Commentaires de livres faits par Orphee3
Extraits de livres par Orphee3
Commentaires de livres appréciés par Orphee3
Extraits de livres appréciés par Orphee3
Un récit sombre où nous sommes plongés dans les pensées, les émotions , le quotidien de cette jeune fille face à un climat familiale violent : un père chasseur, alcoolique, agressif et une mère absente, soumise sans aucun sentiment de révolte.
Je ne m'attendais pas à ce type de lecture en tournant la première page de ce roman, à cette noirceur, cette ambiance glauque retranscrit de manière banale.
On trouve une certaine fluidité à la lecture, je l'ai lu quasiment d'une traître.
Comme à son habitude, Joel Dicker manie à la perfection son jeu de piste en semant de nombreux doutes dans la tête du lecteur, même en pensant que l'enquête est bouclée, il relance la partie une dernière fois.
Pour dire vrai, j'ai tout aimé de ce récit. J'aime cette ambiance, à première vue, calme et paisible mais qui renferme de nombreux drames et secrets. J'aime la plume de l'auteur, la tournure que prends chaque phrase, j'aime retrouver Marcus et Perry, partager et enquêter avec eux et voir leur relation évoluer. Puis, après cette attente, depuis ma lecture de "La vérité sur l'affaire Harry Quebert", les retrouvailles avec Harry Quebert, personnage marquant, attachant et mystérieux. J'ai eu cette sensation étrange de retrouver un vieil ami qui m'avait tant manqué.
Par ailleurs, c'est vrai qu'il y a de nombreuses similitudes avec un de ces précédents romans mais cela n'a en rien gâcher le plaisir de lire ce bouquin.
Ce livre est une bombe qui nous explose au visage. Il suffit d'un jour, d'un instant, d'une seconde pour que vole en éclat une vie entière. Celle d'un frère et d'une sœur, ensemble, deux victimes collatérales, invisible face au drame qui bouleverse à jamais une existence.
Evidemment que je me rallie du point de vue de l'auteur et affirme que "Ceci n'est pas un fait divers" mais une vraie problématique récurrente, un débat de société sur lequel il faut se pencher afin de prévenir ces féminicides et de préserver tous ces enfants, que l'on oublie un peu trop vite.
Ce récit est percutant et frissonnant d'émotions, un roman à lire et à partager.
J'ai pas réussi à adhérer à l'histoire même si l'idée de base me plaisait . L'écriture est compacte et les chapitres sont très expéditifs, on passe d'une scène à l'autre sans véritable transition, et c'est compliqué de rester pleinement dans le récit. Quant au personnage de Blanche, je n'ai pas su la cerner, ni la comprendre étant donné que l'auteure ne la pas assez approfondi à mon goût. De plus, le roman manquait grandement de suspense, ce qui aurait pu donner du rythme à l'intrigue.
Dommage !
L'histoire de la vie, de ces trois vies qui se lient, se mêlent, s'emmêlent, se démêlent et se relient.
Valérie Perrin nous livre un roman dense et puissant sur l'amitié, sur le temps qui passe, sur le passage de l'innocence de l'enfance à celui de la vie d'adulte.
Ce trio nous émeut, nous séduit, nous emporte, nous renvoi à notre vie, à nos doutes, nos peurs, à nos douleurs mais aussi à nos joies, nos sentiments, notre force. Ce roman est le reflet de notre vie, de ces moments heureux à ces instants plus triste. A cet éternel combat, à cet acharnement malgré les coups et les blessures... Recommencer, réessayer, se relever puisque la vie est un éternel recommencement, la vie avant tout.
Nina, Adrien, Etienne font partie de ces personnages marquant et rassurant, je me souviendrai longtemps d'eux.
