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1_ rencontre
 En me réveillant ce matin, j’eu comme une sensation bizarre, un pressentiment de changement imminent. Certain parlerait d’intuition féminine, malencontreusement je ne crois pas en ces choses là. Ravalent ce sentiment provenant surement d’un mauvais rêve dont j’ignorais l’existence, je m’en allai déjeuner a l’appel de ma mère.
_ Kristen !!!!!! Tu vas être en retard ! me hurla-t-elle du réez de chausser.
_ J’arrive !
Descendant l’escalier je constatât qu’elle était dans son tailleur rouge que j’adorais – lequel d’ailleurs je piquais sans qu’elle ne le sache – et s’apprêtait à partir munis de ses clés de voiture et de son inséparable trench noir.
_ Maman tu n’aurais pas oubliée quelque chose ? Lui demandais-je.
_ Oui désolé mon ange, dit elle en m’embrassant la joue. Je t’aime.
_ Moi aussi, mais je ne parlais pas de cela, lui rétorquais je, en lui tendant son cartable de cuir noir marqué de ses initiales – E.T comme Elizabeth Thomson – que je lui avais offert pour noël.
_ Merci, que ferais-je sans toi ?!
_ C’est ce que je ma tue à répéter, plaisantais je en lui faisant signe d’y aller.
Ma mère, avocate de renommée, vient d’une petite ville d’où nous avons déménagées au début de l’été, pour lui permettre de devenir l’avocate qu’elle est depuis peu – début des vacances de noël en fait, où elle à acceptée une promotion, c’est-à-dire il y à une semaine exactement – elle est également une tête de linotte comme personne – à ma connaissance du moins – elle serait capable de mettre le dîner sur le feu et de s’en aller prendre un bain les minutes qui suivent ! Etant donner l’importance de ses dossiers qu’elle pourrait égarés, j’ai décidée de prendre en charge les responsabilités de la maison, ce qui ne me laisse guère de temps libre, d’où l’absence d’amis dans mon répertoire. C’est donc seul que j’allai affronter la rentrée du lycée. Attrapant mon sac, je sortis prendre mon vélo en direction de ce merveilleux endroit que l’on nomme école. N’étant ni studieuse ni stupide, je ne haïssais pas les cours, mais l’absence de discussions au déjeuner, ou bien, de bavardages en cours d’histoire – matière qui dit en passant je détestais royalement – la solitude me pesais. Ayant toujours été entourée d’ « amis » dans mon ancien lycée, je me rends comte qu’il me sera difficile de rester dans cette situation une année entière, même la dernière. 
Arrivant en cours de français, je m’installai à ma place habituelle, dotée d’une place vide à mon coté. Lorsque Madame Chevalier arrivât elle était accompagnée d’un nouvel élève, dont je ne prêtai pas attention. Elle désignât ma table pour l’installer, je ne daignai pas lever le nez. Le cours avança jusqu'à ce que notre professeur nous demandât de sortir nos livres – nous lisions « Anne, la maison aux pignons vert » de Lucy Maud Momgomery.
_ Excuse moi, tu pourrais mettre le livre au milieu s’il te plait, me demanda mon nouveau voisin ?
Je le regardais pour la première fois, il était pâle, presque blême, on aurait dit la couleur de la neige, cela lui allait si bien avec le contraste de ses cheveux désordonnés, noir tels du charbon et de ses yeux verts émeraude. Il portait une chemise d’un gris anthracite et un jean sombre. Cependant il ne ressemblait pas à tous les garçons parfait que l’on trouve dans tous les romans d’amour du moment. Il avait une légère cicatrice à la lèvre et à l’arcade gauche – ce qui lui donnait l’air mystérieux et quelque peu dangereux.
_ Je n’ai pas encore le mien, se justifia-t- il, en interprétant mal mon silence, il prit ce qui était en réalité de la surprise pour du mépris – il faut dire que ça faisait longtemps que l’on ne m’avait pas adressé la parole.
_ Bien sûr, dis-je en poussant le roman vers lui.
_ Je m’appelle Alexander, mais tu peux m’appelée ‘xander.
_ Kristen, lui répondis-je en hochant la tête – plus par politesse que par gentillesse, car, je souhaitais juste retourné dans ma bulle.
Lorsque nous sommes arrivés à Chelles en agglomération parisienne, je me suis fait des « amis » très rapidement, étant donner que ma mère venait de commencer son nouveau travail, elle n’avait pas beaucoup de responsabilités, donc beaucoup de temps libre pour la maison, les courses, moi. Cependant ils se sont vite aperçus de son talent et elle a très rapidement été débordée. Donc ma prise en charge de la maison, des courses, des repas en plus de mon petit job, je n’étais plus disponible pour personne. Alors au fur et à mesure, mes « amis » se sont lasser et ont arrêtés d’appeler.
Le cours se termina et vint l’heure tant redouté du déjeuner. Je m’assis à mon habituelle table, avec pour seules compagnie mon sac à dos.
_ Salut ! Tu te souviens de moi ?
Je relevais la tête en sursaut.
_ Désolé je t’ais fais peur ? J’aurais dus m’annoncé en toussotant mais je trouvais que cela faisait trop cliché, dit il en me souriant.
_ C’est vrai ! Alexander c’est ça ?
_ Exact, et toi c’est Kristen si je me souviens bien ?
Lorsqu’il souriait, sa bouche s’inclinait d’une façon très marqué, à cause de sa cicatrice – ce qui ne me déplaisais pas.
_ Tu as bonne mémoire, lui répondis-je. Hum, puis-je t’aider ?
_ En réalité je me demandais si je pouvais déjeuner avec toi. Etant donner que je ne connais personne, et, que tu ne m’as pas l’air d’être comme toutes ces pain-bèche… me dit il en souriant toujours.
_ Sache qu’il ne te suffi pas de me flatter pour que je t’accepte à ma table, mais…pourquoi pas, bien sûr.
_ Que fait tu toute seule à cette table, à l’heure de détente de la journée ? Aurais-tu malencontreusement insulté la mini-jupe ?
_ Malencontreusement n’est pas le mot que j’emploierais, ris-je. Sérieusement ?! Je n’aime pas trop la compagnie – je préférais encore mentir, plutôt que de lui avouer que personne ne voulait de moi.
_ Ho ! Je peux te laisser si tu préfère, plaisanta-t-il en mimant le fait de partir.
_ Non, désoler je ne parlais pas pour toi !
_ Je sais, plastronnât il, souriant de plus belle.
J’ai peut être parlé trop vite – nan mais quelle prétention.
_ Alors ça fait longtemps que tu habite ici ? Enchainât-il sans réellement me laisser le temps de répondre.
_ Depuis le début des vacances d’été !
_ Et ça te plait ? Pourquoi a tu déménager ? Tu étais où avant – digne d’un interrogatoire du FBI ?
J’écarquillai les yeux, stupéfiée – non mais pour qui il se prenait ? – on ne m’a jamais posé autant de question, et en même temps je ne vois pas en quoi ça le regardait.
_ La curiosité est un vilain défaut, lui dis-je en guise de réponse à ses questions.
_ Désolé, mais qui sait, peut être que l’on me demandera de faire un article sur toi, me sourît il.
_ Mouai, je ne préfère pas parler de moi ! Tu compte entrer dans le journal du lycée ?
_ Il est vrai que ça ne me déplairais pas, mais, non j’essayais juste de justifier ma curiosité !
J’acquiesçai d’un hochement de tête, et nous finîmes de déjeuner en silence. Lorsque la sonnerie retentit, je débarrassai mon plateau et me dirigea vers mon cours de maths. Une fois devant la porte de celui-ci, je vis un mot nous indiquant que monsieur Choyer était absent, or c’était ma dernière heure de cours. Le soulagement ce fit sentir.
Sur le trajet du retour, je croisai l’animalerie dans laquelle je travaillais deux fois par semaine et le samedi. Je fis une halte pour y travailler cette après-midi puisqu’il n’était qu’une heure.
_ Bonjour Kristen, que puis-je faire pour toi, me dit monsieur Smith avec con accent américain qui me fait tant rire.
_ Bonjour, je me demandais si au lieu de travailler mercredi soir, je pouvais venir cet après-midi. J’ai juste à passer chercher ma tenue à la maison, lui répondis-je avec courtoisie.
_ Bien sûr, tu n’as qu’à venir vers deux heures, le temps de te préparer tranquillement. Ça te va ?
_ Merci monsieur Smith, c’est parfait. A tout à l’heure.
_ Je t’ai déjà dit que tu pouvais m’appeler Stephen. Okay à tout à l’heure Kris, me salua-t-il.
Je lui fis signe de la main et enfourcha mon vélo. Cela faisait maintenant sept mois que je travaillais ici, ayant commencé au mois de juillet. Mr Smith était un homme adorable, à 58 ans il est toujours célibataire, c’est l’une des rare personne dans cette ville que je considère comme un amis.
Une fois à la maison, je montai directement dans ma chambre pour me changer, sachant pertinemment que ma mère n’était pas rentrée. Jetant un coup d’œil à mon réveil, je m’aperçus qu’il n’était que une heure vingt, je décidai donc de faire une tournée de machine de vêtements qui trainaient dans ma chambre et changea mes draps. Au moment où je m’apprêtais à vider mon sac pour prendre mes affaires de sport le téléphone sonna.
_ Allo ?
_ Kristen ? C’est madame Courra, me saluât la voisine.
_ Ha bonjour madame Courra, que puis-je faire pour vous ?
_ J’ai encore récupérer votre stupide chat ! Vous feriez mieux de le tenir enfermé, me dit-elle avec une agressivité non contrôlé.
_ Merci madame Courra je tacherais d’y penser, tant que je vous tiens au téléphone, vous n’auriez pas trouvé mon portefeuille ? Demandais-je avec courtoisie – du moins j’essayais, je savais pertinemment que son fils devait l’avoir.
_ Non, je ne vois pas de quoi vous parlez, tentât elle de nier sans succès.
_ Ho que si vous voyez très bien de quoi je vous parle, alors arrêtez de martyrisé mon chat et allez donc demandez à votre fils ce qu’il en est pour mon portefeuille, très chère madame Courra, et au plaisir de vous voir, rétorquais-je poliment, en raccrochant.
Etant donner l’heure, je n’avais pas le temps d’aller chercher Nutella – mon chat – et décidas de me changer. Je tirai mon ensemble rouge du tiroir dans lequel je le rangeais, je l’enfilais et me regarda dans le miroir. Je gémis. Le reflet que je voyais n’était vraiment pas à mon avantage. Je portais mon vieux jeans bleu foncé, ainsi que mes inconditionnels baskets noirs. L’ensemble du magasin étais composé d’une tunique rouge cintrée, ainsi qu’un tablier rouge uni muni du nom de l’animalerie broder en noir. La tunique à manche trois quart ne m’allait pas du tout, elle me faisait un teint encore plus blême que d’ordinaire et jurais avec mes yeux gris-vert. J’entrepris d’attacher ma longue crinière brune en queue de cheval, je mis ma veste de cuir noir – très motard, j’adore – que ma mère regrettait de m’avoir offert en avril dernier - le 20 précisément – chaque fois qu’elle me voyait avec – c'est-à-dire tous les jours. Je pris mon sac à main et me dirigea vers le garage pour prendre le vélo et aller travailler.
Une fois devant l’animalerie, je vis Mr Smith dans tous ses états, à travers la vitrine.
_ Que ce passe-t-il ? Demandais-je, inquiète.
_ Je crois que tu vas devoir trouver un autre travail, me répondit-il d’un air triste, qui me coupa le souffle.
