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C'est sur l'ordre du roi son père que le prince Alvéric entreprend de traverser la forêt enchantée pour y découvrir et enlever la fille du roi des Elfes. Il la trouve en effet, après avoir combattu les chevaliers qui défendent sa demeure, mais le rapt n'aura pas lieu : en effet, c'est de son plein gré que la princesse Lirazel, conquise, suivra le jeune prince jusqu'au royaume d'Erl, où naîtra Orion, le fruit de leurs amours. Mais le roi des Elfes, furieux, envoie vers sa fille un troll porteur d'un message magique qui la ramène près de lui. Alvéric, inconsolable, part à sa recherche, mais, protégé par la magie de son roi, le domaine des Elfes est devenu introuvable. Tandis qu'Orion, qui grandit en beauté en en sagesse, apprend à connaître la forêt enchantée...
Le Roi ne bougea plus ni ne changea. Il se figea en cet instant dans lequel il avait trouvé le contentement et étendit son influence à tous ses dominions pour le bien et le salut du Royaume Enchanté. Car il avait trouvé ce que notre monde, avec tous ses changements, cherche toujours, trouve si rarement et doit rejeter aussitôt. Il avait trouvé le bonheur.
Un conte merveilleux et mélancolique écrit en prose. Ce conte est une poésie, un rêve, une chanson. J’ai adoré me plonger dans la forêt auprès d’Alveric, chevaucher auprès du jeune prince. L’action ne prédomine pas mais cela nuit en aucun cas au récit.
La fille du roi des elfes est présenté comme l'une des œuvres fondatrices de la fantasy, antérieure même à celle de Tolkien.
J'ai d'abord été charmée par son aspect très proche du conte de fée. L'écriture est descriptive et poétique (sans pour autant verser dans le charabia lyrique), ça se lit bien et ça met des images d'Arthur Rackham plein la tête. La nature est au cœur de la vision de l'auteur : on décrit le passage du temps par la floraison de telle ou telle fleur, et l'émerveillement du Royaume Enchanté passe souvent par sa flore hors du commun ou son crépuscule sans fin.
L'histoire en elle-même ne dément pas les contes d'autrefois, avec son jeune prince qui part conquérir le cœur de la princesse des elfes.
Et puis la lassitude est arrivée. Un conte est agréable à lire quand il est bref. Et si c'est un court roman, La fille du roi des elfes est un conte... long. Très long. Ça s'étire, le caractère des personnages reste effleuré, et la lecture se fait laborieuse, jusqu'à en lire de grands passages en diagonale.
C'est une œuvre que j'ai aimé découvrir pour mieux comprendre les racines d'un genre littéraire qui m'est cher, mais je l'aurais davantage appréciée sans ses longueurs.
L'histoire est sympa Spoiler(cliquez pour révéler)Un jeune prince se rend dans le royaume enchantée et tombe amoureux de la princesse qui le suit sur la terre des hommes. Ils ont en enfant mais très vite, elle s'ennuie. Alveric fera tout pour la retrouver
L'écriture est poétique et si certains passages,certaines descriptions sont merveilleuses, d'autres traînent en longueur et n'en finissent pas.
J'ai lu ce livre en entier donc j'ai dû l'aimer mais il est tout de même assez soporifique.
Un roman atypique, entre le conte de fée et l'héroïc fantasy, avec de beaux moments suspendus dans le temps. Livre assez fascinant. A lire pour découvrir l'auteur à l'origine de l'héroïc fantasy du XXème siècle.
Je viens de terminer ma lecture de La fille du Roi des Elfes de Lord Dunsany et je ressors mitigée. À la fois j'ai été frappé par la belle écriture, poétique et pleine de sens de cet auteur pré-Tolkien, mais j'ai aussi eu beaucoup de mal sur la fin du roman qui commençait à devenir lassant.
Il faut dire que cette histoire a tout d’un conte, de son écriture très portée sur la narration, le déroulement de l’histoire plutôt que sur les relations entre les personnages et l’action. Sauf qu’à mon sens, un conte est attirant et émerveille par sa forme courte. Plus l’histoire s’étire et plus cela devient peu évident à lire. L’écriture de Lord Dunsany est la même sur tout le récit, mais plus j’avançais dans cette histoire et moins cela me suffisait pour me donner envie de continuer. De plus, il se passe très peu d’événements dans ce roman et le tout me semble étiré à l’image du temps qui n’existe pas dans le Royaume Enchanté.
