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Priam est un garçon tout ce qu’il y a de plus banal. Il ne brille dans aucun domaine, il a une petite bande de potes, il aimerait bien sortir avec Gabrielle mais reste coincé dans la friendzone, et il ne sait pas quoi faire après le bac. Bref, un garçon simple, avec une vie simple.
Sa petite vie tranquille se retrouve chamboulée lorsqu’un inconnu cogne à sa fenêtre un soir de septembre, à 23 heures. Avec son assurance radieuse et ses jeux de mots pourris, Georges vient s’immiscer dans le quotidien de Priam, et lui fait tout remettre en question.
Rien n’est simple, finalement. Dans la tête de Priam, c’est l’angoisse. Comment gérer ce qu’il ressent ? Comment se définir auprès des autres, quand on ne comprend même pas qui on est ?
- Je veux t’embrasser, a-t-il avoué en faisant un pas vers moi, comme si son corps ne pouvait se retenir d’être près du mien.
J’ai levé un sourcil ; sa déclaration pulvérisait toutes mes résolutions. Pour la première fois depuis que je le connaissais, Georges prononçait un mot qu’il s’était interdit.
- Depuis quand tu veux quelque chose ?
- Depuis que « j’aimerais bien » n’est plus assez fort pour exprimer ce que je ressens pour toi.
Des prénoms originaux, des jeux de mots mythologiques, un héros qui découvre que "le cœur a ses raisons", un élu qui nous transporte autant qu'il fait mal, des amis qui doivent choisir selon leurs valeurs, de l'homophobie, de la bienveillance. Comme prévu une bien agréable relecture avec une fin ouverte dont je me plais à imaginer la suite. ;)
Je suis dans ma phase yound adult (j'ai un peu saturé de certains auteurs qui abusent de l'érotisme à tout va, je crois et qui n'apporte rien au roman) donc j'ai craqué sur ce livre en librairie.
Je n'ai pas été déçue, j'adore les thèmes abordés et la façon dont ça a été fait. J'ai aimé suivre le point de vue de Priam qui est un ado plutôt effacé, avec son groupe d'amis et qui fait la rencontre de Georges qui est solaire. A ses côtés, il va découvrir ce qu'est vraiment l'amitié entre deux personnes (parce que ça commence par une amitié, à mes yeux), puis plus tard se rendre compte que ses sentiments vont plus loin.
L'histoire prend du temps. J'ai aimé toutes les scènes, les changements progressifs de Priam sur sa façon de voir le monde, les gens autour.
J'avoue que la réaction homophobe de la personne de leur entourage m'a vraiment déçue, et surtout, je n'ai pas compris comment il pouvait être pardonné aussi vite... parce que bon, les mots et les pensées y sont toujours.
La fin, par contre est hyper frustrante. C'est en partie ce qui m'a empêché d'avoir un coup de coeur. J'ai du mal sur le côté semi-ouvert comme ça. On a une histoire qui prend du temps à s'installer, un couple qui se découvre, et bam. Spoiler(cliquez pour révéler)C'était vraiment nécessaire de finir sur une lettre à l'autre bout du monde, même si techniquement ils sont toujours ensemble ? J'aurai aimé un épilogue un an plus tard, genre les retrouvailles, voire 2 ans plus tard j'en sais rien... Mais ça me frustre tellement dans les romances ce genre de fin !
En dehors de la relation entre Priam et Georges, j'ai apprécié la façon dont a été abordé le problème de Priam. Ce n'est pas très poussé, mais ça permet à mes yeux de montrer qu'on peut aller voir un psychologue sans être fou ou autre, ce qui est une très bonne chose que les jeunes doivent comprendre !
En résumé, une lecture agréable qui correspond vraiment à mon style du moment.
"Georges, le monde et moi" est un roman que j’ai particulièrement aimé grâce à l’évolution du personnage principal. Au début, Priam est un garçon qui, malgré son groupe d’amis, reste assez introverti. Quand Georges débarque dans sa vie en arrivant par sa fenêtre, il chamboule absolument tout sur son passage : Priam remet toute sa vie en question, s’ouvre un peu plus au monde, se libère en quelque sorte.
D’abord, leur amitié se développe. J’ai beaucoup aimé le fait que, si Priam craquait pour l’une de ses amies depuis longtemps, elle passe soudain au second plan. Il faut dire que Georges attire l’attention ! Ses jeux de mots en rapport avec la mythologie sont particulièrement hilarants et il a un humour débordant.
Des sujets sérieux sont néanmoins abordés tout au long du roman : les questions qu’on se pose autour de l’avenir quand on est au lycée, l’homosexualité, l’homophobie aussi car Priam n’est pas accepté par tous ses amis…
Illana Cantin a une plume simple mais qui sait être bouleversante !
J’ai adoré la première partie du livre, mais il s’est opéré comme une rupture à la moitié, à partir de laquelle tout s’est essoufflé. L’auteure n’avait clairement pas autant réfléchi sur cette seconde partie plate, où les rebondissements sont assez illogiques et peu approfondis. À vouloir en faire trop, on perd l’intérêt, mais ce fut tout de même une lecture très mignonne.
J'ai aimé lire cette romance entre Georges et Priam marquée de tendresse, d'humour et de réalisme.
J'ai beaucoup aimé le style d'écriture simple de ce livre, par contre la police d'écriture en 8 c'était horrible pour lire... Je me suis arrachée les yeux dessus.
En conclusion, c'est un très bon livre pour travailler sur le développement des sentiments chez les jeunes, mais aussi l'acceptation de la différence, l'homosexualité et l'amitié.
D'habitude les romances je trouve ça super ennuyeux mais là c'est vraiment beaucoup plus qu'une histoire d'amour entre deux ados, c'est plus profond et j'ai adoré !
L'histoire de George et Priam est toute douce et adorable. J'ai vraiment adoré suivre l'histoire de ces 2 garçons découverts dans Les 24 Etats d'Ame de Gabin et Agathe.
Je pense sérieusement que regarder de la peinture sécher aurait été plus intéressant. Malheureusement, j'ai le besoin stupide de finir les livres que je commence, qu'importe leur médiocrité.
Résumé
Priam est un garçon tout ce qu’il y a de plus banal. Il ne brille dans aucun domaine, il a une petite bande de potes, il aimerait bien sortir avec Gabrielle mais reste coincé dans la friendzone, et il ne sait pas quoi faire après le bac. Bref, un garçon simple, avec une vie simple.
Sa petite vie tranquille se retrouve chamboulée lorsqu’un inconnu cogne à sa fenêtre un soir de septembre, à 23 heures. Avec son assurance radieuse et ses jeux de mots pourris, Georges vient s’immiscer dans le quotidien de Priam, et lui fait tout remettre en question.
Rien n’est simple, finalement. Dans la tête de Priam, c’est l’angoisse. Comment gérer ce qu’il ressent ? Comment se définir auprès des autres, quand on ne comprend même pas qui on est ?
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