Mr Smith était un homme si joyeux d’ordinaire, je crois bien que je ne l’avais jamais vu contrarié.
_ Pourquoi me dite vous cela ? Je n’ai nullement l’intention de vous laisser !
_ Ma pauvre je doute que tu auras le choix, on rachète l’animalerie.
_ Comment cela, qui on ? Qui qu’ils soient, ils n’ont pas le droit, vous allez avoir l’acte de propriété le mois prochain.
_ Malheureusement si ils l’ont très chère. Le maire est passé accompagner d’un homme dont j’ignore l’identité. Ils ont affirmé qu’ils étaient désolés, mais qu’ils devaient penser à la ville avant tout. Or d’après eux, l’animalerie est un point mort pour celle-ci.
_ Mais que comptent ils en faire ?
_ Un restaurant, tu trouveras surement du travail ici !
_ Désolé mais je ne me vois pas en serveuse, et puis nous ne devons pas baissez les bras, l’animalerie n’est pas fermer à ce que je sache ! Je passerais après demain !
_ Mais je croyais que tu venais travailler cette après-midi à la place ! Ne vas pas gâcher le peux de temps libre qu’il te reste pour cette vielle animalerie. Ne t’en fais pas je me débrouillerais seul, tentât il de me sourire.
_ Hors de question ! Et puis je préfère passer du temps dans cette vielle animalerie, que de passé la soirée seule chez moi à faire la lessive ou bien la vaisselle ! Je crois que je me suis attachée à ces animaux et cette ruine ambulante, tentais-je de le faire sourire – sans grand résultat.
_ Tu es vraiment une enfant formidable !
Je fis la grimace.
_ Je veux dire, une jeune femme formidable, rectifiât il en souriant cette fois ci.
_ Allez suffit de ces mièvreries, un peu de sérieux, nous avons des animaux à nourrir, des cages à changer et une animalerie à sauver ! Dis-je dans un sourire en lui donnant une tape encourageante.
L’après-midi fut longue et pénible émotionnellement. Nous avons découvert le nom de l’homme qui accompagnait le maire, il s’agit de Mr Hourron, un nouvel habitant de la ville et nous avons même trouver son adresse. C’était à deux pas de chez moi. J’ai donc décidé d’aller le voir en personne, après tout j’avais une grande avocate en tant que mère, je devais être apte à argumenter en faveur de Mr Smith et de son animalerie.
Je tournais le long de ma rue, lorsque j’aperçus Mme Courra, siégeant devant ma porte. Elle faisait vraiment petite du haut de ses 1m50, devant l’immensité de ma maison – 300 mètres quarré à moi toute seule durant les trois quart du temps, dommage que je n’ai personne à y invité – digne d’un quartier résidentiel avec piscine, mais malheureusement, nous habitons dans un quartier modeste voir « pauvre » si je puis dire, ce qui attisait la convoitise de certains voisins. M’arrêtant devant le portail – d’ailleurs comment avait elle fait pour le passer ? – je descendis de vélo et attrapât la télécommande enfouie dans mon sac à main et l’ouvrit.
_ Bonjour Mme Courra, lançais-je poliment ?
_ Ha, te voilà enfin, cela fait une heure que je suis planté là.
_ Et que me vaut cette visite très chère ?
_ J’ai trouvé ceci dans mon jardin, me dit-elle en me tendant mon portefeuille que j’avais perdu il y a une semaine de cela.
_ Dans votre jardin ? Depuis une semaine ? N’était il pas plutôt dans la chambre de votre fils ?
_ Je ne vois pas du tout de quoi tu parle !
_ Bien sûr que si, mais passons. Merci pour mon portefeuille. Je peux faire autre chose ?
_ Récupère donc ton chat, dit-elle en sortant Nutella d’un panier à pique-nique !
_ Ho bas fallait pas, vous auriez dut l’attacher au portail, après tout c’est de famille la cruauté !
Sur ce elle quitta les lieux, ayant du mal à garder son sang froid ! Mme Courra est une dame ayant la cinquantaine, mère célibataire. Elle est directrice d’entreprise – de la fourrière, d’où son aversion total des animaux. Son fils, jeune délinquant de 15 ans, est au collège en face du quartier où j’habite et pickpocket à ses heures perdues. Ils n’étaient apprécier de personne dans le voisinage, ce qui explique le ton agressif et sur la défensive de Mme Courra.
Je fonçai vers la porte d’entrer pour l’ouvrir, j’avais hâte de me réfugier dans ma chambre accompagner de bonne musique et d’une tablette de chocolat – je sais c’est une sale habitude. Une fois la porte en marbre massif passé, il me fallait traverser le salon ainsi que la salle à manger, mais également la cuisine où je fis une halte pour me munir d’une tablette de chocolat et d’une cannette de soda – l’arme secrète contre le chagrin pour certains était pour moi celle contre l’ennui. Je finis par accéder au premier étage où se trouvais la chambre de ma mère ainsi que la salle de jeu et celle dédier au cinéma munis d’un projecteur et d’un millions de DVD – je sais extravagant me diriez-vous, mais ma mère se souciait de mon manque de vie sociale et souhaitait à tout prix m’éviter l’ennui – et pour finir grimpais les marche qui donnaient anciennement sur le grenier qui est devenue ma chambre – munis d’une salle de bain. Ma chambre est la pièce la plus grande de la maison puisqu’elle faisait l’équivalent de 80 m². J’avais un lit deux places ainsi qu’une coiffeuse et une télévision, mais également une chaine hifi et un ordinateur. Les murs de ma chambre étaient peints de couleur « taupe » et « lin » accentué par quelques touches de rouge dont mes draps et la chaine. Je suis consciente d’être une enfant gâtée, mais je n’ai rien demandé et ma mère le faisait par culpabilité. Il est vraie qu’elle est rarement là et lorsqu’elle l’est, elle passe son temps à travailler sur des dossiers […] ce que je comprends parfaitement et ce dont je ne lui en tiens pas rigueur, mais elle le fait à ma place et se juge coupable.
Une fois installer sur le lit et la chaine allumer – charger d’un CD que j’affectionnais particulièrement – je pris ma tablette de chocolat, en coupa un morceau d’en le but de le déguster, et me remémora la journée passer. Quand j’arriva au passage du cours de français je m’attarda sur les détails critiques du visage de ‘xander, un sens à ses cicatrices, le sentiment d’autosatisfaction qu’il dégageait […] trébuchant de temps à autre sur les jambes de Morphée, puis au fur et à mesure tombas dans ces bras, comme un bébé dans ceux de sa mère.
A mon réveil je sentis l’odeur de crêpes en train de dorée dans la poêle. Je pris mon peignoir – rouge évidemment – et entrepris de descendre les deux étages au ralenti.
_ Bien dormis ? me demandât ma mère lorsqu’elle me vit arriver via l’escalier.
_ Désoler, ça fais longtemps que t’es rentrée ?
_ Seulement une demi-heure !
Elle tentât de faire sauter la crêpe qui ronronnait dans la poêle – action qu’elle n’arrivait jamais à accomplir, mais elle s’entête quand même à essayer à chaque fois – ce ne nous valut qu’un fou rire collectif lorsque la dite crêpe ne retomba pas entière dans la poêle.
_ Maman, j’ai une question à te poser, hoquetais-je entre deux éclats de rire.
_ Qu’y à-t-il ?réussit-elle à me répondre une fois les rires éloignés.
_ J’ai été travaillé cette après-midi et lorsque je suis arrivé à l’animalerie, Mr Smith m’a dit que le maire rachetait celle-ci car ce n’était qu’un poids mort pour notre ville. Hors Mr Smith aura l’attestation de propriété dans un mois, d’après ce que j’ai feuilletée de tes dossiers, il n’est pas en droit d’acheter lors d’une transaction ni même de l’arrêter, et quand Mr Smith sera propriétaire il ne pourra acheter qu’à condition que Mr Smith décide de vendre !
_ Ok, pardonne-moi, mais je n’ai pas saisis ta question, dit elle en esquissant un sourire.
_ Comment puis-je défendre l’animalerie ?
_ Je crois que tu n’as pas besoin de moi, tu viens de citer tous les arguments nécessaires.
_ Mais j’aurais besoin de citer les articles exact dans lesquels ils pourront vérifiés ce que j’avance. Or je ne les connais pas, c’est donc là que tu interviens et la raison de ton aide !
_ Je t’aiderais, je te donnerais les documents nécessaires demain, et j’en toucherais quelques mots à l’adjoint du juge.
_ Merci maman.
Sur ce je pris une assiette et me servis quelques crêpes que je garnis tantôt de pâte à tartiner, de confiture de fraise. Je m’installai sur le canapé et alluma la télé. Une fois celles-ci entièrement dévorées je montai me coucher.
_ Tu vas te coucher ? Déjà ?! Je n’ai même pas eu le temps de te demander comment c’était passer la rentrée !
_ Désolée, je suis fatiguée. Ca à été !
_ Très bien va te reposer tu me raconteras en détails demain soir. Bonne nuit minette – petite anecdote sur ce surnom horrible auquel j’ai le droit : ceci n’a rien à voir avec le fait que je soigne mon apparence ou bien je que je suive la mode, ce que je ne fait absolument pas par ailleurs, mais cela concerne le fait que je suis une amoureuse des chats.
Je montai donc rejoindre ma chambre, enfilas ma chemise de nuit « rouge sang », et m’installa dans mes draps non pas de soie mais de coton. Je commençais à sombrer lorsque Nutella me rejoignit, je le reconnue à sa couleur noir qui se détachait de mes draps rouge grâce à la lumière de ma chaine. Une fois celui-ci installer sur mon bras, je tentai de retrouver mon état de somnolence lorsque ‘xander me revins en mémoire. C’est alors que me souvins de cette sensation de changement que j’éprouvais ce matin, je me rendis soudain compte que cette journée m’avait parue durée un mois. L’idée qu’un quotidien peut se voir basculer en une journée est effrayante et laisse à réfléchir. Si une journée peut changer un quotidien, alors un événement, une vie, une seconde peut tout basculer, sur cette pensée je me sentis glisser vers le monde enchantée des rêves et leurs mystères.

2_ éveil
Au petit matin je me suis réveiller d’humeur maussade, j’avais mal dormis. Ce n’était qu’un énième matin banal d’une vie banale, et, sans grand enthousiasme j’ai été en cours. La journée c’est déroulée comme prévue tous le monde m’a ignoré à la perfection – chose à laquelle je ne prêtais plus attention depuis un bon moment – j’ai déjeuné seule à ma table habituelle, et suis resté dans ma bulle comme à mon habitude. Le quotidien est revenu à la normal. Lorsque je suis rentré en fin de journée j’ai croisé Mme Courra qui me lança un regard noir – si un regard pouvait tuer je serais morte depuis des années – et quelque peu piteux vis-à-vis de son fils. Mme Courra est une femme démunis d’atouts physique dans son jeu. Elle est très petite et pas toute fine, elle est montée d’une masse de cheveux frisée, voir hirsute, d’un jaune pisse assez horrible à regarder – les coiffeurs de la région vendrais leur âmes si en contre partis ils avaient la certitude que celle-ci ne viendras jamais chez eux –elle avait également un visage ingrat et des yeux de la taille de ceux d’une fouine. Pour résumé elle avait tout pour plaire – ne vous y m’éprenez pas c’est ironique. Une fois rentré j’entrepris de faire mes devoirs, mais y perdis au change. Je me demandais ce qui avait fait qu’hier fut un jour particulier, qui sorte de l’ordinaire, du quotidien. ‘Xander n’était pas venus aujourd’hui. Peut-être l’avais-je imaginé, il se pourrait que la solitude m’ai rendue folle – j’ai lu robinson crusoé, si je me rappelle bien c’est ce qui lui est arrivé. Cela doit être pour ça que celui-ci ne s’intéressait qu’à moi, après tout qui aurais choisis de manger avec moi plutôt qu’avec les pain-bèche du lycée ?! Nan mais sérieusement je divague là, soyons sérieux je ne suis pas resté des mois sur une île déserte – je ne me souviens plus de la durée exact – j’ai juste une vie sociale inexistante. Je me demande donc pourquoi il n’est pas venu en cours aujourd’hui ?
Une fois que mes devoirs fussent terminer, j’entrepris de me préparer un repas lorsque mon téléphone sonna- ce qui m’effraya considérablement puisque cela n’arrivai jamais. J’en déduisis donc que c’était ma mère ou bien Mr Smith, car je n’avais toujours pas régler le problème de l’animalerie - chose en outre qui m’inquiétais particulièrement. C’est pourquoi je fus surprise en ne reconnaissant pas le numéro s’affichant.
_ Allo?!
_ Bonjour Kristen, c’est ‘xander!
Je fus estomaquer de découvrir que c’était lui qui m’appelais - par ailleurs je ne me souvins pas lui avoir donné mon numéro, ce qui quelque part m’inquiétais.
_ Tu es toujours là? S’inquiétât-il dut à mon silence perdurant les minutes.
_ Hem, oui, j’essayais juste de me rappeler à quel moment je t’avais donné mon numéro, hors cela ne me reviens pas!
_ Ho! He bien officiellement tu ne me l’as pas donné- me dit-il une ombre de gène dans la voix - cependant officieusement il se pourrait que tu ais fait tomber ta carte sur laquelle il y a de noter ton adresse et ton numéro personnel, malencontreusement sur ma table.
_ Ha!
Réponse quelque peut simplette je l’admets mais pour ma défense je fus déçut de savoir qu’il n’avait pas cherché à se procurer mon numéro - chose qui au contraire devrait me rassurer puisque cela avait un coté malsain. Je me rassérénai cependant car il l’avait gardé alors qu’il aurait très bien pu le laisser dans la poubelle la plus proche.
_ Désoler de te déranger mais puisque je n’étais pas à l’école aujourd’hui je me demandais si tu pouvais me prêter tes cours pour que je les recopie, et, si tu pouvais m’indiquer ce que nous avons à faire pour jeudi!
_ Hem, oui bien sûr, sans problème je te les donnerais jeudi matin et tu me les rendras quand tu auras terminé! Et pour jeudi nous avons une dissertation à faire sur « les romans d’amour, mode ou incontournable de la littérature » mais cela tu devais déjà le savoir !
_ Oui exact! J’avais oublié, et je ne l’ai pas commencé, concernant les cours je me disais que je pouvais passer chez toi demain pour les recopier comme ça je pourrai apprendre mes cours pour jeudi ! Me dit-il d’un air charmeur.
Je n’en revenais pas qu’il voulait vraiment venir chez moi demain sans même avoir l’aisance de demander si j’avais quelque chose de prévu - bien qu’évidement je n’avais rien de prévus - c’est vrai que je me rappelas notre discussions à la cafétéria - et sa prétention qui l’accompagna.
_ He bien il me semble que tu aurais pus avoir l’aisance de me demander si j’avais quelque chose de prévu, car sache que je ne suis pas à ta disposions contrairement à ce que tu semble pensé…
Il me coupa la parole, certainement pas pressé d’entendre la suite de ma phrase.
_ Ecoute je suis désoler si cela t’as parut incongrue, mais sache que cela n’était pas du tout mon intention. Je suis vraiment désolé. Bonne soirée!
_ Nan attend, ce n’est pas si grave je suis un petit peu sous tension ces derniers temps, cependant il est vraie que tu aurais pus même seulement par politesse me demander si cela ne me dérangeais pas ou bien si je n’avais pas quelque chose de prévus mais nous avons tous nos defaults n’est-ce pas?! Hem tu peux passer si tu veux je n’ai rien de prévu de toute façon ça me distraira et je t’aiderais à écrire ta dissertation si tu veux.
_ Hem non je ne voudrais pas te déranger et je suis désoler j’ai été maladroit et je tiens à m’en excuser!
_ Ne t’inquiète pas, c’est oublié.
Sur ce je réussis à le convaincre de passer à la maison en début d’après midi.

Le lendemain midi terminant mon repas - très élaborer: patte et jambon - je me précipitai dans ma chambre pour me donner une brève toilette consistant à me maquiller, acte plutôt rare - je me maquillais seulement pour noël et le réveillon - cependant je ressentais le besoin de me maquiller, de me mettre en valeur, ce qui n’avait aucun sens je vous l’accorde. Une fois maquiller je me regardai dans le miroir sur lequel je pouvais me voir de toute ma hauteur, c’est alors que je me rendis compte que j’étais habillé comme un souillon, je portais mon vieux jeans déjà bien malade, surmonter de mon peignoir que je n’avais pas quitté depuis mon lever. J’entrepris donc en conséquence de cause, de sortir mon pantalon de coton blanc et mon corsage rouge que j’enfilai de suite et descendis munis de mon cartable et d’un des CD que j’estimais énormément, le mis dans le lecteur DVD. Au bout de la dixième chanson - sur vingt-quatre - la porte sonna, je l’ouvris dés la deuxième sonnerie.
_ Bonjour, me dit ‘xander de façon charmante - un peu trop peut-être.
_ Bonjour, lui répondis-je sur le même ton.
_ Je ne suis pas venus trop tôt j’espère?!
_ Non pas du tout. Je t’en pris entre.
Sur ce il franchit le seuil, et nous nous installâmes sur le canapé.
_ Tu veux boire quelque chose? Demandais je en espèrent être une bonne hôtesse.
_ Oui, je voudrais volontiers un verre d’eau s’il te plait.
_ Sans problème!
Je lui apportai son verre d’eau et nous commençâmes par discuter. J’appris des tas de choses sur lui que je n’aurais jamais osé demander.
_ Ma mère est décéder lorsque j’avais douze ans, m’avouât-il sans vergogne. Je vis désormais seul avec
Mon père, il n’est pas souvent à la maison mais je m’en accoutume parfaitement.
Je ne savais qu’en penser, si il m’avouât cela par confidence ou dans le seul but que je le plaigne, ce qui me parut fort déplacer venant d’une personne que je connaissais à peine. J’en conclus donc que cela devait être une confidence sincère - je ne voulais pas m’avouer qu’il était possible que ce soit la deuxième possibilité - et j’eu honte d’avoir pensé rien qu’un instant que cela puisse être pour m’apitoyer sur son sort.
_ Je suis désoler pour vous - peut-être s’attendait il à ce que je me confis également sur ma famille, seulement je ne me sentais pas prête à en parler, et par conséquent me sentis mal vis-à-vis de cette révélations au quel je ne savais que répondre- je ne sais que te dire, dis je partant d’un rire légèrement hystérique.
_ Ne t’inquiète ce n’est rien, je ne m’attendais pas à ce que tu t’apitoie sur mon sort ou bien que tu me confisses tout tes secrets, rit il joyeusement.
Je lui souris également et nous enchainons sur nos devoirs. Une fois ceux-ci terminé nous restâmes un moment à parler de tout et de rien sur le canapé. Il se faisait tard et je ne savais pas comment réagirais ma mère si elle rentrait et me surprenait avec un garçon seul à la maison, cependant peut-être que cela la rassurerait de savoir que j’ai des amis - ce qui n’est pas vraiment le terme exact car je ne connaissais ‘xander que depuis trois jours, mais cela ma mère n’avait pas à le savoir.
_ Alors comme ça tu avais l’intention de rester toutes seul dans cette grande maison toute la journée? Demandât-il en me sortant de mes songes par la même occasion.
_ Oui c’est-ce qui était prévus! Mais puisque il y a plein de chose à faire cela ne m’aurais pas déranger! Lui souris-je!
_ Au fait tu me fais visiter? Demandât-il en se levant pour appuyer sa demande.
_ Oui pourquoi pas, cependant ne juge pas!
Il ferma sa bouche d’un geste se voulant d’imiter une fermeture éclair. Je commençai par lui montrer le rez-de-chaussée - la cuisine, la salle à manger et le salon qu’il a déjà vu - une fois à l’étage je lui montrai la salle de jeu ainsi que celle de cinéma il ne pipa mot, mais en contre partis je distinguais une pointe d’envi et un soupçon de stupéfaction lorsqu’il entra dans la salle de cinéma, ce qui me fit sourire et en même temps je me sentis honteuse d’exposer mon évident milieu aisée pour ne pas vouloir dire riche.
_ Et voilà!
_ Tu ne me fais pas visiter ta chambre?
_ Et bien… la prochaine fois peut-être à l’occasion!
_ Aller fais pas ta timide je ne vais pas te juger je te le promets même si elle n’est pas ranger, il afficha soudain un magnifique sourire en coin!
_ Cela ne sert à rien d’essayer de me convaincre je te la ferai visiter quand je l’aurai décidé, or ce ne seras pas pour aujourd’hui! C’est comme cela que ça marche chez moi, lui souris-je de façon à conclure la conversation en ayant le plein pouvoir dessus.
Je fus heureuse de l’arriver de ma mère qui mit fin à la conversation.
_ vite descendons! Lui dis-je dans un souffle.
Je vis la voiture de ma mère se garer dans l’allée, je m’en allai ouvrir la porte et ma mère sortis de son 4x4 munis de ses inséparables dossiers.
_ Bonjour maman!
_ Bonjour Kristen, j’ai trouvé les articles concernant l’animalerie…
Je ne l’écoutais plus, j’avais oublié l’animalerie, Mr Smith allait vraiment m’en vouloir surtout en ce moment! Je ne me remettais pas de ma sottise!
_ Maman, je suis désoler mais il faut que j’y aille je rentrerais vers dix heure - c’est alors que je me souvins que ‘xander siégeait encore dans le salon - au fait j’ai invité un ami pour faire nos devoirs, cela ne te dérange pas n’Est-ce pas?
_ Non pas du tout, mais pourrai tu avoir l’obligeance de me dire ou tu compte aller à cette heure la!
_ Je vais travailler et d’ailleurs je suis en retard!
Nous entrâmes toutes les deux dans le salon!
_ Maman, voici Alexander!
_ Enchanter dit ce dernier à ma mère avec une nonchalance étudiée.
_ Moi de même jeune homme.
_ Bon allé trêve de blabla, je suis déjà très en retard et il faut que j’y aille! À tout à l’heure maman, ‘xander on s’en va!
Une fois dehors je dis au revoir à celui-ci et fila sur mon vélo à l’animalerie. Devant cette dernière, j’entrai dans par la porte de derrière comme à mon habitude, je n’avais pas pris mon uniforme car je pensais que je n’en aurais pas besoin à cette heure puisque cela fermerait dans une heure.
_ Bonjour Mr Smith, désolé d’être en retard!
_ Bonjour Kris’, et ne t’en fais pas pour ton retard de toute façon il n’y a rien à faire!
_ Et bien je pensais que peut-être nous pourrions aller voir Mr Hourron ce weekend! J’ai demandé à ma mère de trouver les articles correspondant pour l’animalerie!
_ C’est très gentil de ta part, je viendrai te voir samedi après midi vers quatorze heures si cela ne te dérange pas comme ça nous aurons le temps de nous organiser! Il me dit cela d’une façon bien trop formel et je m’inquiétais de ce qu’il avait en tête pour samedi!
_ Non cela ne me dérange pas le moins du monde, de toute façon je serais toute seule samedi, ma mère fait des heures supplémentaires!
Je finis la soirée en fermant le magasin et rentra chez moi. Ma mère fut de bonne humeur quand je lui expliquai ce que ‘xander faisais à la maison, elle me donna les papiers pour l’animalerie et je montai me coucher. Puisque mes devoirs était fait je n’avais plus rien à faire donc je mis la musique et entrepris de lire, fascination de twilight - et oui je ne suis pas passé à coté de ce phénomène bien que je ne sois pas une fan à proprement parler.
Une fois sur le parking du lycée, je m’autorisai une minute de répits après quinze de vélo. Lorsque mon cœur se remis à battre de façon régulière, je me dirigeai vers mon cour de français comme tous jeudi matin qui se respecte, madame Chevalier arrivât avec dix minutes de retard! Elle nous fit entrer, et je m’installai à ma table vide, je m’apprêtais à me remettre dans ma bulle lorsque j’entendis la chaise a mon coté grincée. C’est alors que je m’aperçus que je m’attendais à ce qu’il m’ignore comme toutes personnes appartenant à ce lycée.
_ Salut, sa va? Me saluât ’xander toute dent dehors.
_ Hem, oui et toi?
J’entendis difficilement madame Chevalier se racler la gorge derrière nous! Toute la classe nous jaugeait de façon incompréhensible! Nous nous regardions comme cela depuis combien de temps?! - assez pour que j’oublie le monde alentour.
_ Mademoiselle Thompson je ne voudrai pas vous déranger mais si vous me l’autoriser j’aimerais volontiers récupérer votre dissertation! Me dit-elle avec dureté et sévérité.
_ Oui bien sur veuillez m’excuser madame, lui dis je en tendant ma dissertation, ce que ‘xander imita de suite.
Après cette situation des plus embarrassantes nous finassâmes le cour les yeux rivés sur nos notes - avec quelque coup d’œil inquisiteur que je lançais de temps à autre. La matinée passa relativement vite!
_ Désolé pour tout à l’heure en français, sa voix me surpris quand j’arrivai à hauteur des plateaux repas!
_ De quoi tu parle?
_ De l’interaction de madame Chevalier à ton encontre en français! Je n’aurais pas du t’éblouir!
J’en restai bouche bée! Sur l’instant j’aurais pus décrire le moment de magique, se perdre dans ses yeux durant tant de précieuses secondes, seulement ce qui m’avais parut magique m’apparait désormais comme écœurant!
_ M’éblouir?! Tu plaisante j’espère!
_ Nan pourquoi?
_ Laisse tomber, n’étant pas d’humeur à me prendre la tête avec quiconque je rejoignis ma table et entama mes pates!
‘Xander me rejoignis et s’installa à mon coté en silence l’air de rien!
_ Personne ne m’éblouie! Et ne vas pas croire que je m’étais perdu dans tes yeux que tu juge si magnifique - gros mensonge! Je n’en reviens pas que tu te crois si irrésistible!
_ Je suis sur que tu t’étais perdu dans mes yeux qui, oui, sont magnifique, ce qui prouve que je suis irrésistible!
_ Premièrement, tes yeux ne sont pas si magnifique que cela, petit deux, je ne m’étais pas perdu dans tes yeux, grand trois, tu n’es pas irrésistible - je détachai volontairement chaque syllabe!
_ Très bien imaginons que ce que tu viens d’affirmer soit vrai…
_ Mais c’est vrai!
_ Imaginons! Alors qu’Est-ce qui t’est arrivé dans la salle de classe ce matin?
La il me tenait!
_ He bien je réfléchissais à la façon dont tu avais pus te faire ces cicatrices - il est vrai que ce n’était que pur mensonge, ceci dit, je désirais vraiment savoir comment il s’était blesser!
Je réussis à entrapercevoir une lueur dans son regard que je ne sus identifier avant qu’il ne se referme sur lui-même!
_ Je suis tombé de moto! - il m’annonça cela avec si peu de conviction que je ne le crus pas!
_ Désolé pour toi, une tonne de questions fourmillais dans mon esprit, seulement sa réaction me retins de les poser!
Je ne pus m’empêcher de le dévisager tous le long du reste du repas, cependant je m’aperçus que lui aussi m’observait, lorsque nos regard se croisas il me sourit et mon cœur eu un soubresaut.
_ Au fait merci pour les cours, sans toi je n’aurais pas pus faire ma dissertation et…
Il s’interrompit, comme si il hésitait à me dire la suite!
_ Et?! L’encourageais-je à continuer.
_ Hum… et il aurait été dommage de ne pas te voir d’ici aujourd’hui!
Je ne savais que penser de cette révélation, plaisantait-il, ou, était-ce un moyen de me faire comprendre qu’il m’appréciait??
_ Dommage?! Qu’entend tu par la?
_ He bien, sans cela je n’aurais pas pu réviser!
_ Ho, oui bien sur.
Il dut lire un trait de déception sur mon visage car il me sourit tendrement, ce qu’il faisait pour la première fois! Je lui renvoyai son sourire avec un peu trop d’entrain peut-être, car il se mit à rire!
_ Au fait le rouge te vas bien, - c’était la première fois qu’il montrait une marque d’intérêt pour moi!
Je portais un corsage rouge à manche longue sous ma veste en cuir!
_ Hem merci, je me sentis rougir - quelle honte.
La sonnerie retentis et c’est à ce moment la que je repris conscience de la réalité et me détacha de ses yeux! Nous nous précipitâmes dans notre prochain cour respectif dans un dernier regard!
Je ne pus empêcher mon esprit de visualiser son regard derrière chacune de mes paupière lorsque celles-ci se fermaient, et de me répéter la conversation de ce midi tentent de lui trouver un sens. L’après midi passa en un éclair à l’instar de ce matin, je sortis en passant par derrière peut envieuse de me retrouver parmi la foule se ruant au parking. Je rejoignis mon vélo et c’est la que je l’entraperçus monter dans une voiture qui ne m’étais pas inconnue.
En ce vendredi matin, pour quelques raisons inconnues, je me sentais enjouée. Je petit-déjeuna en vitesse et au moment de m’habillé, je ne manque pas de me remémoré le bref compliment auquel j’avais eu le droit la veille! C’est donc en toute conséquence de cause que j’enfilai une chemise cintré rouge. J’arrivai au lycée avec cinq bonne minute d’avance, je me dirigeai vers les portes principales en bois, ornée de rouille et m’aperçus que je n’étais pas seul. Celui-ci me sourit en me voyant arrivé!
_ Bonjour Kristen, me saluât-il de bon matin!
_ ‘Xander, en guise de bonjour je ne pu trouver mieux, ma voix s’étant éteinte dés la première syllabe!
Il étouffa un rire, ma gorge se serra et mon estomac se tordit - pourquoi diable réagissais-je ainsi?! Je crois qu’il le remarqua car il se pencha vers moi et lorgna ma chemise d’un air appréciateur - quel gougeât.
_ Puis-je savoir ce que tu regarde comme ça? J’espère pour toi que ce sont mes chaussures!
Il releva la tête et me sourit.
_ Et en plus elle pique.
_ Je te demande pardon? Je ne m’attendais pas à cette réponse et je dois dire qu’elle me désarçonna!
Il me sourit mais ne dit rien pour autant, m’intiment de le suivre il franchit le seuil du lycée et se dirigea vers la cour dans laquelle il n’y avait encore personne! Nous nous assîmes sur un banc et ne pipâmes mots! C’est moi qui brisai la glace la première, son affirmation de tout à l’heure me tracassait.
_ Qu’Est-ce que tu voulais dire tout à l’heure par « et en plus elle pique »?
_ Même les plus belles roses ont des épines, ou plutôt, surtout les plus belles, me dit-il avec dédain.
Venait-il vraiment de me comparer à une rose?! Ou venais-je tous simplement de rêver cette conversation? Remarquant mon air perplexe et surprise il reprit la parole avant même que je n’ai eu le temps de trouver un sens à cette remarque.
_ Les roses rouges sont les plus belles, bien que les plus dangereuses si je puis dire, et il éclata d’un rire mesurer que je ne compris pas, tout comme ses phrases à vrai dire.
Je ne relevai pas, malgré l’envie qui ne me manque pas, mais je redoutais que les réponses à mes questions ne fussent encore plus farfelues que le sujet de mes questions lui-même. Je n’osais pas le regarder, du moins pas dans les yeux, la mésaventure d’hier - moi me perdant dans son regard - me suffisait largement et n’allait pas m’aider à éclaircir mes idée en cas de renouveau! Les personnes autour de nous commençaient à afflués, la conversation que je crois durer pendant des heures ne se passa finalement qu’en quelques petites minutes. Ce n’est qu’en me levant que je m’aperçus le parterre de roses rouge qui se trouvais derrière nous. De mon regard le plus surpris et empreins de suspicions je m’éloignai avec entrain suivis de près par ‘xander qui ne m’apparut même pas remarquer mon air dubitatif! Devant la classe de maths je me retournai et entraperçus ’xander me lorgnant intensivement, trop même.
_ Je m’arrête là, lui ânonnais-je de manière à le distraire de ses pensées!
_ Je sais, à tout à l’heure pour déjeuner, me sourit-il dans un au revoir.
Je me sentis heureuse de cette attention si délicate, je ne sus m’expliquer pourquoi mais, rien qu’à la perspective d’un nouveau moment passer seul en sa compagnie m’enjouais!
Mr choyer était également de bonne humeur aujourd’hui, ce qui ne fut que favorable à mon acuité aux équations bicarrées. Cependant certaines de mes questions - si ce n’était pas toutes - restaient en suspens, sa réflexion sur la rose me laissait perplexe! Je n’arrivais toujours pas à associé ces phrases à un quelconque sens! Aurait-il parlé en chinois que mon sens de la perception n’en serait pas plus clair. Je le retrouvai comme convenue à la cantine pour déjeuner il était même déjà installer à « notre » table - je me sentis sourire à cette pensée!
_ Alors cette matinée? Demandais- je plus par politesse qu’autre chose à vrai dire, ma seule préoccupation actuelle n’était autre que de pouvoir le voir ce mouvoir, parler, sourire, et surtout voir passer ses émotions dans son regard!
_ Quelconque, et toi?
Quelconque?! Elle n’avait en rien été quelconque à mon égard! Après cette conversation des plus étranges autour des roses du matin même, mon esprit n’a pas cessé de travailler. Seulement je ne puis décemment me permettre de lui en faire confession.
_ Des plus banales, souris je, tentant d’y insuffler toute la conviction dont je disposais!
Nous passâmes le reste de notre temps à parler de tout et de rien, du beau temps et de la pluie! Tout au long de cette conversation je n’osai pas poser la question qui me tracassait tant! J’empruntai le couloir au bout duquel ce trouvais ma salle d’histoire et m’assis pour deux heure en compagnie de mon très apprécier professeur, monsieur Blanchard! Je n’avais pas français aujourd’hui ce qui d’ordinaire m’aurais réjouis mais ce ne fut pas le cas! L’histoire géo était ma dernière heure de la journée et je regrettais de ne pouvoir le retrouver, j’aurais tellement aimé lui poser les milliers de question qui me passaient par la tête!
Ces deux heures me parussent durer deux mois! J’étais impatiente d’être à lundi, ne serais ce que pour voir son visage - nan mais je ne me reconnais plus. A vrai dire j’étais envieuse de connaitre les réponses à mes questions, percés le mystère que représente ‘xander … c’est alors que je m’aperçus que je ne connaissais même pas son nom de famille! Le weekend va être long…


3_ Romantique?!
Nous sommes samedi, comme à mon habitude je suis toute seule à la maison, ce qui ne me dérange pas puisque j’attends la visite de Mr Smith incessamment sous peu! J’appréhende quelque peu notre excursion dans le quartier, je n’avais aucune idée de la façon dont pouvais réagir Mr Hourron, j’avais peur de ce qu’il pouvait ce passé, et si il se mettait en colère?!
La porte sonna ce qui eu le don de me sortir de mes songes.
_ Bonjour Mr Smith!
_ Bonjour Kristen, je ne te dérange pas j’espère?
_ Non pas du tout, ne vous en faite pas, vous désirez quelque chose? Un verre d’eau?
_ Non merci, je ne vais pas te déranger trop longtemps! Juste le temps de prendre connaissance des papiers et on y va d’accord?
_ Très bien!
Nous avons étudié les articles de loi et préparés nos arguments puis nous nous dirigeâmes vers le domicile de Mr Hourron! Le trajet nous conduisant à sa maison ne durait que quelques minutes et pourtant il me parut des heures, plus on approchait, plus mon débit sanguin s’accélérait, heureusement qu’il ne restait plus que quelques mètres sinon j’aurai frôlé la crise de tachycardie!
_c’est là, dit-je la voix tremblante.
Je ne suis pas empreint au stress mais j’ai tendance à redouter l’inconnue. Or j’étais en plein terrain miné je ne savais même plus ce que je devais dire ou bien même comment le dire!!
_ Okay, je me gare!
Une fois devant la porte, Mr Smith frappa distinctement trois fois! Lorsque la porte s’ouvris, ce fus un choc!
_ Kristen?!
_ ‘Xander?! Ce fut un véritable séisme lorsque je le vis ouvrir la porte, derrière laquelle je m’attendais à trouver Mr Hourron! Quesque tu fais la?
_ Ne serais ce pas plutôt à moi de te poser cette question? C’est toi qui débarque devant chez moi!
_ Tu habite là? Mon air choqué dut le désarçonné car il eu l’air méfient en me répondant!
_ Oui, pourquoi? Il me semble que j’en ai le droit, me dit-il avec une agressivité que je ne compris pas.
C’est alors que je repris conscience de la présence de Mr Smith qui nous regardait d’un air des plus étonné!
_ Bonjour jeune homme, est-ce que Mr Hourron est là s’il te plait? Mr Smith avait pris un accent poli!
_ Oui, bien sur je vais le chercher!
Nous entendîmes ’xander appelé son père au loin à l’intérieur de la maison! Je dus me recomposer une expression aimable et non pas choqué si je puis dire! Nous vîmes un homme d’une quarantaine d’années les cheveux gris et portant un tablier arriver avec un torchon sur l’épaule, j’en conclue que cela devait s’agir de Mr Hourron, le père de ‘xander et le nouvel acheteur de l’animalerie!
_ Bonjour Monsieur je m’appelle Stephen Smith, je suis le propriétaire de l’animalerie. Avez-vous quelques minutes à nous consacré?
_ Oui bien sûr, je vous prie de m’excuser de ma tenue apparente, mais allez-y entrez!
Nous pénétrâmes dans la demeure, elle n’était pas très grande mais fort jolie. Etant donner la présence de ‘xander je ne savais plus où me mettre! Je n’osais même pas le regarder!
_ Merci, nous sommes ici pour entretenir une conversation à propos de mon animalerie. Sachez que nous ne sommes pas ici dans le but d’engagez un conflit!
_ Oui ne vous inquiéter pas je me doute que vous n’avez pas de mauvaise intention, nous sourit-il - il avait le même sourire éclatant que ‘xander.
Mr Smith enchainât promptement sur les divergences et malentendu de cet achat improbable, je m’attendais à ne pas avoir à parler vu le débit très explicite de celui-ci! Cependant lorsque ce fut à moi de prendre la parole, je ne sus quoi dire, en même temps il aurait d’abord fallut que je puisse ouvrir la bouche pour ce faire, or j’en étais relativement incapable! Tout le monde m’observait d’un air interrogateur!
_ Et bien j’ai l’impression qu’il y a eu un fort malentendu, dit Mr Hourron pour détourner l’attention en ma faveur!
_ Oui effectivement enchainât Mr Smith comme si je n’existais plus!
L’après-midi arrivât vers sa fin et je fus étonner que Mr Smith ai réussis à convaincre le père de ‘xander qu’il était dans l’incapacité d’acheter l’animalerie! Finalement je me réjouie de ne pas avoir eu à parler! Nous fîmes notre au revoir - très rapidement car je brûlais d’envie de me refugier dans ma chambre avec mon chat et mes petites habitudes!
Mr Smith me déposât et me dit au revoir de sa fenêtre de voiture! Une fois le seuil de l’entré atteint je me remis à respirer. Nous étions samedi donc en conséquence de cause je n’avais rien à faire à la maison, tandis que pour une fois j’aurais adoré avoir de la vaisselle ou bien du linge à m’occuper ou bien même du rangement si il le fallait pour m’occuper l’esprit rien qu’une heure ou deux! Malencontreusement je n’eu pas cette chance et mon esprit vagabonda de ci, de là…
J’allumai la télé et m’installa dans le canapé mon chat à mes coté. Je ne savais que penser du fait que le père de ‘xander ne soit autre que l’homme qui menaçait de faire fermer l’animalerie de Mr Smith! C’était pourtant un homme charment au premier abord, cependant je ne crus pas en cette apparence charmante et de toute confiance, je ne sus pourquoi mais il ne m’inspire pas que la gentillesse et le malentendu comme il le prétend!
J’entrepris de préparer le repas, je me mis donc à sortir les ingrédients pour faire des lasagnes au saumon - le plat préférer de ma mère ce qui lui fera plaisir après sa journée de travail - lorsque la porte sonna! Je m’en allai ouvrir en toute hâte ne manquant pas de tomber dans ma course! Derrière la porte je découvris ’xander, pas du tout souriant voir tout le contraire même!
_ Salut lui dit-je par politesse plus qu’autre chose!
_ Salut me répondit-il sur le même ton de politesse forcé!
_ Puis-je savoir ce que tu fais là?
_ Je suis venus m’excuser pour mon attitude de tout à l’heure!
Alors là je ne m’attendais pas à ça!
_ Ho, hem, hé bien tu es tout excuser!
Nous restâmes pendant quelques minutes planter là, sur le seuil de chez moi.
_ Tu voulais quelque chose d’autre?
_ Non c’était tout!
_ Tu veux entrer quelques minutes?
_ Nan merci mon père m’attend!
_ Ok à lundi alors.
_ Ouai a +.
Lorsqu’il s’en alla je voulus fermer la porte et m’aperçut qu’il y avait une rose rouge dans le porte fleur au mur! Je fus surprise de constater que maman avait eu le temps d’en mettre une. À la réflexion ce ne put être elle, ce qui m’amenât à penser que ce put être ‘xander qui l’eut déposé avant de sonner, idée des plus ridicule je vous l’accorde! Maman avait dut la mettre la c’est la seule explication plausible. Je me trouvai bête d’avoir put penser rien que quelques secondes que ce put être lui! J’entrai dans le salon me mit devant la télé pour oublier cet instant qui n’avait aucun sens…
En ce matin de prières, ma mère vint me réveiller une fois midi passé. Je pris mon petit déjeuner, me doucha, m’habilla et me coiffa dans un flou total. Je descendis attirer par l’odeur des lasagnes qui réchauffe au micro-onde! Je m’assis au bar et bus un verre de jus d’orange que ma mère venait de presser! Une fois ma gorge réhydraté, j’entrepris de parler, du moins j’essayai.
_ Bonjour maman, désolé je suis un peu dans les vapes, lui souris-je!
_ C’Est-ce que j’ai remarqué! Tu n’as pas assez dormis?
_ Si c’est juste que je ne suis pas encore entièrement réveiller. Et toi bien dormis?
_ Oui très bien merci. Ça à été hier, tu ne t’es pas trop ennuyer?
J’avais omis de lui parler de mon programme d’hier, et je ne sus si je devais lui dire ou pas!
_ Non, monsieur Smith est venu et nous avons été voir l’homme qui voulait acheter l’animalerie. Il habite dans la rue d’à coté, il s’appel Mr Hourron!
_ Et comment ça c’est passer? J’espère que vous avez fait bonne impression. Les documents que je t’ai donné ont suffis?
_ Oui ne t’en fait pas cela c’est bien passer. Mr Smith à sut convaincre Mr Hourron! C’est un homme gentil.
_ Je suis fier de toi!
_ Pourquoi? Je n’ais rien fait c’est Mr Smith qui à tout fait, c’est lui qui à parler, moi je n’ai pas ouvert la bouche!
_ Je suis fier de toi quand même!
_ Merci maman.
Sur ce je pris une assiette de lasagne et monta dans ma chambre! J’ouvris ma fenêtre et fis mon lit! Je mis un cd et mis le volume au maximum, les murs de ma chambre sont insonoriser ce qui me permet de faire autant de bruit que je le souhaite! Je me mis sur mon lit et commença à manger! Lorsque la dixième chanson se finnissâs je pris mon assiette et la descendis. Une fois dans la cuisine je remarquai un mot sur le plan de travail que ma mère m’avait laissé.
«  Kristen je suis désoler mon patron vient de m’appeler pour une affaire urgente. Je t’appelle tout à l’heure pour te tenir au courant je ne sais pas quand je rentrerais ne m’attend pas. Passe un bon dimanche, bisous je t’aime fort!
Maman »
Je fis la vaisselle et montât éteindre ma musique, ainsi que prendre ma veste et mon sac! Je sortis et me dirigea vers le parc qui se situais à deux pattés de maison de là! Je ne voulais pas rester à la maison encore toute seule donc je préférais sortir pour prendre l’air. À force d’avancer tête baissé je finis par heurter quelqu’un.
_ Veuillez m’excuser, dis-je en levant la tête.
_ Bonjour, me dit ‘xander. C’est pas grave je n’ai rien.
_ Ho, bonjour. Désoler de t’être rentré dedans, je t’ai pas vue arriver!
_ Oublie, me sourit-il. Tu te promène?
Je fus surprise de constater qu’il me souriait comme si on ne s’était pas vu hier.
_ Hem, oui je vais au parc, lui souris-je à mon tour.
_ Je peux venir? Si sa na te dérange pas évidemment! Il me sortit son sourire en coin qui me fit rougir, je ne pouvais décemment pas lui dire non!
_ Oui bien sûr! Tu allais quelque part?
_ À dire vrai oui j’allais chez toi, me dit-il sans aucune gène!
_ Chez moi?! Je me demandais si il avait vraiment dit chez moi ou était ce que j’avais voulus entendre.
_ Oui je voulais m’excuser pour hier soir je n’ai pas été très courtois, je suis désoler. Je ne voulais pas que l’on reste en froid à cause de ça! Bizarrement je commence à vraiment t’apprécier!
Il se mit à rire comme si il avait sortit la blague du siècle, et je ne savais pas si je devais le prendre comme un compliment ou pas!
_ Je dois te dire merci ou te donner un coup de coude dans les cotes, lui souris-je?!
_ À toi de voir, rit il.
_ Merci, lui dis-je en lui donnant un coup de coude!
Il se mit à rire de plus belle et mon rire se joignit au sien. J’avais oublié à quel point c’étais agréable d’avoir une personne avec qui rire sans raison apparente, et je souris à l’idée que lui aussi appréciais ma compagnie!
_ Nan vraiment je suis désoler pour hier, j’étais de mauvaises humeur c’est tout.