"Les refuges" est ma première lecture d'un roman de cet auteur et c'est un excellent thriller psychologique. L'histoire est prenante et invraisemblable, quelques peu complexes, il faut pas se perdre en chemin. Les rebondissements et les révélations donnent du rythme au récit. L'écriture est profonde et percutante. On se passionne très vite pour l'histoire de Sandrine même si au début le flux d'information m'a dispersé un peu dans ma lecture, mais une fois que j'avais relié les points avec chaque point, je n'ai pu poser le livre et voulu en connaître le dénouement, au point même d'en avoir oublié l'incipit du livre. On ne ressort pas indemne de cette histoire, le côté psychologique m'a donné à cogiter après la lecture. Complètement déconnecté de la réalité, il y a bien longtemps que je n'avais pas ressenti ce moment d'évasion encore moins dans cette atmosphère particulière.
Ce roman est prometteur et me donne davantage envie de connaître les autres romans de cet auteur.
C'est incroyable comment cette BD a été réalisé, les dessins sont superbes, l'histoire est prenante et intéressante, les dialogues sont amusant. On passe vraiment un bon moment en compagnie de ce duo gaulois. Ma seule crainte a été que ce soit seulement destiné à un jeune public, même en étant adulte on y prend beaucoup de plaisir à lire cette BD.
Une lecture, toutefois, agréable !
Je ne m'attendais pas du tout à cette histoire. Le scénario est superbe et bien ficelé, l'alternance des récits donne du rythme au récit. C'est simple, une fois le décor posé, je n'ai pu poser le livre. C'est l'histoire de Claire, Océane et d'Eva, fragile en apparence mais pourtant si forte, qui tentent de maintenir la tête au-dessus de l'eau malgré les aléas de la vie. Tout comme ces bulles de savon qui essayent contre tout de voler le plus loin et le plus longtemps possible sans éclater. L'auteure nous livre une belle métaphore sur la vie, sur ces moments où nous sommes confrontés à des événements qui nous dépassent, des choix pris trop hâtivement.
Par ailleurs, l'auteure nous dépeint la vie pas toujours rose des jeunes parents, elle met en lumière un sujet que l'on aborde très peu.
J'ai vraiment passé un véritable et agréable moment de lecture que je ne suis pas prête d'oublier.
Une histoire original qui prône et met au devant la scène les différences.
Basile s'installe à Mont Vénus pour ouvrir sa boutique d'objets atypiques, sauf que certains voient cela d'un mauvais œil. Lorsqu'Arthur, adolescent en rupture scolaire, découvre ce commerce aux étranges objets : c'est la rencontre de deux esprits tellement éloignés des codes de cette société mais si semblable par leur perception et leur créativité.
C'est un livre qui pousse les murs de notre ignorance afin de partir vers l'inconnu. De le rencontrer, de le comprendre et encore mieux d'accepter les différences qui nous entoure.
Raphaëlle Giordano nous livre un très beau message de tolérance dans ce roman.
A LIRE !
Je ne m'imaginais pas être autant éprise par ces différentes histoires. Complétement embarqué dans cet univers, transporté par cette écriture légère, oui, c'était une de mes peurs de me retrouver face à une lecture très complexe en ouvrant ce roman. Les enquêtes sont bien élaborés, on prend un malin plaisir de s'amuser, de se jouer des autres comme le fait si bien Arsène Lupin, personnage énigmatique et fascinant.
Hâte de lire la suite.
Etonnamment, j'ai bien apprécié. On se retrouve un peu dans le monde magique du style Harry Potter que j'adore évidemment. Le personnage de Mash est très attachant. On fait défiler les pages sans vraiment s'en rendre compte.
J'ai passé un bon moment de lecture.
Plongé au cœur de l'Inde, nous faisons la rencontre de Léna, femme forte et émouvante, d'un pied décidé, elle quitte la France histoire d'échapper mais surtout de se reconstruire après le drame qu'elle a vécu. Mais elle est loin de s'attendre à ce qu'il va l'emmener, l'animer au long de ce séjour. Des rencontres saisissantes , des combats à mener, des vies à changer, des mauvaises coutumes à estomper. Le ton est donné tout au long de la lecture, les espacements dans le récit donne du rythme à l'histoire.
A travers cette histoire, l'auteure met en lumière les conditions de vie et les inégalités sociales qui dévorent ce pays.
