus vite. ​-Un mois. Ça fait un mois, Rika. ​Un mois ? Le temps passait drôlement vite, quand on était droguée. ​-Heu... ​-Attends. ​Il la lâcha un court instant, durant lequel elle parvint à trouver son équilibre. Ha... ! Bon point ! Ça s'améliorait ! Heu... Pourquoi enlevait-il son t-shirt, pour étaler à sa vue sa musculature impeccable ? Face à face avec ses pectoraux et ses abdominaux, elle déglutit nerveusement. Elle avait de plus en plus chaud. ​-Bon sang, ne me regarde pas comme ça, grommela-t-il en lui enfilant de force son habit. ​Elle passa ses bras par les manches, l'esprit embrumé. Elle devait se ressaisir. Il fallait partir au plus vite de cette maudite cellule. De l'air... Elle voulait simplement de l'air. Et un bac à glaçon. ​-Les sortilèges, haleta-t-elle. Il y a des sortilèges pour m’empêcher de sortir. ​Un éclair de compréhension traversa les yeux orangés du métamorphe. La tenant par la main, il dégagea d'un coup de pied tous les encens, pour lui ouvrir un chemin. Elle devait l'avouer, elle n'était pas très habile, en cet instant. Mais elle reconnut les inscriptions sur le sol, le mur et la porte sans problème. ​-Je comprends mieux. Pas étonnant que les gardes soient aussi nerveux, ajouta-t-il en lui jetant un coup d’œil. Avec une femme telle que toi à l'intérieur, il y a de quoi être inquiet. ​Sans lui lâcher la main, il entreprit de gratter une partie des inscriptions, du bout de sa dague. Il lui fallut cinq bonnes minutes, avant qu'un grésillement leur indique la désactivation du système de sécurité. ​-On y va ! ​Ils partirent au pas de course. Par bonheur, le corps de Rika, rompu à ce genre d'exercice, suivit sans problème. Son esprit, en revanche, patinait allégrement. Ces couloirs... Le froid mordant... Elle connaissait bien ces lieux. Il s'agissait de... de... mince, elle ne parvenait pas a... Oui ! La Forteresse des Pics de l'Oubli ! Elle s'en souvenait à présent ! Vive l'air frais ! Elle commençait à pouvoir réfléchir... Si seulement elle avait eu moins chaud... ​Ils déboulèrent à un étage. Les dizaines de personnes se trouvant au sommet des escaliers se tournèrent vers eux, stupéfaites. Puis ils les prirent en chasse. ​-Par le cul d'Odin ! siffla Fergus entre ses dents. On a mis trop de temps à sortir de ta cellule ! ​-J'y peux rien ! ​Inexplicablement, elle se sentait coupable. Pourtant, elle n'avait pas demandé à ce qu'on vienne la chercher, bon sang ! Elle s'était préparée à son sort. Elle avait su que cela lui arriverait, tôt ou tard. ​-Ce n'est pas ce que je veux dire ! Tu ne peux pas appeler tes soldats de brume ? ​-Je suis trop droguée, gémit-elle en analysant les environs, à la recherche d’une échappatoire. Par-là ! ​Trouvant une force insoupçonnée, elle raffermit sa prise sur la main de Fergus, pour l’entraîner par une porte minuscule. Elle était en mesure de semer leurs poursuivants. Elle connaissait les lieux par cœur. Derrière le battant, il y avait un long couloir garni d'autres portes. Ils prirent la deuxième sur la gauche, avant de prendre la quatrième sur la droite, donnant sur un débarras innommable. Là, elle franchit une trappe dans le sol, avant de s'enfermer dans une minuscule pièce, où ils rencontrèrent un seau et un balai à serpillière couverts d'une épaisse couche de poussière. ​-Rika ? Tu es sure de toi, là ? ​L'espace était trop étroit. Elle se trouvait littéralement plaquée contre lui, ses seins écrasés contre son torse. La chaleur devint brûlante en elle, lui faisant perdre ses neurones durement acquis au cours de ces dernières minutes. ​-Heu... Je... Je... ​Elle avait une conscience aiguë du corps de Fergus, tout contre le sien. Dur. Chaud. Tout en muscles fermes, tendus sous une peau d'une douceur inattendue.  ​-Rika, tu vas bien ? Par tous les dieux ! Tu es brûlante ! ​Elle leva la tête vers lui, consciente de haleter malgré elle. Les yeux de Fergus se rivèrent au sien en dépit de la pénombre. Elle avait chaud. Très, très chaud. Cela faisait-il perdre la tête ? Oui, certainement. Car elle empoigna le métamorphe par la nuque, pour l'embrasser de façon équivoque. * ​Dire que Fergus fut surpris était un euphémisme. ​La sensation des lèvres de Rika contre les siennes le prit totalement au dépourvu, mais son corps parut particulièrement content en sentant ses seins se presser contre lui. Avec un grondement appréciateur, il plaqua la jeune femme contre lui pour mieux répondre à ses attentes. Après tout, ils étaient cachés dans un placard, non ? Ça ne faisait pas de mal. ​Par contre, son érection l’empêcherait de se battre correctement, s'ils devaient faire face à une menace imprévue. Surtout si elle continuait à se frotter à lui d'une façon aussi sensuelle, son parfum entêtant envahissant chacune de ses