Je lui souris et nous continuâmes à marcher. Une fois le parc atteint nous nous assîmes sur un banc et nous regardâmes les alentours. Il y avait de tout, des amants qui se tenait par la main et se murmurais des mots doux, des enfants qui courait et leurs parent derrière oublieux du monde pour s’accorder un je t’aime, des filles à la recherche de l’idéal faisant leur footing, et les célibataires avec leurs chien et le frisbee. J’étais fasciner de voir que tout ces gens de milieu différent se trouvais en parfaites harmonie dans ce tableau de vie. Je tournât la tête et me rendis conte que ‘xander me regardait de façon très appuyer!
_ Quoi? Lui demandais-je au bout de quelques minutes.
_ Rien me sourit il.
Je me détournai de lui et retournât à ma contemplation. J’aime venir ici et observer les gens heureux de simplement se promenés en famille ou en amoureux ou bien même en solitaire accompagné de leur fideles toutou. Tout ces gens expriment la joie de vivre et de profiter du moment présent. Je jetai un léger coup d’œil à ‘xander. Il ne m’avait pas quitté des yeux!
_ Qu’Est-ce qu’il y a? J’ai quelque chose dans les cheveux?, lui souris-je mais j’étais gêné d’être contemplé ainsi.
_ Nan tu es très belle.
Je restai quelque seconde sans bouger mon souffle couper !
_ Je te demande pardon, qu’est ce que tu as dis?
_ Que tu n’avais rien dans les cheveux.
_ Alors si je n’ai rien dans les cheveux pourquoi me regarde tu ainsi?
_ Pour rien.
Je n’étais pas convaincue de sa réponse et il le savait mais je n’osai pas insister peut être Est-ce mieux de ne pas savoir!
_ Ha ok! Tu viens souvent ici?
_ Nan pas vraiment, et toi?
_ Oui j’aime venir ici, c’est ma façon de m’évader!
Il était totalement absorber par ce que je disais et cela commençais à m’effrayer. Il n’était pas comme d’habitude, il était gentil et il me regardait comme si j’allais m’envoler! Je crus voir comme une légère lumière dans ces yeux, comme quand on annonce à un joueur de loto qu’il à gagner au bout de quinze ans de jeu. Nous décidâmes d’empruntés les chemins et de se promener. La vision de nous m’apparaissais comme évidente, n’importe qui nous croisant aurais pu en déduire à deux adolescent en quête d’amour! Je lui lançai un léger regard mais ce n’est que lorsque je sentis mon pied se prendre dans un branche que me rendis conte que c’étais une mauvaise idée! Il me rattrapa de justesse par le bras avant que je ne heurte le sol, je ne l’avais pas quitté des yeux et c’est lui qui mis fin a cet échange de regards!
_ Merci, lui dis-je avec gratitude.
_ De rien, mais la prochaine fois regarde ou tu mets les pieds me sourit-il.
_ Ha ha très drôle, je lui donnai un coup sur l’épaule pour faire oublier ma gêne apparente!
Nous fîmes demi-tour et entreprîmes de rentrer chez nous. Une fois devant chez moi, j’ouvris le portail et nous nous retrouvâmes sur le seuil.
_ Tu veux entrer?
_ Non merci.
_ Merci de m’avoir raccompagné, c’est gentil de ta part, je lui souri et il fit de même!
Il me fit la bise et s’en alla, je me retournai dés que je ne puis plus le voir, et entrepris d’ouvrir la porte je m’aperçus alors qu’il y a avait désormais deux rose dans le porte fleur. Je n’y prêtai aucun sens.
Je le vit courir vers moi le regard noir et les vêtements déchirés. J’avais peur de ce qu’il pouvait me dire ou bien même me faire, il y a une part d’ombre chez lui qui m’a toujours effrayé! Il m’arriva dessus a toute vitesse me poussa a terre et me regardât droit dans les yeux d’un regard profond et plein de passion, il se penchât vers moi, huma mes cheveux et ses lèvres frôla mon oreille, «  Rubrum rosa sacra aeterna pulchritudo periculo mirum non possum CONDITUS non amo te! » C’est alors que je sentis son souffle sur mon cou et il m’embrassa …
Je me réveillât en sursaut lorsque mon réveil sonna. Ce n’était qu’un rêve me surprit-je à me déplorer. Je me levai et pris une douche. Ma mère vint frapper a la porte de ma salle de bain, je sortis de la douche et enroula une serviette autour de moi.
_ Kristen, quelqu’un te demande à la porte.
_ Je suis en serviette de bain et je vais être en retard en cour alors dit que je ne suis pas la, que je suis partis au lycée.
_ Met ton peignoir et descend s’il te plait il va s’impatienter. Et met toi un coup de peigne!
_ Il?!
Je descendis avec mon peignoir et les cheveux en arrière à peine sécher. Une fois en bas de l’escalier je l’aperçus, l’objet de mon rêve!
_ ‘Xander? Que fait tu la?
Ma mère s’éclipsa pour aller travailler!
_ Et bien je venais te chercher pour aller en cour mais je vois que tu n’es pas prête, rit il!
_ Hem oui en effet. Je vais m’habiller laisse moi deux minutes ok?!
_ Je t’attends!
Je montai dans ma chambre enfila des vêtements et pris mon sac, redescendis et le vit accouder au mur. Je ne puis m’empêcher de lui adresser mon plus beau sourire et enfila ma veste de cuir ainsi que mon sac.
_ J’espère ne pas t’avoir fait attendre! Lui dis-je timidement
_ Nan pas du tout, mais on va finir en retard!
Nous sortîmes et nous nous mîmes en route. Il était de très bonne humeur et tout souriant je me demandais ce qu’il avait! Je le regardas tout le long de la route, il sautillait presque de bonheur j’étais ébahis par sa joie! Il me regardât et m’arrêtât a mis chemin du lycée. Il me regardât dans les yeux et ce regard me fit penser à celui de mon rêve, je rougis ce qui le fit sourire il sa rapprocha et mon cœur s’accélérât de plus en plus à chaque millimètres de moins qui nous séparait. Il s’arrêtât à seulement quelques centimètres de mon visage et me dit dans un souffle « tu es très belle aujourd’hui! » pour le coup mon cœur s’arrêtât net. Il se rapprochât encore et j’arrêtai de respirer! Je ne savais pas comment réagir, qu’allait-il faire?! Il posa ses lèvres sur ma joue et les pressa contre elle dans un doux bisou!
Une fois devant le lycée je n’avais toujours pas dérougis. Cette situation avait d’ailleurs l’air de beaucoup amusé ‘xander - un peu trop à mon goût même. L’entrée était noir de monde ce qui n’arrangeât pas ma gène, je voulus me faire toute petite, mais c’était sans compter sur la présence de ‘xander. Il me prit par le bras et m’attirât à l’intérieur, tous le monde se retournât sur notre passage! Il souriait de toute ses dents et l’idée que tout cela faisait partit de son plan depuis le début me traversât l’esprit, ce qui pourrait d’ailleurs très bien expliquer sa bonne humeur du matin même! J’entrepris de lui demander des explications à ce sujet! Je sentais pertinemment que cela allait me tracasser toute la journée si je ne lui en parlais pas! Je ne sus dire pourquoi mais j’avais comme l’impression qu’il se jouait de moi! Je me dégageai de son étreinte et me dirigeât vers mon cour! Il me regardât partir surprit!
Une fois installer a ma place en maths, j’entrepris de me vider la tête et de me concentrer sur le cours - pourtant si peu intéressant - malheureusement je constatai vite que ce fut plus facile à dire qu’à faire! Malgré tout les désavantages de ce matin, j’en tirais une certaine satisfaction tout ces gestes qu’il à eu envers moi, cela me parut déjà bien trop lointain! Après tout il n’était pas si tordus que je voulais bien me le faire croire. Si tout cela est arrivé c’est parce qu’il le voulait. Il est possible qu’il m’apprécie, je me sentis rougir en y pensant, bien que je ne sois jamais tombé amoureuse je crois que je le saurais si je l’étais, or ce n’est pas le cas! Mon cour passât vite et j’enchainât comme ça durant les trois cours suivant. Vint l’heure du déjeunée. Je pris un plateau le remplis et allas m’assoir à mon habituelle table. Il me rejoint dix minutes plus tard.
_ Hey, ça va? Me demandât-il avec gentillesse.
_ Bien.
_ Vraiment ?! Tu as une drôle de tête!
_ Une drôle de tête? Hem nan ça va vraiment, sûrement peut convaincante en effet.
_ D’accord je n’insiste pas-tu as le droit d’allée mal!
_ Je vais bien je te dis!
_ Ok!
Je l’avais vexé, je le voyais à sa moue renfrogné.
_ Désolé. Ça à été ta matinée?
_ Oui elle a plutôt bien commencé à vrai dire, il me lançât un magnifique sourire en coin.
_ Pourquoi ça? Que t’es t’il arrivé?
_ Je suis arrivé très bien accompagner, même lui dit cela d’une façon toute timide et je crus même le voir rougir, une facette de lui que je ne connaissais pas.
_ Ho, hem, à propos de ça, je pourrais avoir une explication?
_ Une explication? Pour expliquer quoi?
_ Je ne sais pas, ton comportement de ce matin! Tu étais … différent.
_ A mon bon souvenir tu ne m’a pas repoussé pour autant! Je ne vois pas ou est le mal, désolé si ça t’a gêné!
_ Gêné? Il n’est pas question de ça, tu passe du froid au chaud! Tu étais désagréable quand on est venu te voir et la tu … es différent.
_ Ecoute je me suis déjà excuser. Je suis désolé!
Il prit son plateau et s’en allât. Bravo Kristen encore une occasion loupé de te taire! Son attitude de samedi me laissât penser que nous n’étions pas responsables mais que quelque chose s’était passé avant que l’on arrive! Une partie de moi voulait en savoir plus, sur lui, sur ce fameux samedi, et, sur nous de toute évidence. Je n’en fis rien pour autant.
Lors de mon après midi je réfléchît a une excellente manière de m’excuser de mes propos, sans grand résultat pour autant. Je devais le voir le cours suivant celui d’anglais, en français. Étant décider à arranger les choses et à faire taire ma curiosité, c’est plein de stress que je me dirigeât vers la classe. Je m’assis a ses cotés et lui lançât un pitre regards d’excuse il me semble qu’il avait passé outre ce midi car il me renvoyât son sourire qui me fit rougir, il me regardât comme si c’était a lui de s’excuser et c’est plein de douceur qu’il me dit: « tu m’as manqué! »! Là je fut prise au dépourvut je m’était préparé a plein de situation toute autant déstabilisante les une que les autres. Qu’il puisse m’en vouloir et ne pas me parler durant un certain tant, qu’il me pardonne toute en restant des plus distant, ou bien même qu’il redevienne simplement comme avant et garde le mystère, mais ça je ne m’y était pas préparé! Je cru que m’on cœur ne repartirais pas, que je ne puisse plus bouger, que sa façon de me couver du regard qu’il avait pris depuis ces dix dernières minutes me fit juste m’évanouir car j’en avais tout les symptômes. Des bouffer de chaleur, du mal à respirer, mon cœur battant la chamade, et, la tête qui tourne, tous ça sans parler de mon évidente rougeur aux joues! Mais rien de cela n’arrivât. Je fus empli d’une vague de joie qui se manifestât sous forme de larmes aux yeux, de gêne, et d’un sourire incontrôlable. Au début je fus choqué, mais tout devint clair pour moi je réussis à m’expliquer mes réactions auxquelles je ne m’attendais pas. Je l’aime! Ma prise de conscience me fit revenir à la réalité. J’entrepris de respirer à nouveau car l’air commençait à me manquer. Je ne trouvât cependant pas de réponse à lui confier. Je ne pouvais pas encore le regarder dans les yeux et il détournât les siens ayant certainement compris que je ne puisse pas lui répondre et dut voir que j’étais mal à l’aise, mais pour autant il gardât son sourire radieux et quand il me regardât durant cette heure c’est avec autant de douceur et de tendresse si je puis dire. J’appréhendais je l’admets cette fin de classe. Tout à changer, en une phrase! Mais l’on n’échappe pas au temps et tant bien que mal, il passe. La sonnerie retentit et tous se passât comme au ralentis. La classe entrât en ébullition, les élèves se réjouir de la fin de la journée, notre professeur poussât un lourd et long soupir de soulagement, des cris nous parvinrent du couloir et nous, nous ne bougeâmes pas. Il me regardât attendent surement que je fus la première à me mouvoir, c’est donc ce que je fis. Je me levas mis ma veste et rangeas mes affaires, le regardât et l’intimât de faire de même. Nous sortîmes de classe et les élèves affluèrent de toute part. Nous nous fîmes bousculer par un groupe et nous retrouvâmes séparer. C’est donc seul que je franchis le seuil du lycée. Que devais-je faire? Entreprendre de le retrouver, fuir face a cette situation que je ne sus gérer, prétendre ne pas avoir eu le choix et rentré? Je l’attendis aux porte du lycée, je le vis sortir dans son pull noir et son jean sombre le vent ébouriffant ses cheveux mon cœur eu plusieurs soubresauts. Il me fit signe et me rejoignit. Nous entamâmes le chemin du retour, toujours sans dire un mot. Une fois ma maison en vue je voulus rompre ce silence qui me pesait cependant aucun son ne sortis de ma bouche. Nous nous arrêtâmes devant ma porte et la je fus pétrifier.