Toutefois, j'ai trouvé le roman un peu expéditif à mon goût, j'aurais aimé plus de profondeur.
Ce roman est mon tout premier " cosy mystery".
Nous sommes, dès les premières lignes, plongés dans une atmosphère très britannique dans les descriptions et les dialogues. Tellement différent de mes lectures quotidiennes. De plus, je ne pensais pas trouver, un jour, hilarant l'humour anglais et je dois admettre que j'ai bien ri en compagnie d'Agatha Raisin. Personnage déterminée au franc-parler et au caractère bien trempé.
Dommage que ses traits de caractère n'ont pas été approfondi dans ce premier tome. J'espère en connaître davantage dans les prochains tomes. Quant à l'intrigue, je l'ai trouvé un peu longue à démarrer et très simpliste. En effet, certains indices manquaient de profondeur et de persuasions, à mon goût, je n'ai pas réussi à être mené en bateau par les différentes pistes sur lesquelles nous envoyaient l'auteure.
Malgré cela, ce fut une lecture légère et agréable.
Une lecture captivante qui alterne entre deux récits, entre deux sœurs, entre deux époques. Une histoire difficile et bouleversante qui relate les horreurs de la guerre, considérés comme des crimes contre l'Humanité restaient bien souvent cachés et impunis.
L'auteure nous plonge au cœur de l'enfer : des femmes enlevées à leur famille, brutalisées, violées, puis tuées. Des femmes subissant les pires sévices ( physique et psychologique ) dont la nature humaine est capable. Des femmes devenues des " femmes de réconfort"... Le dégoût m'envahit en écrivant ce terme tout comme le silence qui entoure ces horreurs. Aucun livre d'histoire, ni média ne racontent ces faits pourtant glaçant d'atrocités commis par ces soldats. Je retenais mon souffle et serrais les dents à chaque page que je tournais, à chaque pas que je faisais auprès d'Hana.
Je me souviendrais longtemps d'Hana, de sa bienveillance, de sa force, de son courage face à l'impensable.
Je ne peux que vous inciter à lire ce roman historique, même d'en parler autour de vous. De ne plus rester silencieux. De mettre de la lumière sur ce bouquin pour faire entendre et ne jamais oublier cette sombre période de l'Histoire.
J'ai tellement aimé cette histoire, ces trois destins qui se croisent et qui se lient. On accompagne, nous lecteur, ces trois personnages dans leur quotidien, mais aussi dans leur passé quelque peu agité et douloureux comme à peu près tout le monde. On espère, on ressent et on vit avec eux.
Je ne me lasserai jamais de ces histoire à laquelle Virginie Grimaldi m'habitue et m'accompagne depuis quelques années
Je me suis vite éprise pour ce roman dès les premières lignes, je me suis moi-même construit une enquête en compagnie Gabriel et Paul. L'histoire est invraisemblable et très attrayante. L'enquête nous mène d'un point à un autre et ainsi de suite. J'en viens me demander ou et comment l'auteur puisse-t-il cette imagination ?
Mais c'est vrai que c'est très voir beaucoup trop long par moment, l'accumulation d'informations et le manque d'action vers la fin à un peu entacher ma lecture à vrai dire.
J'ai eu beaucoup de mal à accrocher à cette lecture dommage.
On se retrouve très vite à suivre et à comprendre chaque personnage, Louise, Mathias et Angélique. Même si les cartes sont distribués dès le début et que l'impression d'avoir déjà saisi la fin se ressent, on est pourtant bien loin du dénouement qui nous attend.
Toutefois, j'ai trouvé ce roman bref, un peu expéditif, loin de ce que Guillaume Musso nous avait habitué avec ses précédents romans.
La fluidité du récit et l'enchainement des événements m'a fait passer un agréable moment de lecture.
Il s'agit d'un texte vraiment complexe tout comme les personnages, d'ailleurs, je me demande si j'ai bien compris l'histoire au final.
La longueur des paragraphes et le peu de dialogue ont beaucoup altéré ma lecture, on se perd très vite dans ce flux d'informations dans lequel nous plonge l'auteur. Je n'arrive pas à poser un quelconque ressenti sur cette lecture, j'ai trouvé le texte dénué d'émotions même si j'ai apprécié lire ce roman sans en exprimer un certain enthousiasme.
J'ai pas forcément aimé le début du roman, de leur vie expliquée en accélérée. L'intrigue est vraiment longue à se mettre en place, et c'est vrai que j'étais loin de m'imaginer cette douloureuse épreuve auxquels ils font face. C'est une histoire poignante, on vit, on angoisse, puis on pleure pour eux et avec eux. C'est le coeur serré que je termine ce roman, j'étais loin d'imaginer cette fin.
Nous sommes vite propulsé dans la vie de Lisa, cette jeune femme accablée par la mort accidentelle de son fils. On se plonge rapidement dans sa vie, dans sons quotidien avec son mari et sa fille, dans son combat, dans sa reconstruction pour retrouver le goût de la vie. Elle décide de partir, de changer d'horizon, de quitter la ville pour la campagne, elle pose ses valises dans une ancienne bâtisse qui renferme de nombreux souvenirs passés. Elle découvre par inadvertance, une boite qui comporte des lettres et un carnet datant de la Seconde Guerre Mondiale et qui appartenait à une femme, Alice, qui a vécu dans cette maison avec sa famille. C'est, d'ailleurs, cette partie que j'ai le plus apprécié dans ce roman. Qui n'a jamais rêvé de trouver, un jour, les preuves d'une vie passé au fond d'un grenier ?
De plus, l'alternance des récits ( passé et présent) donne un rythme au récit, on se hâte de découvrir la suite, son parcours, ses combats, qui donne, a nous lecteurs, une belle leçon de vie. Le combat d'Alice fait écho à celui de Lisa, lui donnera-t-elle la force d'avancer ? De faire taire la culpabilité qui la ronge ?
Un petit bémol, j'ai trouvé la fin un peu expéditif à mon goût. Est-ce la volonté de l'auteur afin d'accentuer ce sentiment d'urgence de profiter de la vie ?
J'ai beaucoup aimé cette image de la commode où chaque tiroir renferme un souvenir, un secret.
Nous suivons le parcours de Rita, la grand-mère de l'auteure, des son adolescence, de sa vie de femme jusqu'à son rôle de grand-mère. Nous sommes face à ces moments difficiles, son départ pour la France afin de quitter une Espagne totalitaire, la perte de son grand amour, mais aussi d'autres pertes qui ont causés une grande peine... Bon, je ne vous révèle pas tout, je vous laisse découvrir ce superbe roman. Un récit rempli d'émotions où le coeur se serre à certains passages. On s'attache très vite à Rita, un vraie battante, son histoire nous marque. Une belle leçon de vie, de persévérance, d'accepter son malheur afin de s'ouvrir au bonheur car la vie finit toujours par nous réserver de beaux moments.
J'aime beaucoup les bouquins de Carène Ponte, mais je pense que je commence à un peu à m'en lasser malheureusement.
Dans ce livre ci, j'ai retrouvé beaucoup de similitudes avec ses précédents bouquins, cette énorme impression de lire "un pot-pourri" de tous ces histoires qu'elle a écrite.
Enfin, je dis pas que je n'ai pas aimé, mais je n'ai pas tellement accroché plus que ça, il n'y a pas du tout de suspense, on sait déjà comment le bouquin va se terminer . ‘Fin j'ai apprécié lire ce roman, bien évidemment.
Dans ce livre, on fait la connaissance de Roxanne, femme meurtri par la perte de sa fille et de son frère, ancré dans sa douleur et sa rancœur, elle essaye d'aller de l'avant, de revivre malgré la souffrance. Jusqu'où au jour où, grâce à son travail, elle débarque dans cet hôtel particulier, qui accueille des chiens abandonnés dans le but d'être adopté. Et c'est ici qu'elle fera la connaissance de personnes qui l'amèneront à aller de l'avant.
Lire une bd d'Astérix & Obélix par mois est devenu un rendez-vous mensuel maintenant.