cellules. ​Enivrant ? ​Il ouvrit brusquement les yeux, sans pour autant se sentir capable de rompre leur baiser. Oh merde... ​-Rika... murmura-t-il en s'éloignant à peine de ses lèvres. L'encens... A... ​-Aphrodisiaque. ​Pas étonnant qu'elle soit si entreprenante ! Sans compter qu'il avait respiré l'odeur du produit, qu'elle avait baigné dedans des jours durant... Sa peau même semblait en avoir le goût, constata-t-il en suivant la courbe de sa gorge. Si douce… ​Bloqué par l'espace exigu du placard, il l'attrapa par les fesses, afin de la faire remonter le long de son torse. Oui, là... Ils pouvaient mieux s'embrasser. Elle plongea une main dans ses cheveux, comme pour le sommer d'y aller plus franchement. De l'autre, elle se faufila sous la limite de son pantalon. Il sursauta au contact de sa paume sur son sexe, avant de lâcher un gémissement appréciateur. Oh, dieux... ​-Fergus... Haleta-t-elle. ​Son visage. Le métamorphe eut l'impression que son cœur s’arrêta un instant de battre, en admirant les longs cils de la Némésis, ses yeux mi-clos sur des iris rendus brumeux par le désir -ou les drogues?-. Ses joues rougies, ses lèvres devenues pulpeuses par les baisers, ses cheveux en bataille sublimaient l'ensemble. L'image même de la passion faite femme. Il n'aurait jamais cru voire un tel tableau chez Rika, cette tueuse de sang-froid. ​-Tu grossis encore, s'étonna-t-elle en resserrant ses doigts autour de sa verge. ​Comment diable aurait-il pu en être autrement !? Pris d'une fougue plus vive encore, il passa les bras sous ses genoux, pour la plaquer à l'autre mur du placard. Son sexe vint frotter contre celui de la Némésis, lui faisant prendre conscience de son pantalon sur ses chevilles. Quand avait-elle... Peu importe. Il y avait une chose en trop entre eux, de toute façon. ​Il remonta le débardeur sur les seins ronds de Rika, pencha la tête pour en lécher la pointe. La réponse fut les cuisses qui se refermèrent plus étroitement sur ses hanches, le sexe humide de la jeune femme venant glisser le long du sien, le rendant fou. ​-Fergus ! ​Elle avait raison. Ils n'en étaient plus à ce stade. ​Il la pénétra d'un coup de rein, se logeant au plus profond d'elle. Son grondement de pure satisfaction fit écho à celui de Rika, dont les dents se plantèrent dans son trapèze. Mais... Il y avait un problème. Il s'écarta à peine d'elle, pour vérifier... ​-Non de... Tu es vierge !? s'exclama-t-il. ​-On s'en fiche, gémit-elle en se cambrant contre lui. ​Il ne s'en fichait pas, lui ! Il avait dû lui faire mal, à se comporter comme une bête sans raison ! Il devait... Elle ondula contre lui, faisant coulisser son sexe le long du sien. La sensation menaça de l'envoyer au septième ciel. Non. Il ne pouvait pas. Pas maintenant, alors qu'il venait de lui voler sa virginité. ​L'empoignant par les fesses, il scella ses lèvres aux siennes, imprima un rythme à ses hanches qui la fit miauler de plaisir. Son corps suivit le sien avec une aisance des plus excitantes. Il la prit, là, contre le mur, leur souffle se mêlant, le danger à un couloir de là, sans même chercher à couvrir le son de leurs gémissements. Ceux de Rika ravirent les oreilles de Fergus. Alors qu'il allait et venait entre ses cuisses si fermes, elle répétait son nom sans cesse, avec des variances de tonalités insoupçonnables. Elle atteignit l'orgasme en étant incapable de prononcer la dernière syllabe de son prénom. * ​Rika reprit connaissance, bloquée dans l'étreinte du Ferguson. Une main dans ses cheveux, son torse se soulevait au rythme rapide de sa respiration. À peine moins essoufflée que lui, elle passa une main sur son épaule musclée, couverte de sueur. Et réalisa. ​Elle ne sut pas exactement les mots qu'elle prononça en s'écartant soudain de lui, mais ce ne fut pas clair. Le t-shirt qu'il lui avait si gracieusement prêté retomba autour d'elle, voilant tout ce qui aurait dû le rester. Néanmoins, elle ne put s'éloigner de trop, en raison de l’exiguïté du placard. ​Même. Elle resta un instant sciée en découvrant l'expression du métamorphe. Une satisfaction purement masculine, mêlée à un remord de mauvais aloi. Il avait déjà remis son pantalon. ​-Je… ​-Pas un mot, siffla-t-elle en pointant son index sur lui.

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Lu aussi

Hum .. je commence à en avoir mare mais bon ... On va voir la suite quand même

Afficher en entier

Activité récente

dianed l'ajoute dans sa biblio or
2021-08-16T14:01:25+02:00
LilineG l'ajoute dans sa biblio or
2019-03-25T22:45:18+01:00
Zandri l'ajoute dans sa biblio or
2018-11-28T17:58:14+01:00

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 44
Commentaires 1
extraits 2
Evaluations 9
Note globale 8 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode