Hanah Baxter, Tome 1 : Dust

Je n’ai pas accroché ni à l’histoire ni avec les personnages. J’ai trouvé beaucoup de longueurs dans le récit. L’auteur décrit très bien le Kenya et nous invite à la découverte mais il m’a manqué quelque chose. J’ai trouvé que les personnages et leurs caractères respectifs relevaient un peu de la caricature.

La bonne idée de départ tourne court.

Ou plutôt s'étire au fil des pages d'un thriller qui traîne en longueur pour se terminer dans un délire apocalyptique digne de la fin du régime nazi.

Et pour faire bonne mesure, l'écriture de ce navet est bâclée (avec même encore des fautes de français et des tournures de phrase vraiment approximatives). On n'en dira donc pas plus.

Reste, on l'a dit, la mise en lumière du trafic autour de ces malheureux albinos. Décidément le trafic humain est à la mode et nous voici quelque part entre Lagos Lady pour le côté africain et Fabrika pour l'indigence du style et de l'intrigue.

Un thriller passionnant et addictif, 2 enquêtes en une qui se rejoignent, une enquête sombre et glaçante, dans un pays oscillant entre modernité et traditions , raisons et superstitions...

Pour moi le moins bon livre de Sonja

Très belle enquête au Kenya... enfin plutôt très belles enquêtes vu qu'il y en a deux qui se recoupent. Il est parfois un peu difficile de s'y retrouver car il y a beaucoup de personnages mais, une fois plongé dans le livre, on est vite pris par l'histoire... et elle est dure l'histoire... le trafic des africains Albinos pour leurs peaux, os, organes. Ainsi qu'un tueur énigmatique qui fait disparaître les cadavres. Deux enquêtes menées en parallèle par une profileuse française émigrée aux États-Unis qui a été appelée par le chef de la police criminelle de Nairobi. Les descriptions des personnes et de paysages sont magnifiquement faites et on a l'impression d'y être, enfin c'était mon cas. Un très beau livre que je recommande.

abandonner au tier du livre. bien que ce soit un sujet que j'aime particulilèrement (les meurtres, les enquêtes criminels), ici, je ne m'attachais pas à la profileuse et il manquait d'action. je trouvais trop de longueur.

« Dust », c'est le genre de romans que j'apprécie. Parce qu'ils ébranlent, parce qu'ils malmènent, parce qu'ils marquent. La plume de Sonja Delzongle, que je découvre pour la première fois, est puissante, profonde, et ne nous épargne pas grand chose des pires attraits de la réalité brutale qui se joue au Kenya. Elle plonge son lecteur dans un univers effroyable, parfois insoutenable et d'une barbarie indicible mais que l'on a envie de parcourir malgré tout. J'ai apprécié le fait de plonger directement dans la tête du tueur par le biais de certains chapitres. J'ai cru alors tout connaître ou presque des motivations du meurtrier (dont le MO, si ingénieux, m'a totalement bluffée, au demeurant), de son identité mais j'ai vite déchanté. Naîve, je suis tombée de façon magistrale dans le piège habilement tissé par l'auteure.

Cette histoire sordide qui expose les massacres d'albinos toujours d'actualité est ponctuée, en outre, de thématiques comme l'emprise, la pédophilie, le vaudou, le mystique que j'affectionne particulièrement dans les polars. le tout forme un cocktail explosif qui a réussi à me tirer des larmes sur la fin. Chapeau.

Le début du roman est très addictif, puis passé le premier tiers l'intérêt s'étiole progressivement, pour finalement ne plus éveiller grand chose à mesure que la lecture arrive à son terme.

J'ai vraiment eu l'impression que le récit n'avançait plus, et malgré un rythme soutenu et un suspense correct, l'ennui à fini par s'installer. Je n'avais qu'une hâte, c'est que cela se termine afin de passer à autre chose.

En revanche l'autrice se révèle talentueuse quand il s'agit de décrire le mode de vie, le fonctionnement de certaines institutions et les superbes paysages du Kenya.

Même si c'est bien évidemment un paramètre important, il ne suffit pas à lui seul à sauver l'ensemble, qui, pour ma part, reste une petite déception.

Excellent premier tome ,très dur par moment . Trafic d'organes ,des albinos démambrés à la machette à des fins plus que macabres , expériences génétiques et j'en passe ... Hâte de découvrir la suite de la profileuse Hannah.

Un bon polar, de facture classique mais efficace, avec une enquête qui progresse à un bon rythme.

Le petit plus : il se déroule en Afrique et on se trouve en prise avec des rites et des croyances ancestrales.