_ A demain, me dit-il en se rapprochent des plus lentement possible volontairement. J’ais hâte, me murmurât-il a l’oreille et me laissa un baiser au coin des lèvres.
N’aillant toujours pas bouger il me couva des yeux pour la dernière fois de la journée et s’en allât d’un pas assuré. J’ouvris, monta, et me coucha. Les yeux plein d’étoile je m’endormis ma nuit promettant d’être empreinte de rêve!

4_ Tout premier!
Ce matin j’étais seul à la maison. Comme tout mardi je commençais seulement à 13 heure. Mon réveil sonna comme à son habitude à sept heures. Je descendis sans grand enthousiasme, alluma la télé, mit la chaine de musique du satellite, et me prépara mon petit déjeuner. Une fois que j’eu finis ma vaisselle, je pris une douche et alla fouiller dans mon armoire. Étant donner qu’il n’est que 8 heure je pris le temps de me maquillé légèrement et je me vêtis des vêtements que j’avais déniché. Je mis un jean ciré et un top rouge, par-dessus je trouvas une chemise noir en coton à enfiler. Je sortis mes 5 seuls paires de chaussures, dont, des basquet, des santiag noir, des chaussures de sport, des ballerines, et, une paire de talon haut que je n’avais jamais mit. Ce fut l’occasion de les mettre pour la toute première fois. Ce sont des escarpins noir avec des tallons de 11 centimètres. Je les enfilât maintenant pour me permettre de m’habituer à marcher avec. Je me mis de la mousse dans les cheveux pour dessiner les boucles que j’avais très rarement. Je fis mon lit, ouvris ma fenêtre, descendis et me mis devant la télé. Bref, une mâtinée bien ennuyeuse, cependant j’étais de bonne humeur, je n’avais pas oublié les évènements de la veille et ceux-ci m’enjouaient. Vers neuf heures on frappa à ma porte. J’ouvris celle-ci et je trouvai ‘xander tout sourire. J’étais surprise de sa présence de si bon matin.
_ Bonjour, ça va? Que fais-tu là?
_ Je suis un peu en avance, mais je voulais venir te cherché pour allez en cour!
_ En effet, tu es très en avance il n’est que neuf heure et demi, ris-je pour masquer ma gène.
Je n’avais pas oublié la scène de la veille. Je ne savais pas s’il allait se comporter comme si rien ne s’était passé ou si au contraire il n’allait faire que grossir la situation.
_ Oui c’est vrai-je te l’accorde, mais je te l’ais dit, j’avais hâte!
Je devins toute rouge évidemment, et rien que de le savoir ne faisait que tout empirer. Je pris quelque minute à formuler ma réponse ce qui le fit sourire évidemment.
_ Oui je m’en souviens, j’eu du mal à formuler ces quelques mots.
_ Donc, étant donné l’heure, que fait-on? Me sourit-il radieusement.
_ Hem, je ne sais pas. Tu as déjeuné? Si tu veux on peut prendre un petit dej’. Ou bien regarder la télé. C’est à toi de voir.
_ Et bien un petit déjeuné, ça me tente bien.
Je me dirigea donc vers la cuisine pour sortir des céréales et du jus de fruits bref les ingrédients d’un petit dej’. J’en profitai pour souffler un coup. Ça présence me faisais paniqué, j’avais les mains moite et le visage en feu. Je mis le tout sur un plateau et me tourna vers le salon, dans un sursaut le plateau me glissa des mains et heurta le sol. Les céréales éparpillé par terre baignant dans une flaque de jus d’orange, on aurait dit ma confiance en moi et le peu de self contrôle qu’il me restait gisant sur des larmes de honte!
_ excuse moi je ne t’avais pas vu ‘xander. Merde je suis désoler pour ton tee shirt, et j’en ai pas à te prêter malheureusement!
Je ne sus pas s’il était possible d’être encore plus rouge que je ne l’étais avant, mais, si c’était le cas je ne serais pas loin d’un rouge pourpre!
_ Ne t’en fais pas c’est rien, ça se lave un tee shirt, rit-il!
_ Hem, oui, forcement. Je peux faire une tournée de machine si tu le souhaite on a le temps mais, je n’ais rien à te prêter en attendant!
_ Ce n’est pas grave monte juste le chauffage dans ces cas la, il me lança un regard enjôleur qui, d’un coté me plaisait énormément, l’idée de l’avoir torse nu dans mon salon avait ses avantage, mais nan ce n’était pas possible!
_ ‘xander tu ne va rester torse nu le temps que ton tee shirt soit propre!
_ T’en fait pas ça me dérange pas. Et puis tu peux me prêter un plaid à la limite, me sourit-il une fois de plus!
_ Ok, je vais le mettre à laver alors!
Je pris un plaid dans le placard et le lui tendit, me retourna pour qu’il enlève son tee shirt et lorsqu’il me le donna je le mis à la machine avec quelque affaires à moi qui trainaient dans le panier de linge sale! Je soufflas un bon coup et retourna le voir. Cette situation était des plus embarrassante pour moi. J’espérais qu’il avait pris soin de mettre le plaid de façon a ne rien laisser paraitre de son corps. Visiblement, j’en demandais trop. Je le vis a moitié nu, encore plus blême que je ne le pensais, et je constata également qu’il avait plusieurs cicatrices sur le torse un peu comme celle qu’il a au visage. Cela attira mon attention et éveilla ma curiosité. Je n’osa rien dire pour autant. Il dut remarquer mon regard insistant, il s’approcha de moi et se mit à me sourire de cette façon si charmante qui me fait craquée. J’hésita entre reculer, ne pas bouger, ou bien, moi aussi me rapprocher. Je me crus dans une scène de ces films à l’eau de rose, ce qui allait ce passer était des plus prévisible - du moins je l’espérais. Il se stoppa, à seulement quelques centimètres de mon visage. Mon cœur s’arrêtât une fois de plus, lorsque ses doigts se posèrent sur ma peau celle-ci s’enflammât. Nous restâmes quelques minutes à nous fixer du regard, il s’avança, sa paume toujours contre ma joue. Ses lèvres n’étaient qu’à quelque centimètre des mienne. Je n’eu le temps de me demander ce que je devais faire que nos lèvres se toucha! Mon corps s’enflamma mon se sang se mit à bouillir une sensation de chaleur si agréable que je ne voulais pas qu’elle cesse! Il se recula et je garda les yeux fermés. Lorsque je les ouvris je le vit les yeux qui brille un grand sourire et pourtant distant, ça main n’aillant toute fois pas quitter ma joue! Nous ne pipâmes mots durant quelques minutes stagnent ainsi! C’est lui qui mit fin a cette situation, ça main tombant battre contre son flan.
_ Tu es toute rouge, rit il pour détendre l’atmosphère!
_ On se demande pourquoi, je voulu le dire d’un ton rieur mais n’y parvint pas ma voix tremblais et j’avais du mal à articuler!
_ Excuse moi, dit-il plus sérieusement!
_ Tu es tout excuser.
Je voulais réitérer ce baiser mais il ne m’en laissa pas l’occasion. Il était gêné sous ses airs rieurs. Je m’assis sur le canapé et alluma la télé l’air de rien en espèrent qu’il entamerait la conversation!
Nous étions au mois de janvier et la maison étant si grande était difficile à chauffer et je grelottais presque malgré les 18 degrés intérieur. Il dut le voir car il se rapprocha, il passa son bras autour de mes épaule accompagné du plaid et me couvris de celui-ci. Nous étions tout les deux dans le plaid et je pouvais humer son parfum émanent de sa peau nu. Il sentait le miel et la noix de muscade ainsi qu’une odeur que je reconnu c’était un parfum que j’avais choisi pour que ma mère puisse l’offrir a son ami, le « one million » j’adore ce parfum, et il se trouve qu’il s’accordait très bien avec ces autres fragrances. C’était enivrant. Il se rapprocha encore pour que ma tête aille se poser dans le creux de son épaule. Je n’avais plus froid et ce n’était surement pas du au plaid. Je me sentais si bien, tout mes muscle se relâchèrent je fermas les yeux et ne pensa a rien d’autre qu’a lui, ces dernière minutes et cette étreinte des plus agréable.
Lorsque j’ouvris les yeux la chaine de la télé avait changé et affichait le sport. Je jetât un regard perdu a l’horloge il était 10h00. J’avais du m’assoupir. Et je me souvins du son qui m’avait réveillé lorsque celui-ci se reproduisit, le ventre de ‘xander gargouillait. Je souris et me redressa.
_ Désolé si je t’ais réveiller, me dit il.
_ Je vais préparer quelque chose à manger, lui souris-je!
_ Des céréales suffiront, merci.
Je me levai m’étira et m’en alla vers la cuisine. Je sentis son regard dans mon dos. Une fois dans la cuisine je repris mes esprits et la gêne de cette situation me revint. Puis je vis les céréales éparpiller un peu partout sur le sol, j’entrepris de nettoyer un peu et alla voir si la machine avait fini de tourner, avec de la chance s’était le cas. Je sortis le teeshirt et le mit au sèche linge. C’Était un teeshirt gris foncé avec comme motif un slogan en anglais et des pétales de roses rouge. La tache avait disparut.
Je retournai a la cuisine et pris la boite de céréales avec le peu qu’il restait et un bol de lait. Je le lui apportât au salon, le mit sur la table basse et me rassis sur le canapé à l’ opposé de lui. Il eu un léger rire et m’attira vers lui. Il me prit dans ses bras et m ‘embrassât à nouveau! Ce baiser était différent bien décidé et plus abrupt. Bien que pas le moins du monde plus désagréable…
Je pouvais sentir la chaleur émaner de son corps, son souffle chaud dans mon coup puis au creux de mon épaule, ces lèvres ne cessant de se promener le long de ma peau. À chaque souffle, chaque baisers, chaque effleurement mon sang bouillonnait d’avantage, mon souffle s’accentuait, mon cœur s’accélérait, et ma peau s’enflammait. Lorsqu’il commençât à longer le bord de mon top, je me recula et m’éloigna légèrement de lui. J’eu du mal à reprendre mon souffle et il se rendit surement compte de cela. Il esquivât un sourire puis, au fil des secondes qui passaient, ayant toujours du mal à me reprendre il prit un air contrit et plein de regrets.