C’est une belle découverte tout de même, car j’avais très envie de lire un auteur de Fantasy pré-Tolkien, mais je ne sais pas si je suis faite pour ce genre de roman dont la forme oscille entre contes et légendes étirés sur le temps, où l’auteur décrit simplement ce qui est. Il me faut un minimum de profondeur pour les personnages et l’absence évidente de dialogues, d’interactions entre eux a fait que mon expérience fut un peu trop laborieuse, une fois dépassée ce que je donnerais comme nombre limite de pages pour un conte.
Il est toujours bon de se tourner vers les fondamentaux, c'est pourquoi ma curiosité est allée vers un texte étant considéré comme l'un des premiers romans de Fantasy, édité avant même que le genre soit nommé ainsi !
Ce roman, La Fille du roi des elfes, écrit en 1924, se situe entre le conte merveilleux et la fantasy épique. Il est réputé comme étant son chef-d'œuvre, et après avoir lu que tout amateur de fantasy se devait de le posséder dans sa bibliothèque, je n'avais plus qu'à obtempérer docilement ;)
Oubliez la traditionnelle phrase « Ils se marièrent et vécurent heureux », ce qui nous est conté ici est ce qui vient ensuite...
Dunsany raconte ce qui se passe APRÈS le mariage entre un mortel rattaché aux choses de la terre, et une princesse fille du Roi des Elfes, immortelle et issue du Royaume Enchanté.
La prose est poétique et nous emmène sur des chemins contemplatifs mettant à l'honneur la nature dans toute sa splendeur et diversité. Celle-ci est mise en scène en grande pompe si j'ose dire, et témoigne de la place d'honneur que veut lui donner l'auteur.
Dunsany y restitue l'imprégnation des collines et pâturages de l'Irlande de son enfance et de leur atmosphère légendaire. L'enchantement et la musique de l’antique Tara n'est jamais très loin dans cette histoire merveilleuse.
Lord Dunsany était un chasseur passionné, et cela se ressent énormément dans cette histoire. Les (trop longuets à mon goût) passages de chasse à la Licorne, frénésie du chasseur avec ses chiens lancés à la poursuite de leur proie, trahissent de l'enthousiasme de l'auteur pour cette activité. J'avoue qu'ils m'ont rebuté, laissant mon attention se relâcher plus d'une fois.
En revanche, j'ai apprécié sa façon de décrire les terres imaginaires du Royaume enchanté, de matérialiser sa frontière avec la terre des hommes, et de la faire refluer lorsque le prince cherche à retrouver Lirazel retournée chez son père.
Le franchissement entre les deux mondes est au cœur du récit, l'un étant figé dans une immobilité perpétuelle, tandis que dans l'autre, le temps s'écoule inexorablement.
L'arrivée de la magie dans le monde des humains met en lumière tout le talent de Dunsany pour nous parler des esprits magiques et des êtres fantastiques ! Cette histoire est digne des meilleurs contes classiques pour enfants, mais dans un style, et parfois même avec une certaine emphase réservés aux adultes qui n'enlèvent rien à son côté fabuleux.
Je mentirais si je disais que je me suis laissée emporter par ce roman ! L'écriture est trop lyrique, le style un peu vieillot et contemplatif en comparaison de la Fantasy tonitruante d'aujourd'hui. Certains passages ont laissé poindre l'ennui, je l'avoue... Mais je ne regrette en rien cette découverte qui m'a plongée à la source de la Fantasy, et qui détient cette aura féerique des textes fondateurs étant à l'origine de ce genre que j'aime tant !!!
Un classique, un des piliers de la fantasy. Un monde merveilleux bien décrit. On regrette juste certains passages descriptifs très longs comme l'ode à la chasse.
Résumé
C'est sur l'ordre du roi son père que le prince Alvéric entreprend de traverser la forêt enchantée pour y découvrir et enlever la fille du roi des Elfes. Il la trouve en effet, après avoir combattu les chevaliers qui défendent sa demeure, mais le rapt n'aura pas lieu : en effet, c'est de son plein gré que la princesse Lirazel, conquise, suivra le jeune prince jusqu'au royaume d'Erl, où naîtra Orion, le fruit de leurs amours. Mais le roi des Elfes, furieux, envoie vers sa fille un troll porteur d'un message magique qui la ramène près de lui. Alvéric, inconsolable, part à sa recherche, mais, protégé par la magie de son roi, le domaine des Elfes est devenu introuvable. Tandis qu'Orion, qui grandit en beauté en en sagesse, apprend à connaître la forêt enchantée...
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