_ Je suis désolé!
Je n’arrivais pas à prononcé le moindre mot. Il prit ma main et me regardât droit dans les yeux. Je pu lire tant d’affection de regrets et de peur, mais également du contentement et une étincelle de fierté dans son regard!
_ Je suis désolé Kristen, je sais que je n’aurais pas dut et je m’en excuse. J’espère juste que tu ne m’en veux pas trop!
_ Kris.
_ Quoi?!
_ Tu peux m’appelé Kris.
Il sourit et je lui répondis en le lui rendant. L’orage est passé près mais ne nous à pas touché. Il remit le plaide sur lui et grignota des céréales. J’entendis le sèche linge sonner au bout de 30 longues minutes, durant les quelles nous avons regardé la télévision, discuter et bien rit. La gène avait disparut comme si de rien n’était et pourtant c’était bien arrivé. Je me leva et alla éteindre le sèche linge et en sortit le teeshirt maintenant sec.
_ Et voila un teeshirt tout propre!
_ Merci, me dit il en l’enfilent. Il sent bon, me sourit il.
Je rangea les céréales et rinça le bol de lait. Lorsque je retourna dans le salon je le vit debout, la télé éteinte.
_ Tu fini la visite?
_ Je te demande pardon?
Je ne voyais pas du tout de quoi il parlait.
_ Il me semble qu’il y a une pièce que tu ne m’as pas fais visiter.
Je réfléchis quelque instant au pour et au contre. Puis décida de lui faire visiter ma chambre.
_ Suis moi, lui intimais-je.
Nous montâmes les deux étages, une fois devant la porte je le regarda et vis la curiosité attiser son regard. J’ouvris la porte, lorsqu’il vit ma chambre il prit un air impressionner et surpris. Il prit son air blasé, et me dit:
_ Je m’attendais à mieux!
_ désolé de décevoir ta curiosité mon cher mais ce n’est qu’une chambre sans cadavre sans coffre fort et autre excentricité.
_ Ce qu’elle est grande!! Et tu as une salle de bain pour toi, il prit un air étonné et émerveiller comme un enfant devant un magasin de jouet!
_ C’est juste une chambre ‘xander!
_ Tu as une belle déco! Je t’avais dit que le rouge t’allait bien, il jeta un bref coup d’œil à mon top en disant ça.
Nous redescendîmes et il prit son sac!
_ Tu t’en vas? Il n’est que 11h30!
_ Ça te dit un resto?
_ Pardon?
_ Met ta veste et prend ton sac on bouge!
Je fis ce qu’il me dit et mis ma veste de cuir et pris mon sac de cour! Nous sortîmes de la maison et prîmes le chemin qui menait au bourg! Au bout de quelques minutes il me regardât d’une manière familière. De la même façon qu’il l’avait fait au parc! Il me sourit.
_ Au fait tu es très belle aujourd’hui. J’adore tes chaussures, et ton pantalon, très sexy, me lançât-il d’un regard entendu.
_ Merci, rougis-je.
Nous arrivâmes devant un petit restaurant. C’Était une toute petite crêperie avec comme enseigne « le bleu azur ». Je ne sus pourquoi mais ’xander pris un sourire de fierté que je ne sus m’expliquer! Nous entrâmes, c’était très raffiné et très masculin pour autant. ‘Xander s’installa comme si il connaissait les lieux par cœur et la façon dont il parla au serveur me rappelât la façon dont on parle à un de ses employé! Celui-ci nous tendît les cartes.
_ Tu connais bien ce restaurant, demandais-je par curiosité?
_ En fait c’est le restaurant de mon père! Il est chef cuisinier.
Je ne savais pas quoi répondre. Mais ce qui était sur c’est que tout cela explique très bien ce qui c’est passer avec monsieur Smith. Cependant il m’avait dit être tout juste arrivé hors il faut des années pour ouvrir un restaurent comme celui-ci.
_ Je croyais que vous veniez de vous installer?!
_ Moi oui, mais pas mon père il habite ici depuis quelques années déjà.
En disant ces quelques mots, il me parut distant et je compris qu’il ne voulait pas que je m’étale sur le sujet. Ma tête fourmillait de question. Ça n’avait pas de sens, il m’a dis que sa mère était décédée et si son père était déjà là, d’où venait il?! Était-il en prison, en maison de correction, en cavale, ou je ne sais où de pire?! Tant de questions demeurant sans réponses. Et puis autre chose me tracassais, il était plutôt canon je dois me l’avouer, alors pourquoi personne au lycée ne cherche à lui parler ou bien même a le dragué? Aucune fille ne tourne autour, le jour de son arrivé, lorsqu’il a été présenté il n’y eu aucune réaction! Cela me paraissait bizarre. Essayant d’oublier tout ça, je pris la carte que le serveur nous avait apportée. Elle était bleu assez simple et en l’ouvrant je vis le menu proposer:
« Foie gras accompagné de sa confiture de figues maison,
Pavé de saumon avec sa sauce beurre blanc et ses pommes de terre vapeur,
Plateau de fromages aux choix,
Fraisier sur son coulis de fruits rouge et son crumble aux fraises et au chocolat blanc. »
Mon choix était fait d’avance.
_ As-tu choisis ? Me demandas ‘xander
_ Je vais prendre le premier menu!
Il claqua des doigts envers un serveur et celui s’empressa de venir prendre la commande comme si il redoutait quelque chose! ‘Xander passa commande. Le serveur repartit vers les cuisines. Il devait être midi à peine et le resto était déjà plein! J’Étais très impressionner, le cadre était vraiment beau et les clients avait l’air ravis. Ceci dit, ‘xander lui n’avait pas l’air ravis il observait une jeune femme à peine plus âgée que nous je dirais vingt cinq ans à peu près.
_ Qui est-ce? Lui demandais-je en distinguant clairement la femme!
_ C’est personne.
Il me dit ça d’un ton vraiment convainquant, c’est moi je lui disais être un mec!! Ce qui me poussa a bien regardé celle-ci, attentivement. Elle était très belle et élégante, elle portait un tailleur gris ainsi qu’une chemise blanche! Les cheveux blond et ondulés. Elle était adossée au bar très à l’aise sirotant un cocktail.
On nous apportât nos entrés, ‘xander avait commandé la même chose que moi! C’était de très belles assiettes. Nos foie gras était présenter sur un lit de confiture et accompagné de quelque baies.
_ Ton père à fait du beau boulot! Lui dis-je pour entamer la conversation.
_ Ce n’est pas mon père qui à fait ça, il est bien trop occupé ailleurs!
Il me répondit d’une façon si agressive je savais que cela ne venais pas de moi, mais que quelque chose clochait chez lui! Il ne voulait pas parler de lui, ok pas de soucis, qu’il ait des problèmes avec son père, ok ça ne me regarde pas, mais qu’il ne me dise pas qui est cette femme par exemple, ou bien, qu’il me parle sur ce ton là, ça, ça ne passe pas. Et pourtant je ne dit rien. Après tout qui étaient pour m’immiscer comme ça dans ça vie?! Personnes! Oui… personnes! Je secouas la tête, me ressaisit, puis en relevant le regard, je le vit me dévisager, ses yeux rencontrèrent les miens. Son regard était si intense et plein de réconfort. Je ne me rendis même pas compte que l’on nous débarrassait notre entrée. Cela faisait maintenant bientôt vingt minutes que nous nous observions tout en mangeant sans même dire un mot. Je crus ne jamais plus avoir besoin de la parole. Une fois qu’il nous ais servis le dessert et que nous l’ayons mangez, nous sortîmes.
_ On ne paye pas? Demandais-je.
_ Non ne t’en fais ce n’est pas pour rien que ce soit le restaurant de mon père!
Il fit un léger signe au caissier et nous sortîmes donc du restaurant. Nous prîmes la route du lycée. Je m’apprêtais à partir à pied lorsqu’il m’entrainant dans un garage à coté du restaurant. Il l’ouvrit à l’aide d’une petite télécommande noire. La porte finissait tout juste de s’ouvrir tandis que j’entraperçus une grosse moto rouge au fond derrière des cartons plein. Il dégagea ceux-ci et sortit la moto du garage. C’Était une moto magnifique rouge et noir avec marqué ducatis dessus, elle n’était pas si imposante que ça, elle ressemblait beaucoup aux motos de circuit que l’on voit à la télé. Je la trouvais très et en même temps très intimidante.
_ On y va? me dit-il en montant dessus et en me tendant un casque rouge.
_ Sur ça? Dis-je en désignant la moto qui me maintenant me paraissais énorme et dangereuse!
_ A pied on sera en retard et ne t’en fait pas c’est la mienne et j’ais le permis on ira plus vite et tu verras la sensation de vitesse est enivrante.
Je me rappelai qu’il m’avait dit que sa cicatrice sur le visage étais du à un accident de moto, même si je ne l’avais pas crus, cela ne m’incitais pas non plus à monter sur cette machine et à risquer ma vie. Il dut remarquer mon inquiétude car il mit la moto sur la béquille et en descendit. Il s’approchât doucement de moi, presque avec hésitation, et finalement une fois devant moi, me prit dans ces bras. Il se recula légèrement après notre étreinte sans cesser de me toucher, il fit glisser ces mains de mon dos à mes hanches, me regardât dans les yeux et m’embrassas langoureusement. Je sentis très bien la passions et l’envi dans ce baiser c’était la troisième fois qu’il m’embrassait de la journée et j’eus l’impression que cela ne faisais que commencer. Lorsqu’il stoppât le baiser s’en fut presque qu’abrupt, nous étions tout les deux essoufflés et ses yeux brillait d’envi.
_ Je ne laisserais rien t’arriver, me dit-il au creux de l’oreille.
Il me lâchât et me tendit une fois de plus le casque, que je pris non sans crainte. Il enfourchât la moto et m’aidât à grimper derrière lui une fois que j’eus mit le casque. Je lui attrapais la taille et il démarrât. Au début il n’allait pas vite, tellement que je pus observer le paysage que ne connaissais que trop bien. Puis lorsque plus personnes ne fut sur la route il accéléra d’un coup. Ma première réaction fut la peur! Puis petit à petit je sentis l’adrénaline que la vitesse me procurait. C’Était comme si mon sang bouillait dans mes veines. Je ne voyais plus le paysage, ce n’étais plus qu’un vague trait vert défilant, et, en de temps qu’il ne faut pour le dire nous fûmes devant le lycée. Il descendit en premier, et, une fois son casque retirer, il me prit la main et me fit descendre délicatement. Il me retira mon casque à moi et je sentis le vent dans mes cheveux humide. Nous entrâmes dans le hall du lycée, nous nous arrêtâmes devant son casier pour y déposer les casques. On se dirigeât ensuite vers ma salle de classe. Une fois devant, il passât ses doigts dans mes cheveux et me dégageât le visage en balayant les quelques mèches qui me collait la joue. J’eu un frisson à son simple contact et je devins toute rouge. Il déposât un léger bisou sur ma joue et j’entrai en classe. Nous n’avions pas parlé depuis notre monté sur la moto, et ça ne me déplaisait pas. J’avais l’impression que même sans un mot on se comprenait. Je devais surement délirer, après tout qu’Est-ce que quelque baisers dans la vie d’un mec?! Pourtant j’avais vraiment le sentiment que ce n’était un simple jeu de drague. Tout en me perdant dans mes pensées les heures défilait, tout comme les cours.

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